Prose:Dans L’océan De Moncœur Toutesles Vagues Sont Ivre

Dans l’océan de mon cœur toutes les vagues sont ivres
Passant par une plume
flegmatique
J’ouïs la voix grave des vagues de mon esprit hystérique
Et je continue mes contemplations
J’ai senti le sable tiédasse répartit sur un rivage qui me sembla infini
Les heures que je connaisse s’effondraient dans un sablier oppresseur qui ne cessa de me mentir
J’ai senti la présence d’autrui qui me délecta
Un plaisir de leur existence m’envahissait
Et le bien être fut soudainement à son paroxysme
Je me lève à un état où mon instinct grégaire semble la priorité
Et l’amour que je dois aux secondes s’intensifie
Je chante intérieurement un prélude codifié
Comme une clef à une âme énigmatique
Et un cœur égaré
Je suis rehaussé par la présence d’une confiance excessive
Et d’un savoir être utopique
Je me noie dans une pensée si profonde
Qui perd progressivement sa limpidité
Pour me retrouver dans un paysage abstrait
Inspiré par des notions d’un monde fantasmagorique
Je ne peux guerre analyser mon côté égotiste
Qui m’obligeât à abîmer des feuilles vierges
Par un amas d’encre bleuâtre
Où l’encrier paraît invisible dans une pièce spirituel de désespoir
Mon imagination est inconcevable
Elle est engloutit dans un espace-temps irrité
J’écris une lettre qui fait référence à un océan de sensations
Je verse une larme sur les pages qui reflètent mes hallucinations
Je suis sidéré par mes écrits qui me font apprendre tant sur moi
La lumière me suit comme une ombre
Sous l’égide des candélabres de la rue sombre
Elle me suit constamment
Je me libère dans un brouillard de tabac qui me rappelle une image d’un monde parallèle
Et d’une vie idéalisée et idolâtrée par un être morfondu
Je me hisse à la hauteur d’un nuage mélancolique
Qui me sustente de goûtes de colère
Pour que mon cœur s’emplit de tonnerres
Je déambule vainement dans le firmament
Prétendant avoir réussi un voyage astral où un rêve lucide
Je discute amour et souffrance avec les étoiles bénisseuses
Je leur offre un morceau de mon existence en guise de consolation
Une larme d’une étoile consume mon essence
La souffrance de la pureté et l’innocence est inadmissible
Je m’installe calmement dans l’espace paisible
Où le noir envahit les pièces abstraites
Et m’enivre
jusqu’au réveil
Où je me retrouve à l’apogée d’une pyramide
Comme un visionnaire attendu
Comme une clémence ardemment voulu
Comme une satisfaction venue d’un travail ardu
Comme une plume qui envoûte le papier par sa sveltesse
Et un guerrier qui séduit une vicomtesse par sa robustesse
Comme une étoile resplendissante qui rehausse une glorieuse planète.