Univers de poésie d'un auteur

Poème:Un Article…

Le Poème

Il est parfois difficile d’écrire tout ce qu’il y a en nous, et de se donner des mots pour dire ce que l’homme à l’intérieur peut ressentir. On peut se retrouver très vite à court de mots, on dit qu’il n’y en a pas assez et que rien ne peut, pour une fois, les remplacer. Quand cet instant arrive, et que toutes les questions se posent, on ne sait plus que faire. Certains peuvent s’enfuir, d’autres essayer par des moyens détournés de continuer, et même quelques uns poursuivront leur route, malgré ce passage qui n’est qu’une épreuve de plus… Mais, personne ne se comporte de la même manière devant un tel obstacle, que beaucoup ne comprennent pas. On dit aussi qu’il y a des jours sans, et que le temps peut arranger les choses ou qu’il faut laisser passer la chose sans rien dire, sans se mouvoir. Et pourtant, les questions reviendront toujours, si on ne les affronte pas une fois pour toutes, on aura beau les repousser, les éviter, les rejeter des dizaines et des milliers de jours avant, elles seront là à jamais… Il faut peut-être si attarder, prendre ou chercher le courage, la force ou même une lâcheté pour les éprouver, leur donner un sens et à l’avenir une réponse.
Mais les sentiments ne doivent pas être la question, ce ne sont que des doutes et des confiances, qu’il faut accorder ou pas… En un regard, en un silence, en un geste, en un baiser, on doit le voir ou se taire à jamais. On n’a cité un jour, ce thème, et on en a dit que le baiser était la première porte de l’être et que l’on pouvait connaître son cœur, son attention, rien qu’en cet possession éphémère. Il n’y avait qu’à s’oublier, et à laisser son corps parler, dans tous les sens du terme. Et, à croire en soi, rien que dans ce sourire pour les autres.
Pourtant, le cri de l’amour, est un règne du rêve et du réel sur soi, … Les questions pour certains semblent inévitables, pas que ces personnes fassent preuve d’un doute plus assidu, ou qu’elles aient moins de scrupules aveugles en leur esprit, ou même que la peur avoué dans leur passé leur interdisse d’avancer… Mais, ce n’est qu’une réunion d’évènements, de seuls mots, de silences, et bien d’autres choses qui les poussent malgré tout vers la réflexion possessive. Elles ont besoin de se protéger, de quoi, elles ne le savent pas ; elles savent juste qu’elles ont l’éprouvance de ces questions et c’est une nécessité qui s’est faite dans le passé. Certes, elles peuvent arriver à les contourner, mais comme il est dit, elles se retrouveront tôt ou tard fassent à elles.
On traitera dans le milieu psychologie d’une hantise sur le passé, ou d’évènements divergents qui ont fait l’émergence de cette double conscience de l’être et qui peut le conduire à des agissements divers et un comportement traumatique en relation. Ce phénomène peut paraître comme une soumission, bien souvent accusée, et dans le cas d’une répétition pensive, l’être peut prétendre à se détruire au côté de son sentiment.
D’autres réagissent, en fondant des principes tendrement avoués, et qui n’ont qu’un écho, celui de vivre pour autrui. On parle d’une gentillesse excessive en société, d’un caractère faible en relation, d’une timidité en famille, ou d’exagération dans l’échec pour les personnes qui se poussent au mal pour ne pas nuire au bonheur de l’être aimé. Il se cache dans leur souffrance passée, et ont beaucoup de recul en pensée sur tout ce qui a pu leur arrivé, il accepte plus facilement la mort, et la cite comme un recours à leur amour… Un psychiatre nous dirait que c’est un syndrome du romantisme ou autrement une folie passagère qui n’apporte rien, il aura tendance à trouver d’autres choses, et à dire que ce genre de regard sur l’amour est du à l’âge et que tous nous avons eu cette attitude un jour. Mais la généralisation n’est pas à faire, des personnes sont à bien distinguer des groupes caractéristiques que la société a constitués. Les exemples, mêmes si on les dit rares, se portent d’eux-mêmes.
Pour en revenir, aux réflexions qui entourent certains êtres devant leurs sentiments. On dira que souvent ceux-ci se disent maladroit en amour, ou qu’ils n’ont aucune confiance en eux… Ce sont des notions qui ressortent de rapports entre plusieurs personnes, et qui montrent que beaucoup ont une estime limité pour eux, que leur attitude vis-à-vis d’eux même peut être jugée détestable, ils ne voient aucun intérêt en eux… Et/ou, au contraire, c’est la société qui les a mené à un tel rabaissement ; on se reporte toujours à ces événements qui ont eus une influence, mais que personne ne saurait expliquer simplement. On dit plutôt qu’il préfère garder une certaine incompréhension sur eux-mêmes, qu’ils ont une peur de donner la clé de leur secret, enfin ce qui au fil du temps s’est fait passer pour un secret. Ce qui augmente aussi leur trouble dit amoureux, qui pour beaucoup de gens se résume à la simple peur d’aimer. Mais, la complexité est de rigueur et pourtant, on peut représenter tout ce qui les fait comme une énorme toile d’araignée prise dans la poussière des années, les fils sont joints, les distensions et les déchirures existent, la transparence a laissé place à une opacité par endroit ; on imagine le reste. Ils se montrent clairement incapable de la moindre explication sur ce qui peut les pousser à avoir ce questionnement, et à leur état qui s’accompagne. Bien sur, cet état n’est pas défini, et leur réaction est toujours aussi diverse. Ils peuvent se plonger hors du monde, pour comme ils le disent survivre, accéder au silence, … on entend souvent les termes de déprime ou de dépression. Il se donne une influence par rapport à quelque chose pour aussi permettre de se donner des phases dites moroses ou d’inquiétudes personnelles, un système que l’on note bien dans notre monde dans les périodes hivernales ou pluvieuses. Le temps a son rôle à jouer dans cette déroute apparente des cœurs, tout comme la Lune…
Nous nous sommes éloignés du sujet initial, mais ce n’est pas très grave, chacune des ces notes ont une raison et comme on l’a dit, font parti intégrantes de cette « toile ». Et, ont aussi une référence dans les sociétés, on peut faire ce constat tout seul.
On admettra aussi un retour vers les autres, une recherche de soutien moral et plus humain, ces personnes souvent porteuses de conseils et ceux malgré eux, ont besoin de retrouver un écho. Elles se tournent discrètement ou de manière brute vers leur cercle fermé ou les « va et vient » sont incessants pour redécouvrir leurs propres mots, elles veulent qu’on leur redonne une certaine force, même si elles ne savent pas toujours bien s’y prendre, avec un comportement en déroute. On ne sait pas soi-même les aider, face à leur état et leurs pensées que l’on sait bien défini, et en vue de leurs explication simplistes mais tout autant complexes. Peu arrivent à dire leur recours et beaucoup se perdent. Il n’y a qu’un pas à faire, essayer de les écouter et surtout de les faire parler, il ne faut pas les laisser dans ce cloître qui les emmènent. Quitte à les pousser davantage, à vous voir comme un regard de pitié, mais il ne faut surtout pas les juger. Chaque personne mérite de vivre, et d’exister dans tout ce qui l’a constitue et semble régir son être. On a beau être son propre guide, comme aurait pu dire des philosophes optimistes et comme la société nous y pousse, on a toujours besoin de quelqu’un pour nous suivre.
Nous avons tous, une limite et pour eux, c’est peut-être ici qu’elle se trouve… On les connaît, mais on ne les voit pas se mourir en leur cœur. Et, notre silence est la pire chose que l’on puisse leur accorder. Il faut apprendre à leur dire, pas ce qu’ils doivent faire, mais leur soumettre des avis et notre regard. Bien sûr, il est assez aisé de dire tel ou tels choses, il faut leur comprendre ce sentiment qui les ronge et les détruit. On ne peut hélas, demander ça à tout le monde, ou l’attendre. Nous le savons et ils le savent.
Mais, il faut leur donner cette chance, et leur montrer qu’ils peuvent croire en une Vie, et surtout que malgré tout ce qu’ils ont eu, l’amour existe pour eux. Car, un jour, vous pourriez vous retourner et vous retrouver devant ce corps éteint qui encore hier vous parlait sans rien paraître. Où même, vous trouvez en cet état qui vous anéantit, si on peut dire, et ne pas savoir ou aller, vers quoi vous tourner, comment faire… On ne peut pas donner toutes les réponses, et même il n’y a pas toujours de proses aux questions, mais on ne doit pas abandonner le jour pour mourir en aimant comme on n’a jamais su aimer.
Ils se retrouvent bien souvent dans le désespoir, en découvrant ce sentiment qu’est l’amour, le plus beau de tous pour des milliards d’hommes et de femmes. Ils ont une raison qui les conduit, les rapproche des allures parfaites que nous cherchons tous, et pourtant ils sont tout aussi repoussés même davantage que les autres… Alors s’ils savent qu’un jour, ils sont aimés pour ce qu’ils sont sans même avoir vu leur corps, ils n’arrivent à l’accepter, ils se perdent littéralement. Sans concessions, ils n’ont pas l’impression d’exister dans ce monde qu’est le nôtre, ils finissent par vivre dans leur esprit, et cachent ce qui leur a été donné, ils n’osent plus ou pas faire les choses. On pourra aussi prononcer la certitude, qu’il n’y a pas d’âge pour cette « maturité repoussante » qui peut être donné d’avoir. On note que la psychiatrie les traitera comme des cas de schizophrénie, elle ne s’arrêtera qu’aux marques apparentes au regard et dans leurs paroles…
Il faut croire en eux, et les retenir même s’ils se tournent en première étape vers une possessivité parfois malsaine pour autrui et pour eux. Mais, ce n’est que plus par intention (ce mot dérange consciemment) de se protéger que de réellement posséder.
On pourrait écrire milles et unes lignes, et plus encore, mais ce ne sera toujours qu’une approche idéaliste. Et, une représentation d’un homme à l’égard d’une femme, dans toute son âme.
Pour vous, nous espérons qu’il y a beaucoup à comprendre. Sincèrement aussi, merci d’être arrivé jusque-là.

