Poème:Le Temps Perdu
Le Poème
Le chrono tourne en se demandant ceci,
Dans sa réflexion cyclique, je l’entendis.
– Ô moi qui apporte régularité à ce monde,
D’où brime la mort, d’où la vie surabonde.
Après tant d’impétuosités, quelle bérézina !
Cynique et mutique, j’émets aussi le dictat,
Anémiant au ralenti ce qui est d’ordre palpable.
C’est ainsi que les gens veulent l’irrécupérable.
Du temps perdu à…
Prendre pour camarades des patelins,
Cultiver le vide, puis se sentir inutile,
Réaliser la cause d’une plaie incurable,
Trouver une glose à son fatum inique,
S’astreindre à se coltiner un type servile,
Pouvoir éviter la dépendance affective,
Se reconstruire dans un cadre disruptif,
Démêler des accrochages intempestifs,
Respirer la vingtaine pour un sexagénaire,
Vouloir visiter ceux dépris sans ménagement,
Résorber son soi cacochyme par un double-jeu,
Machiner le talion quand l’amnistie vaudrait déférence,
Se dépêtrer de traumatismes de la tendre enfance,
Tracer des itinéraires sans s’y enchevêtrer,
Rechercher les possessions par des rapines,
Faire des remontrances pour des broutilles,
Faire des polémiques au lieu de se fédérer.
Du temps perdu…
Je veux voir cette étape où poussent les ramées,
Mais je ne peux rajouter à nos vies une coudée,
Sauf remâcher ce qui épargnera un tiers-temps
Et palliera à l’échéance de mes grands-parents.
Car nous sommes tous débiteurs d’un créancier :
Temps quantique, fluctuant pour chaque entité,
Demandant en ce carcan oblong et indevinable
Si la coda vaut l’endolorissement amortissable.
– Je suis bien le truisme de la dégradation !
Puisque plus j’avance, plus on viole ma substance.
Ils feignent d’atteindre l’imperméable quintessence,
Alors qu’ils se hérissent dans les préoccupations.
– Le passé a des poids que superpose le présent.
J’exore le sort qu’il cesse de me compéter,
Afin d’attenir mère et fratrie durablement,
En narguant ces détracteurs autocentrés.
Certains ont interloqué madame Horaire,
Faisant le pied de grue pour leurs concubins.
À chaque verdeur printanière, le rut s’en vient,
Puis, bredouilles et penauds, ils réitèrent.
L’on perd son temps pour des mondanités,
Quand l’apocalypse est en train d’enfanter !
« Mais qu’ai-je à foutre du Jugement dernier ? »
Ricassent-ils, vivant toujours plus dépravés…
Dans sa réflexion cyclique, je l’entendis.
– Ô moi qui apporte régularité à ce monde,
D’où brime la mort, d’où la vie surabonde.
Après tant d’impétuosités, quelle bérézina !
Cynique et mutique, j’émets aussi le dictat,
Anémiant au ralenti ce qui est d’ordre palpable.
C’est ainsi que les gens veulent l’irrécupérable.
Du temps perdu à…
Prendre pour camarades des patelins,
Cultiver le vide, puis se sentir inutile,
Réaliser la cause d’une plaie incurable,
Trouver une glose à son fatum inique,
S’astreindre à se coltiner un type servile,
Pouvoir éviter la dépendance affective,
Se reconstruire dans un cadre disruptif,
Démêler des accrochages intempestifs,
Respirer la vingtaine pour un sexagénaire,
Vouloir visiter ceux dépris sans ménagement,
Résorber son soi cacochyme par un double-jeu,
Machiner le talion quand l’amnistie vaudrait déférence,
Se dépêtrer de traumatismes de la tendre enfance,
Tracer des itinéraires sans s’y enchevêtrer,
Rechercher les possessions par des rapines,
Faire des remontrances pour des broutilles,
Faire des polémiques au lieu de se fédérer.
Du temps perdu…
Je veux voir cette étape où poussent les ramées,
Mais je ne peux rajouter à nos vies une coudée,
Sauf remâcher ce qui épargnera un tiers-temps
Et palliera à l’échéance de mes grands-parents.
