Univers de poésie d'un auteur

Prose:A Mon Amour

La Prose

C’est l’histoire terrible et passionnée d’une fille et un garçon qui s’aimait.
Quand elle le vit pour la première fois, elle fut frappée par l’énergie terrible qui débordait de ce drôle de bonhomme. Il vivait chaque moment de sa vie avec une intensité débordant de folie que j’admirais. J’étais comme fascinée par cet être à l’énergie trop pleine.
Avec lui je suis devenue une femme, une vraie plus forte, avec plus de personnalité, capable de résister à n’importe quelle tempête. Il a été dur, m’a blessé parce qu’il souffrait, j’ai toujours encaissé parce que j’ai toujours su que cet homme en apparence violent dans ses propos avec un penchant pour l’alcool était d’une grande richesse de cœur et hypersensible à l’intérieur. C’est tout simplement un homme qui pense qu’il n’a pas le droit au bonheur, qui ne peut vivre qu’un amour tourmenté comme moi parce qu’il dégage un côté artiste, un côté hypersensible du monde invisible. Il ne peut vivre un amour petit et routinier, il a besoin du plus grand des amours, violent, tourmenté, émouvant, passionnée. Je suis pareille. Je déteste tout ce qui est conformisme.
J’aime croquer la vie, j’aime danser, rire, faire l’amour, j’aime les choses simples et vraies.
A Angers, personne ne semblait nous comprendre, quand il le voyait en apparence il voyait un voyou, parce qu’il dégageait quelque chose de terriblement virile, avec sa barbe mal taillée, ses cicatrices et son chien. On le prenait pour une brute, même pendant sa rédemption on l’a toujours considéré ainsi ce qui n’a rien arrangé. Ce que nous avons vécu a été la plus belle chose de ma vie même si nous avons du passer par diverses étapes douloureuses, tout d’abord ses excés de violence à cause de l’alcool et de la drogue dont je souffrais beaucoup en silence à tel point que j’ai fait une dépression, me réfugiant dans des calmants car je ne comprenais pas, moi petite fille bourgeoise ce garçon tourmenté, à l’âme rebelle un peu comme moi mais avec des paroles cruelles. Si cruelles que certaines de ses paroles pouvaient m’assassiner, mon cœur tout entier déchiqueté.
Donc je disais l’alcool comme première difficulté dans notre relation, puis le décès de sa mère, morte du locked in syndrom. Cette mort a complètement abattu Simon, c’est là que j’ai vu que cet homme était magnifique à l’intérieur. Je l’ai vu tourmenté, je l’ai toujours épaulé dans sa souffrance, c’est sûrement ça qui aujourd’hui nous lie pour toujours, car c’est un homme qui n’oublie jamais comme il dit le soutien mais aussi les coups de pute comme il dit. Son langage est crue, soutenue et familier, il est tout ça à la fois. Il a quelque chose que les autres hommes n’ont jamais eu pour moi il a le don de me faire rire et de me charmer. Il a ce quelque chose d’envoûtant que n’ont pas les autres hommes. Il n’a pas une beauté stéréotypée. Il me manque tout le temps, je l’aime et j’ai envie de lui en secret, tous les jours. Je doute parfois, lui aussi mais au final on s’aime toujours comme au premier jour. ll aime me faire l’amour comme un Dieu, aime me faire jouir. Je l’aime tellement fort que je pourrai être comblé de bonheur seulement dans ses bras, quand il me serre de ses grosses mains contre lui. Notre amour n’est pas artificielle mais passionné. Il a quelque chose de ces amours purs entre deux enfants. Notre amour est pur et ne s’éteindra jamais. Avec lui j’aimerai mourir, sans lui je ne suis plus rien, c’est pour ça que j’ai peur qu’il meurt jeune. Je souffre comme lui du regard des autres sur notre couple, comme si selon eux on avait pas le droit d’afficher notre amour. Pourquoi nous regarde t-ils ainsi ? Il est un homme et je suis une femme comme eux… J’ai l’impression qu’on choque et qu’on gêne. Parfois Simon est lointain, si lointain que je ne le comprends plus, comme si d’un coup il s’ éloignait de moi puis d’un coup revenait comme un boomerang vers moi. J’aime toutes ces choses simples avec lui, nous balader le long de la corniche de Pornic, regarder la mer, se balader main dans la main, j’en ait tant envie en ce moment que ça me fait du mal rien que d’y penser. Parfois je ne sais pas où notre histoire nous mènera, j’ai l’impression qu’en amour on ne peut jamais être heureux, qu’au final tout s’arrête et au final tout s’arrête puisqu’on est tous destiné à mourir, c’est de le savoir qui est le plus dur, savoir que notre corps va vieillir, se décomposer petit à petit jusqu’à être un tas de cendre pour les uns ou rongé par les vers pour les autres. J’ai trop de fierté pour accepter cela. L’amour se finit toujours puisque l’un meurt et l’autre reste dans le chagrin d’avoir perdu son bien aimé. J’aimerai me réveiller chaque jour à ses côtés, sentir ses mains caresser mon corps, j’en peux plus de pas le sentir, cela m’est très douloureux à supporter mais je tiens parce que je l’aime. Je ne veux pas le décevoir, je veux l’attendre aussi.
