Poème:Finir À Poil
Le Poème
Le vent a volé mon chapeau
Mais à quoi peut-il lui servir ?
Craint-il un vent plus fort, plus gros ?
Commençant à me dégarnir,
Je ne l’avais pas par caprice.
C’était pour que reste à l’abri
Mon crâne de plus en plus lisse
Et éviter l’hypothermie.
Un bandit a pris mon foulard
Pour attaquer des diligences.
Je risque maintenant le catharre,
Les crachats pleins de purulence,
La morve coulante, les glaires noires
En plus de cette foutue cyrrhose.
Je ne peux pas lui en vouloir,
Après tout c’est pour une bonne cause.
Un clochard a pris mon blouson
Pour avoir moins froid en hiver.
Pour se protéger des flocons,
Des icebergs et des congères.
Derrière, j’avais écrit « acab »,
C’est ma façon de dire bonjour.
Pas sûr que ce mot dissyllabe
Le fasse apprécier par les bourres.
Un boxeur a pris ma chemise
Pour dissimuler ses nichons
Dont les rondeurs sont trop exquises
Quand on veut devenir champion.
Sur le ring, tous ses adversaires
Les regardaient, concupiscents.
Ces protubérances mammaires
Ne siéent pas à un combattant.
Un soldat a pris mes chaussures
Pour aller plus vite à la guerre,
Gagner dans des combats obscurs,
De jolies médailles militaires.
Il était impatient, Malbrough,
D’utiliser sa baïonnette,
Et de la planter avec fougue
Ailleurs que dans une marionnette.
Un Inuit a pris mes chaussettes
Pour s’en faire des capotes en laine,
Se garder au chaud la zézette
Quand, dans l’alcôve, il se démène.
Il faut avouer qu’au Pôle Nord,
On a souvent les lèvres gercées
Et si, dedans, c’est l’athanor,
Il y a des stalactites à l’entrée.
Un moine a pris mon pantalon
Pour moins paraître féminin.
Porter la robe ou le jupon,
Il faut avouer que ça craint
Quand les hormones vous travaillent
Et qu’on voudrait courir la gueuse
Pour se changer de la marmaille
A l’inexpérience ennuyeuse.
Un écossais a pris mon slip
Pour faire cesser les cancans
Et que les doutes se dissipent
Sur ce qu’il porte sous son tartan.
Je peux comprendre sans admettre
Que toutes ces questions le fatiguent
Mais dans la nudité me mettre,
C’est un outrage fait à mézigue.
Un poète qui cherchait ses mots,
A pris la fin de mon histoire
Tout juste avant que les perdreaux,
Ne découvrent mes génitoires
Si belles, en toute modestie
Qu’ils auraient pu en prendre ombrage,
Et que par pure jalousie
Ils ne m’enferment dans une cage.
Du coup, il n’y a pas de chute
Et le lecteur perdra son temps.
C’eût été mieux d’aller aux putes
Même si ça coûte de l’argent.
Mais il y a une moralité
Que je vous livre, condescendant :
Faut jamais se précipiter
Pour lire un truc sur son écran.
Mais à quoi peut-il lui servir ?
Craint-il un vent plus fort, plus gros ?
Commençant à me dégarnir,
Je ne l’avais pas par caprice.
C’était pour que reste à l’abri
Mon crâne de plus en plus lisse
Et éviter l’hypothermie.
Un bandit a pris mon foulard
Pour attaquer des diligences.
Je risque maintenant le catharre,
Les crachats pleins de purulence,
La morve coulante, les glaires noires
En plus de cette foutue cyrrhose.
Je ne peux pas lui en vouloir,
Après tout c’est pour une bonne cause.
Un clochard a pris mon blouson
Pour avoir moins froid en hiver.
Pour se protéger des flocons,
Des icebergs et des congères.
Derrière, j’avais écrit « acab »,
C’est ma façon de dire bonjour.
Pas sûr que ce mot dissyllabe
Le fasse apprécier par les bourres.
