Poème:Le Voyage
Le Poème
Il fallait attendre l’arrivée du Capitaine,
L’an dernier il avait conduit à bon port
Ses passagers vers les iles aux trésors,
Ces étranges bouts de terres lointaines.
La goélette était toujours vaillante,
L’équipage ressemblait à des brigands
Qui avaient vaincu nombres d’ouragans,
Tant d’histoires sur eux étaient ensorcelantes.
Dans les estaminets de Hambourg tous chuchotaient
Aux oreilles indiscrètes les aventures de l’équipage,
Les filles de marins dans leurs coquins babillages
A leurs clients tous les secrets répétaient.
Je m’étais saigné les quatre veines pour le voyage,
Nous avions tous le regard perdu des voyageurs,
Une fièvre d’aventures, de poésies comme les orpailleurs
Qui sur une pépite d’or reprennent leurs courages.
Voilà nous filions enfin portés par un vent joyeux,
Le Capitaine à la barre commandait ses marins,
Les voiles battaient au vent comme des tambourins,
Nous étions tous sur l’Océan des demi-dieux.
Je me souvenais enfin du bateau ivre,
Des aventures de Jules Vernes, de l’ile au trésor,
Les chansons de marins notre boite de Pandore,
Nous avions ouvert comme des enfants le grand-livre.
Les grands Goélands, les majesteux albatros
Au dessus de nous volaient, magnifques compagnons,
Nous vous prions de ne pas venir sur le pont
Vous auriez avec vos grandes ailes l’air bien sots.
La vigie cria tout à coup « les iles devant »,
Accoudés au babord nous les vîmes enfin,
Des ilots en archipels s’étendant sans fin
Sur une ligne d’horizon s’ouvrant sur le néant.
Combien de bateaux avaient franchis la fin du monde,
Tombés comme des pierres le long de la cascade,
Le Capitaine tournait la barre pour éviter l’estocade,
Nous filions enfin sur les iles du bout du monde.
Je me retrouvais dans un tableau de Gauguin,
Les paréos colorés des insulaires souriantes
Etaient pour nos regards des lueurs chatoyantes,
Après ce voyage étrange un tendre regain.
Nos compagnons ailés toujours dans les cieux
Se mettaient à pialler comme des angelets,
Les parfums capiteux de vanille, de violette
Charmaient nos sens, éloignaient le disgracieux.
J’aperçus la goélette prendre le chemin du retour,
Je n’avais pas le moindre regret de m’éloigner de la ville,
Les sourires, les chants des habitants étaient bien habiles
Pour éloigner les regrets, plus jamais à rebours.
Doux plaisir de ce voyage sans retour,
Je n’ai emporté que mes poèmes dans mes bagages,
Je suis un homme libre dans ces iles coloriages,
Où tous hommes, toutes femmes ne vivent que pour l’Amour.
L’an dernier il avait conduit à bon port
Ses passagers vers les iles aux trésors,
Ces étranges bouts de terres lointaines.
La goélette était toujours vaillante,
L’équipage ressemblait à des brigands
Qui avaient vaincu nombres d’ouragans,
Tant d’histoires sur eux étaient ensorcelantes.
Dans les estaminets de Hambourg tous chuchotaient
Aux oreilles indiscrètes les aventures de l’équipage,
Les filles de marins dans leurs coquins babillages
A leurs clients tous les secrets répétaient.
Je m’étais saigné les quatre veines pour le voyage,
Nous avions tous le regard perdu des voyageurs,
Une fièvre d’aventures, de poésies comme les orpailleurs
Qui sur une pépite d’or reprennent leurs courages.
Voilà nous filions enfin portés par un vent joyeux,
Le Capitaine à la barre commandait ses marins,
Les voiles battaient au vent comme des tambourins,
Nous étions tous sur l’Océan des demi-dieux.
Je me souvenais enfin du bateau ivre,
Des aventures de Jules Vernes, de l’ile au trésor,
Les chansons de marins notre boite de Pandore,
Nous avions ouvert comme des enfants le grand-livre.
