Poème:A Coeur Ouvert

Elle est enfin venu cette occasion ou je vais te parler, certes pas directement, je n’ose pas, je me sens trop petit face à toi pour « t’affronter ». Saches que ce qui va suivre est le résultat d’une multitude de petites réflexions, je les ai toutes notées, et toutes furent guidées par le cœur. J’espère que tu me pardonneras pour la correction de la langue, tu connais mon géni en la matière. Mais j’ose me lancer, ce ne doit être que ma 2eme lettre qui vient du cœur. Ne se succèderons ni quatrain ni alexandrins, ou que sais-je encore, mais seulement le train de mes pensées lancé sur les rails de l’amour, un amour pour toi qui serait sensé nous lier mais qui me semble si fragile.
J’ai constamment du mal à te dire le fond de mes pensés, peur que tu les prennes mal, qu’elles te fassent mal. Je me sens perdu et mon cœur est si souvent mis à nu. Mais je ne veux pas m’avouer vaincu car au fond de moi je tiens à toi, peut être est-ce à un fil mais il reste solide tan bien que mal.
Plusieurs choses me rendent heureux, mais une des première c’est de passer du temps avec toi.
Face à toi je suis souvent impuissant, incapable de t’apporter quelque chose en plus, que ce soit du réconfort de la joie ou encore de la fierté. Serait-ce donc ça l’amour : se sentir nul, impuissant. Mais es-tu vraiment indifférente ? Tu m’en as pourtant montré le contraire. « Tu es l’homme parfait », « Si je pouvais je prendrais la voiture de suite pour te rejoindre », « Pourtant je suis bien avec toi »… Je me souviens de ces phrases qui me rendaient ému et me comblées, ou encore ce jour où tu vins m’accueillir avec cette jupe blanche et ce petit haut d’été, et bien sur ton sourire… j’en fus ébloui mais la fatigue ne pu vraiment le laisser paraître. Mais d’autres choses firent l’effet contraire, bien souvent ce n’était que des réactions des intentions ou plutôt des « non intentions ».
Sache que pour moi depuis cette Première fois au bord de l’eau j’ai le cœur en émoi, malgré les joies, les pleurs, la pluie, le froid. Le temps n’altère rien à ce que je ressens. Ce temps me rend peureux, parce que j’ai trop peur de me retrouver sans toi. Le temps passe, les souvenirs se tassent. Mais à quoi laissent-ils place, au doute, au questionnement, mais l’amour lui reste intact…
J’ai souvent compris tes priorités, je me suis accepter à une place inférieur, mais laquelle m’accorde tu réellement ?
Certes je suis très loin d’être parfait, à mon avis la réalité es choses t’a vite rattrapée, mais j’essaye de tout faire pour te combler. On m’a conseillé de parler, mais cela a quelque fois marché, mais d’autre fois, si souvent, cela a plutôt était des « boulettes ». Je me rappelle, un de ces soirs où je te savais dans une situation délicate mais je ne comprenais pas que tu veuille reprendre ta voiture, faire un trajet en plus, je mes suis alors tout imaginé, je t’ai fait part de ce qui m’était apparu probable. Mais je me suis vite rendu compte que je t’embêtais avec des futilité. Je me sens vraiment mal depuis. Mais après tout je ne comprends rien à rien…
Je ne sais plus quoi faire, je n’ose plus parler de peur de faire encore une boulette après tout boulette va avec boulet… , je ne sais plus quoi attendre devrais-je me taire.
Si souvent je ne te comprends pas, peu être que je n’ai pas ton recul, sur ton expérience. On dit que l’amour est un sentiment proche de la haine. Finalement te haïrais-je, toi à qui je tiens tant, quand je pleur quand je passes des heures, des journées, des nuits à penser à toi, à me torturer pour essayer de comprendre ce que je fais de mal, ce qui pourrait te plaire Mais le problème c’est qu’on ne peut pas se changer .
« Quand on est aimé on ne doute de rien, quand on aime on doute de tout ».
Les distances sont des barrières pour les actions mais rien ne fait obstacle à la pensée à part elle-même. Je pense si souvent à toi. Je t’ai déjà dit que tu étais ma drogue. En effet je suis accroc et rien n’est parvenu pour le moment à me faire décrocher.
Finalement qui es tu ? Tu es cette inconnue à qui je pense à chaque coin de rue, pendant tous ces instants impromptus. Mais que sais-je toi ? Pas grand chose. Je te découvre de temps en temps, tu laisses entrevoir ces détails qui me font mal, mais j’encaisse.
Cette maladie, m’envahit, me trahit. Je me questionne, trop…
« Aimer, ce n’est pas regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction » (AdSE) , dans quelle direction regardes-tu ?