Car nous sommes tous débiteurs d’un créancier :
Temps quantique, fluctuant pour chaque entité,
Demandant en ce carcan oblong et indevinable
Si la coda vaut l’endolorissement amortissable.
– Je suis bien le truisme de la dégradation !
Puisque plus j’avance, plus on viole ma substance.
Ils feignent d’atteindre l’imperméable quintessence,
Alors qu’ils se hérissent dans les préoccupations.
– Le passé a des poids que superpose le présent.
J’exore le sort qu’il cesse de me compéter,
Afin d’attenir mère et fratrie durablement,
En narguant ces détracteurs autocentrés.
Certains ont interloqué madame Horaire,
Faisant le pied de grue pour leurs concubins.
À chaque verdeur printanière, le rut s’en vient,
Puis, bredouilles et penauds, ils réitèrent.
L’on perd son temps pour des mondanités,
Quand l’apocalypse est en train d’enfanter !
« Mais qu’ai-je à foutre du Jugement dernier ? »
Ricassent-ils, vivant toujours plus dépravés…
PostScriptum
« Carcan oblong » désigne le cycle du temps, à la fois enfermant (carcan) et étiré (oblong) ; « indevinable » pour l’impossibilité de connaître la nature, la fin, ou le sens de ce « carcan » temporel. « Si la coda vaut l’endolorissement amortissable » signifie que les entités se demandent si la conclusion de la vie (la "coda" par extension poétique) vaut — c’est-à-dire mérite, justifie, ou compense — la douleur endurée tout au long de l’existence, cette douleur amortie dans le temps ?

Poète Hassan Hyjazi
Hassan Hyjazi a publié sur le site 299 écrits. Hassan Hyjazi est membre du site depuis l'année 2020.Lire le profil du poète Hassan HyjaziSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Temps Perdu
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pren=dre=pour=ca=ma=ra=des=des=pa=te=lins 11
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trou=ver=u=ne=glo=se=à=son=fa=tum=i=ni=que 13
sas=trein=dre=à=se=col=ti=ner=un=ty=pe=ser=vi=le 14
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se=re=cons=trui=re=dans=un=ca=dre=dis=rup=tif 12
dé=mê=ler=des=ac=cro=cha=ges=in=tem=pes=tif=s 13
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vou=loir=vi=si=ter=ceux=dé=pris=sans=mé=na=ge=ment 13
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se=dé=pê=trer=de=trau=ma=tismes=de=la=ten=dre=en=fance 14
tra=cer=des=i=ti=né=rai=res=sans=sy=en=che=vê=trer 14
re=cher=cher=les=pos=ses=si=ons=par=des=ra=pi=nes 13
fai=re=des=re=mon=tran=ces=pour=des=brou=ti=lles 12
fai=re=des=po=lé=mi=ques=au=lieu=de=se=fé=dé=rer 14
du=temps=per=du 4
je=veux=voir=cet=te=é=ta=pe=où=pous=sent=les=ra=mées 14
mais=je=ne=peux=ra=jou=ter=à=nos=vies=u=ne=cou=dée 14
sauf=re=mâ=cher=ce=qui=é=par=gne=ra=un=ti=ers=temps 14
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de=man=dant=en=ce=car=can=ob=long=et=in=de=vi=nable 14
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puis=que=plus=ja=van=ce=plus=on=vio=le=ma=sub=stan=ce 14
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a=lors=quils=se=hé=ris=sent=dans=les=préoc=cu=pa=ti=ons 14
–=le=pas=sé=a=des=poids=que=su=per=po=se=le=présent 14
jexo=re=le=sort=quil=ces=se=de=me=com=pé=ter 12
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ri=cas=sent=tils=vi=vant=tou=jours=plus=dé=pra=vés 12
Phonétique : Le Temps Perdu
lə kʁono tuʁnə ɑ̃ sə dəmɑ̃dɑ̃ səsi,dɑ̃ sa ʁeflεksjɔ̃ siklikə, ʒə lɑ̃tɑ̃di.