Un boxeur a pris ma chemise
Pour dissimuler ses nichons
Dont les rondeurs sont trop exquises
Quand on veut devenir champion.
Sur le ring, tous ses adversaires
Les regardaient, concupiscents.
Ces protubérances mammaires
Ne siéent pas à un combattant.
Un soldat a pris mes chaussures
Pour aller plus vite à la guerre,
Gagner dans des combats obscurs,
De jolies médailles militaires.
Il était impatient, Malbrough,
D’utiliser sa baïonnette,
Et de la planter avec fougue
Ailleurs que dans une marionnette.
Un Inuit a pris mes chaussettes
Pour s’en faire des capotes en laine,
Se garder au chaud la zézette
Quand, dans l’alcôve, il se démène.
Il faut avouer qu’au Pôle Nord,
On a souvent les lèvres gercées
Et si, dedans, c’est l’athanor,
Il y a des stalactites à l’entrée.
Un moine a pris mon pantalon
Pour moins paraître féminin.
Porter la robe ou le jupon,
Il faut avouer que ça craint
Quand les hormones vous travaillent
Et qu’on voudrait courir la gueuse
Pour se changer de la marmaille
A l’inexpérience ennuyeuse.
Un écossais a pris mon slip
Pour faire cesser les cancans
Et que les doutes se dissipent
Sur ce qu’il porte sous son tartan.
Je peux comprendre sans admettre
Que toutes ces questions le fatiguent
Mais dans la nudité me mettre,
C’est un outrage fait à mézigue.
Un poète qui cherchait ses mots,
A pris la fin de mon histoire
Tout juste avant que les perdreaux,
Ne découvrent mes génitoires
Si belles, en toute modestie
Qu’ils auraient pu en prendre ombrage,
Et que par pure jalousie
Ils ne m’enferment dans une cage.
Du coup, il n’y a pas de chute
Et le lecteur perdra son temps.
C’eût été mieux d’aller aux putes
Même si ça coûte de l’argent.
Mais il y a une moralité
Que je vous livre, condescendant :
Faut jamais se précipiter
Pour lire un truc sur son écran.
Poète Chacal
Chacal a publié sur le site 31 écrits. Chacal est membre du site depuis l'année 2025.Lire le profil du poète ChacalSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Finir À Poil
le=vent=a=vo=lé=mon=cha=peau 8mais=à=quoi=peut=til=lui=ser=vir 8
craint=til=un=vent=plus=fort=plus=gros 8
com=men=çant=à=me=dé=gar=nir 8
je=ne=la=vais=pas=par=ca=price 8
cé=tait=pour=que=res=teà=la=bri 8
mon=crâ=ne=de=plus=en=plus=lisse 8
et=é=vi=ter=lhy=po=ther=mie 8
un=ban=dit=a=pris=mon=fou=lard 8
pour=at=ta=quer=des=di=li=gences 8
je=ris=que=mainte=nant=le=ca=thar=re 9
les=cra=chats=pleins=de=pu=ru=lence 8
la=morve=cou=lante=les=glai=res=noires 8
en=plus=de=cette=fou=tue=cyr=rhose 8
je=ne=peux=pas=lui=en=vou=loir 8
après=tout=cest=pour=une=bon=ne=cause 8
un=clo=chard=a=pris=mon=blou=son 8
pour=a=voir=moins=froid=en=hi=ver 8