Les grands Goélands, les majesteux albatros
Au dessus de nous volaient, magnifques compagnons,
Nous vous prions de ne pas venir sur le pont
Vous auriez avec vos grandes ailes l’air bien sots.
La vigie cria tout à coup « les iles devant »,
Accoudés au babord nous les vîmes enfin,
Des ilots en archipels s’étendant sans fin
Sur une ligne d’horizon s’ouvrant sur le néant.
Combien de bateaux avaient franchis la fin du monde,
Tombés comme des pierres le long de la cascade,
Le Capitaine tournait la barre pour éviter l’estocade,
Nous filions enfin sur les iles du bout du monde.
Je me retrouvais dans un tableau de Gauguin,
Les paréos colorés des insulaires souriantes
Etaient pour nos regards des lueurs chatoyantes,
Après ce voyage étrange un tendre regain.
Nos compagnons ailés toujours dans les cieux
Se mettaient à pialler comme des angelets,
Les parfums capiteux de vanille, de violette
Charmaient nos sens, éloignaient le disgracieux.
J’aperçus la goélette prendre le chemin du retour,
Je n’avais pas le moindre regret de m’éloigner de la ville,
Les sourires, les chants des habitants étaient bien habiles
Pour éloigner les regrets, plus jamais à rebours.
Doux plaisir de ce voyage sans retour,
Je n’ai emporté que mes poèmes dans mes bagages,
Je suis un homme libre dans ces iles coloriages,
Où tous hommes, toutes femmes ne vivent que pour l’Amour.
Poète Coburitc
Coburitc a publié sur le site 580 écrits. Coburitc est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète CoburitcSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Voyage
il=fal=lait=at=tendre=lar=ri=vée=du=ca=pi=taine 12lan=der=ni=er=il=a=vait=con=duit=à=bon=port 12
ses=pas=sa=gers=vers=les=i=les=aux=tré=sors 11
ces=é=tran=ges=bouts=de=ter=res=loin=tai=nes 11
la=go=é=let=te=é=tait=tou=jours=vaillan=te 11
lé=qui=pa=ge=res=sem=blait=à=des=bri=gands 11
qui=a=vaient=vain=cu=nom=bres=dou=ra=gans 10
tant=d=his=toires=sur=eux=é=taient=en=sor=ce=lantes 12
dans=les=es=ta=minets=de=ham=bourg=tous=chu=cho=taient 12
aux=o=reilles=in=dis=crè=tes=les=a=ven=tu=res=de=lé=qui=page 16
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a=leurs=clients=tous=les=se=crets=ré=pé=taient 10
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nous=a=vions=tous=le=re=gard=per=du=des=voya=geurs 12
une=fiè=vre=da=ven=tu=res=de=poé=sies=com=me=les=or=pailleurs 15
qui=sur=une=pé=pi=te=dor=re=pren=nent=leurs=cou=rages 13
voi=là=nous=fi=lions=en=fin=por=tés=par=un=vent=joy=eux 14
le=ca=pi=taineà=la=bar=re=com=man=dait=ses=ma=rins 13
les=voiles=bat=taient=au=vent=com=me=des=tam=bou=rins 12
