Poème:Réaction

Je crains fort qu’il ne soit trop tard,
C’est dans la nature humaine l’autodestruction.
looping

Je vous remercie tous très sincèrement pour vos commentaires.
Looping156 - Il est des gens qui détruisent, certes, mais il en est d’autres dont le seul but est de reconstruire, il ne faut donc pas totalement désespérer.
Seed, le choix des musiques se trouve assez restreint en raison des droits d’auteur car même les classiques ont été rachetés par des maisons d’édition ce qui, à mon avis, est absolument inadmissible.
N. Je ne connais pas le titre de ce chant guerrier mais peut-être pourras-tu m’éclairer.
Bonne journée à vous tous- avec mes amitiés
Jack

Merci à toi, passe une agréable soirée
Jack

Très belle vision de cette bien moche vérité(les bonnets rouges vont fairent des petits)avis perso

Réaction, ça c’est un poème auquel on ne peut que réagir, mais sur ce très vaste sujet la place est ici un peu courte...
Sur la forme, c’est comme d’habitude magistralement écrit; Sur le fond... il est très difficile de réagir contre un système qui est capable de se nourrir de ses propres contestations; l’ingénierie sociale a atteint des sommets dans la manipulation que la majorité soupçonne rarement.

Amicalement - Patrice

Moi, j’aimerai un bonnet tout mignon et tout blanc pour la paix dans le monde ...et en dehors de ces mafieux de politiciens de tous les bords dans tous les endroits de la terre, je pense aux plus pauvres des pauvres dont leurs seules raisons de vivre est de ne pas perdre leurs raisons ....les survivants des philippines et aux ....
oups, j’ai dérapé là, désolée...
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Fort ressenti
Amicalement ...Eden

Patrice je te remercie pour ta réaction sur le poème réaction, je constate que tu es très réactif ce qui me fait réagir à mon tour. (Ne m’en veut pas pour ce stupide humour mais j’ai toujours tendance à faire ressortir mon ancien côté de chansonnier).

Ma chère Eden, tout comme toi j’aimerai que chaque individu porte un bonnet blanc sur la tête, en signe de paix. Depuis un quart de siècle ma vie est basée sur ce thème. La plupart de mes chansons ainsi que de très nombreux poèmes eurent pour sujet le refus de la violence, ce qui d’ailleurs m’a valu d’obtenir à Genève le titre d’Ambassadeur Universel de la Paix, titre purement honorifique mais qui récompense des décennies de lutte humaniste.
Tu n’as pas à être désolée pour un soi-disant dérapage. J’ai participé aux secours lors du tremblement de terre d’Agadir en février 1960, aussi, à mon avis, il faut faire une distinction entre les catastrophes issues de la nature par rapport à celles qui sont commises par l’orgueil et la folie des hommes, ces dernières étant évitables avec un peu de raison.

J’arrête là mon discours sous peine de t’ennuyer.

Passez tous deux un agréable dimanche malgré le froid hivernal qui commence à sévir.
Avec mes amitiés - Jack

Bonjour Jack
Tu exprimes, une nouvelle fois, très joliment et justement, ce que beaucoup (dont moi) ressentent.
De ton texte émanent : des espoirs (sont-ils vains?), des cris de colère et de détresse (les écoutons nous assez?). N’aurons nous jamais que des plumes contre les bombes et la dureté des temps?
Tu évoques les élus. Trouverons nous un jour, celui qui comprendra "les autres"?
Merci d’avoir défriché un peu ces terrains incertains.
Amicalement
Guy

Fort ressenti sur ce poème qui dénonce une société "qui s’en va à la dérive" où les banques ne prêtent plus qu’aux riches et où les pauvres donnent beaucoup plus qu’eux...

Bonjour,
Sujet qui m’interpelle, vérités, et très agréable à la lecture. Félicitations.
Coconini.

Bonjour et remerciements à vous toutes et tous.
Permettez-moi d’ajouter un léger commentaire. Durant tout le cours de ma vie je me suis montré respectueux des lois de notre pays, contrairement à nos élus. J’ai obtenu mon permis de conduire en 1966 et bien que n’étant pas infaillible, je n’ai jamais eu un seul PV jusqu’à présent. Mais il faudra bien commencer un jour n’est-ce pas ?
Ma colère ne s’est jamais éteinte du jour où je fus licencié de la police municipale (à l’époque j’étais agent de police judiciaire assermenté) pour avoir enquêté sur d’importants détournements de fonds publics, enquête qui, risquait de mettre en cause le ministre de l’industrie de l’époque. Le motif du licenciement fut : "N’a pas toutes les qualités requises". Trois mois plus tôt, alors que je venais de présenter mon premier livre, le commissaire principal Rivière à Deauville qui venait d’obtenir sa mutation pour la banlieue parisienne notait sur mon livre d’or :"Avec mes regrets de quitter un si brillant collaborateur". Voilà la raison qui a fait de moi un homme révolté qui depuis lutte contre l’injustice. L’extrait des Poèmes maudits fait état de mon ressenti à l’égard du monde politique.
Bonne journée à vous et amitiés
Jack