Poème:La Tendre Inconstance

Ne veux tu pas que nous cessions de nous excuser,
De jouer tous les étés aux jeux des milles baisers
De regretter le matin nos soirées d’aventures,
De la tendre inconstance sans jouer aux parjures.

Il est des appétits que le corps quémande,
Je ne tiens pas à te mettre à l’amende.
C’est le temps des vacances, la saison des amants
Il est des jeux qui sont si charmants.

Je loue ma douce ta brulante licence,
Laisse la bride à toutes tes passions,
Quand arrive Septembre je suis ton occupation
Je ne suis pas jaloux, hors de moi cette démence.

Je suis admirateur de tes soupirs, de tes plaisirs
Libertinage rime si peux avec le triste mariage,
Prés ton corps épuisé, je reste si sage
Que même le Diable pourrait en sourire.

Laissons la saison aux marivaudages,
Entraines moi dans tes batifolages,
Aimes les comme tu m’aimes
Où est Chérie le problème…