pour=se=pro=té=ger=des=flo=cons 8
des=i=ce=bergs=et=des=con=gères 8
der=rière=ja=vais=é=crit=a=cab 8
cest=ma=fa=çon=de=dire=bon=jour 8
pas=sûr=que=ce=mot=dis=syl=labe 8
le=fasse=ap=pré=cier=par=les=bourres 8
un=boxeur=a=pris=ma=che=mi=se 8
pour=dis=si=mu=ler=ses=ni=chons 8
dont=les=ron=deurs=sont=trop=ex=quises 8
quand=on=veut=de=ve=nir=cham=pion 8
sur=le=ring=tous=ses=ad=ver=saires 8
les=re=gar=daient=con=cu=pis=cents 8
ces=pro=tu=bé=ran=ces=mam=maires 8
ne=si=éent=pas=à=un=com=bat=tant 9
un=sol=dat=a=pris=mes=chaus=sures 8
pour=al=ler=plus=vite=à=la=guerre 8
ga=gner=dans=des=com=bats=obs=curs 8
de=jo=lies=mé=dailles=mi=li=taires 8
il=é=tait=im=pa=ti=ent=mal=brough 9
du=ti=li=ser=sa=baïon=net=te 8
et=de=la=plan=ter=a=vec=fougue 8
ail=leurs=que=dans=une=ma=rion=nette 8
un=i=nuit=a=pris=mes=chaus=settes 8
pour=sen=faire=des=ca=potes=en=laine 8
se=gar=der=au=chaud=la=zé=zette 8
quand=dans=lal=côve=il=se=dé=mène 8
il=faut=a=vouer=quau=pô=le=nord 8
on=a=souvent=les=lè=vres=ger=cées 8
et=si=de=dans=cest=la=tha=nor 8
il=y=a=des=sta=lac=tites=à=len=trée 10
un=moine=a=pris=mon=pan=ta=lon 8
pour=moins=pa=raî=tre=fé=mi=nin 8
por=ter=la=robe=ou=le=ju=pon 8
il=faut=a=vou=er=que=ça=craint 8
quand=les=hor=mones=vous=tra=vail=lent 8
et=quon=vou=drait=cou=rir=la=gueuse 8
pour=se=chan=ger=de=la=mar=maille 8
a=li=nex=pé=rien=ce=en=nuyeuse 8
un=é=cos=sais=a=pris=mon=s=lip 9
pour=fai=re=ces=ser=les=can=cans 8
et=que=les=dou=tes=se=dis=sipent 8
sur=ce=quil=porte=sous=son=tar=tan 8
je=peux=com=pren=dre=sans=ad=mettre 8
que=toutes=ces=ques=tions=le=fa=tiguent 8
mais=dans=la=nu=di=té=me=mettre 8
cest=un=ou=trage=fait=à=mé=zigue 8
un=po=ète=qui=cher=chait=ses=mots 8
a=pris=la=fin=de=mon=his=toire 8
tout=jus=tea=vant=que=les=per=dreaux 8
ne=dé=cou=vrent=mes=gé=ni=toires 8
si=bel=les=en=toute=mo=des=tie 8
quils=au=raient=pu=en=prendre=om=brage 8
et=que=par=pu=re=ja=lou=sie 8
ils=ne=men=ferment=dans=u=ne=cage 8
du=coup=il=ny=a=pas=de=chute 8
et=le=lec=teur=per=dra=son=temps 8
ceût=é=té=mieux=dal=ler=aux=putes 8
mê=me=si=ça=coû=te=de=largent 8
mais=il=y=a=une=mo=ra=li=té 9
que=je=vous=livre=con=des=cen=dant 8
faut=ja=mais=se=pré=ci=pi=ter 8
pour=lire=un=truc=sur=son=é=cran 8
Phonétique : Finir À Poil
lə vɑ̃ a vɔle mɔ̃ ʃapomεz- a kwa pø til lɥi sεʁviʁ ?
kʁɛ̃ til œ̃ vɑ̃ plys fɔʁ, plys ɡʁo ?
kɔmɑ̃sɑ̃ a mə deɡaʁniʁ,
ʒə nə lavε pa paʁ kapʁisə.
setε puʁ kə ʁεstə a labʁi
mɔ̃ kʁanə də plysz- ɑ̃ plys lisə
e evite lipɔtεʁmi.
œ̃ bɑ̃di a pʁi mɔ̃ fulaʁ
puʁ atake dε diliʒɑ̃sə.
ʒə ʁiskə mɛ̃tənɑ̃ lə kataʁə,
lε kʁaʃa plɛ̃ də pyʁylɑ̃sə,
la mɔʁvə kulɑ̃tə, lε ɡlεʁə nwaʁə
ɑ̃ plys də sεtə futɥ siʁozə.
