Prose:Rencontre Passionnelle !
La Prose
Julien était à Berne il attendait l`arrivée du train, sur la voie trois où arriverait sa fiancée Teresa.
Il était impatient, cela faisait un mois qu´il n´avait pas vu Teresa. Il était arrivé à midi à la gare, même si Teresa lui avait téléphoné qu´elle arriverait à peu près à une heure. Elle était à Zurich chez ses parents où elle avait passé ses vacances. Elle était aussi impatiente, tant que ce jour-là elle s´est levée à trois heures du matin, elle n´avait pas pu dormir cette nuit-là.
Lorsque la haut parleur a annoncé l´arrivée du train, dans lequel allait arriver Teresa, le cœur de Julien a commencé à palpiter rapidement, à deux cents pulsations/seconde ; il suait froid, il tremblait des pieds à la tête, il voulait voir tout de suite Teresa ; c´était une nécessité impérieuse.
Le train s´est arrêté et, quelques instantes plus tard elle sort : élégante, svelte, radieuse, belle ; il la regarde et, il pense :
« elle est incroyablement belle. »
Julien se dirige sur elle, l´embrasse ardemment et comme symbole de son amour, de sa passion frénétique, incontrôlable, il lui donne un bouquet de roses.
Ils sont sortis de la gare et ils ont pris leur voiture qui était garé dans un parking près de la gare. C´est une jolie voiture à deux portes, elle était automatique et contrôlée par un ordinateur qui gérait toutes les fonctions nécessaires pour la conduite.
A l´intérieur de la voiture il y avait un poste de télévision, un petit bar, un poste de radio inter-spatial. C´était une voiture aérodynamique.
Ils ont pris la direction de Lausanne car ils y habitaient depuis longtemps. Il était employé dans un banque à Lausanne, elle était professeur à l´Université de Lausanne plus exactement à l´école de Français Moderne.
Ils étaient bien installés dans leur voiture, celle-ci avait pris une grande vitesse : 550 km/heure ; tout à coup le temps a changé et la pluie est tombée, une forte tempête s´est abattue sur eux ; la visibilité est devenue nulle et à l´entrée d´un tunnel, la voiture a heurté brusquement un mur.
Miraculeusement Julien est sorti indemne de l´accident, mais Teresa est morte sur le coup.
Aujourd’hui Julien est dans un hôpital psychiatrique : il est devenu fou.
Il était impatient, cela faisait un mois qu´il n´avait pas vu Teresa. Il était arrivé à midi à la gare, même si Teresa lui avait téléphoné qu´elle arriverait à peu près à une heure. Elle était à Zurich chez ses parents où elle avait passé ses vacances. Elle était aussi impatiente, tant que ce jour-là elle s´est levée à trois heures du matin, elle n´avait pas pu dormir cette nuit-là.
Lorsque la haut parleur a annoncé l´arrivée du train, dans lequel allait arriver Teresa, le cœur de Julien a commencé à palpiter rapidement, à deux cents pulsations/seconde ; il suait froid, il tremblait des pieds à la tête, il voulait voir tout de suite Teresa ; c´était une nécessité impérieuse.
Le train s´est arrêté et, quelques instantes plus tard elle sort : élégante, svelte, radieuse, belle ; il la regarde et, il pense :
« elle est incroyablement belle. »
Julien se dirige sur elle, l´embrasse ardemment et comme symbole de son amour, de sa passion frénétique, incontrôlable, il lui donne un bouquet de roses.
Ils sont sortis de la gare et ils ont pris leur voiture qui était garé dans un parking près de la gare. C´est une jolie voiture à deux portes, elle était automatique et contrôlée par un ordinateur qui gérait toutes les fonctions nécessaires pour la conduite.
A l´intérieur de la voiture il y avait un poste de télévision, un petit bar, un poste de radio inter-spatial. C´était une voiture aérodynamique.
Ils ont pris la direction de Lausanne car ils y habitaient depuis longtemps. Il était employé dans un banque à Lausanne, elle était professeur à l´Université de Lausanne plus exactement à l´école de Français Moderne.
Ils étaient bien installés dans leur voiture, celle-ci avait pris une grande vitesse : 550 km/heure ; tout à coup le temps a changé et la pluie est tombée, une forte tempête s´est abattue sur eux ; la visibilité est devenue nulle et à l´entrée d´un tunnel, la voiture a heurté brusquement un mur.
Miraculeusement Julien est sorti indemne de l´accident, mais Teresa est morte sur le coup.
Aujourd’hui Julien est dans un hôpital psychiatrique : il est devenu fou.
Poète Black Eagle
Black Eagle a publié sur le site 9 écrits. Black Eagle est membre du site depuis l'année 2009.Lire le profil du poète Black EagleSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Rencontre Passionnelle !