Je n’aime pas les hommes de mon âge, je les trouve inintéressants, leurs blagues ne me font même pas rire, il n’y a que les blagues crues de Simon qui peuvent me faire sourire comme s’il possédait la clé magique qui lui permet d’avoir accès à mes émotions, à mes attentes. Lui seul sait décoder mes moments de souffrance, il sait me faire jouir comme personne, quand je jouis avec lui c’est surnaturel tellement j’ai de plaisir. C’est complètement fou et irrationnel. C’est encore meilleur parce qu’il me donne de l’amour et ne me baise pas comme les autres hommes. Je déteste la baise, crue sans sentiment, c’est du viol pour moi, c’est petit et violent.
L’autre amour est bien plus noble, peu de gens je pense l’atteignent vraiment, je ne veux jamais ressembler à ces vieux couples qui ne se supportent plus, ne s’aiment plus ou ces gens qui se casent et font semblants pour faire comme les autres. Je veux être à ses côtés tout au long de ma vie parce que j’aime que lui. J’aime bien qu’il me dise qu’il me trouve géniale, belle, intelligente et artiste. Cela me plaît qu’il me reconnaisse pour la personne que je suis véritablement et que peu de gens connaissent vraiment parce qu’ils n’ont pas creusé et parce que je suis trop réservée. Je suis sociable mais je porte une carapace qui m’étouffe, j’étouffe de ce grand manque de confiance en moi, ça m’handicape de jour en jour parce que ça me fait souffrir de ne pas réussir à m’exprimer aisément à l’oral comme les autres. Si Simon me quitte un jour j’en mourrais de chagrin, je crois que je ne voudrai plus vivre du tout parce que plus rien ne comblerai autant que lui, personne d’autre ne me comprendrai aussi bien que lui. Il me connaît par cœur, sait ce que j’aime et partage avec moi une sensibilité que je connais à très peu d’homme, c’est ce qui nous lie complètement. Il est comme le Yin et je suis le yang, nous sommes inséparables jusqu’à la mort, comme deux albatros survolant les océans et bravant la tempête ensemble dans le ciel, loin au dessus de la terre. J’aimerai partager d’autres aventures avec lui, planter nos tentes en Espagne, ce pays qu’il aime tant, visiter le musée du Prado avec lui. Le rêve de Simon c’est de posséder son propre bateau et de m’emmener avec lui pour faire escale dans diverses destinations de rêve. Pour nous ce serait le paradis. Simon aurait aimé être marin, heureusement il n’a pas le comportement infidèle des marins sinon je serais qu’une fille de passage pour lui.

Ce soir tu m’as appeler, je sais que tu m’aimes comme un fou parce que je le sens, c’est comme une enveloppe d’amour qui entoure tout mon corps et mon cœur, c’est fort et puissant… Je t’aime et j’aimerai à jamais que toi o mon unique et tendre amour. Je t’aime si fortement que cela me fait souffrir par moment et me comble en même temps. J’aimerai que tu me fasses pleins de bébés, de toi et moi… Ce serait mon rêve… plus que tout au monde je voudrai avoir des enfants de toi parce qu’il n’y a qu’avec toi que je veux faire ma vie. Cela fait quatre ans que je t’aime et que je me donne à toi sans relâche. J’ai peur de vieillir, protèges moi de ce monde difficile, je me sens si petite, si faible sans toi. C’est difficile de faire face à ce monde violent et dur, j’ai peur de me perdre dans ce monde de requin. Aucun homme ne t’égale, aucun n’a le courage de dire ses sentiments comme toi, aucun ne me fait l’amour aussi bien que toi, les hommes de ta trempe se perdent. J’ai envie de toi mon amour, je veux goûter ton sexe dans ma bouche pendant des heures, sentir le goût de ton sperme en moi. J’en peux plus de pas te sentir en moi… je ne pense qu’à ça, je suis décidément pire qu’un homme, je pense vraiment qu’avec mon sexe…
Je ne comprends pas les hommes sauf toi. Toi tu es le seul qui ose dire ce qu’il pense vraiment. Les autres sont ininteressant, depuis que mathilde m’a dit que Maxime s’était drogué, cela m’a intrigué, surement un homme comme toi qui s’est perdu. Il est vrai mon tendre amour que j’aime plaire, j’y peux rien, c’est dans ma nature, ça me rassure de plaire à d’autres hommes, c’est pas pour ça que je vais aller voir ailleurs. Tu es dans mon lit chaque nuit, dans mes pensées à chaque heures, je me masturbe en imaginant que tu me caresses et ça me fait pleurer à la fin car cela me fait souffrir de voir que tu n’es pas là, je souffre de pas pouvoir te toucher, tu m’as ensorcellé, tu es tous les jours en moi dans mon corps, mon cœur et ma tête, tu es mon autre moi en moi comme si je portais mon enfant mais c’est surement pas le même amour. J’aimerai avoir des bébés avec toi, j’aimerai être enceinte de toi, être mère, je ne veux plus être la jeune fille, je veux plus avec toi, je veux fonder une famille avec toi, avoir une maison, des bébés.