o mwa ki apɔʁtə ʁeɡylaʁite a sə mɔ̃də,
du bʁimə la mɔʁ, du la vi syʁabɔ̃də.
apʁε tɑ̃ dɛ̃petyozite, kεllə beʁezina !
sɛ̃ikə e mytikə, ʒemεz- osi lə dikta,
anemjɑ̃ o ʁalɑ̃ti sə ki ε dɔʁdʁə palpablə.
sεt- ɛ̃si kə lε ʒɑ̃ vəle liʁekypeʁablə.
dy tɑ̃ pεʁdy a…
pʁɑ̃dʁə puʁ kamaʁadə dε patəlɛ̃,
kyltive lə vidə, pɥi sə sɑ̃tiʁ inytilə,
ʁealize la kozə dynə plε ɛ̃kyʁablə,
tʁuve ynə ɡlozə a sɔ̃ fatɔm inikə,
sastʁɛ̃dʁə a sə kɔltine œ̃ tipə sεʁvilə,
puvwaʁ evite la depɑ̃dɑ̃sə afεktivə,
sə ʁəkɔ̃stʁɥiʁə dɑ̃z- œ̃ kadʁə disʁyptif,
demεle dεz- akʁoʃaʒəz- ɛ̃tɑ̃pεstif,
ʁεspiʁe la vɛ̃tεnə puʁ œ̃ sεksaʒenεʁə,
vulwaʁ vizite sø depʁi sɑ̃ menaʒəmɑ̃,
ʁezɔʁbe sɔ̃ swa kakoʃimə paʁ œ̃ dublə ʒø,
maʃine lə taljɔ̃ kɑ̃ lamnisti vodʁε defeʁɑ̃sə,
sə depεtʁe də tʁomatismə də la tɑ̃dʁə ɑ̃fɑ̃sə,
tʁase dεz- itineʁεʁə sɑ̃ si ɑ̃ʃəvεtʁe,
ʁəʃεʁʃe lε pɔsesjɔ̃ paʁ dε ʁapinə,
fεʁə dε ʁəmɔ̃tʁɑ̃sə puʁ dε bʁutijə,
fεʁə dε pɔlemikz- o ljø də sə fedeʁe.
dy tɑ̃ pεʁdy…
ʒə vø vwaʁ sεtə etapə u puse lε ʁame,
mε ʒə nə pø ʁaʒute a no viz- ynə kude,
sof ʁəmaʃe sə ki epaʁɲəʁa œ̃ tjεʁ tɑ̃
e paljəʁa a leʃeɑ̃sə də mε ɡʁɑ̃ paʁɑ̃.
kaʁ nu sɔmə tus debitœʁ dœ̃ kʁeɑ̃sje :
tɑ̃ kɑ̃tikə, flyktɥɑ̃ puʁ ʃakə ɑ̃tite,
dəmɑ̃dɑ̃ ɑ̃ sə kaʁkɑ̃ ɔblɔ̃ɡ e ɛ̃dəvinablə
si la kɔda vo lɑ̃dɔlɔʁisəmɑ̃ amɔʁtisablə.
ʒə sɥi bjɛ̃ lə tʁɥismə də la deɡʁadasjɔ̃ !
pɥiskə plys ʒavɑ̃sə, plysz- ɔ̃ vjɔlə ma sybstɑ̃sə.
il fεɲe datɛ̃dʁə lɛ̃pεʁmeablə kɛ̃tesɑ̃sə,
alɔʁ kil sə eʁise dɑ̃ lε pʁeɔkypasjɔ̃.
lə pase a dε pwa kə sypεʁpozə lə pʁezɑ̃.
