Poème:L’amazonie

Dans la forêt luxuriante de l’Amazonie,
La nature règne, souveraine maîtresse,
Sa beauté sauvage éveille une harmonie,
Où chaque être trouve sa place, en certitude.

Au cœur de cette terre ancestrale,
Les peuples indigènes vivent en harmonie,
Protégeant leur culture unique, si spéciale,
Et leur lien sacré avec l’infinie nature.

Des animaux majestueux habitent ces espaces,
Du jaguar au toucan, du singe aux plumes variées,
Leur présence témoigne de l’abondance des grâces,
De cette terre riche, fièrement dressée.

Les reptiles aussi occupent ces contrées,
Du caïman au boa, de l’anaconda au regard percant,
Leur existence rappelle la force et la beauté,
D’une nature sauvage, unique en son genre.

Et que dire du fleuve, majestueux voyageur,
Qui serpente à travers la forêt, éclat de verdure,
Source de vie pour peuples et animaux, en chœur,
Refuge vibrant pour qui cherche l’eau pure.

Mais cette beauté est fragile, menacée,
Par l’homme destructeur, insatiable et avide,
Il est temps de s’éveiller, de préserver,
Cette nature qui implore respect et admiration éternelle.

L’Amazonie, trésor vivant, appelle à être sauvée,
Pour les générations à venir, pour nous, en ce jour,
Sans elle, notre monde s’éteindrait, privé de beauté,
Et la splendeur de la nature ne serait plus qu’un lointain souvenir.

Protégeons-la donc, de toutes nos forces et passions,
Cette terre, ces peuples, ces animaux précieux,
Continuons d’admirer sa beauté sauvage, sans condition,
Dans cette forêt magique, l’Amazonie, notre joyau le plus précieux.

Dans ces vers délicats, je veux célébrer,
L’âme de l’Amazonie, si belle et si forte,
Et appeler à la protéger, à la chérir,
Pour qu’elle continue de nous éblouir encore.

De nos plumes, laissons couler la poésie,
Comme un fleuve d’amour pour cette terre sauvage,
Et que nos mots soient un cri, une prière, une énergie,
Pour préserver ce trésor, cet héritage.

L’âme de l’Amazonie, c’est aussi la nôtre,
Car nous sommes tous liés par cette nature,
Protégeons-la avec amour, avec force,
Pour que sa beauté reste à jamais pure.

Alors que le temps s’écoule, que les saisons passent,
Que notre poème reste comme un hommage,
À cette forêt luxuriante, à cette âme qui nous dépasse,
L’Amazonie, notre fierté, notre plus beau voyage.