Poeme : Désolation
Poème Avenir
Publié le 01/01/2021 13:27
L'écrit contient 457 mots qui sont répartis dans 16 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.
Poete : Mémo
Lire profile de MémoDésolation
Un cercle orange à l’horizon,
Un ciel rougi comme une mare de sang,
Et le Soleil rapidement descend
S’y baigner hors de ma vision.
Sur quel monde a-t-il encore veillé aujourd’hui,
Sur quels hommes sa lumière s’est-elle encore répandue,
Quels bons services leur a-t-il encore rendu
Avant qu’il ne se couche pour une nouvelle nuit.
Il regarde de son œil froid, avant de renaître,
Une planète d’eau, de feu et de terre,
Une oasis dans un glacial univers
Sombrant dans l’agonie avant de disparaître.
Il est comme moi et ne doit pas comprendre
Pourquoi ces massacres, ces tueries, toutes ces guerres.
Ces armes destructrices qui grondent comme un tonnerre
C’est plus simple que d’essayer de s’entendre.
Le plaisir de torture et de détruire
Hommes, femmes, enfants et leurs idées,
Un nombrilisme comme seule pensée.
Peuples conquérants ne sachant que haïr.
Croix dans une main, épée dans l’autre,
Têtes tranchées, ventres étripés,
Nouvelles contrées colonisées,
Puis prier Dieu comme un apôtre.
Nazis en bottes cirées, barbares des temps modernes,
Hitler et Staline, du sang plein les mains.
Tant d’autres hier et encore tant demain,
Pendront des gens au bout d’une corde telles des lanternes.
Une Terre que petit à petit on asphyxie,
La privant d’un oxygène déjà raréfié,
Et de tous ses arbres, coupés, déracinés,
Des forêts de Bornéo à celles d’Amazonie.
Et celles qui restent souvent elles brûlent.
Tout comme les pôles, les glaciers fondent,
La nature meurt d’une plaie profonde,
Victime de l’homme, d’une canicule.
Et si l’on pensait aux animaux,
Toutes ces diversités d’espèces,
Qui très rapidement disparaissent,
Pour ne survivre que dans les zoos.
Nous sommes devenus des sangsues,
Nous n’en n’avons jamais assez,
Heureux de toujours amasser,
Pilleurs d’un Terre qui n’en peut plus.
J’entends là son cri de détresse
Aussi perçant qu’un cri d’oiseau.
Si l’être humain lui tend le dos,
Un jour elle sera vengeresse.
Il serait temps de réagir, d’oser se montrer rebelle.
Et même si c’est perdu d’avance,
Faire reculer l’ultime sentence.
Au moins avoir retenter de vivre sur une Terre plus belle.
Sans retomber au moyen âge,
Consommer en personnes responsables,
Pas en égocentriques méprisables.
Essayer d’être un peu plus sage.
Moi qui suis plutôt optimiste,
Je ne cède rien au pessimisme,
Mais quand je vois tout cet égoïsme,
Je ne peux qu’être réaliste.
Lui à l’horizon, il s’en fiche et reviendra demain,
Et après demain, et longtemps encore.
Ce crépuscule est peut-être le décor
D’un suicide, d’une tragédie humaine touchant à sa fin.
Un ciel rougi comme une mare de sang,
Et le Soleil rapidement descend
S’y baigner hors de ma vision.
Sur quel monde a-t-il encore veillé aujourd’hui,
Sur quels hommes sa lumière s’est-elle encore répandue,
Quels bons services leur a-t-il encore rendu
Avant qu’il ne se couche pour une nouvelle nuit.
Il regarde de son œil froid, avant de renaître,
Une planète d’eau, de feu et de terre,
Une oasis dans un glacial univers
Sombrant dans l’agonie avant de disparaître.
Il est comme moi et ne doit pas comprendre
Pourquoi ces massacres, ces tueries, toutes ces guerres.
Ces armes destructrices qui grondent comme un tonnerre
C’est plus simple que d’essayer de s’entendre.
Le plaisir de torture et de détruire
Hommes, femmes, enfants et leurs idées,
Un nombrilisme comme seule pensée.
Peuples conquérants ne sachant que haïr.