ʒεɡzɔʁə lə sɔʁ kil sεsə də mə kɔ̃pete,
afɛ̃ datəniʁ mεʁə e fʁatʁi dyʁabləmɑ̃,
ɑ̃ naʁɡɑ̃ sε detʁaktœʁz- otɔsɑ̃tʁe.
sεʁtɛ̃z- ɔ̃ ɛ̃tεʁlɔke madamə ɔʁεʁə,
fəzɑ̃ lə pje də ɡʁy puʁ lœʁ kɔ̃kybɛ̃.
a ʃakə vεʁdœʁ pʁɛ̃tanjεʁə, lə ʁyt sɑ̃ vjɛ̃,
pɥi, bʁədujəz- e pəno, il ʁeitεʁe.
lɔ̃ pεʁ sɔ̃ tɑ̃ puʁ dε mɔ̃danite,
kɑ̃ lapɔkalipsə εt- ɑ̃ tʁɛ̃ dɑ̃fɑ̃te !
« mε kε ʒə a futʁə dy ʒyʒəmɑ̃ dεʁnje ? »
ʁikase til, vivɑ̃ tuʒuʁ plys depʁave…
Syllabes Phonétique : Le Temps Perdu
lə=kʁo=no=tuʁ=nə=ɑ̃=sə=də=mɑ̃=dɑ̃=sə=si 12dɑ̃=sa=ʁe=flεk=sj=ɔ̃=si=kli=kə=ʒə=lɑ̃=tɑ̃=di 13
o=mwa=ki=a=pɔʁtə=ʁe=ɡy=la=ʁi=te=a=sə=mɔ̃də 14
du=bʁi=mə=la=mɔʁ=du=la=vi=sy=ʁa=bɔ̃=də 12
a=pʁε=tɑ̃=dɛ̃=pe=ty=o=zi=te=kεl=lə=be=ʁe=zi=na 15
sɛ̃=i=kə=e=my=ti=kə=ʒe=mε=zo=si=lə=dik=ta 14
a=ne=mjɑ̃=o=ʁa=lɑ̃=ti=sə=ki=ε=dɔʁ=dʁə=pal=pablə 14
sε=tɛ̃=si=kə=lε=ʒɑ̃=və=le=li=ʁe=ky=pe=ʁa=blə 14
dy=tɑ̃=pεʁ=dy=a 5
pʁɑ̃=dʁə=puʁ=ka=ma=ʁa=də=dε=pa=tə=lɛ̃ 11
kyl=ti=ve=lə=vi=də=pɥi=sə=sɑ̃=tiʁ=i=ny=ti=lə 14
ʁe=a=li=ze=la=ko=zə=dy=nə=plε=ɛ̃=ky=ʁa=blə 14
tʁu=ve=y=nə=ɡlo=zə=a=sɔ̃=fa=tɔm=i=ni=kə 13
sas=tʁɛ̃=dʁə=a=sə=kɔl=ti=ne=œ̃=ti=pə=sεʁ=vi=lə 14
pu=vwaʁ=e=vi=te=la=de=pɑ̃=dɑ̃=sə=a=fεk=ti=və 14
sə=ʁə=kɔ̃s=tʁɥ=ʁə=dɑ̃=zœ̃=ka=dʁə=di=sʁyp=tif 12
de=mε=le=dε=za=kʁo=ʃa=ʒə=zɛ̃=tɑ̃=pεs=tif 12
ʁεs=pi=ʁe=la=vɛ̃=tε=nə=puʁ=œ̃=sεk=sa=ʒe=nεʁ=ə 14
vu=lwaʁ=vi=zi=te=sø=de=pʁi=sɑ̃=me=na=ʒə=mɑ̃ 13
ʁe=zɔʁ=be=sɔ̃=swa=ka=ko=ʃi=mə=paʁ=œ̃=du=blə=ʒø 14
ma=ʃi=ne=lə=ta=ljɔ̃=kɑ̃=lam=nis=ti=vo=dʁε=de=fe=ʁɑ̃sə 15
sə=de=pε=tʁe=də=tʁo=ma=tismə=də=la=tɑ̃=dʁə=ɑ̃=fɑ̃sə 14
tʁa=se=dε=zi=ti=ne=ʁε=ʁə=sɑ̃=si=ɑ̃=ʃə=vε=tʁe 14
