Poème:Le Train
Le Poème
Chaque fois qu’un train passe, j’embarque dedans,
Et chaque fois, à la première embuche, je descends,
C’est alors que j’ai droit aux ’’Je te l’avais dit’’ de mes amies,
Car bien sûre, à chaque fois, chaque trains, elle me l’avait prédit.
Cette fois, le train a passé, et ça m’a pris du temps avant d’embarquer,
Mais il est resté là, des jours… des semaines… Il m’a attendu,
Et lorsque je me suis enfin décidé, il a redémarré,
On est parti seul, lui et moi, à travers des endroits qui m’étaient inconnus.
Je ne reconnaissais rien, pour moi, c’était tout nouveau,
Une paysage avec des arbres, du ciel bleu, de l’eau,
Tout ce qu’il me fallait, rien ne me manquait,
Mais pourtant, quelque chose me troublait.
Un soir, j’ai regardé le conducteur de la locomotive,
Avec des yeux suppliant, un cœur à la dérive,
Il m’a dit qu’il ne pouvait pas mettre le train en arrêt,
Que je pouvais seulement descendre quelques jours après.
Mais je ne voulais pas descendre de ce train, moi !
Ce que je voulais c’était une petite pause, un moment de répis,
Car à force de rouler, j’avais les jambes engourdis,
Ma tête tournait, et je ne voyais plus très bien cette fois…
J’ai eu droit à quelques pourquoi, j’ai été prendre une marche à mon cœur,
Ça a duré un temps, jusqu’à ce que le train frêne brusquement,
J’ai fait une chute vers l’avant, je me suis relevée, et j’ai eu peur,
Peur de quoi ? de l’attente, serait-ce un voyage qui durerait longtemps ?
C’est alors que j’ai été me réfugier seul, dans un endroit calme mais surchargé,
Je me suis mise en petite boule, et j’ai essayé de penser,
Mais rien ne venait, rien n’était compréhensible, tout était flou,
Et j’en voulais aux gens, j’en voulais au conducteur, j’en vouais à tout.
J’ai laissé quelques larmes roulées sur mes joues,
Je me suis rendue compte que j’étais rendu loin,
Il était trop tard pour reculer, pour arrêter tout,
J’ai continué, me disant que ça irait bien.
Ce train était confortable, il était tout gentil, mais pourtant,
Il y avait quelque chose dans le voyage qui clochait,
Et lorsque je réussis à y réfléchir sérieusement,
Je me rendue compte que coupable j’étais.
Chaque fois qu’un train passe, j’embarque dedans,
Et chaque fois, à la première embuche, je descends,
C’est alors que j’ai droit aux ’’Je te l’avais dit’’ de mes amies,
Car bien sûre, à chaque fois, chaque trains, elle me l’avait prédit.
Cette fois, lorsque j’ai posé un pied à terre, on ne m’a pas cru,
Moi qui avait dit aimer tant les défis, je les avais tous un à un déçu,
Car, pour la première fois, elles croyaient tous à ce voyage,
Malheur, j’ai tout détrui, encore un autre mirage…
Pourquoi est-ce qu’il faut toujours que je débarque à la première peur ?
Le train n’aura pas d’accident, je le sais très bien, alors pourquoi ?
Pourquoi ne puis-je pas restée tout simplement confiante en moi ?
Et pourquoi est-ce qu’ils ne s’entendent jamais… ma tête et mon cœur… ?
Et chaque fois, à la première embuche, je descends,
C’est alors que j’ai droit aux ’’Je te l’avais dit’’ de mes amies,
Car bien sûre, à chaque fois, chaque trains, elle me l’avait prédit.
Cette fois, le train a passé, et ça m’a pris du temps avant d’embarquer,
Mais il est resté là, des jours… des semaines… Il m’a attendu,
Et lorsque je me suis enfin décidé, il a redémarré,
On est parti seul, lui et moi, à travers des endroits qui m’étaient inconnus.
