Poème:Migrants.
A Propos du Poeme
Juste une chance, un espoir, un demain vivant.
Le Poème
En mers profondes, où l’horizon se cache,
Naviguent les âmes, cherchant un nouvel âge.
Le vent susurre l’adieu de leur ancienne plage,
Migrants en mer, tracent des destins de lâche.
Pas de capitaine, juste la voile déchirée,
Pas de carte, pas d’étoile, qu’une foi inébranlable.
Des rêves portent l’ombre de cette faim insatiable,
Cherchant le rivage d’une terre renouvelée.
Mères, enfants, vieillards, pleins d’espérance,
Dans l’écho des vagues, dansent leur doléance.
Le courage, leur seul bien, leur seule assurance,
Contre la mer en furie, leur incessante danse.
Les nuits sont longues, les jours sont brûlants,
Le sel incruste la peau, les larmes en supplément.
Des corps épuisés se balancent, courbés sous le vent,
Chaque vague apporte l’espoir, l’angoisse en même temps.
Voyage sans fin, migration sacrée,
Chaque cœur bat au rythme d’une prière murmurée.
Pour chaque souffle volé, une histoire est racontée,
Dans ce berceau de mer, des vies sont éparpillées.
Oh, vous qui accueillez l’aube depuis votre quai serein,
Ne voyez-vous pas ce bateau, ce spectre marin ?
Dans les yeux des migrants, lisez leur douloureux destin,
Ils cherchent juste un foyer, au bout de leur chemin.
Leur rêve n’est pas de l’or, ni des bijoux brillants,
Juste une chance, un espoir, un demain vivant.
Aidez ces voyageurs, ces pauvres naufragés,
Offrez-leur un sourire, un abri, de l’humanité.
Car nous sommes tous des voyageurs, naviguant en mer,
Nos vies, des bateaux fragiles, face à l’immensité amère.
Rappelons-nous, en cette nuit étoilée et claire,
Nous partageons tous le même espace, la même.
Naviguent les âmes, cherchant un nouvel âge.
Le vent susurre l’adieu de leur ancienne plage,
Migrants en mer, tracent des destins de lâche.
Pas de capitaine, juste la voile déchirée,
Pas de carte, pas d’étoile, qu’une foi inébranlable.
Des rêves portent l’ombre de cette faim insatiable,
Cherchant le rivage d’une terre renouvelée.
Mères, enfants, vieillards, pleins d’espérance,
Dans l’écho des vagues, dansent leur doléance.
Le courage, leur seul bien, leur seule assurance,
Contre la mer en furie, leur incessante danse.
Les nuits sont longues, les jours sont brûlants,
Le sel incruste la peau, les larmes en supplément.
Des corps épuisés se balancent, courbés sous le vent,
Chaque vague apporte l’espoir, l’angoisse en même temps.
Voyage sans fin, migration sacrée,
Chaque cœur bat au rythme d’une prière murmurée.
Pour chaque souffle volé, une histoire est racontée,
Dans ce berceau de mer, des vies sont éparpillées.
Oh, vous qui accueillez l’aube depuis votre quai serein,
Ne voyez-vous pas ce bateau, ce spectre marin ?
Dans les yeux des migrants, lisez leur douloureux destin,
Ils cherchent juste un foyer, au bout de leur chemin.
Leur rêve n’est pas de l’or, ni des bijoux brillants,
Juste une chance, un espoir, un demain vivant.
Aidez ces voyageurs, ces pauvres naufragés,
Offrez-leur un sourire, un abri, de l’humanité.
Car nous sommes tous des voyageurs, naviguant en mer,
Nos vies, des bateaux fragiles, face à l’immensité amère.
Rappelons-nous, en cette nuit étoilée et claire,
Nous partageons tous le même espace, la même.
PostScriptum
Ne voyez-vous pas ce bateau, ce spectre marin ?