Croix dans une main, épée dans l’autre,
Têtes tranchées, ventres étripés,
Nouvelles contrées colonisées,
Puis prier Dieu comme un apôtre.
Nazis en bottes cirées, barbares des temps modernes,
Hitler et Staline, du sang plein les mains.
Tant d’autres hier et encore tant demain,
Pendront des gens au bout d’une corde telles des lanternes.
Une Terre que petit à petit on asphyxie,
La privant d’un oxygène déjà raréfié,
Et de tous ses arbres, coupés, déracinés,
Des forêts de Bornéo à celles d’Amazonie.
Et celles qui restent souvent elles brûlent.
Tout comme les pôles, les glaciers fondent,
La nature meurt d’une plaie profonde,
Victime de l’homme, d’une canicule.
Et si l’on pensait aux animaux,
Toutes ces diversités d’espèces,
Qui très rapidement disparaissent,
Pour ne survivre que dans les zoos.
Nous sommes devenus des sangsues,
Nous n’en n’avons jamais assez,
Heureux de toujours amasser,
Pilleurs d’un Terre qui n’en peut plus.
J’entends là son cri de détresse
Aussi perçant qu’un cri d’oiseau.
Si l’être humain lui tend le dos,
Un jour elle sera vengeresse.
Il serait temps de réagir, d’oser se montrer rebelle.
Et même si c’est perdu d’avance,
Faire reculer l’ultime sentence.
Au moins avoir retenter de vivre sur une Terre plus belle.
Sans retomber au moyen âge,
Consommer en personnes responsables,
Pas en égocentriques méprisables.
Essayer d’être un peu plus sage.
Moi qui suis plutôt optimiste,
Je ne cède rien au pessimisme,
Mais quand je vois tout cet égoïsme,
Je ne peux qu’être réaliste.
Lui à l’horizon, il s’en fiche et reviendra demain,
Et après demain, et longtemps encore.
Ce crépuscule est peut-être le décor
D’un suicide, d’une tragédie humaine touchant à sa fin.
Pieds Hyphénique: Désolation
un=cer=cle=o=range=à=l=ho=ri=zon 10
un=ciel=rou=gi=commeu=ne=ma=re=de=sang 10
et=le=so=leil=ra=pi=de=ment=des=cend 10
sy=bai=gner=hors=de=ma=vi=si=on 9
sur=quel=mondea=til=en=co=re=veillé=au=jourdhui 10
sur=quels=hommes=sa=lu=mière=sest=elleen=core=ré=pan=due 12
quels=bons=ser=vices=leur=a=til=en=core=ren=du 11
avant=quil=ne=se=couche=pour=une=nou=vel=le=nuit 11
il=re=gar=de=de=son=œil=froid=a=vant=de=re=naître 13
une=pla=nè=te=deau=de=feu=et=de=terre 10
une=oa=sis=dans=un=gla=cial=u=ni=vers 10
som=brant=dans=la=go=niea=vant=de=dis=pa=raître 11
il=est=comme=moi=et=ne=doit=pas=com=prendre 10
pour=quoi=ces=mas=sacres=ces=tue=ries=toutes=ces=guerres 11
ces=ar=mes=des=truc=trices=qui=grondent=com=meun=ton=nerre 12
cest=plus=sim=ple=que=des=sayer=de=sen=tendre 10
le=plai=sir=de=tor=ture=et=de=dé=truire 10
hom=mes=fem=mes=en=fants=et=leurs=i=dées 10