Je ne reconnaissais rien, pour moi, c’était tout nouveau,
Une paysage avec des arbres, du ciel bleu, de l’eau,
Tout ce qu’il me fallait, rien ne me manquait,
Mais pourtant, quelque chose me troublait.
Un soir, j’ai regardé le conducteur de la locomotive,
Avec des yeux suppliant, un cœur à la dérive,
Il m’a dit qu’il ne pouvait pas mettre le train en arrêt,
Que je pouvais seulement descendre quelques jours après.
Mais je ne voulais pas descendre de ce train, moi !
Ce que je voulais c’était une petite pause, un moment de répis,
Car à force de rouler, j’avais les jambes engourdis,
Ma tête tournait, et je ne voyais plus très bien cette fois…
J’ai eu droit à quelques pourquoi, j’ai été prendre une marche à mon cœur,
Ça a duré un temps, jusqu’à ce que le train frêne brusquement,
J’ai fait une chute vers l’avant, je me suis relevée, et j’ai eu peur,
Peur de quoi ? de l’attente, serait-ce un voyage qui durerait longtemps ?
C’est alors que j’ai été me réfugier seul, dans un endroit calme mais surchargé,
Je me suis mise en petite boule, et j’ai essayé de penser,
Mais rien ne venait, rien n’était compréhensible, tout était flou,
Et j’en voulais aux gens, j’en voulais au conducteur, j’en vouais à tout.
J’ai laissé quelques larmes roulées sur mes joues,
Je me suis rendue compte que j’étais rendu loin,
Il était trop tard pour reculer, pour arrêter tout,
J’ai continué, me disant que ça irait bien.
Ce train était confortable, il était tout gentil, mais pourtant,
Il y avait quelque chose dans le voyage qui clochait,
Et lorsque je réussis à y réfléchir sérieusement,
Je me rendue compte que coupable j’étais.
Chaque fois qu’un train passe, j’embarque dedans,
Et chaque fois, à la première embuche, je descends,
C’est alors que j’ai droit aux ’’Je te l’avais dit’’ de mes amies,
Car bien sûre, à chaque fois, chaque trains, elle me l’avait prédit.
Cette fois, lorsque j’ai posé un pied à terre, on ne m’a pas cru,
Moi qui avait dit aimer tant les défis, je les avais tous un à un déçu,
Car, pour la première fois, elles croyaient tous à ce voyage,
Malheur, j’ai tout détrui, encore un autre mirage…
Pourquoi est-ce qu’il faut toujours que je débarque à la première peur ?
Le train n’aura pas d’accident, je le sais très bien, alors pourquoi ?
Pourquoi ne puis-je pas restée tout simplement confiante en moi ?
Et pourquoi est-ce qu’ils ne s’entendent jamais… ma tête et mon cœur… ?
