Poème:Le Testament
Le Poème
Des coups à la porte résonnent longtemps dans la maison. Aussitôt je tressaille. De surprise, Je lache mon verre rempli d’eau… Il se brise. Je ne sais pourquoi et ne puis encore moins l’expliquer. Je traverse le salon dans lequel reflète l’obscure clarté de l’orage sur le parquet fraîchement ciré. Chaque latte craque sourdement sous mes pas comme de frêles brindilles que l’on écrase.
J’ouvre la porte. Une ombre noire se tient dans l’encadrement. Le vent siffle et une bourrasque s’engouffre dans la maison. Je souris.
- « Ah ! Quel plaisir, cher maître Fassi, entrez je vous pris. »
Maître Fassi est mon plus vieil ami, mais aussi mon notaire. Il porte un pardessus noir d’où la pluie s’égoutte encore. Il entre à pas lourds, me tend sa main que je serre. Un curieux et singulier petit frisson me parcoure l’échine.
Je lui propose aussitôt de s’installer toute à son aise dans le salon. Ce qu’il fait. Je lui dis :
- « Je reviens. Mon Testament est resté à l’étage. »
Je monte l’escalier. J’ai un second tressaillement ! Encore une fois sans raisons ! Un tressaillement, un frisson, un autre tressaillement… . ! Moi, Chantal Motleri, je suis la plus grande peureuse de cette terre ! … Une course folle s’empare alors de mes jambes ! Je suis maintenant terrifiée ! J’ais peur ! Et le fait de ne pas savoir pourquoi me terrorise de plus en plus ! Que m’arrive-t-il ? !
J’entre en coups de vent dans la chambre et ouvre ma lourde commode en pin à la volée. Je fouille… . une boule se loge dans mon estomac ; où est mon testament ? Il était là ! J’en suis sûre ! Et pourtant ! Disparu ! Il a disparu ! Suis-je folle ? Folle de ces folies soudaines qui vous prennent au moment où vous vous y attendez le moins ? Sans aucun doute ! … Non ! … Mais j’ai peur… Si ! Folle ! Peureuse mais folle ! Enfin… Peut-être ?
Je tressaille encore une fois. Bon sang ! Mais que m’arrive-t-il ? !
Je descends. Maître Fassi n’est plus là… Plus là ! Lui aussi a disparu ? Le testament est sur la table basse du salon ! J’ai soif. Il faut que je boive.
Je vais à la cuisine et me sers un verre d’eau. L’eau est délicieuse… Des coups à la porte résonnent. De peur je lache mon verre d’eau… Il se brise. Je tressaille. C’est maître Fassi, mon notaire, mon vieil ami, et il porte un pardessus noir d’où la pluie s’égoutte encore. Je lui dis en souriant :
- « Ah ! Quel plaisir, cher maître Fassi, entrez je vous pris. »
Il entre à pas lourds et me tend la main.
J’ouvre la porte. Une ombre noire se tient dans l’encadrement. Le vent siffle et une bourrasque s’engouffre dans la maison. Je souris.
- « Ah ! Quel plaisir, cher maître Fassi, entrez je vous pris. »
Maître Fassi est mon plus vieil ami, mais aussi mon notaire. Il porte un pardessus noir d’où la pluie s’égoutte encore. Il entre à pas lourds, me tend sa main que je serre. Un curieux et singulier petit frisson me parcoure l’échine.
Je lui propose aussitôt de s’installer toute à son aise dans le salon. Ce qu’il fait. Je lui dis :
- « Je reviens. Mon Testament est resté à l’étage. »
Je monte l’escalier. J’ai un second tressaillement ! Encore une fois sans raisons ! Un tressaillement, un frisson, un autre tressaillement… . ! Moi, Chantal Motleri, je suis la plus grande peureuse de cette terre ! … Une course folle s’empare alors de mes jambes ! Je suis maintenant terrifiée ! J’ais peur ! Et le fait de ne pas savoir pourquoi me terrorise de plus en plus ! Que m’arrive-t-il ? !
J’entre en coups de vent dans la chambre et ouvre ma lourde commode en pin à la volée. Je fouille… . une boule se loge dans mon estomac ; où est mon testament ? Il était là ! J’en suis sûre ! Et pourtant ! Disparu ! Il a disparu ! Suis-je folle ? Folle de ces folies soudaines qui vous prennent au moment où vous vous y attendez le moins ? Sans aucun doute ! … Non ! … Mais j’ai peur… Si ! Folle ! Peureuse mais folle ! Enfin… Peut-être ?
Je tressaille encore une fois. Bon sang ! Mais que m’arrive-t-il ? !