ʁə=ʃεʁ=ʃe=lε=pɔ=se=sj=ɔ̃=paʁ=dε=ʁa=pi=nə 13
fε=ʁə=dε=ʁə=mɔ̃=tʁɑ̃=sə=puʁ=dε=bʁu=ti=jə 12
fε=ʁə=dε=pɔ=le=mik=zo=lj=ø=də=sə=fe=de=ʁe 14
dy=tɑ̃=pεʁ=dy 4
ʒə=vø=vwaʁ=sε=tə=e=ta=pə=u=pu=se=lε=ʁa=me 14
mε=ʒə=nə=pø=ʁa=ʒu=te=a=no=vi=zy=nə=ku=de 14
sof=ʁə=ma=ʃe=sə=ki=e=pa=ʁɲə=ʁa=œ̃=tjεʁ=tɑ̃ 13
e=pa=ljə=ʁa=a=le=ʃe=ɑ̃=sə=də=mε=ɡʁɑ̃=pa=ʁɑ̃ 14
kaʁ=nu=sɔ=mə=tus=de=bi=tœ=ʁə=dœ̃=kʁe=ɑ̃=sj=e 14
tɑ̃=kɑ̃=ti=kə=flyk=tɥɑ̃=puʁ=ʃa=kə=ɑ̃=ti=te 12
də=mɑ̃=dɑ̃=ɑ̃=sə=kaʁ=kɑ̃=ɔ=blɔ̃ɡ=e=ɛ̃=də=vi=nablə 14
si=la=kɔ=da=vo=lɑ̃=dɔ=lɔ=ʁisə=mɑ̃=a=mɔʁ=ti=sablə 14
ʒə=sɥi=bjɛ̃=lə=tʁɥis=mə=də=la=de=ɡʁa=da=sj=ɔ̃ 14
pɥis=kə=plys=ʒa=vɑ̃=sə=plys=zɔ̃=vjɔ=lə=ma=syb=stɑ̃=sə 14
il=fε=ɲe=da=tɛ̃=dʁə=lɛ̃=pεʁ=me=a=blə=kɛ̃=te=sɑ̃sə 14
a=lɔʁ=kil=sə=e=ʁi=se=dɑ̃=lε=pʁe=ɔ=ky=pa=sjɔ̃ 14
lə=pa=se=a=dε=pwakə=sy=pεʁ=po=zə=lə=pʁe=zɑ̃ 14
ʒεɡ=zɔ=ʁə=lə=sɔʁ=kil=sε=sə=də=mə=kɔ̃=pe=te 13
a=fɛ̃=da=tə=niʁ=mε=ʁə=e=fʁa=tʁi=dy=ʁa=blə=mɑ̃ 14
ɑ̃=naʁ=ɡɑ̃=sε=de=tʁak=tœ=ʁə=zo=tɔ=sɑ̃=tʁe 12
sεʁ=tɛ̃=zɔ̃=ɛ̃=tεʁ=lɔ=ke=ma=da=mə=ɔ=ʁεʁ=ə 13
fə=zɑ̃=lə=pj=e=də=ɡʁy=puʁ=lœ=ʁə=kɔ̃=ky=bɛ̃ 13
a=ʃa=kə=vεʁ=dœʁ=pʁɛ̃=ta=njε=ʁə=lə=ʁyt=sɑ̃=vj=ɛ̃ 14
pɥi=bʁə=du=jə=ze=pə=no=il=ʁe=i=tε=ʁe 12
lɔ̃=pεʁ=sɔ̃=tɑ̃=puʁ=dε=mɔ̃=da=ni=te 10
kɑ̃=la=pɔ=ka=lip=sə=ε=tɑ̃=tʁɛ̃=dɑ̃=fɑ̃=te 12
mε=kε=ʒə=a=fu=tʁə=dy=ʒy=ʒə=mɑ̃=dεʁ=nj=e 14
ʁi=ka=se=til=vi=vɑ̃=tu=ʒuʁ=plys=de=pʁa=ve 12
Historique des Modifications
19/05/2025 21:33
Récompense
Poesie sans commentaire

25/07/2025Poeme-France
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Poème Temps
Du 19/05/2025 14:33
L'écrit contient 369 mots qui sont répartis dans 9 strophes.