PostScriptum
ce soir je me rends compte que jai fais souffrir trop de gens dans ma vie…
Poète Daph À La Rose
Daph À La Rose a publié sur le site 138 écrits. Daph À La Rose est membre du site depuis l'année 2006.Lire le profil du poète Daph À La RoseSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Train
cha=que=fois=quun=train=pas=se=jem=bar=que=de=dans 12et=cha=que=fois=à=la=pre=mi=è=re=em=bu=che=je=des=cends 16
cest=a=lors=que=jai=droit=aux=je=te=la=vais=dit=de=mes=a=mies 16
car=bien=sû=re=à=cha=que=fois=cha=que=trains=el=le=me=la=vait=pré=dit 18
cette=fois=le=train=a=pas=sé=et=ça=ma=pris=du=temps=a=vant=dem=bar=quer 18
mais=il=est=res=té=là=des=jours=des=se=mai=nes=il=ma=at=ten=du 17
et=lors=que=je=me=suis=en=fin=dé=ci=dé=il=a=re=dé=mar=ré 17
on=est=par=ti=seul=lui=et=moi=à=tra=vers=des=en=droits=qui=mé=taient=in=con=nus 20
je=ne=re=con=nais=sais=rien=pour=moi=cé=tait=tout=nou=veau 14
u=ne=pa=y=sa=ge=a=vec=des=ar=bres=du=ciel=bleu=de=leau 16
tout=ce=quil=me=fal=lait=rien=ne=me=man=quait 11
mais=pour=tant=quel=que=cho=se=me=trou=blait 10
un=soir=jai=re=gar=dé=le=con=duc=teur=de=la=lo=co=mo=ti=ve 17
a=vec=des=y=eux=sup=pli=ant=un=cœur=à=la=dé=ri=ve 15
il=ma=dit=quil=ne=pou=vait=pas=met=tre=le=train=en=ar=rêt 15
que=je=pou=vais=seu=le=ment=des=cen=dre=quel=ques=jours=a=près 15
mais=je=ne=vou=lais=pas=des=cen=dre=de=ce=train=moi 13
ce=que=je=vou=lais=cé=tait=une=pe=ti=te=pau=se=un=mo=ment=de=ré=pis 19
car=à=for=ce=de=rou=ler=ja=vais=les=jam=bes=en=gour=dis 15
ma=tê=te=tour=nait=et=je=ne=vo=yais=plus=très=bien=cet=te=fois 16
jai=eu=droit=à=quel=ques=pour=quoi=jai=é=té=prendreu=ne=mar=che=à=mon=cœur 18
ça=a=du=ré=un=temps=jus=quà=ce=que=le=train=frê=ne=brus=que=ment 17
jai=fait=une=chu=te=vers=la=vant=je=me=suis=re=le=vée=et=jai=eu=peur 18
peur=de=quoi=de=lat=tente=se=rait=ce=un=voya=ge=qui=du=re=rait=long=temps 18
cest=a=lors=que=jai=é=té=me=ré=fu=gier=seul=dans=un=en=droit=cal=me=mais=sur=char=gé 22
je=me=suis=mi=se=en=pe=ti=te=bou=le=et=jai=es=sayé=de=pen=ser 18
mais=rien=ne=ve=nait=rien=né=tait=com=pré=hen=si=ble=tout=é=tait=flou 17
et=jen=vou=lais=aux=gens=jen=vou=lais=au=con=duc=teur=jen=vou=ais=à=tout 18
jai=lais=sé=quel=ques=lar=mes=rou=lées=sur=mes=joues 12
je=me=suis=ren=due=comp=te=que=jé=tais=ren=du=loin 13
il=é=tait=trop=tard=pour=re=cu=ler=pour=ar=rê=ter=tout 14
jai=con=ti=nué=me=di=sant=que=ça=i=rait=bien 12
ce=train=é=tait=con=for=ta=ble=il=é=tait=tout=gen=til=mais=pour=tant 17