Fabien Tremillon
Partage du Poème avec vos contacts

PostScriptum

S’il vous plaît, si vous pouviez le lire, et je sais qu’il est long… merci

Poeme de Fab, Kristell

Poète Fab, Kristell

Fab, Kristell a publié sur le site 339 écrits. Fab, Kristell est membre du site depuis l'année 2004.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Un Article…il=est=par=fois=dif=fi=ci=le=dé=cri=re=tout=ce=quil=y=a=en=nous=et=de=se=don=ner=des=mots=pour=di=re=ce=que=l=hom=me=à=lin=té=rieur=peut=res=sen=tir=on=peut=se=re=trou=ver=très=vi=te=à=court=de=mots=on=dit=quil=ny=en=a=pas=as=sez=et=que=rien=ne=peut=pour=u=ne=fois=les=rem=pla=cer=quand=cet=ins=tant=ar=ri=ve=et=que=tou=tes=les=ques=tions=se=po=sent=on=ne=sait=plus=que=faire=cer=tains=peu=vent=sen=fu=ir=dau=tres=es=sayer=par=des=moyens=dé=tour=nés=de=con=ti=nuer=et=mê=me=quel=ques=uns=pour=sui=vront=leur=rou=te=mal=gré=ce=pas=sa=ge=qui=nest=quu=ne=é=preu=ve=de=plus=mais=per=son=ne=ne=se=com=por=te=de=la=mê=me=ma=niè=re=de=vant=un=tel=obs=ta=cle=que=beau=coup=ne=com=pren=nent=pas=on=dit=aus=si=quil=y=a=des=jours=sans=et=que=le=temps=peut=ar=ran=ger=les=cho=ses=ou=quil=faut=lais=ser=pas=ser=la=cho=se=sans=rien=di=re=sans=se=mou=voir=et=pour=tant=les=ques=tions=re=vien=dront=tou=jours=si=on=ne=les=af=fron=te=pas=u=ne=fois=pour=tou=tes=on=au=ra=beau=les=re=pous=ser=les=é=vi=ter=les=re=je=ter=des=di=zai=nes=et=des=mil=liers=de=jours=a=vant=el=les=se=ront=là=à=ja=mais=il=faut=peut=tê=tre=si=at=tar=der=pren=dre=ou=cher=cher=le=cou=ra=ge=la=for=ce=ou=mê=me=u=ne=lâ=che=té=pour=les=é=prou=ver=leur=don=ner=un=sens=et=à=la=ve=nir=u=ne=ré=ponse 326
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mais=il=faut=leur=don=ner=cet=te=chan=ce=et=leur=mon=trer=quils=peu=vent=croi=re=en=u=ne=vie=et=sur=tout=que=mal=gré=tout=ce=quils=ont=eu=la=mour=exis=te=pour=eux=car=un=jour=vous=pour=riez=vous=re=tour=ner=et=vous=re=trou=ver=de=vant=ce=corps=é=teint=qui=en=co=re=hi=er=vous=par=lait=sans=rien=pa=raî=tre=où=mê=me=vous=trou=vez=en=cet=é=tat=qui=vous=a=né=an=tit=si=on=peut=di=re=et=ne=pas=sa=voir=ou=al=ler=vers=quoi=vous=tour=ner=com=ment=fai=re=on=ne=peut=pas=don=ner=tou=tes=les=ré=pon=ses=et=mê=me=il=ny=a=pas=tou=jours=de=pro=ses=aux=ques=ti=ons=mais=on=ne=doit=pas=a=ban=don=ner=le=jour=pour=mou=rir=en=ai=mant=com=me=on=na=ja=mais=su=ai=mer 167
ils=se=re=trou=vent=bien=sou=vent=dans=le=dé=ses=poir=en=dé=cou=vrant=ce=sen=ti=ment=quest=la=mour=le=plus=beau=de=tous=pour=des=mil=liards=d=hom=mes=et=de=femmes=ils=ont=u=ne=rai=son=qui=les=con=duit=les=rap=pro=che=des=al=lu=res=par=fai=tes=que=nous=cher=chons=tous=et=pour=tant=ils=sont=tout=aus=si=re=pous=sés=mê=me=da=van=ta=ge=que=les=au=tres=a=lors=sils=sa=vent=quun=jour=ils=sont=ai=més=pour=ce=quils=sont=sans=mê=me=a=voir=vu=leur=corps=ils=nar=ri=vent=à=lac=cep=ter=ils=se=per=dent=lit=té=ra=le=ment=sans=con=ces=si=ons=ils=nont=pas=lim=pres=si=on=dexis=ter=dans=ce=mon=de=quest=le=nô=tre=ils=fi=nis=sent=par=vi=vre=dans=leur=es=prit=et=ca=chent=ce=qui=leur=a=é=té=don=né=ils=no=sent=plus=ou=pas=fai=re=les=cho=ses=on=pour=ra=aus=si=pro=non=cer=la=cer=ti=tu=de=quil=ny=a=pas=dâ=ge=pour=cet=te=ma=tu=ri=té=re=pous=san=te=qui=peut=ê=tre=don=né=da=voir=on=no=te=que=la=psy=chia=trie=les=trai=te=ra=com=me=des=cas=de=schi=zo=phré=nie=el=le=ne=sar=rê=te=ra=quaux=mar=ques=ap=pa=ren=tes=au=re=gard=et=dans=leurs=pa=ro=les 263
il=faut=croi=re=en=eux=et=les=re=te=nir=mê=me=sils=se=tour=nent=en=pre=mi=è=re=é=ta=pe=vers=u=ne=pos=ses=si=vi=té=par=fois=mal=sai=ne=pour=au=trui=et=pour=eux=mais=ce=nest=que=plus=par=in=ten=ti=on=ce=mot=dé=ran=ge=cons=ciem=ment=de=se=pro=té=ger=que=de=réel=le=ment=pos=sé=der 75
on=pour=rait=é=cri=re=mil=les=et=u=nes=li=gnes=et=plus=en=co=re=mais=ce=ne=se=ra=tou=jours=quu=ne=ap=pro=che=i=dé=a=lis=te=et=u=ne=re=pré=sen=ta=ti=on=dun=hom=me=à=lé=gard=du=ne=fem=me=dans=tou=te=son=âme 59
pour=vous=nous=es=pé=rons=quil=y=a=beau=coup=à=com=pren=dre=sin=cè=re=ment=aus=si=mer=ci=dê=tre=ar=ri=vé=jus=que=là 31