un=nom=bri=lis=me=comme=seu=le=pen=sée 10
peu=ples=con=qué=rants=ne=sa=chant=que=haïr 10
croix=dans=u=ne=main=é=pée=dans=lau=tre 10
tê=tes=tran=chées=ven=tres=é=tri=pés 9
nou=vel=les=con=trées=co=lo=ni=sées 9
puis=pri=er=dieu=com=me=un=a=pô=tre 10
na=zis=en=bot=tes=ci=rées=bar=bares=des=temps=mo=dernes 13
hit=ler=et=sta=line=du=sang=plein=les=mains 10
tant=dau=tres=hier=et=en=core=tant=de=main 10
pen=dront=des=gens=au=bout=dune=corde=tel=les=des=lan=ternes 13
une=terre=que=pe=tit=à=pe=tit=on=as=phy=xie 12
la=pri=vant=dun=oxy=gène=dé=jà=ra=ré=fié 11
et=de=tous=ses=ar=bres=cou=pés=dé=ra=ci=nés 12
des=fo=rêts=de=bor=néo=à=cel=les=da=ma=zo=nie 13
et=cel=les=qui=res=tent=souvent=el=les=brûlent 10
tout=com=me=les=pôles=les=gla=ciers=fon=dent 10
la=na=tu=re=meurt=du=ne=plaie=pro=fonde 10
vic=time=de=lhom=me=du=ne=ca=ni=cule 10
et=si=lon=pen=sait=aux=a=ni=maux 9
tou=tes=ces=di=ver=si=tés=des=pè=ces 10
qui=très=ra=pi=de=ment=dis=pa=rais=sent 10
pour=ne=sur=vi=vre=que=dans=les=zoos 9
nous=som=mes=de=ve=nus=des=sang=sues 9
nous=nen=na=vons=ja=mais=as=sez 8
heu=reux=de=tou=jours=a=mas=ser 8
pil=leurs=dun=ter=re=qui=nen=peut=plus 9
jen=tends=là=son=cri=de=dé=tresse 8
aus=si=per=çant=quun=cri=doi=seau 8
si=lê=tre=hu=main=lui=tend=le=dos 9
un=jour=el=le=se=ra=ven=ge=resse 9
il=se=rait=temps=de=ré=a=gir=do=ser=se=mon=trer=re=belle 15
et=mê=me=si=cest=per=du=da=van=ce 10
fai=re=re=cu=ler=lul=ti=me=sen=tence 10
au=moins=a=voir=re=ten=ter=de=vivre=sur=une=terre=plus=belle 14
sans=re=tom=ber=au=moyen=â=ge 8
consom=mer=en=per=son=nes=res=pon=sa=bles 10
pas=en=é=go=cen=tri=ques=mé=pri=sables 10
es=say=er=dê=tre=un=peu=plus=sa=ge 10
moi=qui=suis=plu=tôt=op=ti=mis=te 9
je=ne=cè=de=rien=au=pes=si=mis=me 10
mais=quand=je=vois=tout=cet=é=goïs=me 9
je=ne=peux=quê=tre=ré=a=lis=te 9
lui=à=lho=ri=zon=il=sen=ficheet=re=vien=dra=de=main 13
et=a=près=de=main=et=long=temps=en=core 10
ce=cré=pus=culeest=peut=tê=tre=le=dé=cor 10
dun=sui=cide=dune=tra=gé=die=hu=maine=tou=chant=à=sa=fin 14Phonétique : Désolation
œ̃ sεʁklə ɔʁɑ̃ʒə a lɔʁizɔ̃,
œ̃ sjεl ʁuʒi kɔmə ynə maʁə də sɑ̃,
e lə sɔlεj ʁapidəmɑ̃ desɑ̃
si bεɲe ɔʁ də ma vizjɔ̃.
syʁ kεl mɔ̃də a til ɑ̃kɔʁə vεje oʒuʁdɥi,
syʁ kεlz- ɔmə sa lymjεʁə sεt- εllə ɑ̃kɔʁə ʁepɑ̃dɥ,
kεl bɔ̃ sεʁvisə lœʁ a til ɑ̃kɔʁə ʁɑ̃dy
avɑ̃ kil nə sə kuʃə puʁ ynə nuvεllə nɥi.
il ʁəɡaʁdə də sɔ̃n- œj fʁwa, avɑ̃ də ʁənεtʁə,
ynə planεtə do, də fø e də teʁə,
ynə ɔazi dɑ̃z- œ̃ ɡlasjal ynive
sɔ̃bʁɑ̃ dɑ̃ laɡɔni avɑ̃ də dispaʁεtʁə.
il ε kɔmə mwa e nə dwa pa kɔ̃pʁɑ̃dʁə
puʁkwa sε masakʁə, sε tɥəʁi, tutə sε ɡeʁə.
sεz- aʁmə- dεstʁyktʁisə ki ɡʁɔ̃de kɔmə œ̃ tɔneʁə
sε plys sɛ̃plə kə desεje də sɑ̃tɑ̃dʁə.