il=y=a=vait=quel=que=cho=se=dans=le=voy=a=ge=qui=clo=chait 16
et=lors=que=je=réus=sis=à=y=ré=flé=chir=sé=rieu=se=ment 15
je=me=ren=due=comp=te=que=cou=pa=ble=jé=tais 12
cha=que=fois=quun=train=pas=se=jem=bar=que=de=dans 12
et=cha=que=fois=à=la=pre=mi=è=re=em=bu=che=je=des=cends 16
cest=a=lors=que=jai=droit=aux=je=te=la=vais=dit=de=mes=a=mies 16
car=bien=sû=re=à=cha=que=fois=cha=que=trains=el=le=me=la=vait=pré=dit 18
cet=te=fois=lors=que=jai=po=sé=un=pied=à=ter=re=on=ne=ma=pas=cru 18
moi=qui=a=vait=dit=ai=mer=tant=les=dé=fis=je=les=a=vais=tous=un=à=un=dé=çu 21
car=pour=la=pre=mi=è=re=fois=el=les=cro=yaient=tous=à=ce=voy=a=ge 18
mal=heur=jai=tout=dé=trui=en=co=re=un=au=tre=mi=ra=ge 15
pour=quoi=est=ce=quil=faut=tou=jours=que=je=dé=bar=que=à=la=pre=mière=peur 18
le=train=nau=ra=pas=dac=ci=dent=je=le=sais=très=bien=a=lors=pour=quoi 17
pour=quoi=ne=puis=je=pas=res=tée=tout=sim=ple=ment=con=fi=an=te=en=moi 18
et=pour=quoi=est=ce=quils=ne=sen=ten=dent=ja=mais=ma=tê=te=et=mon=cœur 18
Phonétique : Le Train
ʃakə fwa kœ̃ tʁɛ̃ pasə, ʒɑ̃baʁkə dədɑ̃,e ʃakə fwa, a la pʁəmjεʁə ɑ̃byʃə, ʒə desɑ̃,
sεt- alɔʁ kə ʒε dʁwa oksʒə tə lavε ditdə mεz- ami,
kaʁ bjɛ̃ syʁə, a ʃakə fwa, ʃakə tʁɛ̃, εllə mə lavε pʁedi.
sεtə fwa, lə tʁɛ̃ a pase, e sa ma pʁi dy tɑ̃z- avɑ̃ dɑ̃baʁke,
mεz- il ε ʁεste la, dε ʒuʁ… dε səmεnə… il ma atɑ̃dy,
e lɔʁskə ʒə mə sɥiz- ɑ̃fɛ̃ deside, il a ʁədemaʁe,
ɔ̃n- ε paʁti səl, lɥi e mwa, a tʁavεʁ dεz- ɑ̃dʁwa ki metε ɛ̃kɔnys.
ʒə nə ʁəkɔnεsε ʁjɛ̃, puʁ mwa, setε tu nuvo,
ynə pεizaʒə avεk dεz- aʁbʁə, dy sjεl blø, də lo,
tu sə kil mə falε, ʁjɛ̃ nə mə mɑ̃kε,
mε puʁtɑ̃, kεlkə ʃozə mə tʁublε.
œ̃ swaʁ, ʒε ʁəɡaʁde lə kɔ̃dyktœʁ də la lɔkomotivə,
avεk dεz- iø sypljɑ̃, œ̃ kœʁ a la deʁivə,
il ma di kil nə puvε pa mεtʁə lə tʁɛ̃ ɑ̃n- aʁε,
kə ʒə puvε sələmɑ̃ desɑ̃dʁə kεlk ʒuʁz- apʁε.
mε ʒə nə vulε pa desɑ̃dʁə də sə tʁɛ̃, mwa !
sə kə ʒə vulε setε ynə pətitə pozə, œ̃ mɔmɑ̃ də ʁepi,
kaʁ a fɔʁsə də ʁule, ʒavε lε ʒɑ̃bəz- ɑ̃ɡuʁdi,
ma tεtə tuʁnε, e ʒə nə vwajε plys tʁε bjɛ̃ sεtə fwa…
ʒε y dʁwa a kεlk puʁkwa, ʒε ete pʁɑ̃dʁə ynə maʁʃə a mɔ̃ kœʁ,
sa a dyʁe œ̃ tɑ̃, ʒyska sə kə lə tʁɛ̃ fʁεnə bʁyskəmɑ̃,
ʒε fε ynə ʃytə vεʁ lavɑ̃, ʒə mə sɥi ʁələve, e ʒε y pœʁ,
pœʁ də kwa ? də latɑ̃tə, səʁε sə œ̃ vwajaʒə ki dyʁəʁε lɔ̃tɑ̃ ?
sεt- alɔʁ kə ʒε ete mə ʁefyʒje səl, dɑ̃z- œ̃n- ɑ̃dʁwa kalmə mε syʁʃaʁʒe,
ʒə mə sɥi mizə ɑ̃ pətitə bulə, e ʒε esεje də pɑ̃se,
mε ʁjɛ̃ nə vənε, ʁjɛ̃ netε kɔ̃pʁeɑ̃siblə, tut- etε flu,
e ʒɑ̃ vulεz- o ʒɑ̃, ʒɑ̃ vulεz- o kɔ̃dyktœʁ, ʒɑ̃ vuεz- a tu.