nous=é=tions=tous=sur=lo=cé=an=des=de=mi=dieux 12
je=me=sou=ve=nais=en=fin=du=ba=teau=i=vre 12
des=aven=tu=res=de=ju=les=ver=nes=de=li=leau=tré=sor 14
les=chan=sons=de=ma=rins=notre=boi=te=de=pan=dore 12
nous=a=vions=ou=vert=comme=des=en=fants=le=grand=livre 12
les=grands=go=é=lands=les=ma=jes=teux=al=ba=tros 12
au=des=sus=de=nous=vo=laient=ma=gnif=ques=com=pa=gnons 13
nous=vous=pri=ons=de=ne=pas=ve=nir=sur=le=pont 12
vous=au=riez=a=vec=vos=grandes=ai=les=lair=bien=sots 12
la=vi=gie=cria=tout=à=coup=les=i=les=de=vant 12
ac=cou=dés=au=ba=bord=nous=les=vî=mes=en=fin 12
des=i=lots=en=ar=chi=pels=sé=ten=dant=sans=fin 12
sur=une=li=gne=dho=ri=zon=sou=vrant=sur=le=né=ant 13
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tom=bés=com=me=des=pierres=le=long=de=la=cas=cade 12
le=ca=pi=taine=tour=nait=la=bar=re=pour=é=vi=ter=les=to=cade 16
nous=fi=lions=en=fin=sur=les=iles=du=bout=du=monde 12
je=me=re=trou=vais=dans=un=ta=bleau=de=gau=guin 12
les=pa=réos=co=lo=rés=des=in=su=laires=sou=riantes 12
etaient=pour=nos=re=gards=des=lueurs=cha=toy=an=tes 11
après=ce=voy=a=ge=é=trange=un=ten=dre=re=gain 12
nos=com=pa=gnons=ai=lés=tou=jours=dans=les=cieux 11
se=met=taient=à=pial=ler=com=me=des=an=ge=lets 12
les=par=fums=ca=pi=teux=de=va=nille=de=vio=lette 12
char=maient=nos=sens=é=loi=gnaient=le=dis=gra=cieux 11
ja=per=çus=la=goélet=te=prendre=le=che=min=du=re=tour 13
je=na=vais=pas=le=moindre=re=gret=de=mé=loi=gner=de=la=ville 15
les=sou=rires=les=chants=des=ha=bi=tants=é=taient=bien=ha=biles 14
pour=é=loi=gner=les=re=grets=plus=ja=mais=à=re=bours 13
doux=plai=sir=de=ce=voy=a=ge=sans=re=tour 11
je=nai=em=por=té=que=mes=po=èmes=dans=mes=ba=gages 13
je=suis=un=homme=li=bre=dans=ces=i=les=co=lo=riages 13
où=tous=hommes=tou=tes=fem=mes=ne=vi=vent=que=pour=la=mour 14
Phonétique : Le Voyage
il falε atɑ̃dʁə laʁive dy kapitεnə,lɑ̃ dεʁnje il avε kɔ̃dɥi a bɔ̃ pɔʁ
sε pasaʒe vεʁ lεz- iləz- o tʁezɔʁ,
sεz- etʁɑ̃ʒə bu də teʁə- lwɛ̃tεnə.
la ɡɔelεtə etε tuʒuʁ vajɑ̃tə,
lekipaʒə ʁəsɑ̃blε a dε bʁiɡɑ̃
ki avε vɛ̃ky nɔ̃bʁə- duʁaɡɑ̃,
tɑ̃ distwaʁə syʁ øz- etε ɑ̃sɔʁsəlɑ̃tə.
dɑ̃ lεz- εstaminε də-ɑ̃buʁɡ tus ʃyʃɔtε
oz- ɔʁεjəz- ɛ̃diskʁεtə lεz- avɑ̃tyʁə də lekipaʒə,
lε fijə də maʁɛ̃ dɑ̃ lœʁ kɔkɛ̃ babijaʒə
a lœʁ kljɑ̃ tus lε sεkʁε ʁepetε.
ʒə metε sεɲe lε katʁə vεnə puʁ lə vwajaʒə,
nuz- avjɔ̃ tus lə ʁəɡaʁ pεʁdy dε vwajaʒœʁ,
ynə fjεvʁə davɑ̃tyʁə, də pɔezi kɔmə lεz- ɔʁpajœʁ
ki syʁ ynə pepitə dɔʁ ʁəpʁεne lœʁ kuʁaʒə.
vwala nu filjɔ̃z- ɑ̃fɛ̃ pɔʁte paʁ œ̃ vɑ̃ ʒwajø,
lə kapitεnə a la baʁə kɔmɑ̃dε sε maʁɛ̃,
lε vwalə batε o vɑ̃ kɔmə dε tɑ̃buʁɛ̃,
nuz- esjɔ̃ tus syʁ lɔseɑ̃ dε dəmi djø.