ʒə nə pø pa lɥi ɑ̃ vulwaʁ,
apʁε tu sε puʁ ynə bɔnə kozə.
œ̃ kloʃaʁ a pʁi mɔ̃ bluzɔ̃
puʁ avwaʁ mwɛ̃ fʁwa ɑ̃n- ivεʁ.
puʁ sə pʁɔteʒe dε flɔkɔ̃,
dεz- isəbεʁɡz- e dε kɔ̃ʒεʁə.
dəʁjεʁə, ʒavεz- ekʁit « akab »,
sε ma fasɔ̃ də diʁə bɔ̃ʒuʁ.
pa syʁ kə sə mo disilabə
lə fasə apʁesje paʁ lε buʁʁə.
œ̃ bɔksœʁ a pʁi ma ʃəmizə
puʁ disimyle sε niʃɔ̃
dɔ̃ lε ʁɔ̃dœʁ sɔ̃ tʁo εkskizə
kɑ̃t- ɔ̃ vø dəvəniʁ ʃɑ̃pjɔ̃.
syʁ lə ʁiŋ, tus sεz- advεʁsεʁə
lε ʁəɡaʁdε, kɔ̃kypisɑ̃.
sε pʁɔtybeʁɑ̃sə mamεʁə
nə sjee pa a œ̃ kɔ̃batɑ̃.
œ̃ sɔlda a pʁi mε ʃosyʁə
puʁ ale plys vitə a la ɡeʁə,
ɡaɲe dɑ̃ dε kɔ̃baz- ɔpskyʁ,
də ʒɔli medajə militεʁə.
il etε ɛ̃pasjɑ̃, malbʁuɡ,
dytilize sa bajɔnεtə,
e də la plɑ̃te avεk fuɡ
ajœʁ kə dɑ̃z- ynə maʁjɔnεtə.
œ̃n- inɥi a pʁi mε ʃosεtə
puʁ sɑ̃ fεʁə dε kapɔtəz- ɑ̃ lεnə,
sə ɡaʁde o ʃo la zezεtə
kɑ̃, dɑ̃ lalkovə, il sə demεnə.
il fo avue ko polə nɔʁ,
ɔ̃n- a suvɑ̃ lε lεvʁə- ʒεʁse
e si, dədɑ̃, sε latanɔʁ,
il i a dε stalaktitəz- a lɑ̃tʁe.
œ̃ mwanə a pʁi mɔ̃ pɑ̃talɔ̃
puʁ mwɛ̃ paʁεtʁə feminɛ̃.
pɔʁte la ʁɔbə u lə ʒypɔ̃,
il fo avue kə sa kʁɛ̃
kɑ̃ lεz- ɔʁmɔnə vu tʁavaje
e kɔ̃ vudʁε kuʁiʁ la ɡøzə
puʁ sə ʃɑ̃ʒe də la maʁmajə
a linεkspeʁjɑ̃sə ɑ̃nyiøzə.
œ̃n- ekɔsεz- a pʁi mɔ̃ slip
puʁ fεʁə sese lε kɑ̃kɑ̃
e kə lε dutə sə disipe
syʁ sə kil pɔʁtə su sɔ̃ taʁtɑ̃.
ʒə pø kɔ̃pʁɑ̃dʁə sɑ̃z- admεtʁə
kə tutə sε kεstjɔ̃ lə fatiɡe
mε dɑ̃ la nydite mə mεtʁə,
sεt- œ̃n- utʁaʒə fε a meziɡ.
œ̃ pɔεtə ki ʃεʁʃε sε mo,
a pʁi la fɛ̃ də mɔ̃n- istwaʁə
tu ʒystə avɑ̃ kə lε pεʁdʁo,
nə dekuvʁe mε ʒenitwaʁə
si bεllə, ɑ̃ tutə mɔdεsti
kilz- oʁε py ɑ̃ pʁɑ̃dʁə ɔ̃bʁaʒə,
e kə paʁ pyʁə ʒaluzi
il nə mɑ̃fεʁme dɑ̃z- ynə kaʒə.
dy ku, il ni a pa də ʃytə
e lə lεktœʁ pεʁdʁa sɔ̃ tɑ̃.
sy ete mjø dale o pytə
mεmə si sa kutə də laʁʒe.
mεz- il i a ynə mɔʁalite
kə ʒə vu livʁə, kɔ̃desɑ̃dɑ̃ :
fo ʒamε sə pʁesipite
puʁ liʁə œ̃ tʁyk syʁ sɔ̃n- ekʁɑ̃.