ʒε lεse kεlk laʁmə- ʁule syʁ mε ʒu,
ʒə mə sɥi ʁɑ̃dɥ kɔ̃tə kə ʒetε ʁɑ̃dy lwɛ̃,
il etε tʁo taʁ puʁ ʁəkyle, puʁ aʁεte tu,
ʒε kɔ̃tinye, mə dizɑ̃ kə sa iʁε bjɛ̃.
sə tʁɛ̃ etε kɔ̃fɔʁtablə, il etε tu ʒɑ̃til, mε puʁtɑ̃,
il i avε kεlkə ʃozə dɑ̃ lə vwajaʒə ki kloʃε,
e lɔʁskə ʒə ʁeysiz- a i ʁefleʃiʁ seʁjøzəmɑ̃,
ʒə mə ʁɑ̃dɥ kɔ̃tə kə kupablə ʒetε.
ʃakə fwa kœ̃ tʁɛ̃ pasə, ʒɑ̃baʁkə dədɑ̃,
e ʃakə fwa, a la pʁəmjεʁə ɑ̃byʃə, ʒə desɑ̃,
sεt- alɔʁ kə ʒε dʁwa oksʒə tə lavε ditdə mεz- ami,
kaʁ bjɛ̃ syʁə, a ʃakə fwa, ʃakə tʁɛ̃, εllə mə lavε pʁedi.
sεtə fwa, lɔʁskə ʒε poze œ̃ pje a teʁə, ɔ̃ nə ma pa kʁy,
mwa ki avε di εme tɑ̃ lε defi, ʒə lεz- avε tusz- œ̃n- a œ̃ desy,
kaʁ, puʁ la pʁəmjεʁə fwa, εllə kʁwajε tusz- a sə vwajaʒə,
malœʁ, ʒε tu detʁɥi, ɑ̃kɔʁə œ̃n- otʁə miʁaʒə…
puʁkwa ε sə kil fo tuʒuʁ kə ʒə debaʁkə a la pʁəmjεʁə pœʁ ?
lə tʁɛ̃ noʁa pa daksidɑ̃, ʒə lə sε tʁε bjɛ̃, alɔʁ puʁkwa ?
puʁkwa nə pɥi ʒə pa ʁεste tu sɛ̃pləmɑ̃ kɔ̃fjɑ̃tə ɑ̃ mwa ?
e puʁkwa ε sə kil nə sɑ̃tɑ̃de ʒamε… ma tεtə e mɔ̃ kœʁ… ?
