Prose:Le Vélo
La Prose
Juste quelques mots pour le fun…
Pour vous conter ce jour du quinze juillet deux mille quatorze
CE jour là, au matin pour être exact
Je me suis décidé, c’était le grand jour
Celui où je me remettais au vélocipède
Vous savez ce truc avec deux roues
Et à combustion calorique, inventé par l’homme
Avant qu’il ne réalise que la combustion pétrolifère
Était moins fatigante, plus chère, plus polluante et pécuniairement rentable !
Bref une des ces trouvailles que seul l’homme sait inventer
Pour faire du fric, du moindre effort, et ne pas trouver quoi faire d’elle… .
A part nous foutre en l’air… . à court terme
Ce jour là j’enfourchais (pas mon épouse) ma bicyclette
Et direction devinez où ? … le cimetière ! ! !
C’était plat pour un débutant, le plus dur étant de rester sur le vélo ;
Tout alla pour le mieux ; comme on dit « pour aller ça va ça descend »
Mais au retour « ça monte » ! ! !
Arrivé sur place je suis allé saluer mes connaissances
Vous les auriez vues et entendues
Ils rigolaient comme des baleines ces branleurs ;
Petit moment de bavardage et retour « in the home (pas cinéma) »…
Putain arrivé au petit renpillou du stop j’ai pas voulu mettre pied à terre… ! !
Je l’ai gravi assis ! ! ! Ce fut court, bref, mortel ! ! !
Je me suis arrêté après chez Hubert… …
Rendu à la maison je croyais aux miracles,
J’étais allé au cimetière à bicyclette
Et j’étais revenu vivant sur la bicyclette ! !
Pardi aujourd’hui ce n’est pas pareil
C’est mon tour… . !
Il n’y a pas de miracle.
Enfin j’espère que ces quelques mots vous aurons fait sinon rire au moins sourire
Je sais lesquels d’entre vous ! ! !
Sur ce je laisse la parole à monsieur le curé, y en à qui ont un boulot comme on dit
Et je suis attendu, où ? je ne sais pas… .
A tchao ! ! ! ! ! ! !
Le Colporteur, Baladin, Troubadour, Ménestrel §§§
2014-07-15
Pour vous conter ce jour du quinze juillet deux mille quatorze
CE jour là, au matin pour être exact
Je me suis décidé, c’était le grand jour
Celui où je me remettais au vélocipède
Vous savez ce truc avec deux roues
Et à combustion calorique, inventé par l’homme
Avant qu’il ne réalise que la combustion pétrolifère
Était moins fatigante, plus chère, plus polluante et pécuniairement rentable !
Bref une des ces trouvailles que seul l’homme sait inventer
Pour faire du fric, du moindre effort, et ne pas trouver quoi faire d’elle… .
A part nous foutre en l’air… . à court terme
Ce jour là j’enfourchais (pas mon épouse) ma bicyclette
Et direction devinez où ? … le cimetière ! ! !
C’était plat pour un débutant, le plus dur étant de rester sur le vélo ;
Tout alla pour le mieux ; comme on dit « pour aller ça va ça descend »
Mais au retour « ça monte » ! ! !
Arrivé sur place je suis allé saluer mes connaissances
Vous les auriez vues et entendues
Ils rigolaient comme des baleines ces branleurs ;
Petit moment de bavardage et retour « in the home (pas cinéma) »…
Putain arrivé au petit renpillou du stop j’ai pas voulu mettre pied à terre… ! !
Je l’ai gravi assis ! ! ! Ce fut court, bref, mortel ! ! !
Je me suis arrêté après chez Hubert… …
Rendu à la maison je croyais aux miracles,
J’étais allé au cimetière à bicyclette
Et j’étais revenu vivant sur la bicyclette ! !
Pardi aujourd’hui ce n’est pas pareil
C’est mon tour… . !
Il n’y a pas de miracle.
Enfin j’espère que ces quelques mots vous aurons fait sinon rire au moins sourire
Je sais lesquels d’entre vous ! ! !
Sur ce je laisse la parole à monsieur le curé, y en à qui ont un boulot comme on dit
Et je suis attendu, où ? je ne sais pas… .
A tchao ! ! ! ! ! ! !