Je veux qu’on voyage ensemble, je veux que tu me fasses l’amour tous les jours jusqu’à la fin de mes jours, jusqu’à m’éteindre… Je veux m’endormir et me réveiller prés de toi. Je veux passer mes journées à te regarder, à te caresser, à te parler, à t’écouter. J’aime tout de toi, même ton mauvais caractère et ton côté sombre. J’aime ton corps et ton âme. Je t’aime à la folie, je t’aime comme aucun être humain n’a jamais aimé. J’ai besoin de toi, j’ai besoin de te sentir, je suis malheureuse ici sans toi, ça me fait pleurer d’être loin de toi…
Je t’aime tu me manques, je me sens seule, c’est trop dure, je suis complètement malade sans toi, toi seul pourrai me ranimer à la vie, je meurs petit à petit… Je voudrai m’éteindre pour ne plus souffrir de ne pas te voir, je suis un fantôme ici à Toulouse, il n’y a que mon ombre ici, je ne connais personne, je n’ai pas une seule amie. Je veux te prendre, t’embrasser sans relâche, ne plus jamais te quitter, ne plus jamais souffrir, t’avoir rien que pour moi toute ma vie jusqu’à mon dernier souffle, j’en peux plus, je voudrai te sentir en moi mon amour, mon chéri, mon espoir. Je te hais, je t’adore, je t’aime, je te veux… J’ai envie de toi mon chéri, je t’aime, je t’aime, je t’aime tellement fort en moi. Je suis une fille triste ici, je me meurs, je vieillis jours après jours, je me fane, je veux pleurer tous les soirs et encore plus quand je ressens la solitude en face de moi qui me hante, mes draps sont froids et jamais froissés. Personne ne veut qu’on soit ensemble mais il n’y a que toi qui sache me redonner goût à la vie et qui sache me faire rire. Personne d’autre que toi peut me faire rire, avec les autres je suis froide, distante et glacée. Je t’en prie, aimes moi, appelles moi sinon j’ai l’impression qu’il ya une autre femme dans ton lit en ce moment même et ça me rend complètement folle à lié parce que je ne le supporterai pas. Où es tu, que fais tu ? Pourquoi tu ne décroches pas ton téléphone, pourquoi tu ne m’appelles pas ? Fais tu semblant de m’aimer ? J’aimerai savoir si tu m’aimes vraiment, je ne veux pas que tu joues avec mes sentiments parce que cela me tuerai que tu te sois moqué de moi pendant quatre ans, cela m’anéantirai complètement. J’en peux plus de désir pour toi alors j’écris sans relâche maintenant quasiment tous les soirs pour pouvoir exprimer ma souffrance de ne pas pouvoir te toucher, te caresser, te prendre, toucher tes petites fesses, ta queue longue et dure, ta bouche si désirable que j’aime tant, personne au monde ne peut t’aimer plus que moi je t’aime. Je t’aime d’un amour si fort qu’il me brûle au plus profond de mon être. J’ai besoin de te voir, de chanter, de faire l’amour, de te prendre sans relâche, de vivre intensément et passionnément, quitter ce monde terrien où l’on souffre tous deux pour s’envoler dans un monde aérien fait de mer, de cocon, un monde léger où toi et moi on aurait droit au bonheur, j’en peux plus qu’on nous interdise d’être heureux ici bas… Je souhaiterais faire ma vie avec toi…
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Poeme de Camillou

Poète Camillou

Camillou a publié sur le site 39 écrits. Camillou est membre du site depuis l'année 2008.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : A Mon Amoursε listwaʁə teʁiblə e pasjɔne dynə fijə e œ̃ ɡaʁsɔ̃ ki sεmε.
kɑ̃t- εllə lə vit puʁ la pʁəmjεʁə fwa, εllə fy fʁape paʁ lenεʁʒi teʁiblə ki debɔʁdε də sə dʁolə də bɔnɔmə. il vivε ʃakə mɔmɑ̃ də sa vi avεk ynə ɛ̃tɑ̃site debɔʁdɑ̃ də fɔli kə ʒadmiʁε. ʒetε kɔmə fasine paʁ sεt εtʁə a lenεʁʒi tʁo plεnə.