Syllabes Phonétique : Le Train
ʃa=kə=fwa=kœ̃=tʁɛ̃=pa=sə=ʒɑ̃=baʁ=kə=də=dɑ̃ 12e=ʃa=kə=fwa=a=la=pʁə=mj=ε=ʁə=ɑ̃=by=ʃə=ʒə=de=sɑ̃ 16
sε=ta=lɔʁ=kə=ʒε=dʁwa=ok=sʒə=tə=la=vε=dit=də=mε=za=mi 16
kaʁ=bjɛ̃=syʁə=a=ʃa=kə=fwa=ʃa=kə=tʁɛ̃=εl=lə=mə=la=vε=pʁe=di 17
sεtə=fwa=lə=tʁɛ̃=a=pa=se=e=sa=ma=pʁi=dy=tɑ̃=za=vɑ̃=dɑ̃=baʁ=ke 18
mε=zil=ε=ʁεs=te=la=dε=ʒuʁ=dεsə=mε=nə=il=ma=a=tɑ̃=dy 16
e=lɔʁskə=ʒə=mə=sɥi=zɑ̃=fɛ̃=de=si=de=il=a=ʁə=de=ma=ʁe 16
ɔ̃=nε=paʁ=ti=səl=lɥi=e=mwa=a=tʁa=vεʁ=dε=zɑ̃=dʁwa=ki=me=tε=ɛ̃=kɔ=nys 20
ʒə=nə=ʁə=kɔ=nε=sε=ʁj=ɛ̃=puʁ=mwa=se=tε=tu=nu=vo 15
y=nə=pε=i=za=ʒə=a=vεk=dε=zaʁ=bʁə=dy=sjεl=blø=də=lo 16
tu=sə=kil=mə=fa=lε=ʁj=ɛ̃=nə=mə=mɑ̃=kε 12
mε=puʁ=tɑ̃=kεl=kə=ʃo=zə=mə=tʁu=blε 10
œ̃=swaʁ=ʒε=ʁə=ɡaʁ=de=lə=kɔ̃=dyk=tœʁ=də=la=lɔ=ko=mo=tivə 16
a=vεk=dε=zi=ø=sy=plj=ɑ̃=œ̃=kœ=ʁə=a=la=de=ʁi=və 16
il=ma=di=kil=nə=pu=vε=pa=mε=tʁə=lə=tʁɛ̃=ɑ̃=na=ʁε 15
kə=ʒə=pu=vε=sə=lə=mɑ̃=de=sɑ̃=dʁə=kεl=kə=ʒuʁ=za=pʁε 15
mε=ʒə=nə=vu=lε=pa=de=sɑ̃=dʁə=də=sə=tʁɛ̃=mwa 13
sə=kə=ʒə=vu=lεse=tε=y=nə=pə=ti=tə=po=zə=œ̃=mɔ=mɑ̃=də=ʁe=pi 19
kaʁ=a=fɔʁ=sə=də=ʁu=le=ʒa=vε=lε=ʒɑ̃=bə=zɑ̃=ɡuʁ=di 15
ma=tε=tə=tuʁ=nε=e=ʒə=nə=vwa=jε=plys=tʁε=bjɛ̃=sε=tə=fwa 16
ʒε=y=dʁwa=a=kεl=kə=puʁ=kwa=ʒε=e=te=pʁɑ̃dʁəy=nə=maʁ=ʃə=a=mɔ̃=kœʁ 18
sa=a=dy=ʁe=œ̃=tɑ̃=ʒys=kasə=kə=lə=tʁɛ̃=fʁε=nə=bʁys=kə=mɑ̃ 16
ʒε=fε=ynə=ʃy=tə=vεʁ=la=vɑ̃=ʒə=mə=sɥi=ʁə=lə=ve=e=ʒε=y=pœʁ 18
pœʁ=də=kwa=də=la=tɑ̃tə=sə=ʁε=səœ̃=vwa=ja=ʒə=ki=dy=ʁə=ʁε=lɔ̃=tɑ̃ 18
sε=ta=lɔʁkə=ʒε=e=te=mə=ʁe=fy=ʒje=səl=dɑ̃=zœ̃=nɑ̃=dʁwa=kal=mə=mε=syʁ=ʃaʁ=ʒe 21
ʒə=mə=sɥi=mizəɑ̃=pə=ti=tə=bu=lə=e=ʒε=e=sε=je=də=pɑ̃se 16
mε=ʁjɛ̃nə=və=nε=ʁjɛ̃=ne=tε=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=si=blə=tu=te=tε=flu 16
e=ʒɑ̃=vu=lε=zo=ʒɑ̃=ʒɑ̃=vu=lε=zo=kɔ̃=dyk=tœʁ=ʒɑ̃=vu=ε=za=tu 18
ʒε=lε=se=kεl=kə=laʁ=mə=ʁu=le=syʁ=mε=ʒu 12
ʒə=mə=sɥi=ʁɑ̃dɥ=kɔ̃=tə=kə=ʒe=tε=ʁɑ̃=dy=lwɛ̃ 12