ʒyljɛ̃ etε a bεʁnə il atɑ̃dε εl aksɑ̃ ɡʁavə aʁive dy tʁɛ̃, syʁ la vwa tʁwaz- u aʁivəʁε sa fjɑ̃se təʁəza.il etε ɛ̃pasjɑ̃, səla fəzε œ̃ mwa kil navε pa vy təʁəza. il etε aʁive a midi a la ɡaʁə, mεmə si təʁəza lɥi avε telefɔne kεllə aʁivəʁε a pø pʁεz- a ynə œʁ. εllə etε a zyʁik ʃe sε paʁɑ̃z- u εllə avε pase sε vakɑ̃sə. εllə etε osi ɛ̃pasjɑ̃tə, tɑ̃ kə sə ʒuʁ la εllə sε ləve a tʁwaz- œʁ dy matɛ̃, εllə navε pa py dɔʁmiʁ sεtə nɥi la.
lɔʁskə la-o paʁlœʁ a anɔ̃se laʁive dy tʁɛ̃, dɑ̃ ləkεl alε aʁive təʁəza, lə kœʁ də ʒyljɛ̃ a kɔmɑ̃se a palpite ʁapidəmɑ̃, a dø sɑ̃ pylsasjɔ̃ slaʃ səɡɔ̃də, il sɥε fʁwa, il tʁɑ̃blε dε pjez- a la tεtə, il vulε vwaʁ tu də sɥitə təʁəza, setε ynə nesesite ɛ̃peʁjøzə.
lə tʁɛ̃ sεt- aʁεte e, kεlkz- ɛ̃stɑ̃tə plys taʁ εllə sɔʁ : eleɡɑ̃tə, zvεltə, ʁadjøzə, bεllə, il la ʁəɡaʁdə e, il pɑ̃sə :
« εllə εt- ɛ̃kʁwajabləmɑ̃ bεllə. »
ʒyljɛ̃ sə diʁiʒə syʁ εllə, lɑ̃bʁasə aʁdamɑ̃ e kɔmə sɛ̃bɔlə də sɔ̃n- amuʁ, də sa pasjɔ̃ fʁenetikə, ɛ̃kɔ̃tʁolablə, il lɥi dɔnə œ̃ bukε də ʁozə.
il sɔ̃ sɔʁti də la ɡaʁə e ilz- ɔ̃ pʁi lœʁ vwatyʁə ki etε ɡaʁe dɑ̃z- œ̃ paʁkiŋ pʁε də la ɡaʁə. sεt- ynə ʒɔli vwatyʁə a dø pɔʁtə, εllə etε otɔmatikə e kɔ̃tʁole paʁ œ̃n- ɔʁdinatœʁ ki ʒeʁε tutə lε fɔ̃ksjɔ̃ nesesεʁə puʁ la kɔ̃dɥitə.
a lɛ̃teʁjœʁ də la vwatyʁə il i avε œ̃ pɔstə də televizjɔ̃, œ̃ pəti baʁ, œ̃ pɔstə də ʁadjo ɛ̃te spasjal. setε ynə vwatyʁə aeʁɔdɛ̃amikə.
ilz- ɔ̃ pʁi la diʁεksjɔ̃ də lozanə kaʁ ilz- i-abitε dəpɥi lɔ̃tɑ̃. il etε ɑ̃plwaje dɑ̃z- œ̃ bɑ̃kə a lozanə, εllə etε pʁɔfesœʁ a lynivεʁsite də lozanə plysz- εɡzaktəmɑ̃ a lekɔlə də fʁɑ̃sε mɔdεʁnə.
ilz- etε bjɛ̃ ɛ̃stale dɑ̃ lœʁ vwatyʁə, sεllə si avε pʁiz- ynə ɡʁɑ̃də vitεsə : sɛ̃- sɑ̃ sɛ̃kɑ̃tə ka εm slaʃ œʁ, tut- a ku lə tɑ̃z- a ʃɑ̃ʒe e la plɥi ε tɔ̃be, ynə fɔʁtə tɑ̃pεtə sεt- abatɥ syʁ ø, la vizibilite ε dəvənɥ nylə e a lɑ̃tʁe dœ̃ tœ̃nεl, la vwatyʁə a œʁte bʁyskəmɑ̃ œ̃ myʁ.
miʁakyløzəmɑ̃ ʒyljɛ̃ ε sɔʁti ɛ̃dεmnə də laksidɑ̃, mε təʁəza ε mɔʁtə syʁ lə ku.
oʒuʁdɥi ʒyljɛ̃ ε dɑ̃z- œ̃n- opital psiʃjatʁikə : il ε dəvəny fu.
Récompense
Poesie sans commentaire
26/04/2024Poeme-France
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Prose - Sans Thème -
Du 28/01/2010 14:07
L'écrit contient 393 mots qui sont répartis dans 11 strophes.