Univers de poésie d'un auteur

Prose:Chez Gray

La Prose

Beaucoup étaient envieux, j’étais invité chez Gray. Je n’étais qu’un modeste poète, une petite gloire m’entourait depuis la publication d’un de mes poèmes dans une revue littéraire, quelques critiques féroces avaient fortement appréciés mes vers. Ils me classaient dans la catégorie des poètes romantiques, un renouveau dans la poésie Victorienne.
Ma logeuse était très fière de ma petite célébrité, deux jours auparavant elle me traitait d’incapable, maugréait de ce locataire fauché comme les blés. Quand un matin un cocher m’apporta l’invitation, quand elle aperçut sur la lettre le cachet des Gray je devins pour cette honnête femme son petit trésor, elle me souriait, m’invitait à partager son thé de cinq heures. Toutes ses petites attentions me comblaient mais je savais qu’elles ne dureraient que le temps de ma petite gloire.
La brave femme m’offrit même un nouveau costume pour la soirée, elle murmurait pour elle même :
- « Mon dieu, ce jeune homme n’est point habillé, heureusement que je suis là pour l’habiller, mon petit trésor. Il va être tout beau pour Monsieur Gray »
Un fiacre m’attendait devant la maison, je quittais ma logeuse et fit signe au cocher de partir pour la maison des Gray. Nous filions dans les rues de la ville, je détestais les trajets en fiacre, on était secoué par les nids de poules, les pavées secouaient les passagers comme des sacs de marchandises. J’arrivais finalement devant la maison des Gray, descendis du fiacre et m’approcha du porche. Je sonnais quelques secondes, un majordome ouvrit la porte et me demanda mon invitation.
Je la lui tendis, il me fit signe d’entrer.
J’étais bien entré dans un autre monde, je me rendis compte en cet instant de la laideur de ma pauvre chambre. Au plafond des déesses, des cupidons voletaient dans des cieux azurs. Toutes les boiseries étaient acajous, des peintures de Rubens, de Turner se dévoilaient le long des murs. Je me croyais dans le plus grand musée du monde, Le Louvre ou le British Muséum. Les rares meubles étaient vernis, du bois les plus précieux. La parquet était laqué, je pouvais presque glisser dessus.
Je quittais un instant la contemplation des lieux pour regarder l’assemblée. Des homme d’âges mures allaient une coupe à la main, de jeunes demoiselles étaient à leurs bras. Leurs manières affables, langoureuses étaient la preuve irréfutable qu’elles n’étaient pas leurs filles. J’aperçus des femmes plus âgées, elles étaient accompagnées par de jeunes gens, ils riaient à toutes leurs plaisanteries, se courbaient élégamment pour être toujours à leurs hauteurs. Je devenais spectateur d’un étrange carrousel, d’un jeu étrange qui mêlait la séduction et le pouvoir.
Tout à coup le silence se fit, tous étaient immobiles comme des statues. D’un escalier majestueux je vis un homme descendre. Il devait avoir trente ans, son allure était celle d’un monarque. Ses cheveux étaient long et descendaient en cascade sur ses épaules. Je vis que son regard était froid, hautain. Il nous regardait comme le ferait un Dieu devant ses fidèles, ses lèvres se pinçaient comme si nous tous le dégoutions, comme si nous étions la lie de l’Humanité.
J’entendis une jeune fille murmurer à son cavalier :
- « Comme Gray est beau, nous ne sommes rien devant lui. »
L’homme retrouva un sourire artificiel en arrivant dans le salon, il serra les mains, embrassa les jeunes filles sur les lèvres, picoraient ici et là. Il arriva finalement à ma hauteur et j’entendis pour la première fois la voix de Gray. Je ne saurais vous dire comme elle était charmante, le Diable lui même ne pouvait être aussi charmant que notre hôte.
- « Je suis très heureux de votre visite cher ami, j’adore votre poésie. Je ne sais comment vous faire comprendre la beauté de vos mots, à votre lecture une immensité de sentiments a fait trembler mon âme. Après le diner je vais vous montrer quelque chose d’incroyable, un tableau qui va bouleverser tout votre art. »
Le diner était des plus ennuyeux, personne ne parlait. Ce n’était pas les repas que l’on découvrent dans les romans de Proust, pas de rires, ni d’anecdotes. Tous avaient le nez dans leurs assiettes. A la fin du repas, une jeune bonne remis à chacun une lettre bombée. Je vis un de mes voisins l’ouvrir, il fit une petite grimace, la liasse de billets était peu épaisse. D’autres en tâtant leurs enveloppes affichaient un sourire beat. La jeune femme passa devant moi sans me donner d’enveloppe. Je vis les invités quitter la maison en silence. Les jeunes filles montaient à l’étage vers la chambre de Gray. J’allais à mon tour partir quand Gray me rattrapa par le bras.
- « Vous n’allez pas nous quitter tout de suite, je vous ai promis la plus grande expérience, la vérité sur la vie et la mort. Après nous monterons à l’ étage, dans la luxure vous oublierez l’indicible. »