Je descends. Maître Fassi n’est plus là… Plus là ! Lui aussi a disparu ? Le testament est sur la table basse du salon ! J’ai soif. Il faut que je boive.
Je vais à la cuisine et me sers un verre d’eau. L’eau est délicieuse… Des coups à la porte résonnent. De peur je lache mon verre d’eau… Il se brise. Je tressaille. C’est maître Fassi, mon notaire, mon vieil ami, et il porte un pardessus noir d’où la pluie s’égoutte encore. Je lui dis en souriant :
- « Ah ! Quel plaisir, cher maître Fassi, entrez je vous pris. »
Il entre à pas lourds et me tend la main.
PostScriptum
Pour ceux qui auront lu ceci, il s’agit d’un sujet d’écrit d’invention, le texte de départ étant celui-ci, qu’il fallait réécrire en registre fantastique :
" ; Melle Motleri entendit des coups à la porte. Elle eut un tressaillement et alla ouvrir. C’
Poète Ayato
Ayato a publié sur le site 23 écrits. Ayato est membre du site depuis l'année 2005.Lire le profil du poète AyatoSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Testament
des=coups=à=la=por=te=ré=son=nent=long=temps=dans=la=mai=son=aus=si=tôt=je=tres=saille=de=sur=pri=se=je=la=che=mon=ver=re=rem=pli=deau=il=se=brise=je=ne=sais=pour=quoi=et=ne=puis=en=co=re=moins=lex=pli=quer=je=tra=ver=se=le=sa=lon=dans=le=quel=re=flè=te=lobs=cu=re=clar=té=de=lo=ra=ge=sur=le=par=quet=fraî=che=ment=ci=ré=cha=que=lat=te=cra=que=sour=de=ment=sous=mes=pas=com=me=de=frê=les=brin=dilles=que=lon=é=crase 106jou=vre=la=por=te=une=om=bre=noi=re=se=tient=dans=len=ca=dre=ment=le=vent=sif=fle=et=u=ne=bour=ras=que=sen=gouf=fre=dans=la=mai=son=je=sou=ris 37
ah=quel=plai=sir=cher=maî=tre=fas=si=en=trez=je=vous=pris 15
maî=tre=fas=si=est=mon=plus=vieil=a=mi=mais=aus=si=mon=no=tai=re=il=por=te=un=par=des=sus=noir=doù=la=pluie=sé=gout=te=en=core=il=en=tre=à=pas=lourds=me=tend=sa=main=que=je=serre=un=cu=rieux=et=sin=gu=li=er=pe=tit=fris=son=me=par=cou=re=lé=chi=ne 65
je=lui=pro=po=se=aus=si=tôt=de=sins=tal=ler=tou=te=à=son=ai=se=dans=le=sa=lon=ce=quil=fait=je=lui=dis 28
je=re=viens=mon=tes=ta=ment=est=res=té=à=lé=ta=ge 15
je=monte=les=ca=lier=jai=un=se=cond=tres=saille=ment=en=co=re=u=ne=fois=sans=rai=sons=un=tres=sail=le=ment=un=fris=son=un=au=tre=tres=sail=le=ment=moi=chan=tal=mot=le=ri=je=suis=la=plus=gran=de=peu=reu=se=de=cet=te=ter=re=u=ne=cour=se=fol=le=sem=pa=re=a=lors=de=mes=jam=bes=je=suis=main=te=nant=ter=ri=fi=ée=jais=peur=et=le=fait=de=ne=pas=sa=voir=pour=quoi=me=ter=ro=ri=se=de=plus=en=plus=que=mar=ri=ve=til 106
