Poème:Prêt À Utiliser

Condamné à la dernière mort subjective,
Libéré par l’évaluation de la tristesse,
Les frénésies de verre cristallisent un souffle
Préserver le règne final de demain.
Je viens de nulle part et je me sui mis à utiliser
Le poids des assurances vides,
Les veines et les vaisseaux de la vie elle-même ;
Je tiens à l’inquiétude d’une mère
- Le dernier cri de son fils mourant,
Sa promesse inconnue - en tentative
Pour créer un art qui vaut la peine de mourir ;
La nature est un martyr de la dissimulation,
J’ai touché ou j’ai été touché
Par tous les domaines connus de la solitude,
Reconnu par l’homme que vous avez vu en dernier,
Séparer l’intervalle de différence interne,
Réflexions électriques convexes ;
Assis sur un balcon hungover le soleil,
J’attrape un aperçu des têtes chauves que je crache,
Ils ne peuvent représenter que des ruines grecques ;
L’histoire est une fanfare mourante, comme d’habitude,
Et seul le souvenir de Dawn reste -
Parfaitement mal nourris ! - Avec la musique,
Le prédicat définissant de cette scène exquise,
Une raison mystérieuse menant des nuits sans lune,
Le son des fruits en plastique, des scripts et des escaliers en mousse
Crunch à la décoloration du sommeil, créant le silence,
Le stade de l’apparence éternelle -
Nulle part mais ici, prêt à utiliser.