Poète Inamtom
Inamtom a publié sur le site 325 écrits. Inamtom est membre du site depuis l'année 2020.Lire le profil du poète InamtomSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Migrants.
en=mers=pro=fon=des=où=l=ho=ri=zon=se=ca=che 13na=vi=guent=les=â=mes=cher=chant=un=nou=vel=âge 12
le=vent=su=sur=re=la=dieu=de=leur=an=ci=en=ne=plage 14
mi=grants=en=mer=tra=cent=des=des=tins=de=lâche 11
pas=de=ca=pi=tai=ne=jus=te=la=voi=le=dé=chi=rée 14
pas=de=car=te=pas=dé=toile=quu=ne=foi=i=né=bran=lable 14
des=rê=ves=por=tent=lom=bre=de=cet=te=faim=in=sa=tiable 14
cher=chant=le=ri=va=ge=du=ne=ter=re=re=nou=ve=lée 14
mè=res=en=fants=vieil=lards=pleins=des=pé=ran=ce 11
dans=lé=cho=des=va=gues=dan=sent=leur=do=lé=an=ce 13
le=cou=ra=ge=leur=seul=bien=leur=seu=le=as=su=ran=ce 14
con=tre=la=mer=en=fu=rie=leur=in=ces=san=te=dan=se 14
les=nuits=sont=lon=gues=les=jours=sont=brû=lants 10
le=sel=in=crus=te=la=peau=les=lar=mes=en=sup=plé=ment 14
des=corps=é=pui=sés=se=ba=lan=cent=cour=bés=sous=le=vent 14
cha=que=va=gueap=porte=les=poir=lan=gois=se=en=mê=me=temps 14
voy=a=ge=sans=fin=mi=gra=ti=on=sa=crée 11
cha=que=cœur=bat=au=ryth=me=du=ne=priè=re=mur=mu=rée 14
pour=cha=que=souf=fle=vo=lé=une=his=toi=reest=ra=con=tée 14
dans=ce=ber=ceau=de=mer=des=vies=sont=é=par=pil=lées 13
oh=vous=qui=ac=cueillez=lau=be=de=puis=vo=tre=quai=se=rein 14
ne=voyez=vous=pas=ce=ba=teau=ce=s=pec=tre=ma=rin 13
dans=les=yeux=des=mi=grants=li=sez=leur=dou=lou=reux=des=tin 14
ils=cher=chent=jus=te=un=foy=er=au=bout=de=leur=che=min 14
leur=rê=ve=nest=pas=de=lor=ni=des=bi=joux=brillants 12
jus=te=u=ne=chan=ce=un=es=poir=un=de=main=vi=vant 14
ai=dez=ces=voy=a=geurs=ces=pau=vres=nau=fra=gés 12
of=frez=leur=un=sou=rire=un=a=bri=de=lhu=ma=ni=té 14
car=nous=som=mes=tous=des=voy=a=geurs=na=vi=guant=en=mer 14
nos=vies=des=ba=teaux=fra=giles=fa=ceà=limmen=si=té=a=mère 14
rap=pe=lons=nous=en=cet=te=nuit=é=toi=lée=et=clai=re 14
nous=par=ta=geons=tous=le=mê=me=es=pa=ce=la=mê=me 14
Phonétique : Migrants.
ɑ̃ mεʁ pʁɔfɔ̃də, u lɔʁizɔ̃ sə kaʃə,naviɡe lεz- amə, ʃεʁʃɑ̃ œ̃ nuvεl aʒə.
lə vɑ̃ syzyʁə ladjø də lœʁ ɑ̃sjεnə plaʒə,
miɡʁɑ̃z- ɑ̃ mεʁ, tʁase dε dεstɛ̃ də laʃə.
pa də kapitεnə, ʒystə la vwalə deʃiʁe,
pa də kaʁtə, pa detwalə, kynə fwa inebʁɑ̃lablə.
dε ʁεvə pɔʁte lɔ̃bʁə də sεtə fɛ̃ ɛ̃sasjablə,
ʃεʁʃɑ̃ lə ʁivaʒə dynə teʁə ʁənuvəle.
mεʁə, ɑ̃fɑ̃, vjεjaʁd, plɛ̃ dεspeʁɑ̃sə,
dɑ̃ leʃo dε vaɡ, dɑ̃se lœʁ dɔleɑ̃sə.