il=e=tε=tʁo=taʁ=puʁ=ʁə=ky=le=puʁ=a=ʁε=te=tu 14
ʒε=kɔ̃=ti=ny=e=mə=di=zɑ̃=kə=sa=i=ʁε=bj=ɛ̃ 14
sə=tʁɛ̃=e=tε=kɔ̃=fɔʁ=tablə=il=e=tε=tu=ʒɑ̃=til=mε=puʁ=tɑ̃ 16
il=i=a=vε=kεl=kə=ʃo=zə=dɑ̃=lə=vwa=ja=ʒə=ki=klo=ʃε 16
e=lɔʁ=skə=ʒə=ʁe=y=si=za=i=ʁe=fle=ʃiʁ=se=ʁjø=zə=mɑ̃ 16
ʒə=mə=ʁɑ̃dɥ=kɔ̃=tə=kə=ku=pa=blə=ʒe=tε 11
ʃa=kə=fwa=kœ̃=tʁɛ̃=pa=sə=ʒɑ̃=baʁ=kə=də=dɑ̃ 12
e=ʃa=kə=fwa=a=la=pʁə=mj=ε=ʁə=ɑ̃=by=ʃə=ʒə=de=sɑ̃ 16
sε=ta=lɔʁ=kə=ʒε=dʁwa=ok=sʒə=tə=la=vε=dit=də=mε=za=mi 16
kaʁ=bjɛ̃=syʁə=a=ʃa=kə=fwa=ʃa=kə=tʁɛ̃=εl=lə=mə=la=vε=pʁe=di 17
sεtə=fwa=lɔʁ=skə=ʒε=po=ze=œ̃=pje=a=teʁə=ɔ̃=nə=ma=pa=kʁy 16
mwa=ki=a=vε=di=ε=me=tɑ̃=lε=de=fi=ʒə=lε=za=vε=tus=zœ̃=na=œ̃=de=sy 21
kaʁ=puʁ=la=pʁə=mjε=ʁə=fwa=εl=lə=kʁwa=jε=tus=za=sə=vwa=jaʒə 16
ma=lœ=ʁə=ʒε=tu=det=ʁɥi=ɑ̃=kɔ=ʁə=œ̃=no=tʁə=mi=ʁa=ʒə 16
puʁ=kwa=εsə=kil=fo=tu=ʒuʁ=kə=ʒə=de=baʁ=kəa=la=pʁə=mjε=ʁə=pœʁ 17
lə=tʁɛ̃=no=ʁa=pa=dak=si=dɑ̃=ʒə=lə=sε=tʁε=bjɛ̃=a=lɔʁ=puʁ=kwa 17
puʁ=kwanə=pɥi=ʒə=pa=ʁεs=te=tu=sɛ̃=plə=mɑ̃=kɔ̃=fjɑ̃=tə=ɑ̃=mwa 16
e=puʁ=kwa=εsə=kil=nə=sɑ̃=tɑ̃=de=ʒa=mε=ma=tε=təe=mɔ̃=kœʁ 16
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
11/12/2006 16:13Angel’s
Tu dis avoir fait souffrir des gens, ce que je retiens de tes poèmes c’est que tu souffres. Prends le prochain train en marche et laisse ton coeur faire le choix de descendre ou pas. Le coeur à ses raisons que la raison ne connait pas.
Amitié...........Angie
11/12/2006 20:25Margolagoe
Jolie.
Cela me fait penser à grand corps malade, peut etre que ton inspiration vient de la
Bise,
Margot.
11/12/2006 21:42Géraldine
laisse ton coeur te diriger... magnifique poème ..
mes amitiés (F)(K)
Poème - Sans Thème -
Du 11/12/2006 04:30
L'écrit contient 565 mots qui sont répartis dans 12 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.