ʒə mə suvənεz- ɑ̃fɛ̃ dy bato ivʁə,
dεz- avɑ̃tyʁə də ʒylə vεʁnə, də lilə o tʁezɔʁ,
lε ʃɑ̃sɔ̃ də maʁɛ̃ nɔtʁə bwatə də pɑ̃dɔʁə,
nuz- avjɔ̃z- uvεʁ kɔmə dεz- ɑ̃fɑ̃ lə ɡʁɑ̃ livʁə.
lε ɡʁɑ̃ ɡɔelɑ̃, lε maʒεstøz- albatʁo
o dəsy də nu vɔlε, maɲifk kɔ̃paɲɔ̃,
nu vu pʁjɔ̃ də nə pa vəniʁ syʁ lə pɔ̃
vuz- oʁjez- avεk vo ɡʁɑ̃dəz- εlə lεʁ bjɛ̃ so.
la viʒi kʁja tut- a kup « ləs ilə dəvɑ̃t »,
akudez- o babɔʁ nu lε viməz- ɑ̃fɛ̃,
dεz- iloz- ɑ̃n- aʁʃipεl setɑ̃dɑ̃ sɑ̃ fɛ̃
syʁ ynə liɲə dɔʁizɔ̃ suvʁɑ̃ syʁ lə neɑ̃.
kɔ̃bjɛ̃ də batoz- avε fʁɑ̃ʃi la fɛ̃ dy mɔ̃də,
tɔ̃be kɔmə dε pjeʁə- lə lɔ̃ də la kaskadə,
lə kapitεnə tuʁnε la baʁə puʁ evite lεstɔkadə,
nu filjɔ̃z- ɑ̃fɛ̃ syʁ lεz- ilə dy bu dy mɔ̃də.
ʒə mə ʁətʁuvε dɑ̃z- œ̃ tablo də ɡoɡɛ̃,
lε paʁeo kɔlɔʁe dεz- ɛ̃sylεʁə suʁjɑ̃tə
ətε puʁ no ʁəɡaʁd dε lɥœʁ ʃatwajɑ̃tə,
apʁε sə vwajaʒə etʁɑ̃ʒə œ̃ tɑ̃dʁə ʁəɡɛ̃.
no kɔ̃paɲɔ̃z- εle tuʒuʁ dɑ̃ lε sjø
sə mεtε a pjale kɔmə dεz- ɑ̃ʒəlε,
lε paʁfœ̃ kapitø də vanijə, də vjɔlεtə
ʃaʁmε no sɑ̃s, elwaɲε lə dizɡʁasjø.
ʒapεʁsys la ɡɔelεtə pʁɑ̃dʁə lə ʃəmɛ̃ dy ʁətuʁ,
ʒə navε pa lə mwɛ̃dʁə ʁəɡʁε də melwaɲe də la vilə,
lε suʁiʁə, lε ʃɑ̃ dεz- abitɑ̃z- etε bjɛ̃-abilə
puʁ elwaɲe lε ʁəɡʁε, plys ʒamεz- a ʁəbuʁ.
du plεziʁ də sə vwajaʒə sɑ̃ ʁətuʁ,
ʒə nε ɑ̃pɔʁte kə mε pɔεmə dɑ̃ mε baɡaʒə,
ʒə sɥiz- œ̃n- ɔmə libʁə dɑ̃ sεz- ilə kɔlɔʁjaʒə,
u tusz- ɔmə, tutə famə nə vive kə puʁ lamuʁ.