avεk lɥi ʒə sɥi dəvənɥ ynə famə, ynə vʁε plys fɔʁtə, avεk plys də pεʁsɔnalite, kapablə də ʁeziste a nɛ̃pɔʁtə kεllə tɑ̃pεtə. il a ete dyʁ, ma blese paʁsə kil sufʁε, ʒε tuʒuʁz- ɑ̃kεse paʁsə kə ʒε tuʒuʁ sy kə sεt ɔmə ɑ̃n- apaʁɑ̃sə vjɔle dɑ̃ sε pʁɔpoz- avεk œ̃ pɑ̃ʃɑ̃ puʁ lalkɔl etε dynə ɡʁɑ̃də ʁiʃεsə də kœʁ e ipεʁsɑ̃siblə a lɛ̃teʁjœʁ. sε tu sɛ̃pləmɑ̃ œ̃n- ɔmə ki pɑ̃sə kil na pa lə dʁwa o bɔnœʁ, ki nə pø vivʁə kœ̃n- amuʁ tuʁmɑ̃te kɔmə mwa paʁsə kil deɡaʒə œ̃ kote aʁtistə, œ̃ kote ipεʁsɑ̃siblə dy mɔ̃də ɛ̃viziblə. il nə pø vivʁə œ̃n- amuʁ pəti e ʁutinje, il a bəzwɛ̃ dy plys ɡʁɑ̃ dεz- amuʁ, vjɔle, tuʁmɑ̃te, emuvɑ̃, pasjɔne. ʒə sɥi paʁεjə. ʒə detεstə tu sə ki ε kɔ̃fɔʁmismə.
ʒεmə kʁɔke la vi, ʒεmə dɑ̃se, ʁiʁə, fεʁə lamuʁ, ʒεmə lε ʃozə sɛ̃pləz- e vʁε.
a ɑ̃ʒe, pεʁsɔnə nə sɑ̃blε nu kɔ̃pʁɑ̃dʁə, kɑ̃t- il lə vwajε ɑ̃n- apaʁɑ̃sə il vwajε œ̃ vwaju, paʁsə kil deɡaʒε kεlkə ʃozə də teʁibləmɑ̃ viʁilə, avεk sa baʁbə mal taje, sε sikatʁisəz- e sɔ̃ ʃjɛ̃. ɔ̃ lə pʁənε puʁ ynə bʁytə, mεmə pɑ̃dɑ̃ sa ʁedɑ̃psjɔ̃ ɔ̃ la tuʒuʁ kɔ̃sideʁe ɛ̃si sə ki na ʁjɛ̃ aʁɑ̃ʒe. sə kə nuz- avɔ̃ veky a ete la plys bεllə ʃozə də ma vi mεmə si nuz- avɔ̃ dy pase paʁ divεʁsəz- etapə duluʁøzə, tu dabɔʁ sεz- εkse də vjɔlɑ̃sə a kozə də lalkɔl e də la dʁɔɡ dɔ̃ ʒə sufʁε boku ɑ̃ silɑ̃sə a tεl pwɛ̃ kə ʒε fε ynə depʁesjɔ̃, mə ʁefyʒjɑ̃ dɑ̃ dε kalmɑ̃ kaʁ ʒə nə kɔ̃pʁənε pa, mwa pətitə fijə buʁʒwazə sə ɡaʁsɔ̃ tuʁmɑ̃te, a lamə ʁəbεllə œ̃ pø kɔmə mwa mεz- avεk dε paʁɔlə kʁyεllə. si kʁyεllə kə sεʁtεnə də sε paʁɔlə puvε masasine, mɔ̃ kœʁ tut- ɑ̃tje deʃikəte.
dɔ̃k ʒə dizε lalkɔl kɔmə pʁəmjεʁə difikylte dɑ̃ nɔtʁə ʁəlasjɔ̃, pɥi lə desε də sa mεʁə, mɔʁtə dy lɔkεd ɛ̃ sɛ̃dʁɔm. sεtə mɔʁ a kɔ̃plεtəmɑ̃ abaty simɔ̃, sε la kə ʒε vy kə sεt ɔmə etε maɲifikə a lɛ̃teʁjœʁ. ʒə lε vy tuʁmɑ̃te, ʒə lε tuʒuʁz- epole dɑ̃ sa sufʁɑ̃sə, sε syʁəmɑ̃ sa ki oʒuʁdɥi nu li puʁ tuʒuʁ, kaʁ sεt- œ̃n- ɔmə ki nubli ʒamε kɔmə il di lə sutjɛ̃ mεz- osi lε ku də pytə kɔmə il di. sɔ̃ lɑ̃ɡaʒə ε kʁy, sutənɥ e familje, il ε tu sa a la fwa. il a kεlkə ʃozə kə lεz- otʁə- ɔmə nɔ̃ ʒamεz- y puʁ mwa il a lə dɔ̃ də mə fεʁə ʁiʁə e də mə ʃaʁme. il a sə kεlkə ʃozə dɑ̃vutɑ̃ kə nɔ̃ pa lεz- otʁə- ɔmə. il na pa ynə bote steʁeɔtipe. il mə mɑ̃kə tu lə tɑ̃, ʒə lεmə e ʒε ɑ̃vi də lɥi ɑ̃ sεkʁε, tus lε ʒuʁ. ʒə dutə paʁfwa, lɥi osi mεz- o final ɔ̃ sεmə