Poème:Entité Bénéfique

Belle grande reine des fées je m’agenouille devant toi,
Pour te demander de calmer mon esprit remplit d’effroi.
Toi qui a su réconforté ma conscience tourmentée,
Je te demande une fois de plus de m’aider à me relever.
Car autour de moi il fait froid,
Se monde pu, il sent le soufre j’en suffoque et je reste sans voie.

Archange du pêché, relève-toi, mon Ami tourmenté,
Je ne suis point la grande reine des Fées,
Tout juste une entité qui secourt les âmes peinées,
Les réconfortent, afin qu’elles ne soient plus esseulées,
Viens donc avec moi, je ne veux point te voir si désemparé !
De ce monde en chaos, je vais te protéger…

Mes pensées sont toutes tordues,
Dans ma tête je me suis complètement perdu.
J’ai le feu qui brûle dans mon corps,
J’ai des envies de tuer qui sorts par tous les pores.
Tous mes désirs sont confondus,
Ma raison bientôt ne répondra plus.

Mes caresses vont apaiser ta douleur,
Approche-toi prés de ma rayonnante et douce chaleur,
Je ne veux, plus jamais, que tu es peur,
Dans ce monde abject, fait de haine et de rancœur,
Fragile Ame sœur,
Je t’ouvre la porte de mon cœur…

Tranquillement autour de moi cesse la pluie,
Mais quelques un de mes tourments ne sont pas fini.
Je te promets de faire attention dans ton cœur,
En me cherchant un petit coin de chaleur.
Toi qui adouci mon esprit,
Mille fois je t’en remercie.

Nos deux âmes, belle luminescence,
S’élèvent, joyeuse réminiscence,
De souvenirs d’en l’au-delà, en transe,
Je te prédis, avec clairvoyance,
Dans mon cœur, tu ne subiras point, l’outrance,
Et, des autres, la sempiternelle malveillance…