Prose:Paysage Merveilleux Et Plume

Je cherche désespérément ma plume
J’ai aimé les sentiments ineffables qu’elle me procuraient et sans elle je déambule
Dans le firmament mélancolique constellé d’étoiles consolantes
Je pense à elle
Je pense à son être
Mes sentiments indéfectibles que j’ai à son égard sont sculpté dans mon psyché
Les mots paraissent liés
Je voyage loin dans un paysage merveilleux
Où les rossignols chantent la paix
Et les arbres sages protègent les plantes naissante
Et la candeur réchauffe mon cœur immaculé
Par la vénusté du temps ivre je suis enivré
Les montagnes cachent le mal des saisons
Le soleil radieux me rappelle les mots suaves qui pénètre mon âme
Je me hisse humblement à la hauteur des principes fondamentaux de la vie
Pour m’apercevoir de mon ignorance
Je suis offusqué par mon intransigeance envers des êtres si joyeux et crédules
Mon corps est consciensement sacrifié pour leur dédommager de leur souffrance
La souffrance m’est mon cœur sous la pluie infernale
Où les regrets ressassés s’incorporent dans ma gorge sèche
J’hurle comme un loup vaincu
Je danse dans le néant pour exprimer mon désespoir
Mes invocations réchauffent mes mains froides
Les voix incessantes ne me parlent plus en guise d’un grand respect
Je pose mon âme à côté de leur souffrance
Dans mes airs d’equanimité
J’ai aperçu une âme si proche de la mienne
Qui souffrent tant dans un monde incompréhensible
Cette similitude est fréquemment appelé âme sœur
Je suis instantanément tomber amoureux de cette vitalité insolite
Qui remet en cause mon esseulement
J’ai cru rendre l’âme seul
Sous l’arbre mourant portant toutes mes erreurs
Donne moi ta main jeune âme !
Ô comme ta peur me sustente de vie !
Je suis émancipé d’un fardeau
Tu me suivras là où les cieux nous monterons des constellations plus significatives