jentreen=coups=de=vent=dans=la=cham=bre=et=ou=vre=ma=lour=de=com=mo=de=en=pin=à=la=vo=lée=je=fouille=u=ne=bou=le=se=lo=ge=dans=mon=es=to=mac=où=est=mon=tes=ta=ment=il=é=tait=là=jen=suis=sû=re=et=pour=tant=dis=pa=ru=il=a=dis=pa=ru=suis=je=fol=le=fol=le=de=ces=fo=lies=sou=dai=nes=qui=vous=pren=nent=au=mo=ment=où=vous=vous=y=at=ten=dez=le=moins=sans=au=cun=dou=te=non=mais=jai=peur=si=fol=le=peu=reu=se=mais=fol=le=en=fin=peut=têtre 113
je=tres=sail=le=en=co=re=u=ne=fois=bon=sang=mais=que=mar=ri=ve=til 18
je=des=cends=maî=tre=fas=si=nest=plus=là=plus=là=lui=aus=si=a=dis=pa=ru=le=tes=ta=ment=est=sur=la=ta=ble=bas=se=du=sa=lon=jai=soif=il=faut=que=je=boi=ve 41
je=vais=à=la=cui=si=ne=et=me=sers=un=ver=re=deau=leau=est=dé=li=cieu=se=des=coups=à=la=por=te=ré=sonnent=de=peur=je=la=che=mon=ver=re=deau=il=se=bri=se=je=tres=sail=le=cest=maî=tre=fas=si=mon=no=tai=re=mon=vieil=a=mi=et=il=por=te=un=par=des=sus=noir=doù=la=pluie=sé=gout=te=en=core=je=lui=dis=en=sou=ri=ant 82
ah=quel=plai=sir=cher=maî=tre=fas=si=en=trez=je=vous=pris 15
il=en=tre=à=pas=lourds=et=me=tend=la=main 11
Phonétique : Le Testament
dε kuz- a la pɔʁtə ʁezɔne lɔ̃tɑ̃ dɑ̃ la mεzɔ̃. osito ʒə tʁesajə. də syʁpʁizə, ʒə laʃə mɔ̃ veʁə ʁɑ̃pli do… il sə bʁizə. ʒə nə sε puʁkwa e nə pɥiz- ɑ̃kɔʁə mwɛ̃ lεksplike. ʒə tʁavεʁsə lə salɔ̃ dɑ̃ ləkεl ʁəflεtə lɔpskyʁə klaʁte də lɔʁaʒə syʁ lə paʁkε fʁεʃəmɑ̃ siʁe. ʃakə latə kʁakə suʁdəmɑ̃ su mε pa kɔmə də fʁεlə bʁɛ̃dijə kə lɔ̃n- ekʁazə.ʒuvʁə la pɔʁtə. ynə ɔ̃bʁə nwaʁə sə tjɛ̃ dɑ̃ lɑ̃kadʁəmɑ̃. lə vɑ̃ siflə e ynə buʁʁaskə sɑ̃ɡufʁə dɑ̃ la mεzɔ̃. ʒə suʁi.
« a ! kεl plεziʁ, ʃεʁ mεtʁə fasi, ɑ̃tʁe ʒə vu pʁi. »
mεtʁə fasi ε mɔ̃ plys vjεj ami, mεz- osi mɔ̃ nɔtεʁə. il pɔʁtə œ̃ paʁdəsy nwaʁ du la plɥi seɡutə ɑ̃kɔʁə. il ɑ̃tʁə a pa luʁd, mə tɑ̃ sa mɛ̃ kə ʒə seʁə. œ̃ kyʁjøz- e sɛ̃ɡylje pəti fʁisɔ̃ mə paʁkuʁə leʃinə.
ʒə lɥi pʁɔpozə osito də sɛ̃stale tutə a sɔ̃n- εzə dɑ̃ lə salɔ̃. sə kil fε. ʒə lɥi di :
« ʒə ʁəvjɛ̃. mɔ̃ tεstame ε ʁεste a letaʒə. »
ʒə mɔ̃tə lεskalje. ʒε œ̃ səɡɔ̃ tʁesajmɑ̃ ! ɑ̃kɔʁə ynə fwa sɑ̃ ʁεzɔ̃ ! œ̃ tʁesajmɑ̃, œ̃ fʁisɔ̃, œ̃n- otʁə tʁesajmɑ̃… ! mwa, ʃɑ̃tal mɔtləʁi, ʒə sɥi la plys ɡʁɑ̃də pəʁøzə də sεtə teʁə ! … ynə kuʁsə fɔlə sɑ̃paʁə alɔʁ də mε ʒɑ̃bə ! ʒə sɥi mɛ̃tənɑ̃ teʁifje ! ʒεs pœʁ ! e lə fε də nə pa savwaʁ puʁkwa mə teʁɔʁizə də plysz- ɑ̃ plys ! kə maʁivə til ? !
ʒɑ̃tʁə ɑ̃ ku də vɑ̃ dɑ̃ la ʃɑ̃bʁə e uvʁə ma luʁdə kɔmɔdə ɑ̃ pɛ̃ a la vɔle. ʒə fujə… ynə bulə sə lɔʒə dɑ̃ mɔ̃n- εstɔmak, u ε mɔ̃ tεstame ? il etε la ! ʒɑ̃ sɥi syʁə ! e puʁtɑ̃ ! dispaʁy ! il a dispaʁy ! sɥi ʒə fɔlə ? fɔlə də sε fɔli sudεnə ki vu pʁεne o mɔmɑ̃ u vu vuz- i atɑ̃de lə mwɛ̃ ? sɑ̃z- okœ̃ dutə ! … nɔ̃ ! … mε ʒε pœʁ… si ! fɔlə ! pəʁøzə mε fɔlə ! ɑ̃fɛ̃… pø tεtʁə ?