tuʒuʁ kɔmə o pʁəmje ʒuʁ. εl εl εmə mə fεʁə lamuʁ kɔmə œ̃ djø, εmə mə fεʁə ʒuiʁ. ʒə lεmə tεllmɑ̃ fɔʁ kə ʒə puʁʁε εtʁə kɔ̃ble də bɔnœʁ sələmɑ̃ dɑ̃ sε bʁa, kɑ̃t- il mə seʁə də sε ɡʁɔsə mɛ̃ kɔ̃tʁə lɥi. nɔtʁə amuʁ nε pa aʁtifisjεllə mε pasjɔne. il a kεlkə ʃozə də sεz- amuʁ pyʁz- ɑ̃tʁə døz- ɑ̃fɑ̃. nɔtʁə amuʁ ε pyʁ e nə setɛ̃dʁa ʒamε. avεk lɥi ʒεməʁε muʁiʁ, sɑ̃ lɥi ʒə nə sɥi plys ʁjɛ̃, sε puʁ sa kə ʒε pœʁ kil məʁ ʒənə. ʒə sufʁə kɔmə lɥi dy ʁəɡaʁ dεz- otʁə- syʁ nɔtʁə kuplə, kɔmə si səlɔ̃ øz- ɔ̃n- avε pa lə dʁwa dafiʃe nɔtʁə amuʁ. puʁkwa nu ʁəɡaʁdə te ilz- ɛ̃si ? il εt- œ̃n- ɔmə e ʒə sɥiz- ynə famə kɔmə ø… ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ kɔ̃ ʃɔkə e kɔ̃ ʒεnə. paʁfwa simɔ̃ ε lwɛ̃tɛ̃, si lwɛ̃tɛ̃ kə ʒə nə lə kɔ̃pʁɑ̃ plys, kɔmə si dœ̃ ku il selwaɲε də mwa pɥi dœ̃ ku ʁəvənε kɔmə œ̃ buməʁɑ̃ɡ vεʁ mwa. ʒεmə tutə sε ʃozə sɛ̃pləz- avεk lɥi, nu balade lə lɔ̃ də la kɔʁniʃə də pɔʁnik, ʁəɡaʁde la mεʁ, sə balade mɛ̃ dɑ̃ la mɛ̃, ʒɑ̃n- ε tɑ̃ ɑ̃vi ɑ̃ sə mɔmɑ̃ kə sa mə fε dy mal ʁjɛ̃ kə di pɑ̃se. paʁfwa ʒə nə sε pa u nɔtʁə istwaʁə nu mεnəʁa, ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ kɑ̃n- amuʁ ɔ̃ nə pø ʒamεz- εtʁə œʁø, ko final tu saʁεtə e o final tu saʁεtə pɥiskɔ̃n- ε tus dεstine a muʁiʁ, sε də lə savwaʁ ki ε lə plys dyʁ, savwaʁ kə nɔtʁə kɔʁ va vjεjiʁ, sə dekɔ̃poze pəti a pəti ʒyska εtʁə œ̃ tas də sɑ̃dʁə puʁ lεz- œ̃ u ʁɔ̃ʒe paʁ lε vεʁ puʁ lεz- otʁə. ʒε tʁo də fjεʁte puʁ aksεpte səla. lamuʁ sə fini tuʒuʁ pɥiskə lœ̃ məʁ e lotʁə ʁεstə dɑ̃ lə ʃaɡʁɛ̃ davwaʁ pεʁdy sɔ̃ bjɛ̃ εme. ʒεməʁε mə ʁevεje ʃakə ʒuʁ a sε kote, sɑ̃tiʁ sε mɛ̃ kaʁese mɔ̃ kɔʁ, ʒɑ̃ pø plys də pa lə sɑ̃tiʁ, səla mε tʁε duluʁøz- a sypɔʁte mε ʒə tjɛ̃ paʁsə kə ʒə lεmə. ʒə nə vø pa lə desəvwaʁ, ʒə vø latɑ̃dʁə osi.
ʒə nεmə pa lεz- ɔmə də mɔ̃n- aʒə, ʒə lε tʁuvə inɛ̃teʁesɑ̃, lœʁ blaɡ nə mə fɔ̃ mεmə pa ʁiʁə, il ni a kə lε blaɡ kʁy də simɔ̃ ki pəve mə fεʁə suʁiʁə kɔmə sil pɔsedε la kle maʒikə ki lɥi pεʁmε davwaʁ aksεz- a mεz- emɔsjɔ̃, a mεz- atɑ̃tə. lɥi səl sε dekɔde mε mɔmɑ̃ də sufʁɑ̃sə, il sε mə fεʁə ʒuiʁ kɔmə pεʁsɔnə, kɑ̃ ʒə ʒuiz- avεk lɥi sε syʁnatyʁεl tεllmɑ̃ ʒε də plεziʁ. sε kɔ̃plεtəmɑ̃ fu e iʁasjɔnεl. sεt- ɑ̃kɔʁə mεjœʁ paʁsə kil mə dɔnə də lamuʁ e nə mə bεzə pa kɔmə lεz- otʁə- ɔmə. ʒə detεstə la bεzə, kʁy sɑ̃ sɑ̃timɑ̃, sε dy vjɔl puʁ mwa, sε pəti e vjɔle.