lə plεziʁ də tɔʁtyʁə e də detʁɥiʁə
ɔmə, famə, ɑ̃fɑ̃z- e lœʁz- ide,
œ̃ nɔ̃bʁilismə kɔmə sələ pɑ̃se.
pəplə kɔ̃keʁɑ̃ nə saʃɑ̃ kə-ajʁ.
kʁwa dɑ̃z- ynə mɛ̃, epe dɑ̃ lotʁə,
tεtə tʁɑ̃ʃe, vɑ̃tʁəz- etʁipe,
nuvεllə kɔ̃tʁe kɔlɔnize,
pɥi pʁje djø kɔmə œ̃n- apotʁə.
naziz- ɑ̃ bɔtə siʁe, baʁbaʁə dε tɑ̃ mɔdεʁnə,
itle e stalinə, dy sɑ̃ plɛ̃ lε mɛ̃.
tɑ̃ dotʁə- jεʁ e ɑ̃kɔʁə tɑ̃ dəmɛ̃,
pɑ̃dʁɔ̃ dε ʒɑ̃z- o bu dynə kɔʁdə tεllə dε lɑ̃tεʁnə.
ynə teʁə kə pəti a pəti ɔ̃n- asfiksi,
la pʁivɑ̃ dœ̃n- ɔksiʒεnə deʒa ʁaʁefje,
e də tus sεz- aʁbʁə, kupe, deʁasine,
dε fɔʁε də bɔʁneo a sεllə damazɔni.
e sεllə ki ʁεste suvɑ̃ εllə bʁyle.
tu kɔmə lε polə, lε ɡlasje fɔ̃de,
la natyʁə məʁ dynə plε pʁɔfɔ̃də,
viktimə də lɔmə, dynə kanikylə.
e si lɔ̃ pɑ̃sε oz- animo,
tutə sε divεʁsite dεspεsə,
ki tʁε ʁapidəmɑ̃ dispaʁεse,
puʁ nə syʁvivʁə kə dɑ̃ lε zo.
nu sɔmə dəvənys dε sɑ̃ɡsɥ,
nu nɑ̃ navɔ̃ ʒamεz- ase,
œʁø də tuʒuʁz- amase,
pijœʁ dœ̃ teʁə ki nɑ̃ pø plys.
ʒɑ̃tɑ̃ la sɔ̃ kʁi də detʁεsə
osi pεʁsɑ̃ kœ̃ kʁi dwazo.
si lεtʁə ymɛ̃ lɥi tɑ̃ lə do,
œ̃ ʒuʁ εllə səʁa vɑ̃ʒəʁεsə.
il səʁε tɑ̃ də ʁeaʒiʁ, doze sə mɔ̃tʁe ʁəbεllə.
e mεmə si sε pεʁdy davɑ̃sə,
fεʁə ʁəkyle lyltimə sɑ̃tɑ̃sə.
o mwɛ̃z- avwaʁ ʁətɑ̃te də vivʁə syʁ ynə teʁə plys bεllə.
sɑ̃ ʁətɔ̃be o mwajɛ̃ aʒə,
kɔ̃sɔme ɑ̃ pεʁsɔnə ʁεspɔ̃sablə,
pa ɑ̃n- eɡɔsɑ̃tʁik mepʁizablə.
esεje dεtʁə œ̃ pø plys saʒə.
mwa ki sɥi plyto ɔptimistə,
ʒə nə sεdə ʁjɛ̃ o pesimismə,
mε kɑ̃ ʒə vwa tu sεt eɡɔismə,
ʒə nə pø kεtʁə ʁealistə.
lɥi a lɔʁizɔ̃, il sɑ̃ fiʃə e ʁəvjɛ̃dʁa dəmɛ̃,
e apʁε dəmɛ̃, e lɔ̃tɑ̃z- ɑ̃kɔʁə.