Syllabes Phonétique : Finir À Poil
lə=vɑ̃=a=vɔ=le=mɔ̃=ʃa=po 8mε=za=kwa=pø=til=lɥi=sεʁ=viʁ 8
kʁɛ̃=til=œ̃=vɑ̃=plys=fɔʁ=plys=ɡʁo 8
kɔ=mɑ̃=sɑ̃=a=mə=de=ɡaʁ=niʁ 8
ʒə=nə=la=vε=pa=paʁ=ka=pʁisə 8
se=tε=puʁkə=ʁεs=tə=a=la=bʁi 8
mɔ̃=kʁa=nə=də=plys=zɑ̃=plys=lisə 8
e=e=vi=te=li=pɔ=tεʁ=mi 8
œ̃=bɑ̃=di=a=pʁi=mɔ̃=fu=laʁ 8
puʁ=a=ta=ke=dε=di=li=ʒɑ̃sə 8
ʒə=ʁis=kə=mɛ̃tə=nɑ̃=lə=ka=taʁə 8
lε=kʁa=ʃa=plɛ̃=də=py=ʁy=lɑ̃sə 8
lamɔʁvə=ku=lɑ̃=tə=lε=ɡlε=ʁə=nwaʁə 8
ɑ̃=plys=də=sε=tə=futɥ=si=ʁozə 8
ʒə=nə=pø=pa=lɥi=ɑ̃=vu=lwaʁ 8
a=pʁε=tu=sε=puʁynə=bɔ=nə=kozə 8
œ̃=klo=ʃaʁ=a=pʁi=mɔ̃=blu=zɔ̃ 8
puʁ=a=vwaʁ=mwɛ̃=fʁwa=ɑ̃=ni=vεʁ 8
puʁ=sə=pʁɔ=te=ʒe=dε=flɔ=kɔ̃ 8
dε=zi=sə=bεʁ=ɡze=dε=kɔ̃=ʒεʁə 8
də=ʁjεʁə=ʒa=vε=ze=kʁit=a=kab 8
sε=ma=fa=sɔ̃də=di=ʁə=bɔ̃=ʒuʁ 8
pa=syʁ=kə=sə=mo=di=si=labə 8
lə=fasə=a=pʁe=sje=paʁ=lε=buʁʁə 8
œ̃=bɔk=sœʁ=a=pʁi=ma=ʃə=mizə 8
puʁ=di=si=my=le=sε=ni=ʃɔ̃ 8
dɔ̃=lε=ʁɔ̃=dœʁ=sɔ̃=tʁo=εk=skizə 8
kɑ̃=tɔ̃=vø=də=və=niʁ=ʃɑ̃=pjɔ̃ 8
syʁ=lə=ʁiŋ=tus=sε=zad=vεʁ=sεʁə 8
lε=ʁə=ɡaʁ=dε=kɔ̃=ky=pi=sɑ̃ 8
sε=pʁɔ=ty=be=ʁɑ̃=sə=ma=mεʁə 8
nə=sje=e=pa=a=œ̃=kɔ̃=ba=tɑ̃ 9
œ̃=sɔl=da=a=pʁi=mε=ʃo=syʁə 8
puʁ=a=le=plys=vitə=a=la=ɡeʁə 8
ɡa=ɲe=dɑ̃=dε=kɔ̃=ba=zɔp=skyʁ 8
də=ʒɔ=li=me=da=jə=mi=litεʁə 8
il=e=tε=ɛ̃=pa=sjɑ̃=mal=bʁuɡ 8
dy=ti=li=ze=sa=ba=jɔ=nεtə 8
e=də=la=plɑ̃=te=a=vεk=fuɡ 8
a=jœʁ=kə=dɑ̃=zynə=ma=ʁjɔ=nεtə 8
œ̃=nin=ɥi=a=pʁi=mε=ʃo=sεtə 8
puʁ=sɑ̃=fεʁə=dε=ka=pɔ=tə=zɑ̃lεnə 8
sə=ɡaʁ=de=o=ʃo=la=ze=zεtə 8
kɑ̃=dɑ̃=lal=kovə=il=sə=de=mεnə 8