fa=bien=tre=mil=lon 5
Phonétique : Un Article…il ε paʁfwa difisilə dekʁiʁə tu sə kil i a ɑ̃ nu, e də sə dɔne dε mo puʁ diʁə sə kə lɔmə a lɛ̃teʁjœʁ pø ʁəsɑ̃tiʁ. ɔ̃ pø sə ʁətʁuve tʁε vitə a kuʁ də mo, ɔ̃ di kil ni ɑ̃n- a pa asez- e kə ʁjɛ̃ nə pø, puʁ ynə fwa, lε ʁɑ̃plase. kɑ̃ sεt ɛ̃stɑ̃ aʁivə, e kə tutə lε kεstjɔ̃ sə poze, ɔ̃ nə sε plys kə fεʁə. sεʁtɛ̃ pəve sɑ̃fɥiʁ, dotʁəz- esεje paʁ dε mwajɛ̃ detuʁne də kɔ̃tinɥe, e mεmə kεlkz- œ̃ puʁsɥivʁɔ̃ lœʁ ʁutə, malɡʁe sə pasaʒə ki nε kynə epʁəvə də plys… mε, pεʁsɔnə nə sə kɔ̃pɔʁtə də la mεmə manjεʁə dəvɑ̃ œ̃ tεl ɔpstaklə, kə boku nə kɔ̃pʁεne pa. ɔ̃ di osi kil i a dε ʒuʁ sɑ̃, e kə lə tɑ̃ pø aʁɑ̃ʒe lε ʃozəz- u kil fo lεse pase la ʃozə sɑ̃ ʁjɛ̃ diʁə, sɑ̃ sə muvwaʁ. e puʁtɑ̃, lε kεstjɔ̃ ʁəvjɛ̃dʁɔ̃ tuʒuʁ, si ɔ̃ nə lεz- afʁɔ̃tə pa ynə fwa puʁ tutə, ɔ̃n- oʁa bo lε ʁəpuse, lεz- evite, lε ʁəʒəte dε dizεnəz- e dε milje də ʒuʁz- avɑ̃, εllə səʁɔ̃ la a ʒamε… il fo pø tεtʁə si ataʁde, pʁɑ̃dʁə u ʃεʁʃe lə kuʁaʒə, la fɔʁsə u mεmə ynə laʃəte puʁ lεz- epʁuve, lœʁ dɔne œ̃ sɑ̃sz- e a lavəniʁ ynə ʁepɔ̃sə.
mε lε sɑ̃timɑ̃ nə dwave pa εtʁə la kεstjɔ̃, sə nə sɔ̃ kə dε dutəz- e dε kɔ̃fjɑ̃sə, kil fo akɔʁde u pa… ɑ̃n- œ̃ ʁəɡaʁ, ɑ̃n- œ̃ silɑ̃sə, ɑ̃n- œ̃ ʒεstə, ɑ̃n- œ̃ bεze, ɔ̃ dwa lə vwaʁ u sə tεʁə a ʒamε. ɔ̃ na site œ̃ ʒuʁ, sə tεmə, e ɔ̃n- ɑ̃n- a di kə lə bεze etε la pʁəmjεʁə pɔʁtə də lεtʁə e kə lɔ̃ puvε kɔnεtʁə sɔ̃ kœʁ, sɔ̃n- atɑ̃sjɔ̃, ʁjɛ̃ kɑ̃ sεt pɔsesjɔ̃ efemεʁə. il ni avε ka sublje, e a lεse sɔ̃ kɔʁ paʁle, dɑ̃ tus lε sɑ̃s dy tεʁmə. e, a kʁwaʁə ɑ̃ swa, ʁjɛ̃ kə dɑ̃ sə suʁiʁə puʁ lεz- otʁə.
puʁtɑ̃, lə kʁi də lamuʁ, εt- œ̃ ʁεɲə dy ʁεvə e dy ʁeεl syʁ swa, … lε kεstjɔ̃ puʁ sεʁtɛ̃ sɑ̃ble inevitablə, pa kə sε pεʁsɔnə fase pʁəvə dœ̃ dutə plysz- asidy, u kεlləz- ε mwɛ̃ də skʁypyləz- avøɡləz- ɑ̃ lœʁ εspʁi, u mεmə kə la pœʁ avue dɑ̃ lœʁ pase lœʁ ɛ̃tεʁdisə davɑ̃se… mε, sə nε kynə ʁeynjɔ̃ devεnəmɑ̃, də səl mo, də silɑ̃sə, e bjɛ̃ dotʁə- ʃozə ki lε puse malɡʁe tu vεʁ la ʁeflεksjɔ̃ pɔsesivə. εlləz- ɔ̃ bəzwɛ̃ də sə pʁɔteʒe, də kwa, εllə nə lə save pa, εllə save ʒystə kεlləz- ɔ̃ lepʁuvɑ̃sə də sε kεstjɔ̃z- e sεt- ynə nesesite ki sε fεtə dɑ̃ lə pase. sεʁtə, εllə pəve aʁive a lε kɔ̃tuʁne, mε kɔmə il ε di, εllə sə ʁətʁuvəʁɔ̃ to u taʁ fase a εllə.
ɔ̃ tʁεtəʁa dɑ̃ lə miljø psikɔlɔʒi dynə-ɑ̃tizə syʁ lə pase, u devεnəmɑ̃ divεʁʒɑ̃ ki ɔ̃ fε lemεʁʒɑ̃sə də sεtə dublə kɔ̃sjɑ̃sə də lεtʁə e ki pø lə kɔ̃dɥiʁə a dεz- aʒisəmɑ̃ divez- e œ̃ kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ tʁomatikə ɑ̃ ʁəlasjɔ̃. sə fenɔmεnə pø paʁεtʁə kɔmə ynə sumisjɔ̃, bjɛ̃ suvɑ̃ akyze, e dɑ̃ lə ka dynə ʁepetisjɔ̃ pɑ̃sivə, lεtʁə pø pʁetɑ̃dʁə a sə detʁɥiʁə o kote də sɔ̃ sɑ̃timɑ̃.
dotʁə- ʁeaʒise, ɑ̃ fɔ̃dɑ̃ dε pʁɛ̃sipə tɑ̃dʁəmɑ̃ avue, e ki nɔ̃ kœ̃n- eʃo, səlɥi də vivʁə puʁ otʁɥi. ɔ̃ paʁlə dynə ʒɑ̃tijεsə εksesivə ɑ̃ sɔsjete, dœ̃ kaʁaktεʁə fεblə ɑ̃ ʁəlasjɔ̃, dynə timidite ɑ̃ famijə, u dεɡzaʒeʁasjɔ̃ dɑ̃ leʃεk puʁ lε pεʁsɔnə ki sə puse o mal puʁ nə pa nɥiʁə o bɔnœʁ də lεtʁə εme. il sə kaʃə dɑ̃ lœʁ sufʁɑ̃sə pase, e ɔ̃ boku də ʁəkyl ɑ̃ pɑ̃se syʁ tu sə ki a py lœʁ aʁive, il aksεptə plys fasiləmɑ̃ la mɔʁ, e la sitə kɔmə œ̃ ʁəkuʁz- a lœʁ amuʁ… œ̃ psiʃjatʁə nu diʁε kə sεt- œ̃ sɛ̃dʁomə dy ʁɔmɑ̃tismə u otʁəmɑ̃ ynə fɔli pasaʒεʁə ki napɔʁtə ʁjɛ̃, il oʁa tɑ̃dɑ̃sə a tʁuve dotʁə- ʃozə, e a diʁə kə sə ʒɑ̃ʁə də ʁəɡaʁ syʁ lamuʁ ε dy a laʒə e kə tus nuz- avɔ̃z- y sεtə atitydə œ̃ ʒuʁ. mε la ʒeneʁalizasjɔ̃ nε pa a fεʁə, dε pεʁsɔnə sɔ̃t- a bjɛ̃ distɛ̃ɡe dε ɡʁupə kaʁakteʁistik kə la sɔsjete a kɔ̃stitye. lεz- εɡzɑ̃plə, mεmə si ɔ̃ lε di ʁaʁə, sə pɔʁte dø mεmə.
puʁ ɑ̃ ʁəvəniʁ, o ʁeflεksjɔ̃ ki ɑ̃tuʁe sεʁtɛ̃z- εtʁə- dəvɑ̃ lœʁ sɑ̃timɑ̃. ɔ̃ diʁa kə suvɑ̃ sø si sə dize maladʁwa ɑ̃n- amuʁ, u kil nɔ̃ okynə kɔ̃fjɑ̃sə ɑ̃n- ø… sə sɔ̃ dε nɔsjɔ̃ ki ʁəsɔʁte də ʁapɔʁz- ɑ̃tʁə plyzjœʁ pεʁsɔnə, e ki mɔ̃tʁe kə boku ɔ̃ ynə εstimə limite puʁ ø, kə lœʁ atitydə vis a vis dø mεmə pø εtʁə ʒyʒe detεstablə, il nə vwae okœ̃ ɛ̃teʁε ɑ̃n- ø… e slaʃ u, o kɔ̃tʁεʁə, sε la sɔsjete ki lεz- a məne a œ̃ tεl ʁabεsəmɑ̃, ɔ̃ sə ʁəpɔʁtə tuʒuʁz- a sεz- evenəmɑ̃ ki ɔ̃ y ynə ɛ̃flɥɑ̃sə, mε kə pεʁsɔnə nə soʁε εksplike sɛ̃pləmɑ̃. ɔ̃ di plyto kil pʁefεʁə ɡaʁde ynə sεʁtεnə ɛ̃kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ syʁ ø mεmə, kilz- ɔ̃ ynə pœʁ də dɔne la kle də lœʁ sεkʁε, ɑ̃fɛ̃ sə ki o fil dy tɑ̃ sε fε pase puʁ œ̃ sεkʁε. sə ki oɡmɑ̃tə osi lœʁ tʁublə di amuʁø, ki puʁ boku də ʒɑ̃ sə ʁezymə a la sɛ̃plə pœʁ dεme. mε, la kɔ̃plεksite ε də ʁiɡœʁ e puʁtɑ̃, ɔ̃ pø ʁəpʁezɑ̃te tu sə ki lε fε kɔmə ynə