sə kʁepyskylə ε pø tεtʁə lə dekɔʁ
dœ̃ sɥisidə, dynə tʁaʒedi ymεnə tuʃɑ̃ a sa fɛ̃.Pieds Phonétique : Désolation
œ̃=sεʁ=klə=ɔ=ʁɑ̃=ʒə=a=lɔ=ʁi=zɔ̃ 10
œ̃=sjεl=ʁu=ʒi=kɔməy=nə=ma=ʁə=də=sɑ̃ 10
e=lə=sɔ=lεj=ʁa=pi=də=mɑ̃=de=sɑ̃ 10
si=bε=ɲe=ɔʁ=də=ma=vi=zj=ɔ̃ 9
syʁ=kεl=mɔ̃dəa=til=ɑ̃kɔʁə=vε=je=o=ʒuʁ=dɥi 10
syʁ=kεl=zɔmə=sa=ly=mjεʁə=sε=tεlləɑ̃=kɔʁə=ʁe=pɑ̃dɥ 11
kεl=bɔ̃sεʁvisə=lœʁ=a=til=ɑ̃=kɔ=ʁə=ʁɑ̃=dy 10
a=vɑ̃=kil=nə=sə=kuʃə=puʁynə=nu=vεllə=nɥi 10
il=ʁə=ɡaʁdə=də=sɔ̃=nœj=fʁwa=a=vɑ̃dəʁə=nεtʁə 10
ynə=pla=nε=tə=do=də=fø=e=də=teʁə 10
ynəɔ=a=zi=dɑ̃=zœ̃=ɡla=sjal=y=ni=veʁ 10
sɔ̃=bʁɑ̃=dɑ̃=la=ɡɔ=ni=a=vɑ̃də=dis=paʁεtʁə 10
il=ε=kɔmə=mwa=e=nə=dwa=pa=kɔ̃=pʁɑ̃dʁə 10
puʁ=kwa=sεmasakʁə=sε=tɥə=ʁi=tu=tə=sε=ɡeʁə 10
sεzaʁmə=dεs=tʁyk=tʁisə=ki=ɡʁɔ̃=de=kɔ=məœ̃=tɔ=ne=ʁə 12
sε=plys=sɛ̃plə=kə=de=sε=je=də=sɑ̃=tɑ̃dʁə 10
lə=plε=ziʁ=də=tɔʁ=tyʁə=e=də=det=ʁɥiʁə 10
ɔ=mə=fa=mə=ɑ̃=fɑ̃=ze=lœʁ=zi=de 10
œ̃=nɔ̃=bʁi=lismə=kɔ=mə=sə=lə=pɑ̃=se 10
pə=plə=kɔ̃=ke=ʁɑ̃=nə=sa=ʃɑ̃=kə-ajʁ 10
kʁwa=dɑ̃=zy=nə=mɛ̃=e=pe=dɑ̃=lo=tʁə 10
tε=tə=tʁɑ̃=ʃe=vɑ̃=tʁə=ze=tʁi=pe 9
nu=vεl=lə=kɔ̃=tʁe=kɔ=lɔ=ni=ze 9
pɥi=pʁj=e=djø=kɔ=mə=œ̃=na=po=tʁə 10
na=zi=zɑ̃bɔtə=si=ʁe=baʁ=ba=ʁə=dε=tɑ̃mɔdεʁnə 10
i=tle=e=sta=linə=dy=sɑ̃=plɛ̃=lε=mɛ̃ 10
tɑ̃=dotʁə=jεʁ=e=ɑ̃=kɔ=ʁə=tɑ̃=də=mɛ̃ 10
pɑ̃=dʁɔ̃=dε=ʒɑ̃=zo=budynə=kɔʁ=də=tεllə=dεlɑ̃tεʁnə 10
ynə=teʁə=kə=pə=tiapə=ti=ɔ̃=nas=fik=si 10
la=pʁi=vɑ̃=dœ̃=nɔk=siʒεnə=de=ʒa=ʁa=ʁe=fje 11
e=də=tus=sεzaʁbʁə=ku=pe=de=ʁa=si=ne 10
dεfɔʁεdə=bɔʁ=ne=o=a=sεllə=da=ma=zɔ=ni 10
e=sεllə=ki=ʁεs=te=su=vɑ̃=εllə=bʁy=le 10
tu=kɔ=mə=lε=polə=lε=ɡla=sje=fɔ̃=de 10
la=na=ty=ʁə=məʁ=dy=nə=plε=pʁɔ=fɔ̃də 10
vik=ti=mə=də=lɔmə=dy=nə=ka=ni=kylə 10
e=si=lɔ̃=pɑ̃=sε=o=za=ni=mo 9
tu=tə=sε=di=vεʁ=si=te=dεs=pε=sə 10
ki=tʁε=ʁa=pi=də=mɑ̃=dis=pa=ʁε=se 10
puʁ=nə=syʁ=vi=vʁə=kə=dɑ̃=lε=zo 9
nu=sɔ=mə=də=və=nys=dε=sɑ̃ɡsɥ 8
nu=nɑ̃=na=vɔ̃=ʒa=mε=za=se 8