lotʁə amuʁ ε bjɛ̃ plys nɔblə, pø də ʒɑ̃ ʒə pɑ̃sə latεɲe vʁεmɑ̃, ʒə nə vø ʒamε ʁəsɑ̃ble a sε vjø kuplə ki nə sə sypɔʁte plys, nə sεme plysz- u sε ʒɑ̃ ki sə kaze e fɔ̃ sɑ̃blɑ̃ puʁ fεʁə kɔmə lεz- otʁə. ʒə vøz- εtʁə a sε kote tut- o lɔ̃ də ma vi paʁsə kə ʒεmə kə lɥi. ʒεmə bjɛ̃ kil mə dizə kil mə tʁuvə ʒenjalə, bεllə, ɛ̃tεlliʒɑ̃tə e aʁtistə. səla mə plε kil mə ʁəkɔnεsə puʁ la pεʁsɔnə kə ʒə sɥi veʁitabləmɑ̃ e kə pø də ʒɑ̃ kɔnεse vʁεmɑ̃ paʁsə kil nɔ̃ pa kʁøze e paʁsə kə ʒə sɥi tʁo ʁezεʁve. ʒə sɥi sɔsjablə mε ʒə pɔʁtə ynə kaʁapasə ki metufə, ʒetufə də sə ɡʁɑ̃ mɑ̃kə də kɔ̃fjɑ̃sə ɑ̃ mwa, sa mɑ̃dikapə də ʒuʁ ɑ̃ ʒuʁ paʁsə kə sa mə fε sufʁiʁ də nə pa ʁeysiʁ a mεkspʁime εzemɑ̃ a lɔʁal kɔmə lεz- otʁə. si simɔ̃ mə kitə œ̃ ʒuʁ ʒɑ̃ muʁʁε də ʃaɡʁɛ̃, ʒə kʁwa kə ʒə nə vudʁε plys vivʁə dy tu paʁsə kə plys ʁjɛ̃ nə kɔ̃bləʁε otɑ̃ kə lɥi, pεʁsɔnə dotʁə nə mə kɔ̃pʁɑ̃dʁε osi bjɛ̃ kə lɥi. il mə kɔnε paʁ kœʁ, sε sə kə ʒεmə e paʁtaʒə avεk mwa ynə sɑ̃sibilite kə ʒə kɔnεz- a tʁε pø dɔmə, sε sə ki nu li kɔ̃plεtəmɑ̃. il ε kɔmə lə iɛ̃ e ʒə sɥi lə iɑ̃ɡ, nu sɔməz- ɛ̃sepaʁablə ʒyska la mɔʁ, kɔmə døz- albatʁo syʁvɔlɑ̃ lεz- ɔseɑ̃z- e bʁavɑ̃ la tɑ̃pεtə ɑ̃sɑ̃blə dɑ̃ lə sjεl, lwɛ̃ o dəsy də la teʁə. ʒεməʁε paʁtaʒe dotʁəz- avɑ̃tyʁəz- avεk lɥi, plɑ̃te no tɑ̃təz- ɑ̃n- εspaɲə, sə pεi kil εmə tɑ̃, vizite lə myze dy pʁado avεk lɥi. lə ʁεvə də simɔ̃ sε də pɔsede sɔ̃ pʁɔpʁə bato e də maməne avεk lɥi puʁ fεʁə εskalə dɑ̃ divεʁsə- dεstinasjɔ̃ də ʁεvə. puʁ nu sə səʁε lə paʁadi. simɔ̃ oʁε εme εtʁə maʁɛ̃, œʁøzəmɑ̃ il na pa lə kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ ɛ̃fidεlə dε maʁɛ̃ sinɔ̃ ʒə səʁε kynə fijə də pasaʒə puʁ lɥi.