ʒə tʁesajə ɑ̃kɔʁə ynə fwa. bɔ̃ sɑ̃ ! mε kə maʁivə til ? !
ʒə desɑ̃. mεtʁə fasi nε plys la… plys la ! lɥi osi a dispaʁy ? lə tεstame ε syʁ la tablə basə dy salɔ̃ ! ʒε swaf. il fo kə ʒə bwavə.
ʒə vεz- a la kɥizinə e mə sεʁz- œ̃ veʁə do. lo ε delisjøzə… dε kuz- a la pɔʁtə ʁezɔne. də pœʁ ʒə laʃə mɔ̃ veʁə do… il sə bʁizə. ʒə tʁesajə. sε mεtʁə fasi, mɔ̃ nɔtεʁə, mɔ̃ vjεj ami, e il pɔʁtə œ̃ paʁdəsy nwaʁ du la plɥi seɡutə ɑ̃kɔʁə. ʒə lɥi di ɑ̃ suʁjɑ̃ :
« a ! kεl plεziʁ, ʃεʁ mεtʁə fasi, ɑ̃tʁe ʒə vu pʁi. »
il ɑ̃tʁə a pa luʁdz- e mə tɑ̃ la mɛ̃.
Syllabes Phonétique : Le Testament
dε=ku=za=la=pɔʁ=tə=ʁe=zɔ=ne=lɔ̃=tɑ̃=dɑ̃=la=mε=zɔ̃=o=si=to=ʒə=tʁe=sa=jə=də=syʁ=pʁi=zə=ʒə=la=ʃə=mɔ̃=ve=ʁə=ʁɑ̃=pli=do=il=sə=bʁi=zə=ʒə=nə=sε=puʁ=kwa=e=nə=pɥi=zɑ̃=kɔ=ʁə=mwɛ̃=lεk=spli=ke=ʒə=tʁa=vεʁ=sə=lə=sa=lɔ̃=dɑ̃=lə=kεl=ʁə=flε=tə=lɔp=sky=ʁə=klaʁ=te=də=lɔ=ʁa=ʒə=syʁ=lə=paʁ=kε=fʁε=ʃə=mɑ̃=si=ʁe=ʃa=kə=la=tə=kʁa=kə=suʁ=də=mɑ̃=su=mε=pa=kɔ=mə=də=fʁε=lə=bʁɛ̃=di=jə=kə=lɔ̃=ne=kʁa=zə 110ʒu=vʁə=la=pɔʁ=tə=y=nə=ɔ̃=bʁə=nwa=ʁə=sə=tj=ɛ̃=dɑ̃=lɑ̃=ka=dʁə=mɑ̃=lə=vɑ̃=si=flə=e=y=nə=buʁ=ʁas=kə=sɑ̃=ɡu=fʁə=dɑ̃=la=mε=zɔ̃=ʒə=su=ʁi 39
a=kεl=plε=ziʁ=ʃεʁ=mε=tʁə=fa=si=ɑ̃=tʁe=ʒə=vu=pʁi 15
mε=tʁə=fa=si=ε=mɔ̃=plys=vjεj=a=mi=mε=zo=si=mɔ̃=nɔ=tε=ʁə=il=pɔʁ=tə=œ̃=paʁ=də=sy=nwaʁ=du=la=plɥi=se=ɡu=tə=ɑ̃=kɔ=ʁə=il=ɑ̃=tʁə=a=pa=luʁd=mə=tɑ̃=sa=mɛ̃=kə=ʒə=se=ʁə=œ̃=ky=ʁj=ø=ze=sɛ̃=ɡy=lj=e=pə=ti=fʁi=sɔ̃=mə=paʁ=ku=ʁə=le=ʃi=nə 68
ʒə=lɥi=pʁɔ=po=zə=o=si=to=də=sɛ̃s=ta=le=tu=tə=a=sɔ̃=nε=zə=dɑ̃=lə=sa=lɔ̃=sə=kil=fε=ʒə=lɥi=di 28
ʒə=ʁə=vj=ɛ̃=mɔ̃=tεs=ta=me=ε=ʁεs=te=a=le=ta=ʒə 16
ʒə=mɔ̃=tə=lεs=ka=lj=e=ʒε=œ̃=sə=ɡɔ̃=tʁe=saj=mɑ̃=ɑ̃=kɔ=ʁə=y=nə=fwa=sɑ̃=ʁε=zɔ̃=œ̃=tʁe=saj=mɑ̃=œ̃=fʁi=sɔ̃=œ̃=no=tʁə=tʁe=saj=mɑ̃=mwa=ʃɑ̃=tal=mɔ=tlə=ʁi=ʒə=sɥi=la=plys=ɡʁɑ̃=də=pə=ʁø=zə=də=sε=tə=te=ʁə=y=nə=kuʁ=sə=fɔ=lə=sɑ̃=pa=ʁə=a=lɔʁ=də=mε=ʒɑ̃=bə=ʒə=sɥi=mɛ̃=tə=nɑ̃=te=ʁi=fj=e=ʒε=sə=pœ=ʁə=e=lə=fε=də=nə=pa=sa=vwaʁ=puʁ=kwa=mə=te=ʁɔ=ʁi=zə=də=plys=zɑ̃=plys=kə=ma=ʁi=və=til 108