Syllabes Phonétique : Le Voyage
il=fa=lε=a=tɑ̃=dʁə=la=ʁi=ve=dy=ka=pi=tε=nə 14lɑ̃=dεʁ=nj=e=il=a=vε=kɔ̃d=ɥi=a=bɔ̃=pɔʁ 12
sε=pa=sa=ʒe=vεʁ=lε=zi=lə=zo=tʁe=zɔʁ 11
sε=ze=tʁɑ̃=ʒə=bu=də=te=ʁə=lwɛ̃=tε=nə 11
la=ɡɔ=e=lε=tə=e=tε=tu=ʒuʁ=va=jɑ̃=tə 12
le=ki=pa=ʒə=ʁə=sɑ̃=blε=a=dε=bʁi=ɡɑ̃ 11
ki=a=vε=vɛ̃=ky=nɔ̃=bʁə=du=ʁa=ɡɑ̃ 10
tɑ̃=dis=twa=ʁə=syʁ=ø=ze=tε=ɑ̃=sɔʁ=sə=lɑ̃tə 12
dɑ̃=lε=zεs=ta=mi=nε=də-ɑ̃=buʁɡ=tus=ʃy=ʃɔ=tε 13
o=zɔ=ʁεjə=zɛ̃=dis=kʁεtə=lε=za=vɑ̃=ty=ʁə=də=le=ki=paʒə 15
lε=fi=jə=də=ma=ʁɛ̃=dɑ̃=lœʁ=kɔ=kɛ̃=ba=bi=jaʒə 13
a=lœ=ʁə=klj=ɑ̃=tus=lε=sε=kʁε=ʁe=pe=tε 12
ʒə=me=tε=sε=ɲe=lε=katʁə=vε=nə=puʁ=lə=vwa=jaʒə 13
nu=za=vjɔ̃=tus=ləʁə=ɡaʁ=pεʁ=dy=dε=vwa=ja=ʒœʁ 12
ynə=fjε=vʁə=da=vɑ̃=ty=ʁə=də=pɔ=e=zi=kɔ=mə=lε=zɔʁ=pa=jœʁ 17
ki=syʁ=ynə=pe=pi=tə=dɔʁ=ʁə=pʁε=ne=lœʁ=kuʁaʒə 12
vwa=la=nu=fi=ljɔ̃=zɑ̃=fɛ̃=pɔʁ=te=paʁ=œ̃=vɑ̃=ʒwa=jø 14
lə=ka=pi=tεnəa=la=ba=ʁə=kɔ=mɑ̃=dε=sε=ma=ʁɛ̃ 13
lε=vwalə=ba=tε=o=vɑ̃=kɔ=mə=dε=tɑ̃=bu=ʁɛ̃ 12
nu=ze=sjɔ̃=tus=syʁ=lɔ=se=ɑ̃=dε=də=mi=djø 12
ʒə=mə=su=və=nε=zɑ̃=fɛ̃=dy=ba=to=i=vʁə 12
dε=za=vɑ̃=tyʁə=də=ʒy=lə=vεʁ=nə=də=li=ləo=tʁe=zɔʁ 14
lε=ʃɑ̃=sɔ̃də=ma=ʁɛ̃=nɔ=tʁə=bwa=tə=də=pɑ̃=dɔʁə 12
nu=za=vjɔ̃=zu=vεʁ=kɔmə=dε=zɑ̃=fɑ̃=lə=ɡʁɑ̃=livʁə 12
lε=ɡʁɑ̃=ɡɔ=e=lɑ̃=lε=ma=ʒεs=tø=zal=ba=tʁo 12
o=də=sy=də=nu=vɔ=lε=ma=ɲifk=kɔ̃=pa=ɲɔ̃ 12
nu=vu=pʁj=ɔ̃=də=nə=pa=və=niʁ=syʁ=lə=pɔ̃ 12
vu=zo=ʁje=za=vεk=vo=ɡʁɑ̃də=zε=lə=lεʁ=bjɛ̃=so 12
la=vi=ʒi=kʁja=tu=ta=kup=ləs=i=lə=də=vɑ̃t 12
a=ku=de=zo=ba=bɔʁ=nu=lε=vi=mə=zɑ̃=fɛ̃ 12
dε=zi=lo=zɑ̃=naʁ=ʃi=pεl=se=tɑ̃=dɑ̃=sɑ̃=fɛ̃ 12
syʁ=ynə=li=ɲə=dɔ=ʁi=zɔ̃=su=vʁɑ̃=syʁ=lə=ne=ɑ̃ 13
kɔ̃=bjɛ̃də=ba=to=za=vε=fʁɑ̃=ʃi=la=fɛ̃=dy=mɔ̃də 12
tɔ̃=be=kɔmə=dε=pje=ʁə=lə=lɔ̃=də=la=kas=kadə 12