il=fo=a=vu=e=ko=polə=nɔʁ 8
ɔ̃=na=su=vɑ̃=lε=lε=vʁə=ʒεʁse 8
e=si=də=dɑ̃=sε=la=ta=nɔʁ 8
il=i=a=dε=sta=lak=titə=za=lɑ̃=tʁe 10
œ̃=mwanə=a=pʁi=mɔ̃=pɑ̃=ta=lɔ̃ 8
puʁ=mwɛ̃=pa=ʁε=tʁə=fe=mi=nɛ̃ 8
pɔʁ=te=la=ʁɔbə=u=lə=ʒy=pɔ̃ 8
il=fo=a=vu=e=kə=sa=kʁɛ̃ 8
kɑ̃=lε=zɔʁ=mɔnə=vu=tʁa=va=je 8
e=kɔ̃=vu=dʁε=ku=ʁiʁ=la=ɡøzə 8
puʁ=sə=ʃɑ̃=ʒe=də=la=maʁ=majə 8
a=li=nεk=spe=ʁjɑ̃sə=ɑ̃=ny=iøzə 8
œ̃=ne=kɔ=sε=za=pʁi=mɔ̃=slip 8
puʁ=fε=ʁə=se=se=lε=kɑ̃=kɑ̃ 8
e=kə=lε=dutə=sə=di=si=pe 8
syʁ=sə=kil=pɔʁtə=su=sɔ̃=taʁ=tɑ̃ 8
ʒə=pø=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=sɑ̃=zad=mεtʁə 8
kə=tutə=sε=kεs=tjɔ̃lə=fa=ti=ɡe 8
mε=dɑ̃=la=ny=di=te=mə=mεtʁə 8
sε=tœ̃=nu=tʁaʒə=fε=a=me=ziɡ 8
œ̃=pɔ=εtə=ki=ʃεʁ=ʃε=sε=mo 8
a=pʁi=la=fɛ̃=də=mɔ̃=nis=twaʁə 8
tu=ʒys=tə=a=vɑ̃kə=lε=pεʁ=dʁo 8
nə=de=ku=vʁe=mε=ʒe=ni=twaʁə 8
si=bεl=lə=ɑ̃=tutə=mɔ=dεs=ti 8
kil=zo=ʁε=py=ɑ̃=pʁɑ̃dʁə=ɔ̃=bʁaʒə 8
e=kə=paʁ=py=ʁə=ʒa=lu=zi 8
il=nə=mɑ̃=fεʁ=me=dɑ̃=zynə=kaʒə 8
dy=ku=il=ni=a=pa=də=ʃytə 8
e=lə=lεk=tœʁ=pεʁ=dʁa=sɔ̃=tɑ̃ 8
sy=e=te=mjø=da=le=o=pytə 8
mεmə=si=sa=ku=tə=də=laʁ=ʒe 8
mε=zil=i=aynə=mɔ=ʁa=li=te 8
kə=ʒə=vu=livʁə=kɔ̃=de=sɑ̃=dɑ̃ 8
fo=ʒa=mε=sə=pʁe=si=pi=te 8
puʁ=liʁə=œ̃=tʁyk=syʁ=sɔ̃=ne=kʁɑ̃ 8
Récompense
Poesie sans commentaire
13/12/2025Poeme-France
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Poème Absurde
Du 12/12/2025 17:07
L'écrit contient 471 mots qui sont répartis dans 10 strophes. Toutes les strophes sont composés de 8 vers.