J’aurai du m’enfuir, prendre mes jambes à mon cou. Mais Gray m’entraina dans la maison, nous allions au plus profond de la demeure. Finalement après des dizaines de couloirs, de portes lourdes à ouvrir, nous arrivâmes dans une petite pièce. Elle était vide, sans meuble seul un tableau recouvert d’un rideau rouge écarlate trônait sur le mur du fond.
- « Vous savez mon ami, je suis bien plus vieux que vous tous, mais je suis toujours aussi beau, aussi envoutant que dans mes trente ans. Venez prés de moi, votre poésie a été la plus grande découverte depuis ce siècles d’ennuis, dans vos vers majestueux j’ai reconnu un frère. Pour vous je vais tirer le rideau, vous montrer l’indicible. »
Gray tira le rideau, et j’aperçus le portrait de gray, il n’était que pourriture, qu’immondices. Sa peau était celle d’un vieillard, ses dents étaient noirs, ses yeux avaient la couleur des feux de l’Enfer.
- « Oui mon ami, je suis immortelle, mon corps réelle est sur ce tableau. Je vais t’offrir un cadeau merveilleux, le sorcier qui a fait mon tableau va faire le tien, tu seras mon compagnon dans l’éternité, je t’ai choisi. »
Gray posa se lèvres sur les miennes, je sentis un gout de pourriture dans ma bouche mais je liais ma langue à la sienne. Nous continuâmes la nuit à l’étage nous partageant les demoiselles. Voilà le peintre vient de finir mon portrait, Gray va l’accrocher prés du sien, recouvert d’un velours vert…