lə=ka=pi=tεnə=tuʁ=nε=la=ba=ʁə=puʁ=e=vi=te=lεs=tɔ=kadə 16
nu=fi=ljɔ̃=zɑ̃=fɛ̃=syʁ=lε=zilə=dy=bu=dy=mɔ̃də 12
ʒə=mə=ʁə=tʁu=vε=dɑ̃=zœ̃=ta=blo=də=ɡo=ɡɛ̃ 12
lε=pa=ʁe=o=kɔ=lɔ=ʁe=dε=zɛ̃=sy=lεʁə=su=ʁjɑ̃tə 13
ə=tε=puʁ=no=ʁə=ɡaʁd=dε=lɥœʁ=ʃa=twa=jɑ̃=tə 12
a=pʁεsə=vwa=ja=ʒə=e=tʁɑ̃=ʒə=œ̃=tɑ̃=dʁəʁə=ɡɛ̃ 12
no=kɔ̃=pa=ɲɔ̃=zε=le=tu=ʒuʁ=dɑ̃=lε=sj=ø 12
sə=mε=tε=a=pja=le=kɔ=mə=dε=zɑ̃=ʒə=lε 12
lε=paʁ=fœ̃=ka=pi=tødə=va=ni=jə=də=vjɔ=lεtə 12
ʃaʁ=mε=no=sɑ̃s=e=lwa=ɲε=lə=diz=ɡʁa=sj=ø 12
ʒa=pεʁ=sys=la=ɡɔ=e=lεtə=pʁɑ̃=dʁə=lə=ʃə=mɛ̃=dy=ʁə=tuʁ 15
ʒə=na=vε=palə=mwɛ̃=dʁə=ʁə=ɡʁε=də=me=lwa=ɲe=də=la=vilə 15
lε=su=ʁiʁə=lε=ʃɑ̃=dε=za=bi=tɑ̃=ze=tε=bjɛ̃-a=bilə 14
puʁ=e=lwa=ɲe=lεʁə=ɡʁε=plys=ʒa=mε=za=ʁə=buʁ 12
du=plε=ziʁ=də=sə=vwa=ja=ʒə=sɑ̃=ʁə=tuʁ 11
ʒə=nε=ɑ̃=pɔʁ=te=kə=mε=pɔ=εmə=dɑ̃=mε=baɡaʒə 12
ʒə=sɥi=zœ̃=nɔmə=li=bʁə=dɑ̃=sε=zi=lə=kɔ=lɔ=ʁjaʒə 13
u=tus=zɔmə=tu=tə=famə=nə=vi=ve=kə=puʁ=la=muʁ 13
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
15/12/2015 09:39Claude408
Beau poème riche en belles rimes, un récit de voyage qui nous tient en haleine. Merci pour ce beau partage.
15/12/2015 12:27Sami.San
L’air iodé me manque; merci a toi
15/12/2015 12:57Ptit N'ange
Merci pour ce beau voyage. Cordialement.
Elisabeth
15/12/2015 16:22Loic Rousselot
Quinze marins sur l’bahut du mort....Hop ! la haut une bouteille de rhum...
A croire que l’diable avait réglé leur sort .... Hop ! la haut une bouteille de rhum....
Et n’oublions point que long john silver à prit le commandement....
J’adore....
Cordialement
Loïc ROUSSELOT
Poème Poésie
Du 15/12/2015 00:01
L'écrit contient 422 mots qui sont répartis dans 13 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.