ʒɑ̃tʁəɑ̃=ku=də=vɑ̃=dɑ̃=la=ʃɑ̃=bʁə=e=u=vʁə=ma=luʁ=də=kɔ=mɔ=də=ɑ̃=pɛ̃=a=la=vɔ=le=ʒə=fu=jə=y=nə=bu=lə=sə=lɔ=ʒə=dɑ̃=mɔ̃=nεs=tɔ=mak=u=ε=mɔ̃=tεs=ta=me=il=e=tε=la=ʒɑ̃=sɥi=sy=ʁə=e=puʁ=tɑ̃=dis=pa=ʁy=il=a=dis=pa=ʁy=sɥi=ʒə=fɔ=lə=fɔ=lə=də=sε=fɔ=li=su=dε=nə=ki=vu=pʁε=ne=o=mɔ=mɑ̃=u=vu=vu=zi=a=tɑ̃=de=lə=mwɛ̃=sɑ̃=zo=kœ̃=du=tə=nɔ̃=mε=ʒε=pœʁ=si=fɔ=lə=pə=ʁø=zə=mε=fɔ=lə=ɑ̃=fɛ̃=pø=tεtʁə 114
ʒə=tʁe=sa=jə=ɑ̃=kɔ=ʁə=y=nə=fwa=bɔ̃=sɑ̃=mε=kə=ma=ʁi=və=til 18
ʒə=de=sɑ̃=mε=tʁə=fa=si=nε=plys=la=plys=la=lɥi=o=si=a=dis=pa=ʁy=lə=tεs=ta=me=ε=syʁ=la=ta=blə=ba=sə=dy=sa=lɔ̃=ʒε=swaf=il=fo=kə=ʒə=bwa=və 41
ʒə=vε=za=la=kɥi=zi=nə=e=mə=sεʁ=zœ̃=ve=ʁə=do=lo=ε=de=li=sj=ø=zə=dε=ku=za=la=pɔʁ=tə=ʁe=zɔ=ne=də=pœ=ʁə=ʒə=la=ʃə=mɔ̃=ve=ʁə=do=il=sə=bʁi=zə=ʒə=tʁe=sa=jə=sε=mε=tʁə=fa=si=mɔ̃=nɔ=tε=ʁə=mɔ̃=vjεj=a=mi=e=il=pɔʁ=tə=œ̃=paʁ=də=sy=nwaʁ=du=la=plɥi=se=ɡu=tə=ɑ̃=kɔ=ʁə=ʒə=lɥi=di=ɑ̃=su=ʁj=ɑ̃ 86
a=kεl=plε=ziʁ=ʃεʁ=mε=tʁə=fa=si=ɑ̃=tʁe=ʒə=vu=pʁi 15
il=ɑ̃=tʁə=a=pa=luʁ=dze=mə=tɑ̃=la=mɛ̃ 11
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
06/06/2005 22:17Poupsy (F)
Je l’ai lu avec grand plaisir !
Tu écris très bien et l’idée est originale !
Bravo !!
Bisous
06/06/2005 22:29Petit-Coeur-Fragile
woua je ne sais quoi dir
a par que ces MANIFIQUE
comme toujours Ayato tes un champion
(et va pas dir le contrair si non....)^^
kissssouilles plein
06/06/2005 22:51Ayato
note o passage, j’ai u 19/20
07/06/2005 23:33Miss_Jewel
c’est toujours avec un grand plaisir que je dévore tes poêmes
bravo
bizou MiSS-JEwel
11/06/2005 02:01Ewilan
19/20 ? beaucoup trop sévère ton prof 
j’adore !
amitiés...juju(BF)
Poème - Sans Thème -
Du 06/06/2005 22:10
L'écrit contient 454 mots qui sont répartis dans 1 strophes.