fin
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Poeme de Coburitc

Poète Coburitc

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Syllabation De L'Écrit

Phonétique : Chez Grayboku etε ɑ̃vjø, ʒetεz- ɛ̃vite ʃe ɡʁε. ʒə netε kœ̃ mɔdεstə pɔεtə, ynə pətitə ɡlwaʁə mɑ̃tuʁε dəpɥi la pyblikasjɔ̃ dœ̃ də mε pɔεmə dɑ̃z- ynə ʁəvɥ liteʁεʁə, kεlk kʁitik feʁɔsəz- avε fɔʁtəmɑ̃ apʁesje mε vεʁ. il mə klasε dɑ̃ la kateɡɔʁi dε pɔεtə ʁɔmɑ̃tik, œ̃ ʁənuvo dɑ̃ la pɔezi viktɔʁjεnə.
ma lɔʒøzə etε tʁε fjεʁə də ma pətitə selebʁite, dø ʒuʁz- opaʁavɑ̃ εllə mə tʁεtε dɛ̃kapablə, moɡʁeε də sə lɔkatεʁə foʃe kɔmə lε ble. kɑ̃t- œ̃ matɛ̃ œ̃ koʃe mapɔʁta lɛ̃vitasjɔ̃, kɑ̃t- εllə apεʁsy syʁ la lεtʁə lə kaʃε dε ɡʁε ʒə dəvɛ̃ puʁ sεtə ɔnεtə famə sɔ̃ pəti tʁezɔʁ, εllə mə suʁjε, mɛ̃vitε a paʁtaʒe sɔ̃ te də sɛ̃k œʁ. tutə sε pətitəz- atɑ̃sjɔ̃ mə kɔ̃blε mε ʒə savε kεllə nə dyʁəʁε kə lə tɑ̃ də ma pətitə ɡlwaʁə.
la bʁavə famə mɔfʁi mεmə œ̃ nuvo kɔstymə puʁ la swaʁe, εllə myʁmyʁε puʁ εllə mεmə :
« mɔ̃ djø, sə ʒənə ɔmə nε pwɛ̃-abije, œʁøzəmɑ̃ kə ʒə sɥi la puʁ labije, mɔ̃ pəti tʁezɔʁ. il va εtʁə tu bo puʁ məsjø ɡʁεj »
œ̃ fjakʁə matɑ̃dε dəvɑ̃ la mεzɔ̃, ʒə kitε ma lɔʒøzə e fi siɲə o koʃe də paʁtiʁ puʁ la mεzɔ̃ dε ɡʁε. nu filjɔ̃ dɑ̃ lε ʁy də la vilə, ʒə detεstε lε tʁaʒεz- ɑ̃ fjakʁə, ɔ̃n- etε səkue paʁ lε nid də pulə, lε pave səkuε lε pasaʒe kɔmə dε sak də maʁʃɑ̃dizə. ʒaʁivε finaləmɑ̃ dəvɑ̃ la mεzɔ̃ dε ɡʁε, desɑ̃di dy fjakʁə e mapʁoʃa dy pɔʁʃə. ʒə sɔnε kεlk səɡɔ̃də, œ̃ maʒɔʁdɔmə uvʁi la pɔʁtə e mə dəmɑ̃da mɔ̃n- ɛ̃vitasjɔ̃.
ʒə la lɥi tɑ̃di, il mə fi siɲə dɑ̃tʁe.
ʒetε bjɛ̃ ɑ̃tʁe dɑ̃z- œ̃n- otʁə mɔ̃də, ʒə mə ʁɑ̃di kɔ̃tə ɑ̃ sεt ɛ̃stɑ̃ də la lεdœʁ də ma povʁə ʃɑ̃bʁə. o plafɔ̃ dε deesə, dε kypidɔ̃ vɔlətε dɑ̃ dε sjøz- azyʁ. tutə lε bwazəʁiz- etε akaʒus, dε pɛ̃tyʁə də ʁybɛ̃, də tyʁne sə devwalε lə lɔ̃ dε myʁ. ʒə mə kʁwajε dɑ̃ lə plys ɡʁɑ̃ myze dy mɔ̃də, lə luvʁə u lə bʁitiʃ myzeɔm. lε ʁaʁə məbləz- etε vεʁni, dy bwa lε plys pʁesjø. la paʁkε etε lake, ʒə puvε pʁεskə ɡlise dəsy.