Le Colporteur, Baladin, Troubadour, Ménestrel §§§
2014-07-15
Poète Baladin
Baladin a publié sur le site 84 écrits. Baladin est membre du site depuis l'année 2012.Lire le profil du poète BaladinSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Le Vélo
ʒystə kεlk mo puʁ lə fœ̃…puʁ vu kɔ̃te sə ʒuʁ dy kɛ̃zə ʒɥjε dø milə katɔʁzə
sə ʒuʁ la, o matɛ̃ puʁ εtʁə εɡzakt
ʒə mə sɥi deside, setε lə ɡʁɑ̃ ʒuʁ
səlɥi u ʒə mə ʁəmεtεz- o velɔsipεdə
vu save sə tʁyk avεk dø ʁu
e a kɔ̃bystjɔ̃ kalɔʁikə, ɛ̃vɑ̃te paʁ lɔmə
avɑ̃ kil nə ʁealizə kə la kɔ̃bystjɔ̃ petʁɔlifεʁə
etε mwɛ̃ fatiɡɑ̃tə, plys ʃεʁə, plys pɔlɥɑ̃tə e pekynjεʁəmɑ̃ ʁɑ̃tablə !
bʁεf ynə dε sε tʁuvajə kə səl lɔmə sε ɛ̃vɑ̃te
puʁ fεʁə dy fʁik, dy mwɛ̃dʁə efɔʁ, e nə pa tʁuve kwa fεʁə dεllə…
a paʁ nu futʁə ɑ̃ lεʁ… a kuʁ tεʁmə
sə ʒuʁ la ʒɑ̃fuʁʃεs (pas mɔ̃n- epuzə) ma bisiklεtə
e diʁεksjɔ̃ dəvinez- u ? … lə simətjεʁə ! ! !
setε pla puʁ œ̃ debytɑ̃, lə plys dyʁ etɑ̃ də ʁεste syʁ lə velo,
tut- ala puʁ lə mjø, kɔmə ɔ̃ dit « puʁ ale sa va sa desɑ̃d »
mεz- o ʁətuʁ « sa mɔ̃tə » ! ! !
aʁive syʁ plasə ʒə sɥiz- ale salɥe mε kɔnεsɑ̃sə
vu lεz- oʁje vɥz- e ɑ̃tɑ̃dɥ
il ʁiɡɔlε kɔmə dε balεnə sε bʁɑ̃lœʁ,
pəti mɔmɑ̃ də bavaʁdaʒə e ʁətuʁ « ɛ̃ tə ɔmə (pas sinema) »…
pytɛ̃ aʁive o pəti ʁɑ̃piju dy stɔp ʒε pa vuly mεtʁə pje a teʁə… ! !
ʒə lε ɡʁavi asi ! ! ! sə fy kuʁ, bʁεf, mɔʁtεl ! ! !
ʒə mə sɥiz- aʁεte apʁε ʃez- ybεʁ…
ʁɑ̃dy a la mεzɔ̃ ʒə kʁwajεz- o miʁaklə,
ʒetεz- ale o simətjεʁə a bisiklεtə
e ʒetε ʁəvəny vivɑ̃ syʁ la bisiklεtə ! !
paʁdi oʒuʁdɥi sə nε pa paʁεj
sε mɔ̃ tuʁ… !
il ni a pa də miʁaklə.
ɑ̃fɛ̃ ʒεspεʁə kə sε kεlk mo vuz- oʁɔ̃ fε sinɔ̃ ʁiʁə o mwɛ̃ suʁiʁə
ʒə sε lekεl dɑ̃tʁə vu ! ! !
syʁ sə ʒə lεsə la paʁɔlə a məsjø lə kyʁe, i ɑ̃n- a ki ɔ̃ œ̃ bulo kɔmə ɔ̃ di
e ʒə sɥiz- atɑ̃dy, u ? ʒə nə sε pa…
a tʃao ! ! !
lə kɔlpɔʁtœʁ, baladɛ̃, tʁubaduʁ, menεstʁεl
dø milə katɔʁzə tiʁε zeʁo sεt tiʁε kɛ̃zə
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
27/07/2014 09:29Iris1950
ce fut court, bref, sans grand exploit cette sortie en bicyclette. Que dire à cela.
Que Dieu vous bénisse. Belle journée. IRIS
27/07/2014 15:25Melly-Mellow
Personnellement ça m’a fait rire !! Merci de la ballade Baladin
Et au plaisir de vite te relire, remets toi en selle Amicalement..
27/07/2014 20:29Daniel
J’aime...Dan
Prose Rigolo
Du 27/07/2014 08:03
L'écrit contient 328 mots qui sont répartis dans 8 strophes.