lə kuʁaʒə, lœʁ səl bjɛ̃, lœʁ sələ asyʁɑ̃sə,
kɔ̃tʁə la mεʁ ɑ̃ fyʁi, lœʁ ɛ̃sesɑ̃tə dɑ̃sə.
lε nɥi sɔ̃ lɔ̃ɡ, lε ʒuʁ sɔ̃ bʁylɑ̃,
lə sεl ɛ̃kʁystə la po, lε laʁməz- ɑ̃ syplemɑ̃.
dε kɔʁz- epɥize sə balɑ̃se, kuʁbe su lə vɑ̃,
ʃakə vaɡ apɔʁtə lεspwaʁ, lɑ̃ɡwasə ɑ̃ mεmə tɑ̃.
vwajaʒə sɑ̃ fɛ̃, miɡʁasjɔ̃ sakʁe,
ʃakə kœʁ ba o ʁitmə dynə pʁjεʁə myʁmyʁe.
puʁ ʃakə suflə vɔle, ynə istwaʁə ε ʁakɔ̃te,
dɑ̃ sə bεʁso də mεʁ, dε vi sɔ̃t- epaʁpije.
ɔ, vu ki akœje lobə dəpɥi vɔtʁə kε səʁɛ̃,
nə vwaje vu pa sə bato, sə spεktʁə maʁɛ̃ ?
dɑ̃ lεz- iø dε miɡʁɑ̃, lize lœʁ duluʁø dεstɛ̃,
il ʃεʁʃe ʒystə œ̃ fwaje, o bu də lœʁ ʃəmɛ̃.
lœʁ ʁεvə nε pa də lɔʁ, ni dε biʒu bʁijɑ̃,
ʒystə ynə ʃɑ̃sə, œ̃n- εspwaʁ, œ̃ dəmɛ̃ vivɑ̃.
εde sε vwajaʒœʁ, sε povʁə- nofʁaʒe,
ɔfʁe lœʁ œ̃ suʁiʁə, œ̃n- abʁi, də lymanite.
kaʁ nu sɔmə tus dε vwajaʒœʁ, naviɡɑ̃ ɑ̃ mεʁ,
no vi, dε bato fʁaʒilə, fasə a limɑ̃site amεʁə.
ʁapəlɔ̃ nu, ɑ̃ sεtə nɥi etwale e klεʁə,
nu paʁtaʒɔ̃ tus lə mεmə εspasə, la mεmə.
Syllabes Phonétique : Migrants.
ɑ̃=mεʁ=pʁɔ=fɔ̃=də=u=lɔ=ʁi=zɔ̃=sə=ka=ʃə 12na=vi=ɡe=lε=za=mə=ʃεʁ=ʃɑ̃=œ̃=nu=vεl=a=ʒə 13
lə=vɑ̃=sy=zy=ʁə=la=djø=də=lœʁ=ɑ̃=sjε=nə=pla=ʒə 14
mi=ɡʁɑ̃=zɑ̃=mεʁ=tʁa=se=dε=dεs=tɛ̃=də=la=ʃə 12
pa=də=ka=pi=tε=nə=ʒys=tə=la=vwa=lə=de=ʃi=ʁe 14
pa=də=kaʁ=tə=pa=de=twalə=ky=nə=fwa=i=ne=bʁɑ̃=lablə 14
dε=ʁε=və=pɔʁ=te=lɔ̃=bʁə=də=sε=tə=fɛ̃=ɛ̃=sa=sjablə 14
ʃεʁ=ʃɑ̃=lə=ʁi=va=ʒə=dy=nə=te=ʁə=ʁə=nu=və=le 14
mε=ʁə=ɑ̃=fɑ̃=vj=ε=jaʁd=plɛ̃=dεs=pe=ʁɑ̃=sə 12
dɑ̃=le=ʃo=dε=va=ɡə=dɑ̃=se=lœ=ʁə=dɔ=le=ɑ̃=sə 14
lə=ku=ʁa=ʒə=lœʁ=səl=bjɛ̃=lœʁ=sə=lə=a=sy=ʁɑ̃=sə 14
kɔ̃=tʁə=la=mεʁ=ɑ̃=fy=ʁi=lœʁ=ɛ̃=se=sɑ̃=tə=dɑ̃=sə 14
lε=nɥi=sɔ̃=lɔ̃ɡ=lε=ʒuʁ=sɔ̃=bʁy=lɑ̃ 9
lə=sεl=ɛ̃=kʁys=tə=la=po=lε=laʁ=mə=zɑ̃=sy=ple=mɑ̃ 14
dε=kɔʁ=zep=ɥi=ze=sə=ba=lɑ̃=se=kuʁ=be=su=lə=vɑ̃ 14