enɔʁmə twalə daʁεɲe pʁizə dɑ̃ la pusjεʁə dεz- ane, lε fis sɔ̃ ʒwɛ̃, lε distɑ̃sjɔ̃z- e lε deʃiʁyʁəz- εɡziste, la tʁɑ̃spaʁɑ̃sə a lεse plasə a ynə ɔpasite paʁ ɑ̃dʁwa, ɔ̃n- imaʒinə lə ʁεstə. il sə mɔ̃tʁe klεʁəmɑ̃ ɛ̃kapablə də la mwɛ̃dʁə εksplikasjɔ̃ syʁ sə ki pø lε puse a avwaʁ sə kεstjɔnəmɑ̃, e a lœʁ eta ki sakɔ̃paɲə. bjɛ̃ syʁ, sεt eta nε pa defini, e lœʁ ʁeaksjɔ̃ ε tuʒuʁz- osi divεʁsə. il pəve sə plɔ̃ʒe ɔʁ dy mɔ̃də, puʁ kɔmə il lə dize syʁvivʁə, aksede o silɑ̃sə, … ɔ̃n- ɑ̃tɑ̃ suvɑ̃ lε tεʁmə- də depʁimə u də depʁesjɔ̃. il sə dɔnə ynə ɛ̃flɥɑ̃sə paʁ ʁapɔʁ a kεlkə ʃozə puʁ osi pεʁmεtʁə də sə dɔne dε fazə ditə mɔʁozəz- u dɛ̃kjetydə pεʁsɔnεllə, œ̃ sistεmə kə lɔ̃ nɔtə bjɛ̃ dɑ̃ nɔtʁə mɔ̃də dɑ̃ lε peʁjɔdəz- ivεʁnaləz- u plyvjøzə. lə tɑ̃z- a sɔ̃ ʁolə a ʒue dɑ̃ sεtə deʁutə apaʁɑ̃tə dε kœʁ, tu kɔmə la lynə…
nu nu sɔməz- elwaɲe dy syʒε inisjal, mε sə nε pa tʁε ɡʁavə, ʃakynə dε sε nɔtəz- ɔ̃ ynə ʁεzɔ̃ e kɔmə ɔ̃ la di, fɔ̃ paʁti ɛ̃teɡʁɑ̃tə də sεtə « twalə ». e, ɔ̃ osi ynə ʁefeʁɑ̃sə dɑ̃ lε sɔsjete, ɔ̃ pø fεʁə sə kɔ̃sta tu səl.
ɔ̃n- admεtʁa osi œ̃ ʁətuʁ vεʁ lεz- otʁə, ynə ʁəʃεʁʃə də sutjɛ̃ mɔʁal e plysz- ymɛ̃, sε pεʁsɔnə suvɑ̃ pɔʁtøzə də kɔ̃sεjz- e sø malɡʁe ø, ɔ̃ bəzwɛ̃ də ʁətʁuve œ̃n- eʃo. εllə sə tuʁne diskʁεtəmɑ̃ u də manjεʁə bʁytə vεʁ lœʁ sεʁklə fεʁme u ləs « va e vjɛ̃t » sɔ̃ ɛ̃sesɑ̃ puʁ ʁədekuvʁiʁ lœʁ pʁɔpʁə- mo, εllə vəle kɔ̃ lœʁ ʁədɔnə ynə sεʁtεnə fɔʁsə, mεmə si εllə nə save pa tuʒuʁ bjɛ̃ si pʁɑ̃dʁə, avεk œ̃ kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ ɑ̃ deʁutə. ɔ̃ nə sε pa swa mεmə lεz- εde, fasə a lœʁ eta e lœʁ pɑ̃se kə lɔ̃ sε bjɛ̃ defini, e ɑ̃ vɥ də lœʁz- εksplikasjɔ̃ sɛ̃plistə mε tut- otɑ̃ kɔ̃plεksə. pø aʁive a diʁə lœʁ ʁəkuʁz- e boku sə pεʁde. il ni a kœ̃ pa a fεʁə, esεje də lεz- ekute e syʁtu də lε fεʁə paʁle, il nə fo pa lε lεse dɑ̃ sə klwatʁə ki lεz- ɑ̃mεne. kitə a lε puse davɑ̃taʒə, a vu vwaʁ kɔmə œ̃ ʁəɡaʁ də pitje, mεz- il nə fo syʁtu pa lε ʒyʒe. ʃakə pεʁsɔnə meʁitə də vivʁə, e dεɡziste dɑ̃ tu sə ki la kɔ̃stitɥ e sɑ̃blə ʁeʒiʁ sɔ̃n- εtʁə. ɔ̃n- a bo εtʁə sɔ̃ pʁɔpʁə ɡidə, kɔmə oʁε py diʁə dε filozɔfəz- ɔptimistəz- e kɔmə la sɔsjete nuz- i pusə, ɔ̃n- a tuʒuʁ bəzwɛ̃ də kεlkœ̃ puʁ nu sɥivʁə.
nuz- avɔ̃ tus, ynə limitə e puʁ ø, sε pø tεtʁə isi kεllə sə tʁuvə… ɔ̃ lε kɔnε, mεz- ɔ̃ nə lε vwa pa sə muʁiʁ ɑ̃ lœʁ kœʁ. e, nɔtʁə silɑ̃sə ε la piʁə ʃozə kə lɔ̃ pɥisə lœʁ akɔʁde. il fo apʁɑ̃dʁə a lœʁ diʁə, pa sə kil dwave fεʁə, mε lœʁ sumεtʁə dεz- aviz- e nɔtʁə ʁəɡaʁ. bjɛ̃ syʁ, il εt- asez- εze də diʁə tεl u tεl ʃozə, il fo lœʁ kɔ̃pʁɑ̃dʁə sə sɑ̃timɑ̃ ki lε ʁɔ̃ʒə e lε detʁɥi. ɔ̃ nə pø ela, dəmɑ̃de sa a tu lə mɔ̃də, u latɑ̃dʁə. nu lə savɔ̃z- e il lə save.
mε, il fo lœʁ dɔne sεtə ʃɑ̃sə, e lœʁ mɔ̃tʁe kil pəve kʁwaʁə ɑ̃n- ynə vi, e syʁtu kə malɡʁe tu sə kilz- ɔ̃ y, lamuʁ εɡzistə puʁ ø. kaʁ, œ̃ ʒuʁ, vu puʁʁje vu ʁətuʁne e vu ʁətʁuve dəvɑ̃ sə kɔʁz- etɛ̃ ki ɑ̃kɔʁə jεʁ vu paʁlε sɑ̃ ʁjɛ̃ paʁεtʁə. u mεmə, vu tʁuvez- ɑ̃ sεt eta ki vuz- aneɑ̃ti, si ɔ̃ pø diʁə, e nə pa savwaʁ u ale, vεʁ kwa vu tuʁne, kɔmɑ̃ fεʁə… ɔ̃ nə pø pa dɔne tutə lε ʁepɔ̃sə, e mεmə il ni a pa tuʒuʁ də pʁozəz- o kεstjɔ̃, mεz- ɔ̃ nə dwa pa abɑ̃dɔne lə ʒuʁ puʁ muʁiʁ ɑ̃n- εmɑ̃ kɔmə ɔ̃ na ʒamε sy εme.
il sə ʁətʁuve bjɛ̃ suvɑ̃ dɑ̃ lə dezεspwaʁ, ɑ̃ dekuvʁɑ̃ sə sɑ̃timɑ̃ kε lamuʁ, lə plys bo də tus puʁ dε miljaʁd dɔməz- e də famə. ilz- ɔ̃ ynə ʁεzɔ̃ ki lε kɔ̃dɥi, lε ʁapʁoʃə dεz- alyʁə paʁfεtə kə nu ʃεʁʃɔ̃ tus, e puʁtɑ̃ il sɔ̃ tut- osi ʁəpuse mεmə davɑ̃taʒə kə lεz- otʁə… alɔʁ sil save kœ̃ ʒuʁ, il sɔ̃t- εme puʁ sə kil sɔ̃ sɑ̃ mεmə avwaʁ vy lœʁ kɔʁ, il naʁive a laksεpte, il sə pεʁde liteʁaləmɑ̃. sɑ̃ kɔ̃sesjɔ̃, il nɔ̃ pa lɛ̃pʁesjɔ̃ dεɡziste dɑ̃ sə mɔ̃də kε lə notʁə, il finise paʁ vivʁə dɑ̃ lœʁ εspʁi, e kaʃe sə ki lœʁ a ete dɔne, il noze plysz- u pa fεʁə lε ʃozə. ɔ̃ puʁʁa osi pʁonɔ̃se la sεʁtitydə, kil ni a pa daʒə puʁ sεtə « matyʁite ʁəpusɑ̃tə » ki pø εtʁə dɔne davwaʁ. ɔ̃ nɔtə kə la psiʃjatʁi lε tʁεtəʁa kɔmə dε ka də skizɔfʁeni, εllə nə saʁεtəʁa ko maʁkz- apaʁɑ̃təz- o ʁəɡaʁ e dɑ̃ lœʁ paʁɔlə…
il fo kʁwaʁə ɑ̃n- ø, e lε ʁətəniʁ mεmə sil sə tuʁne ɑ̃ pʁəmjεʁə etapə vεʁz- ynə pɔsesivite paʁfwa malsεnə puʁ otʁɥi e puʁ ø. mε, sə nε kə plys paʁ ɛ̃tɑ̃sjɔn (sə mo deʁɑ̃ʒə kɔ̃sjamεnt) də sə pʁɔteʒe kə də ʁeεllmɑ̃ pɔsede.
ɔ̃ puʁʁε ekʁiʁə miləz- e ynə liɲə, e plysz- ɑ̃kɔʁə, mε sə nə səʁa tuʒuʁ kynə apʁoʃə idealistə. e, ynə ʁəpʁezɑ̃tasjɔ̃ dœ̃n- ɔmə a leɡaʁ dynə famə, dɑ̃ tutə sɔ̃n- amə.
puʁ vu, nuz- εspeʁɔ̃ kil i a boku a kɔ̃pʁɑ̃dʁə. sɛ̃sεʁəmɑ̃ osi, mεʁsi dεtʁə aʁive ʒyskə la.