ʒə kitεz- œ̃n- ɛ̃stɑ̃ la kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ dε ljø puʁ ʁəɡaʁde lasɑ̃ble. dεz- ɔmə daʒə myʁəz- alε ynə kupə a la mɛ̃, də ʒənə dəmwazεlləz- etε a lœʁ bʁa. lœʁ manjεʁəz- afablə, lɑ̃ɡuʁøzəz- etε la pʁəvə iʁefytablə kεllə netε pa lœʁ fijə. ʒapεʁsys dε famə plysz- aʒe, εlləz- etε akɔ̃paɲe paʁ də ʒənə ʒɑ̃, il ʁjε a tutə lœʁ plεzɑ̃təʁi, sə kuʁbε eleɡamɑ̃ puʁ εtʁə tuʒuʁz- a lœʁ-otœʁ. ʒə dəvənε spεktatœʁ dœ̃n- etʁɑ̃ʒə kaʁuzεl, dœ̃ ʒø etʁɑ̃ʒə ki mεlε la sedyksjɔ̃ e lə puvwaʁ.
tut- a ku lə silɑ̃sə sə fi, tusz- etε imɔbilə kɔmə dε statɥ. dœ̃n- εskalje maʒεstɥø ʒə vis œ̃n- ɔmə desɑ̃dʁə. il dəvε avwaʁ tʁɑ̃tə ɑ̃, sɔ̃n- alyʁə etε sεllə dœ̃ mɔnaʁkə. sε ʃəvøz- etε lɔ̃ e desɑ̃dε ɑ̃ kaskadə syʁ sεz- epolə. ʒə vis kə sɔ̃ ʁəɡaʁ etε fʁwa, otɛ̃. il nu ʁəɡaʁdε kɔmə lə fəʁε œ̃ djø dəvɑ̃ sε fidεlə, sε lεvʁə- sə pɛ̃sε kɔmə si nu tus lə deɡusjɔ̃, kɔmə si nuz- esjɔ̃ la li də lymanite.
ʒɑ̃tɑ̃diz- ynə ʒənə fijə myʁmyʁe a sɔ̃ kavalje :
« kɔmə ɡʁε ε bo, nu nə sɔmə ʁjɛ̃ dəvɑ̃ lɥi. »
lɔmə ʁətʁuva œ̃ suʁiʁə aʁtifisjεl ɑ̃n- aʁivɑ̃ dɑ̃ lə salɔ̃, il seʁa lε mɛ̃, ɑ̃bʁasa lε ʒənə fijə syʁ lε lεvʁə, pikɔʁε isi e la. il aʁiva finaləmɑ̃ a ma-otœʁ e ʒɑ̃tɑ̃di puʁ la pʁəmjεʁə fwa la vwa də ɡʁε. ʒə nə soʁε vu diʁə kɔmə εllə etε ʃaʁmɑ̃tə, lə djablə lɥi mεmə nə puvε εtʁə osi ʃaʁmɑ̃ kə nɔtʁə otə.
« ʒə sɥi tʁεz- œʁø də vɔtʁə vizitə ʃεʁ ami, ʒadɔʁə vɔtʁə pɔezi. ʒə nə sε kɔmɑ̃ vu fεʁə kɔ̃pʁɑ̃dʁə la bote də vo mo, a vɔtʁə lεktyʁə ynə imɑ̃site də sɑ̃timɑ̃z- a fε tʁɑ̃ble mɔ̃n- amə. apʁε lə dine ʒə vε vu mɔ̃tʁe kεlkə ʃozə dɛ̃kʁwajablə, œ̃ tablo ki va buləvεʁse tu vɔtʁə aʁ. »
lə dine etε dε plysz- ɑ̃nyiø, pεʁsɔnə nə paʁlε. sə netε pa lε ʁəpa kə lɔ̃ dekuvʁe dɑ̃ lε ʁɔmɑ̃ də pʁust, pa də ʁiʁə, ni danεkdɔtə. tusz- avε lə ne dɑ̃ lœʁz- asjεtə. a la fɛ̃ dy ʁəpa, ynə ʒənə bɔnə ʁəmiz- a ʃakœ̃ ynə lεtʁə bɔ̃be. ʒə vis œ̃ də mε vwazɛ̃ luvʁiʁ, il fi ynə pətitə ɡʁimasə, la ljasə də bijεz- etε pø epεsə. dotʁəz- ɑ̃ tatɑ̃ lœʁz- ɑ̃vəlɔpəz- afiʃε œ̃ suʁiʁə bəa. la ʒənə famə pasa dəvɑ̃ mwa sɑ̃ mə dɔne dɑ̃vəlɔpə. ʒə vis lεz- ɛ̃vite kite la mεzɔ̃ ɑ̃ silɑ̃sə. lε ʒənə fijə mɔ̃tε a letaʒə vεʁ la ʃɑ̃bʁə də ɡʁε. ʒalεz- a mɔ̃ tuʁ paʁtiʁ kɑ̃ ɡʁε mə ʁatʁapa paʁ lə bʁa.
« vus nale pa nu kite tu də sɥitə, ʒə vuz- ε pʁɔmi la plys ɡʁɑ̃də εkspeʁjɑ̃sə, la veʁite syʁ la vi e la mɔʁ. apʁε nu mɔ̃təʁɔ̃z- a letaʒə, dɑ̃ la lyksyʁə vuz- ubljəʁe lɛ̃disiblə. »

ʒoʁε dy mɑ̃fɥiʁ, pʁɑ̃dʁə mε ʒɑ̃bəz- a mɔ̃ ku. mε ɡʁε mɑ̃tʁεna dɑ̃ la mεzɔ̃, nuz- aljɔ̃z- o plys pʁɔfɔ̃ də la dəməʁə. finaləmɑ̃ apʁε dε dizεnə də kulwaʁ, də pɔʁtə- luʁdəz- a uvʁiʁ, nuz- aʁivamə dɑ̃z- ynə pətitə pjεsə. εllə etε vidə, sɑ̃ məblə səl œ̃ tablo ʁəkuvεʁ dœ̃ ʁido ʁuʒə ekaʁlatə tʁonε syʁ lə myʁ dy fɔ̃.
« vus save mɔ̃n- ami, ʒə sɥi bjɛ̃ plys vjø kə vu tus, mε ʒə sɥi tuʒuʁz- osi bo, osi ɑ̃vutɑ̃ kə dɑ̃ mε tʁɑ̃tə ɑ̃. vəne pʁe də mwa, vɔtʁə pɔezi a ete la plys ɡʁɑ̃də dekuvεʁtə dəpɥi sə sjεklə dɑ̃nɥi, dɑ̃ vo vεʁ maʒεstɥø ʒε ʁəkɔny œ̃ fʁεʁə. puʁ vu ʒə vε tiʁe lə ʁido, vu mɔ̃tʁe lɛ̃disiblə. »
ɡʁε tiʁa lə ʁido, e ʒapεʁsys lə pɔʁtʁε də ɡʁε, il netε kə puʁʁityʁə, kimɔ̃disə. sa po etε sεllə dœ̃ vjεjaʁ, sε dɑ̃z- etε nwaʁ, sεz- iøz- avε la kulœʁ dε fø də lɑ̃fe.
« ui mɔ̃n- ami, ʒə sɥiz- imɔʁtεllə, mɔ̃ kɔʁ ʁeεllə ε syʁ sə tablo. ʒə vε tɔfʁiʁ œ̃ kado mεʁvεjø, lə sɔʁsje ki a fε mɔ̃ tablo va fεʁə lə tjɛ̃, ty səʁa mɔ̃ kɔ̃paɲɔ̃ dɑ̃ letεʁnite, ʒə tε ʃwazi. »
ɡʁε poza sə lεvʁə- syʁ lε mjεnə, ʒə sɑ̃tiz- œ̃ ɡu də puʁʁityʁə dɑ̃ ma buʃə mε ʒə ljε ma lɑ̃ɡ a la sjεnə. nu kɔ̃tinyamə la nɥi a letaʒə nu paʁtaʒɑ̃ lε dəmwazεllə. vwala lə pɛ̃tʁə vjɛ̃ də finiʁ mɔ̃ pɔʁtʁε, ɡʁε va lakʁoʃe pʁe dy sjɛ̃, ʁəkuvεʁ dœ̃ vəluʁ vεʁ…

fɛ̃

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
05/06/2015 10:52Nouga

une belle histoire
bravo bel ecrit

Auteur de Poésie
05/06/2015 13:22Coco-Nini

Alors là, bien j’adore! Tu écris vraiment très bien, un plaisir de me laisser aller dans cette histoire, dommage que je le lise sur un pc, rien pour moi ne remplace le papier, un livre.
Tu nous emmènes dans une autre époque, démontre les différences de classe qui bien qu’encore existantes, sont moins voyantes!
Puis cette fin mystérieuse et surprenante, un vrai coup de cœur!

Auteur de Poésie
05/06/2015 22:32Coburitc

Merci d’avoir aimé cette variation sur Dorian Gray.
Amitiés

Jean-Pierre

Prose Personnage
Du 05/06/2015 00:27

L'écrit contient 1104 mots qui sont répartis dans 3 strophes.