sə swaʁ ty ma apəle, ʒə sε kə ty mεmə kɔmə œ̃ fu paʁsə kə ʒə lə sɑ̃s, sε kɔmə ynə ɑ̃vəlɔpə damuʁ ki ɑ̃tuʁə tu mɔ̃ kɔʁz- e mɔ̃ kœʁ, sε fɔʁ e pɥisɑ̃… ʒə tεmə e ʒεməʁε a ʒamε kə twa o mɔ̃n- ynikə e tɑ̃dʁə amuʁ. ʒə tεmə si fɔʁtəmɑ̃ kə səla mə fε sufʁiʁ paʁ mɔmɑ̃ e mə kɔ̃blə ɑ̃ mεmə tɑ̃. ʒεməʁε kə ty mə fasə plɛ̃ də bebe, də twa e mwa… sə səʁε mɔ̃ ʁεvə… plys kə tut- o mɔ̃də ʒə vudʁε avwaʁ dεz- ɑ̃fɑ̃ də twa paʁsə kil ni a kavεk twa kə ʒə vø fεʁə ma vi. səla fε katʁə ɑ̃ kə ʒə tεmə e kə ʒə mə dɔnə a twa sɑ̃ ʁəlaʃə. ʒε pœʁ də vjεjiʁ, pʁɔtεʒə mwa də sə mɔ̃də difisilə, ʒə mə sɑ̃s si pətitə, si fεblə sɑ̃ twa. sε difisilə də fεʁə fasə a sə mɔ̃də vjɔle e dyʁ, ʒε pœʁ də mə pεʁdʁə dɑ̃ sə mɔ̃də də ʁəkɛ̃. okœ̃ ɔmə nə teɡalə, okœ̃ na lə kuʁaʒə də diʁə sε sɑ̃timɑ̃ kɔmə twa, okœ̃ nə mə fε lamuʁ osi bjɛ̃ kə twa, lεz- ɔmə də ta tʁɑ̃pə sə pεʁde. ʒε ɑ̃vi də twa mɔ̃n- amuʁ, ʒə vø ɡute tɔ̃ sεksə dɑ̃ ma buʃə pɑ̃dɑ̃ dεz- œʁ, sɑ̃tiʁ lə ɡu də tɔ̃ spεʁmə ɑ̃ mwa. ʒɑ̃ pø plys də pa tə sɑ̃tiʁ ɑ̃ mwa… ʒə nə pɑ̃sə ka sa, ʒə sɥi desidemɑ̃ piʁə kœ̃n- ɔmə, ʒə pɑ̃sə vʁεmɑ̃ kavεk mɔ̃ sεksə…
ʒə nə kɔ̃pʁɑ̃ pa lεz- ɔmə sof twa. twa ty ε lə səl ki ozə diʁə sə kil pɑ̃sə vʁεmɑ̃. lεz- otʁə- sɔ̃t- inɛ̃təʁesɑ̃, dəpɥi kə matildə ma di kə maksimə setε dʁɔɡe, səla ma ɛ̃tʁiɡe, syʁəmɑ̃ œ̃n- ɔmə kɔmə twa ki sε pεʁdy. il ε vʁε mɔ̃ tɑ̃dʁə amuʁ kə ʒεmə plεʁə, ʒi pø ʁjɛ̃, sε dɑ̃ ma natyʁə, sa mə ʁasyʁə də plεʁə a dotʁə- ɔmə, sε pa puʁ sa kə ʒə vεz- ale vwaʁ ajœʁ. ty ε dɑ̃ mɔ̃ li ʃakə nɥi, dɑ̃ mε pɑ̃sez- a ʃakə œʁ, ʒə mə mastyʁbə ɑ̃n- imaʒinɑ̃ kə ty mə kaʁesəz- e sa mə fε pləʁe a la fɛ̃ kaʁ səla mə fε sufʁiʁ də vwaʁ kə ty nε pa la, ʒə sufʁə də pa puvwaʁ tə tuʃe, ty ma ɑ̃sɔʁsεlle, ty ε tus lε ʒuʁz- ɑ̃ mwa dɑ̃ mɔ̃ kɔʁ, mɔ̃ kœʁ e ma tεtə, ty ε mɔ̃n- otʁə mwa ɑ̃ mwa kɔmə si ʒə pɔʁtε mɔ̃n- ɑ̃fɑ̃ mε sε syʁəmɑ̃ pa lə mεmə amuʁ. ʒεməʁε avwaʁ dε bebez- avεk twa, ʒεməʁε εtʁə ɑ̃sɛ̃tə də twa, εtʁə mεʁə, ʒə nə vø plysz- εtʁə la ʒənə fijə, ʒə vø plysz- avεk twa, ʒə vø fɔ̃de ynə famijə avεk twa, avwaʁ ynə mεzɔ̃, dε bebe.