fabjɛ̃ tʁəmijɔ̃
Syllabes Phonétique : Un Article…il=ε=paʁ=fwa=di=fi=silə=de=kʁi=ʁə=tu=sə=kil=i=a=ɑ̃=nu=e=də=sə=dɔ=ne=dε=mo=puʁ=di=ʁə=sə=kə=lɔ=məa=lɛ̃=te=ʁjœʁ=pø=ʁə=sɑ̃=tiʁ=ɔ̃=pø=sə=ʁə=tʁu=ve=tʁε=vi=tə=a=kuʁ=də=mo=ɔ̃=di=kil=ni=ɑ̃=na=pa=a=se=ze=kə=ʁjɛ̃=nə=pø=puʁ=y=nə=fwa=lε=ʁɑ̃=pla=se=kɑ̃=sεt=ɛ̃s=tɑ̃=a=ʁi=və=e=kə=tu=tə=lε=kεs=tjɔ̃=sə=po=ze=ɔ̃=nə=sε=plys=kə=fε=ʁə=sεʁ=tɛ̃=pə=ve=sɑ̃f=ɥiʁ=do=tʁə=ze=sε=je=paʁ=dε=mwa=jɛ̃=de=tuʁ=ne=də=kɔ̃=tin=ɥe=e=mε=mə=kεl=kzœ̃=puʁ=sɥi=vʁɔ̃=lœʁ=ʁu=tə=mal=ɡʁe=sə=pa=sa=ʒə=ki=nε=ky=nə=e=pʁə=və=də=plys=mε=pεʁ=sɔ=nə=nə=sə=kɔ̃=pɔʁ=tə=də=la=mε=mə=ma=njε=ʁə=də=vɑ̃=œ̃=tεl=ɔp=sta=klə=kə=bo=ku=nə=kɔ̃=pʁε=ne=pa=ɔ̃=di=o=si=kil=i=a=dε=ʒuʁ=sɑ̃=e=kə=lə=tɑ̃=pø=a=ʁɑ̃=ʒe=lε=ʃo=zə=zu=kil=fo=lε=se=pa=se=la=ʃo=zə=sɑ̃=ʁjɛ̃=di=ʁə=sɑ̃=sə=mu=vwaʁ=e=puʁ=tɑ̃=lε=kεs=tjɔ̃=ʁə=vjɛ̃=dʁɔ̃=tu=ʒuʁ=si=ɔ̃=nə=lε=za=fʁɔ̃=tə=pa=y=nə=fwa=puʁ=tu=tə=ɔ̃=no=ʁa=bo=lε=ʁə=pu=se=lε=ze=vi=te=lε=ʁə=ʒə=te=dε=di=zε=nə=ze=dε=mi=lje=də=ʒuʁ=za=vɑ̃=εl=lə=sə=ʁɔ̃=la=a=ʒa=mε=il=fo=pø=tε=tʁə=si=a=taʁ=de=pʁɑ̃=dʁə=u=ʃεʁ=ʃe=lə=ku=ʁa=ʒə=la=fɔʁ=sə=u=mε=mə=y=nə=la=ʃə=te=puʁ=lε=ze=pʁu=ve=lœʁ=dɔ=ne=œ̃=sɑ̃s=ze=a=la=və=niʁ=y=nə=ʁe=pɔ̃sə 324
mε=lε=sɑ̃=ti=mɑ̃nə=dwa=ve=pa=ε=tʁə=la=kεs=tjɔ̃=sə=nə=sɔ̃=kə=dε=du=tə=ze=dε=kɔ̃=fjɑ̃=sə=kil=fo=a=kɔʁ=de=u=pa=ɑ̃=nœ̃=ʁə=ɡaʁ=ɑ̃=nœ̃=si=lɑ̃=sə=ɑ̃=nœ̃=ʒεs=tə=ɑ̃=nœ̃=bε=ze=ɔ̃=dwa=lə=vwaʁ=u=sə=tε=ʁəa=ʒa=mε=ɔ̃=na=si=te=œ̃=ʒuʁ=sə=tε=mə=e=ɔ̃=nɑ̃=na=di=kə=lə=bε=ze=e=tε=la=pʁə=mjε=ʁə=pɔʁ=tə=də=lε=tʁə=e=kə=lɔ̃=pu=vε=kɔ=nε=tʁə=sɔ̃=kœʁ=sɔ̃=na=tɑ̃=sjɔ̃=ʁjɛ̃=kɑ̃=sεt=pɔ=se=sjɔ̃=e=fe=mε=ʁə=il=ni=a=vε=ka=su=blje=e=a=lε=se=sɔ̃=kɔʁ=paʁ=le=dɑ̃=tus=lε=sɑ̃s=dy=tεʁ=mə=e=a=kʁwa=ʁə=ɑ̃=swa=ʁjɛ̃=kə=dɑ̃=sə=su=ʁi=ʁə=puʁ=lε=zotʁə 150
puʁ=tɑ̃=lə=kʁidə=la=muʁ=ε=tœ̃=ʁε=ɲə=dy=ʁε=vəe=dyʁe=εl=syʁ=swa=lε=kεs=tjɔ̃=puʁ=sεʁ=tɛ̃=sɑ̃=ble=i=ne=vi=ta=blə=pa=kə=sε=pεʁ=sɔ=nə=fa=se=pʁə=və=dœ̃=du=tə=plys=za=si=dy=u=kεllə=zε=mwɛ̃=də=skʁy=py=lə=za=vø=ɡlə=zɑ̃=lœʁ=εs=pʁi=u=mε=mə=kə=la=pœʁ=a=vu=e=dɑ̃=lœʁ=pa=se=lœʁ=ɛ̃=tεʁ=di=sə=da=vɑ̃=se=mε=sə=nε=ky=nə=ʁe=y=njɔ̃=de=vε=nə=mɑ̃=də=səl=mo=də=si=lɑ̃=sə=e=bjɛ̃=do=tʁə=ʃo=zə=ki=lε=pu=se=mal=ɡʁe=tu=vεʁ=la=ʁe=flεk=sjɔ̃=pɔ=se=si=və=εl=lə=zɔ̃=bə=zwɛ̃=də=sə=pʁɔ=te=ʒe=də=kwa=εl=lə=nə=lə=sa=ve=pa=εl=lə=sa=ve=ʒys=tə=kεl=lə=zɔ̃=le=pʁu=vɑ̃=sə=də=sε=kεs=tjɔ̃=ze=sε=ty=nə=ne=se=si=te=ki=sε=fε=tə=dɑ̃=lə=pa=se=sεʁ=tə=εl=lə=pə=ve=a=ʁi=ve=a=lε=kɔ̃=tuʁ=ne=mε=kɔ=mə=il=ε=di=εl=lə=sə=ʁə=tʁu=və=ʁɔ̃=to=u=taʁ=fa=se=a=εllə 210
ɔ̃=tʁεtə=ʁa=dɑ̃=lə=mi=ljø=psi=kɔ=lɔ=ʒi=dy=nə-ɑ̃=ti=zə=syʁ=lə=pa=se=u=de=vε=nə=mɑ̃=di=vεʁ=ʒɑ̃=ki=ɔ̃=fε=le=mεʁ=ʒɑ̃=sə=də=sε=tə=du=blə=kɔ̃=sjɑ̃=sə=də=lε=tʁəe=ki=pø=lə=kɔ̃d=ɥi=ʁə=a=dε=za=ʒi=sə=mɑ̃=di=ve=ze=œ̃=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=tʁo=ma=ti=kə=ɑ̃=ʁə=la=sjɔ̃=sə=fe=nɔ=mε=nə=pø=pa=ʁε=tʁə=kɔ=mə=y=nə=su=mi=sjɔ̃=bjɛ̃=su=vɑ̃=a=ky=ze=e=dɑ̃=lə=ka=dy=nə=ʁe=pe=ti=sjɔ̃=pɑ̃=si=və=lε=tʁə=pø=pʁe=tɑ̃=dʁə=a=sə=det=ʁɥi=ʁə=o=ko=te=də=sɔ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃ 128