œ=ʁø=də=tu=ʒuʁ=za=ma=se 8
pi=jœ=ʁə=dœ̃=te=ʁə=ki=nɑ̃=pø=plys 10
ʒɑ̃=tɑ̃=la=sɔ̃=kʁi=də=de=tʁεs=ə 9
o=si=pεʁ=sɑ̃=kœ̃=kʁi=dwa=zo 8
si=lε=tʁə=y=mɛ̃=lɥi=tɑ̃=lə=do 9
œ̃=ʒuʁ=εl=lə=sə=ʁa=vɑ̃=ʒə=ʁε=sə 10
il=sə=ʁεtɑ̃də=ʁe=a=ʒiʁ=do=ze=sə=mɔ̃=tʁe=ʁə=bεllə 13
e=mε=mə=si=sε=pεʁ=dy=da=vɑ̃=sə 10
fε=ʁə=ʁə=ky=le=lyl=ti=mə=sɑ̃=tɑ̃sə 10
o=mwɛ̃=za=vwaʁʁə=tɑ̃=te=də=vivʁə=syʁ=ynə=te=ʁə=plys=bεllə 14
sɑ̃=ʁə=tɔ̃=be=o=mwa=jɛ̃=a=ʒə 9
kɔ̃=sɔ=me=ɑ̃=pεʁ=sɔ=nə=ʁεs=pɔ̃=sablə 10
pa=ɑ̃=ne=ɡɔ=sɑ̃=tʁik=me=pʁi=za=blə 10
e=sε=je=dε=tʁə=œ̃=pø=plys=sa=ʒə 10
mwa=ki=sɥi=ply=to=ɔp=ti=mis=tə 9
ʒə=nə=sε=də=ʁjɛ̃=o=pe=si=mis=mə 10
mε=kɑ̃=ʒə=vwa=tu=sεt=e=ɡɔ=is=mə 10
ʒə=nə=pø=kε=tʁə=ʁe=a=lis=tə 9
lɥi=a=lɔ=ʁi=zɔ̃=il=sɑ̃=fiʃəeʁə=vjɛ̃dʁadə=mɛ̃ 10
e=a=pʁε=də=mɛ̃=e=lɔ̃=tɑ̃=zɑ̃=kɔʁə 10
sə=kʁe=pys=kyləε=pø=tε=tʁə=lə=de=kɔʁ 10
dœ̃=sɥisidə=dynə=tʁa=ʒe=di=y=mε=nə=tu=ʃɑ̃=a=sa=fɛ̃ 14
Récompense
Texte des commentateurs
Commentaires Sur La Poesie

01/01/2021 15:49Donovan.nouel
C’est très bien exprimé, un poème bien peint sur la désolation, sur le manque de lumière, de vitamine, du soleil. Des questions sans réponse exacte, des incompréhensions de la vie, l’écologie est un point très fort à s’occuper immédiatement, on le ressent vivement. Ce poème se termine mal comme un suicide. Merci du partage, un très grand bravo.

04/01/2021 16:57Shlama
voilà donc cette misère, merci pour ce partage et ces émotions qui ne me laisse pas indifférent.

10/01/2021 11:51Barrymoussa180
Bien dit Mémo, un monde de désolation.
J’ai beaucoup aimé le poème, il reflète exactement
mon point de vue. Merci du partage.

14/01/2021 04:20Saber Lahmidi
J’ai beaucoup aimé ce poème, surtout les dernières strophes.
Merci pour cette belle écriture et du partage !

16/01/2021 16:11Stylus
Touchant !
Merci Mémo du partage.