ʒə vø kɔ̃ vwajaʒə ɑ̃sɑ̃blə, ʒə vø kə ty mə fasə lamuʁ tus lε ʒuʁ ʒyska la fɛ̃ də mε ʒuʁ, ʒyska metɛ̃dʁə… ʒə vø mɑ̃dɔʁmiʁ e mə ʁevεje pʁe də twa. ʒə vø pase mε ʒuʁnez- a tə ʁəɡaʁde, a tə kaʁese, a tə paʁle, a tekute. ʒεmə tu də twa, mεmə tɔ̃ movε kaʁaktεʁə e tɔ̃ kote sɔ̃bʁə. ʒεmə tɔ̃ kɔʁz- e tɔ̃n- amə. ʒə tεmə a la fɔli, ʒə tεmə kɔmə okœ̃ εtʁə ymɛ̃ na ʒamεz- εme. ʒε bəzwɛ̃ də twa, ʒε bəzwɛ̃ də tə sɑ̃tiʁ, ʒə sɥi maləʁøzə isi sɑ̃ twa, sa mə fε pləʁe dεtʁə lwɛ̃ də twa…
ʒə tεmə ty mə mɑ̃k, ʒə mə sɑ̃s sələ, sε tʁo dyʁə, ʒə sɥi kɔ̃plεtəmɑ̃ maladə sɑ̃ twa, twa səl puʁʁε mə ʁanime a la vi, ʒə mœʁ pəti a pəti… ʒə vudʁε metɛ̃dʁə puʁ nə plys sufʁiʁ də nə pa tə vwaʁ, ʒə sɥiz- œ̃ fɑ̃tomə isi a tuluzə, il ni a kə mɔ̃n- ɔ̃bʁə isi, ʒə nə kɔnε pεʁsɔnə, ʒə nε pa ynə sələ ami. ʒə vø tə pʁɑ̃dʁə, tɑ̃bʁase sɑ̃ ʁəlaʃə, nə plys ʒamε tə kite, nə plys ʒamε sufʁiʁ, tavwaʁ ʁjɛ̃ kə puʁ mwa tutə ma vi ʒyska mɔ̃ dεʁnje suflə, ʒɑ̃ pø plys, ʒə vudʁε tə sɑ̃tiʁ ɑ̃ mwa mɔ̃n- amuʁ, mɔ̃ ʃeʁi, mɔ̃n- εspwaʁ. ʒə tə-ε, ʒə tadɔʁə, ʒə tεmə, ʒə tə vø… ʒε ɑ̃vi də twa mɔ̃ ʃeʁi, ʒə tεmə, ʒə tεmə, ʒə tεmə tεllmɑ̃ fɔʁ ɑ̃ mwa. ʒə sɥiz- ynə fijə tʁistə isi, ʒə mə mœʁ, ʒə vjεji ʒuʁz- apʁε ʒuʁ, ʒə mə fanə, ʒə vø pləʁe tus lε swaʁz- e ɑ̃kɔʁə plys kɑ̃ ʒə ʁəsɛ̃ la sɔlitydə ɑ̃ fasə də mwa ki mə-ɑ̃tə, mε dʁa sɔ̃ fʁwaz- e ʒamε fʁwase. pεʁsɔnə nə vø kɔ̃ swa ɑ̃sɑ̃blə mεz- il ni a kə twa ki saʃə mə ʁədɔne ɡu a la vi e ki saʃə mə fεʁə ʁiʁə. pεʁsɔnə dotʁə kə twa pø mə fεʁə ʁiʁə, avεk lεz- otʁə- ʒə sɥi fʁwadə, distɑ̃tə e ɡlase. ʒə tɑ̃ pʁi, εmə mwa, apεllə mwa sinɔ̃ ʒε lɛ̃pʁesjɔ̃ kil ia ynə otʁə famə dɑ̃ tɔ̃ li ɑ̃ sə mɔmɑ̃ mεmə e sa mə ʁɑ̃ kɔ̃plεtəmɑ̃ fɔlə a lje paʁsə kə ʒə nə lə sypɔʁtəʁε pa. u ε ty, kə fε ty ? puʁkwa ty nə dekʁoʃə pa tɔ̃ telefɔnə, puʁkwa ty nə mapεllə pa ? fε ty sɑ̃blɑ̃ də mεme ? ʒεməʁε savwaʁ si ty mεmə vʁεmɑ̃, ʒə nə vø pa kə ty ʒuz- avεk mε sɑ̃timɑ̃ paʁsə kə səla mə tɥəʁε kə ty tə swa mɔke də mwa pɑ̃dɑ̃ katʁə ɑ̃, səla maneɑ̃tiʁε kɔ̃plεtəmɑ̃. ʒɑ̃ pø plys də deziʁ puʁ twa alɔʁ ʒekʁi sɑ̃ ʁəlaʃə mɛ̃tənɑ̃ kazime tus lε swaʁ puʁ puvwaʁ εkspʁime ma sufʁɑ̃sə də nə pa puvwaʁ tə tuʃe, tə kaʁese, tə pʁɑ̃dʁə, tuʃe tε pətitə fesə, ta kø lɔ̃ɡ e dyʁə, ta buʃə si deziʁablə kə ʒεmə tɑ̃, pεʁsɔnə o mɔ̃də nə pø tεme plys kə mwa ʒə tεmə. ʒə tεmə dœ̃n- amuʁ si fɔʁ kil mə bʁylə o plys pʁɔfɔ̃ də mɔ̃n- εtʁə. ʒε bəzwɛ̃ də tə vwaʁ, də ʃɑ̃te, də fεʁə lamuʁ, də tə pʁɑ̃dʁə sɑ̃ ʁəlaʃə, də vivʁə ɛ̃tɑ̃semɑ̃ e pasjɔnemɑ̃, kite sə mɔ̃də teʁjɛ̃ u lɔ̃ sufʁə tus dø puʁ sɑ̃vɔle dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də aeʁjɛ̃ fε də mεʁ, də kɔkɔ̃, œ̃ mɔ̃də leʒe u twa e mwa ɔ̃n- oʁε dʁwa o bɔnœʁ, ʒɑ̃ pø plys kɔ̃ nuz- ɛ̃tεʁdizə dεtʁə œʁøz- isi ba… ʒə suεtəʁε fεʁə ma vi avεk twa…

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Commentaire poème
25/04/2024Poeme-France
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Prose Amour
Du 24/10/2012 00:23

L'écrit contient 2539 mots qui sont répartis dans 2 strophes.