dotʁə=ʁe=a=ʒi=se=ɑ̃=fɔ̃=dɑ̃=dε=pʁɛ̃=si=pə=tɑ̃=dʁə=mɑ̃=a=vu=e=e=ki=nɔ̃=kœ̃=ne=ʃo=səl=ɥi=də=vi=vʁə=puʁ=ot=ʁɥi=ɔ̃=paʁ=lə=dy=nə=ʒɑ̃=ti=jε=səεk=se=si=və=ɑ̃=sɔ=sje=te=dœ̃=ka=ʁak=tε=ʁə=fε=blə=ɑ̃=ʁə=la=sjɔ̃=dy=nə=ti=mi=di=te=ɑ̃=fa=mi=jə=u=dεɡ=za=ʒe=ʁa=sjɔ̃=dɑ̃=le=ʃεk=puʁ=lε=pεʁ=sɔ=nə=ki=sə=pu=se=o=mal=puʁ=nə=pa=nɥi=ʁə=o=bɔ=nœʁ=də=lε=tʁə=ε=me=il=sə=ka=ʃə=dɑ̃=lœʁ=su=fʁɑ̃=sə=pa=se=e=ɔ̃=bo=ku=də=ʁə=kyl=ɑ̃=pɑ̃=se=syʁ=tu=sə=ki=a=py=lœʁ=a=ʁi=ve=il=ak=sεp=tə=plys=fa=si=lə=mɑ̃=la=mɔʁ=e=la=si=tə=kɔ=mə=œ̃=ʁə=kuʁ=za=lœʁ=a=muʁ=œ̃=psi=ʃja=tʁə=nu=di=ʁε=kə=sε=tœ̃=sɛ̃=dʁo=mə=dy=ʁɔ=mɑ̃=tis=mə=u=o=tʁə=mɑ̃=y=nə=fɔ=li=pa=sa=ʒε=ʁə=ki=na=pɔʁ=tə=ʁjɛ̃=il=o=ʁa=tɑ̃=dɑ̃=sə=a=tʁu=ve=do=tʁə=ʃo=zə=e=a=di=ʁə=kə=sə=ʒɑ̃=ʁə=də=ʁə=ɡaʁ=syʁ=la=muʁ=ε=dy=a=la=ʒə=e=kə=tus=nu=za=vɔ̃=zy=sε=tə=a=ti=ty=də=œ̃=ʒuʁ=mε=la=ʒe=ne=ʁa=li=za=sjɔ̃=nε=pa=a=fε=ʁə=dε=pεʁ=sɔ=nə=sɔ̃=ta=bjɛ̃=dis=tɛ̃=ɡe=dε=ɡʁu=pə=ka=ʁak=te=ʁis=tik=kə=la=sɔ=sje=te=a=kɔ̃s=ti=ty=e=lε=zεɡ=zɑ̃=plə=mε=mə=si=ɔ̃=lε=di=ʁa=ʁə=sə=pɔʁ=te=dø=mεmə 297
puʁ=ɑ̃ʁə=və=niʁ=o=ʁe=flεk=sjɔ̃=ki=ɑ̃=tu=ʁe=sεʁ=tɛ̃=zε=tʁə=də=vɑ̃=lœʁ=sɑ̃=ti=mɑ̃=ɔ̃=di=ʁa=kə=su=vɑ̃=sø=si=sə=di=ze=ma=la=dʁwa=ɑ̃=na=muʁ=u=kil=nɔ̃=o=ky=nə=kɔ̃=fjɑ̃=səɑ̃=nø=sə=sɔ̃=dε=nɔ=sjɔ̃=ki=ʁə=sɔʁ=te=də=ʁa=pɔʁ=zɑ̃=tʁə=ply=zjœʁ=pεʁ=sɔ=nə=e=ki=mɔ̃=tʁe=kə=bo=ku=ɔ̃=y=nə=εs=ti=mə=li=mi=te=puʁ=ø=kə=lœʁ=a=ti=ty=də=vis=a=vis=dø=mε=mə=pø=ε=tʁə=ʒy=ʒe=de=tεs=ta=blə=il=nə=vwa=o=kœ̃=ɛ̃=te=ʁε=ɑ̃=nø=e=slaʃ=u=o=kɔ̃=tʁε=ʁə=sε=la=sɔ=sje=te=ki=lε=za=mə=ne=a=œ̃=tεl=ʁa=bε=sə=mɑ̃=ɔ̃=sə=ʁə=pɔʁ=tə=tu=ʒuʁ=za=sε=ze=ve=nə=mɑ̃=ki=ɔ̃=y=y=nə=ɛ̃f=lɥɑ̃=sə=mε=kə=pεʁ=sɔ=nə=nə=so=ʁε=εk=spli=ke=sɛ̃=plə=mɑ̃=ɔ̃=di=ply=to=kil=pʁe=fε=ʁə=ɡaʁ=de=y=nə=sεʁ=tε=nə=ɛ̃=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=syʁ=ø=mε=mə=kil=zɔ̃=y=nə=pœʁ=də=dɔ=ne=la=kle=də=lœʁ=sε=kʁε=ɑ̃=fɛ̃=sə=ki=o=fil=dy=tɑ̃=sε=fε=pa=se=puʁ=œ̃=sε=kʁε=sə=ki=oɡ=mɑ̃=tə=o=si=lœʁ=tʁu=blə=di=a=mu=ʁø=ki=puʁ=bo=ku=də=ʒɑ̃=sə=ʁe=zy=mə=a=la=sɛ̃=plə=pœʁ=dε=me=mε=la=kɔ̃=plεk=si=te=ε=də=ʁi=ɡœʁ=e=puʁ=tɑ̃=ɔ̃=pø=ʁə=pʁe=zɑ̃=te=tu=sə=ki=lε=fε=kɔ=mə=y=nə=e=nɔʁ=mə=twa=lə=da=ʁε=ɲe=pʁi=zə=dɑ̃=la=pu=sjε=ʁə=dε=za=ne=lε=fis=sɔ̃=ʒwɛ̃=lε=dis=tɑ̃=sjɔ̃=ze=lε=de=ʃi=ʁy=ʁə=zεɡ=zis=te=la=tʁɑ̃s=pa=ʁɑ̃=sə=a=lε=se=pla=sə=a=y=nə=ɔ=pa=si=te=paʁ=ɑ̃=dʁwa=ɔ̃=ni=ma=ʒi=nə=lə=ʁεs=tə=il=sə=mɔ̃=tʁe=klε=ʁə=mɑ̃=ɛ̃=ka=pa=blə=də=la=mwɛ̃=dʁə=εk=spli=ka=sjɔ̃=syʁ=sə=ki=pø=lε=pu=se=a=a=vwaʁ=sə=kεs=tjɔ=nə=mɑ̃=e=a=lœʁ=e=ta=ki=sa=kɔ̃=pa=ɲə=bjɛ̃=syʁ=sεt=e=ta=nε=pa=de=fi=ni=e=lœʁ=ʁe=ak=sjɔ̃=ε=tu=ʒuʁ=zo=si=di=vεʁ=sə=il=pə=ve=sə=plɔ̃=ʒe=ɔʁ=dy=mɔ̃=də=puʁ=kɔ=mə=il=lə=di=ze=syʁ=vi=vʁə=ak=se=de=o=si=lɑ̃=sə=ɔ̃=nɑ̃=tɑ̃=su=vɑ̃=lε=tεʁ=mə=də=de=pʁi=mə=u=də=de=pʁe=sjɔ̃=il=sə=dɔ=nə=y=nə=ɛ̃f=lɥɑ̃=sə=paʁ=ʁa=pɔʁ=a=kεl=kə=ʃo=zə=puʁ=o=si=pεʁ=mε=tʁə=də=sə=dɔ=ne=dε=fa=zə=di=tə=mɔ=ʁo=zə=zu=dɛ̃=kje=ty=də=pεʁ=sɔ=nεllə=œ̃=sis=tε=mə=kə=lɔ̃=nɔ=tə=bjɛ̃=dɑ̃=nɔ=tʁə=mɔ̃=də=dɑ̃=lε=pe=ʁjɔ=də=zi=vεʁ=na=lə=zu=ply=vjø=zə=lə=tɑ̃=za=sɔ̃=ʁo=lə=a=ʒu=e=dɑ̃=sε=tə=de=ʁu=tə=a=pa=ʁɑ̃=tə=dε=kœʁ=tu=kɔ=mə=la=lynə 559
nu=nu=sɔ=mə=ze=lwa=ɲe=dy=sy=ʒε=i=ni=sjal=mε=sə=nε=pa=tʁε=ɡʁa=və=ʃa=ky=nə=dε=sε=nɔ=tə=zɔ̃=y=nə=ʁε=zɔ̃=e=kɔ=mə=ɔ̃=la=di=fɔ̃=paʁ=ti=ɛ̃=te=ɡʁɑ̃=tə=də=sε=tə=twa=lə=e=ɔ̃=o=si=y=nə=ʁe=fe=ʁɑ̃=sə=dɑ̃=lε=sɔ=sje=te=ɔ̃=pø=fε=ʁə=sə=kɔ̃s=ta=tu=səl 74
ɔ̃=nad=mε=tʁa=o=si=œ̃=ʁə=tuʁ=vεʁ=lε=zotʁə=y=nə=ʁə=ʃεʁ=ʃə=də=su=tjɛ̃=mɔ=ʁal=e=plys=zy=mɛ̃=sε=pεʁ=sɔ=nə=su=vɑ̃=pɔʁ=tø=zə=də=kɔ̃=sεj=ze=sø=mal=ɡʁe=ø=ɔ̃=bə=zwɛ̃=də=ʁə=tʁu=ve=œ̃=ne=ʃo=εl=lə=sə=tuʁ=ne=dis=kʁε=tə=mɑ̃=u=də=ma=njε=ʁə=bʁy=tə=vεʁ=lœʁ=sεʁ=klə=fεʁ=me=u=ləs=va=e=vjɛ̃t=sɔ̃=ɛ̃=se=sɑ̃=puʁ=ʁə=de=ku=vʁiʁ=lœʁ=pʁɔ=pʁə=mo=εl=lə=və=le=kɔ̃=lœʁ=ʁə=dɔ=nəy=nə=sεʁ=tε=nə=fɔʁ=sə=mε=mə=si=εllə=nə=sa=ve=pa=tu=ʒuʁ=bjɛ̃=si=pʁɑ̃=dʁə=a=vεk=œ̃=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=ɑ̃=de=ʁu=tə=ɔ̃=nə=sε=pa=swa=mε=mə=lε=zε=de=fa=sə=a=lœʁ=e=ta=e=lœʁ=pɑ̃=se=kə=lɔ̃=sε=bjɛ̃=de=fi=ni=e=ɑ̃=vɥ=də=lœʁ=zεk=spli=ka=sjɔ̃=sɛ̃=plis=tə=mε=tu=to=tɑ̃=kɔ̃=plεk=sə=pø=a=ʁi=ve=a=di=ʁə=lœʁ=ʁə=kuʁ=ze=bo=ku=sə=pεʁ=de=il=ni=a=kœ̃=pa=a=fε=ʁə=e=sε=je=də=lε=ze=ku=te=e=syʁ=tu=də=lε=fε=ʁə=paʁ=le=il=nə=fo=pa=lε=lε=se=dɑ̃=sə=klwa=tʁə=ki=lε=zɑ̃=mε=ne=ki=tə=a=lε=pu=se=da=vɑ̃=ta=ʒə=a=vu=vwaʁ=kɔ=mə=œ̃=ʁə=ɡaʁ=də=pi=tje=mε=zil=nə=fo=syʁ=tu=pa=lε=ʒy=ʒe=ʃa=kə=pεʁ=sɔ=nə=me=ʁi=tə=də=vi=vʁə=e=dεɡ=zis=te=dɑ̃=tu=sə=ki=la=kɔ̃s=titɥ=e=sɑ̃=blə=ʁe=ʒiʁ=sɔ̃=nε=tʁə=ɔ̃=na=bo=ε=tʁə=sɔ̃=pʁɔ=pʁə=ɡi=də=kɔ=mə=o=ʁε=py=di=ʁə=dε=fi=lo=zɔ=fə=zɔp=ti=mis=tə=ze=kɔ=mə=la=sɔ=sje=te=nu=zi=pu=sə=ɔ̃=na=tu=ʒuʁ=bə=zwɛ̃=də=kεl=kœ̃=puʁ=nu=sɥivʁə 346
nu=za=vɔ̃=tus=ynə=li=mi=təe=puʁ=ø=sε=pø=tε=tʁə=i=si=kεllə=sə=tʁu=və=ɔ̃=lε=kɔ=nε=mε=zɔ̃=nə=lε=vwa=pa=sə=mu=ʁiʁ=ɑ̃=lœʁ=kœʁ=e=nɔ=tʁə=si=lɑ̃=sə=ε=la=pi=ʁə=ʃo=zə=kə=lɔ̃=pɥi=sə=lœʁ=a=kɔʁ=de=il=fo=a=pʁɑ̃=dʁə=a=lœʁ=di=ʁə=pa=sə=kil=dwa=ve=fε=ʁə=mε=lœʁ=su=mε=tʁə=dε=za=vi=ze=nɔ=tʁə=ʁə=ɡaʁ=bjɛ̃=syʁ=il=ε=ta=se=zε=ze=də=di=ʁə=tεl=u=tεl=ʃo=zə=il=fo=lœʁ=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=sə=sɑ̃=ti=mɑ̃=ki=lε=ʁɔ̃=ʒə=e=lε=det=ʁɥi=ɔ̃=nə=pø=e=la=də=mɑ̃=de=sa=a=tu=lə=mɔ̃=də=u=la=tɑ̃=dʁə=nu=lə=sa=vɔ̃=ze=il=lə=sa=ve 146
mε=il=fo=lœʁ=dɔ=ne=sεtə=ʃɑ̃=sə=e=lœʁ=mɔ̃=tʁe=kil=pə=ve=kʁwa=ʁəɑ̃=ny=nə=vi=e=syʁ=tu=kə=mal=ɡʁe=tu=sə=kil=zɔ̃=y=la=muʁ=εɡ=zis=tə=puʁ=ø=kaʁ=œ̃=ʒuʁ=vu=puʁ=ʁje=vu=ʁə=tuʁ=ne=e=vu=ʁə=tʁu=ve=də=vɑ̃=sə=kɔʁ=ze=tɛ̃=ki=ɑ̃=kɔ=ʁə=jεʁ=vu=paʁ=lε=sɑ̃=ʁjɛ̃=pa=ʁε=tʁə=u=mε=mə=vu=tʁu=ve=zɑ̃=sεt=e=ta=ki=vu=za=ne=ɑ̃=ti=si=ɔ̃=pø=di=ʁə=e=nə=pa=sa=vwaʁ=u=a=le=vεʁ=kwa=vu=tuʁ=ne=kɔ=mɑ̃=fε=ʁə=ɔ̃=nə=pø=pa=dɔ=ne=tu=tə=lε=ʁe=pɔ̃=sə=e=mε=mə=il=ni=a=pa=tu=ʒuʁ=də=pʁo=zə=zo=kεs=tjɔ̃=mε=zɔ̃=nə=dwa=pa=a=bɑ̃=dɔ=ne=lə=ʒuʁ=puʁ=mu=ʁiʁ=ɑ̃=nε=mɑ̃=kɔ=mə=ɔ̃=na=ʒa=mε=sy=ε=me 164
il=sə=ʁə=tʁu=ve=bjɛ̃=su=vɑ̃=dɑ̃lə=de=zεs=pwaʁ=ɑ̃=de=ku=vʁɑ̃=sə=sɑ̃=ti=mɑ̃=kε=la=muʁ=lə=plys=bo=də=tus=puʁ=dε=mi=ljaʁd=dɔ=mə=ze=də=fa=mə=il=zɔ̃=y=nə=ʁε=zɔ̃=ki=lε=kɔ̃d=ɥi=lε=ʁa=pʁo=ʃə=dε=za=ly=ʁə=paʁ=fε=tə=kə=nu=ʃεʁ=ʃɔ̃=tus=e=puʁ=tɑ̃=il=sɔ̃=tu=to=si=ʁə=pu=se=mε=mə=da=vɑ̃=ta=ʒə=kə=lε=zo=tʁə=a=lɔʁ=sil=sa=ve=kœ̃=ʒuʁ=il=sɔ̃=tε=me=puʁ=sə=kil=sɔ̃=sɑ̃=mε=məa=vwaʁ=vy=lœʁ=kɔʁ=il=na=ʁi=ve=a=lak=sεp=te=il=sə=pεʁ=de=li=te=ʁa=lə=mɑ̃=sɑ̃=kɔ̃=se=sjɔ̃=il=nɔ̃=pa=lɛ̃=pʁe=sjɔ̃=dεɡ=zis=te=dɑ̃=sə=mɔ̃=də=kε=lə=no=tʁə=il=fi=ni=se=paʁ=vi=vʁə=dɑ̃=lœʁ=εs=pʁi=e=ka=ʃe=sə=ki=lœʁ=a=e=te=dɔ=ne=il=no=ze=plys=zu=pa=fε=ʁə=lε=ʃo=zə=ɔ̃=puʁ=ʁa=o=si=pʁo=nɔ̃=se=la=sεʁ=ti=ty=də=kil=ni=a=pa=da=ʒə=puʁ=sε=tə=ma=ty=ʁi=te=ʁə=pu=sɑ̃=tə=ki=pø=ε=tʁə=dɔ=ne=da=vwaʁ=ɔ̃=nɔ=tə=kə=la=psi=ʃja=tʁi=lε=tʁε=tə=ʁa=kɔ=mə=dε=ka=də=ski=zɔ=fʁe=ni=εl=lə=nə=sa=ʁε=tə=ʁa=ko=maʁ=kza=pa=ʁɑ̃=tə=zo=ʁə=ɡaʁ=e=dɑ̃=lœʁ=pa=ʁɔlə 258
il=fo=kʁwa=ʁə=ɑ̃=nø=e=lε=ʁə=tə=niʁ=mε=mə=sil=sə=tuʁ=ne=ɑ̃=pʁə=mjε=ʁə=e=ta=pə=vεʁ=zy=nə=pɔ=se=si=vi=te=paʁ=fwa=mal=sε=nə=puʁ=ot=ʁɥi=e=puʁ=ø=mε=sə=nε=kə=plys=paʁ=ɛ̃=tɑ̃=sjɔ=nə=sə=mo=de=ʁɑ̃=ʒə=kɔ̃=sja=mεnt=də=sə=pʁɔ=te=ʒe=kə=də=ʁe=εl=lmɑ̃=pɔ=se=de 74
ɔ̃=puʁ=ʁε=e=kʁi=ʁə=mi=lə=ze=y=nə=li=ɲə=e=plys=zɑ̃=kɔ=ʁə=mε=sə=nə=sə=ʁa=tu=ʒuʁ=ky=nə=a=pʁo=ʃə=i=de=a=lis=tə=e=y=nə=ʁə=pʁe=zɑ̃=ta=sj=ɔ̃=dœ̃=nɔ=mə=a=le=ɡaʁ=dy=nə=fa=mə=dɑ̃=tu=tə=sɔ̃=na=mə 60
puʁ=vu=nu=zεs=pe=ʁɔ̃=kil=i=a=bo=ku=a=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=sɛ̃=sε=ʁə=mɑ̃=o=si=mεʁ=si=dε=tʁə=a=ʁi=ve=ʒys=kə=la 31