ʃakə=va=ɡəa=pɔʁ=tə=lεs=pwaʁ=lɑ̃=ɡwa=sə=ɑ̃=mε=mə=tɑ̃ 14
vwa=ja=ʒə=sɑ̃=fɛ̃=mi=ɡʁa=sj=ɔ̃=sa=kʁe 11
ʃa=kə=kœʁ=ba=o=ʁit=mə=dy=nə=pʁi=jεʁ=myʁ=my=ʁe 14
puʁ=ʃakə=su=flə=vɔ=le=y=nə=is=twa=ʁəε=ʁa=kɔ̃=te 14
dɑ̃=sə=bεʁ=so=də=mεʁ=dε=vi=sɔ̃=te=paʁ=pi=j=e 14
ɔ=vu=ki=a=kœje=lo=bə=dəp=ɥi=vɔ=tʁə=kε=sə=ʁɛ̃ 14
nə=vwa=j=e=vu=pa=sə=ba=to=sə=spεk=tʁə=ma=ʁɛ̃ 14
dɑ̃=lε=ziø=dε=mi=ɡʁɑ̃=li=ze=lœʁ=du=lu=ʁø=dεs=tɛ̃ 14
il=ʃεʁ=ʃe=ʒys=tə=œ̃=fwa=je=o=bu=də=lœʁ=ʃə=mɛ̃ 14
lœʁ=ʁε=və=nε=pa=də=lɔʁ=ni=dε=bi=ʒu=bʁi=j=ɑ̃ 14
ʒys=tə=y=nə=ʃɑ̃=sə=œ̃=nεs=pwaʁ=œ̃=də=mɛ̃=vi=vɑ̃ 14
ε=de=sε=vwa=ja=ʒœ=ʁə=sε=po=vʁə=no=fʁa=ʒe 13
ɔ=fʁe=lœʁ=œ̃=su=ʁiʁə=œ̃=na=bʁi=də=ly=ma=ni=te 14
kaʁ=nu=sɔ=mə=tus=dε=vwa=ja=ʒœʁ=na=vi=ɡɑ̃=ɑ̃=mεʁ 14
no=vi=dε=ba=to=fʁa=ʒilə=fa=səa=li=mɑ̃=si=te=amεʁə 14
ʁa=pə=lɔ̃=nu=ɑ̃=sε=tə=nɥi=e=twa=le=e=klεʁ=ə 14
nu=paʁ=ta=ʒɔ̃=tus=lə=mε=mə=εs=pa=sə=la=mε=mə 14
Historique des Modifications
24/01/2025 08:39
15/10/2023 10:30
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
28/08/2023 22:41Anya
Un grand souffle dans ce poème lyrique plein d’empathie pour ces migrants qui côtoient la mort dans l’espoir de retrouver la liberté et d’obtenir une vie meilleure.Merci de nous rappeler le devoir de tendre la main et d’ouvrir nos coeurs

23/01/2025 10:15Bo
Un très beau poème où vous savez vous placer dans la peau de ces migrants, transmettre leurs ressentis, ce qui les pousse à prendre la mer, ce qu ils affrontent durant ces voyages... Ils espèrent avoir une meilleure vie. Tout simplement ! Accueillons les . Merci de ce poème qui fend le cœur ! Plus de cœur mais bien mérité !
Poème Conscience
Du 28/08/2023 17:13
L'écrit contient 270 mots qui sont répartis dans 16 strophes. Toutes les strophes sont composés de 2 vers.