Poème:Frères D’armes

Viens ami, allons guerroyer ensemble
Et boutons d’un seul sang l’audimat écœurant
Harcelons incessamment, jusqu’à ce qu’il tremble
Ruinons l’édifice du petit écran

Tu vas voir je vais les faire saigné,
Tu vas pouvoir les entendre crié.
Et aussi gémir,
Lorsque je les ferai souffrir.

J’ai aiguisé ma folle hache salvatrice
Pour qu’elle fende la désinformation
Sans octroyer de repos à tous ses vices
Et ainsi pourfendre sa domination

Je les acculerai au mur,
Je leur ferai ravaler leurs injures.
Je me goinfferai de leur vivre,
Et ne laisserai que les enfants survivre.

Que le pur massacre commence en cet instant !
Je charge, broie et charcute les lucarnes !
Fureur Berserk ! Envahi mon corps de dément !
Que je tranche les postes comme de la carne !

De ma flamberge je leur coup le crâne en deux,
La folie guette mon âme.
En elle brûle la flamme.
La mort se répand dans leurs rangs à la vitesse du feu.

Ainsi ce fut une belliqueuse journée
Marquée par les éclats et la flamboyance
Trinquons à la victoire tant désirée !
Et gare à ceux qui oseraient crier vengeance !