fa=bj=ɛ̃=tʁə=mi=j=ɔ̃ 7

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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
14/11/2005 19:01Trystania

C très touchant ce texte mon ange ^^ j’M beaucoup^^
Ca me fait comprendre certaines choses ... et ça me fait plaisir que tu l’ai écris 😚
Il y ’ a des choses dont je vais tenir compte^^ enfin, essayer au moins^^ comme euhmm :S ... par exemple ;
"Il n’y a qu’un pas à faire, essayer de les écouter et surtout de les faire parler, il ne faut pas les laisser dans ce cloître qui les emmènent." ... Tu C bien que jt’écoute mon coeur...et si tu veux parler...j’suis tjrs là pour toi^^ mais bon t’as T ti secrets ... et j’ai pas envie de ... enfin ... j’ai pas envie de te donner l’impression que je veux te forcer à dire des trucs 🌹 ... Si tu veux pas, tu me le di et pi C bon, j’veux pas t’embêter sur des sujets que tu veux garder pr toi ^^ 😳
Mais bon ... si tu ve parler jsui là et j’le serai toujours si t’as besoin ^^
Et j’suis désolée si j’te fé du mal inconsciemment/ involontairement ... C pas du tout ce que j’veux ... Et si j’peux m’améliorer ... dis-le moi ... j’essayerais pour toi ....
Et ne doutes pas de moi et de mes sentiments stp, ils sont vrais, je t’aime et C tout, faut pas chercher des raisons du pourquoi ou du comment ... Jt’aime C tout et ça changera pas ... J’veux personne d’autre que toi dans mon ❤ et franchment, j’ai envie de t’aider ... mais parle-moi alors ... j’suis sûre que t’as beaucoup à dire mais que tu te l’écrases et que t’écris tes textes pour te sentir mieux et t’exprimer un peu ... mais ... parle-moi de tes peines ... parle-moi de tes peurs...parle-moi je te crois ... parle-moi de ton cœur ... qui se meurt au combat ...
Je t’aime ... n’en doute pas ... (L)(f)

Poème Être
Du 14/11/2005 15:08

L'écrit contient 1875 mots qui sont répartis dans 2 strophes.