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Poème:Exutoire

Le Poème

A l’âge de 11 ans, je me masturbais en pensant à la plante des pieds de mes camarades de classe. Tant, que j’arrivais un peu en retard pour les cours, le slip sale et collant, autant que je n’y pensais plus lorsque j’arrivais dans la classe. S’ils avaient su… Les filles ne m’intéressaient pas. Je les trouvais beaucoup trop douces, sans doute beaucoup trop filles. Mais qu’auraient-elles pu faire pour y remédier ? Seuls les garçons m’excitaient, et seule une seule chose m’excitait chez eux : leurs pieds de jeunes garçons. Même aujourd’hui, les femmes ne m’intéressent pas, et leurs pieds non plus, du moins c’est ce que je croyais…
Les garçons me tyrannisaient au collège, lorsque j’avais 11 ans. Ils me traitaient de gros, de pd, de sans ami. En primaire j’étais toujours avec les filles, et je ne m’intéressais pas encore aux garçons. Je les zappais. Mais j’étais lâche alors, car je faisais connerie sur connerie, en prenant pour victimes… les filles. Je les tyrannisais. Je leur volais des vêtements, je leur crachais dessus, je les tapais, je coupais leurs cheveux, je cassais leurs lunettes… Du coup, j’étais avec elles en permanence, mais elles ne m’aimaient pas vraiment. Elles s’attendaient toujours à une crasse de ma part. Je suppose qu’inconsciemment dès lors, les garçons savaient que j’avais peur d’eux, puisque je ne m’attaquais jamais à eux, et de surcroît puisque je m’attaquais aux filles. Mais pour m’y attaquer il fallait que je les fréquente. Donc, je jouais souvent à des jeux de filles, avec les filles, pour assouvir mes pulsions, au contraire de jouer avec les garçons, à des jeux de garçons, pour me chamailler gentillement, donc où il n’aurait pu s’agir de pulsions, mais plutôt de simulations d’un état puissant et viril, via des bagarres, des affrontements physiques ou verbaux, où toute l’identité du futur homme que j’aurais été, aurait pu se construire.
Le fait est que j’avais peur des garçons, de la violence, de la « petite virilité ». Du coup je fuyais tout ce qui avait attrait à cela, c’est à dire le sport, et donc le football, le basketball, le handball etc, les discussions autour des filles, des expériences amoureuses de jeunesse, les discussions autour des voitures, des jeux vidéos ; en deux mots je fuyais l’identité masculine. Je suppose que je la fuyais aussi car mon père m’inspirait tout cela ; il semblait à l’aise avec les gens, il était bourlingueur, grande gueule, parfois vulgaire, parfois brutal, il aimait le football, les jeux de courses de voitures… mais il fuyait lui-même sa propre sensibilité, et donc ne pouvait pas être sensible à celle des autres, et notamment à la mienne. Plus tard, lorsque j’ai commencé à écrire des textes, à faire des montages graphiques et des images, à chanter mes propres chansons, c’est à dire 10 ans plus tard, ceci a confirmé cela. Jamais aucune parole intéressée de sa part, jamais aucune curiosité portée sur ce que je faisais alors. Voire même du mépris pour ma sensibilité et mon intelligence de « trou du cul sans expérience de la vie ». Sans doute avait-il oublié que la réelle expérience de la vie, lui-même il se la cachait, en prétendant qu’elle consistait à bosser, et à rapporter de l’argent, à traîner au bar et à discuter n’importe comment avec n’importe qui, à regarder des matchs de foot, et à vivre sa jeunesse exclusivement en se droguant, et en faisant des conneries, histoire de flirter avec le danger. Je n’aimais pas mon père. Pour moi c’était un étranger, qui sans forcément me blesser, me faisait du mal.
De là il est venu un profond désir de me venger de mes camarades qui me faisaient du mal, et de mon père qui lui aussi me faisait du mal. Me venger de la virilité et des hommes. Me venger de ce sexe opposé, qui sans pour autant me prendre pour une fille, était pour moi une hantise, une appréhension, et une source d’humiliation et de non-reconnaissance. Il aurait été logique donc, que l’objet de ma vengeance se porte sur le symbole de la virilité, c’est à dire le phallus. Mais comme j’avais besoin de reconnaissance, ce que je souhaitais aussi, inconsciemment, c’était la reconnaissance à proprement parler. Je souhaitais donc me venger, mais concrètement je ne pouvais pas. Il était donc logique que ma vengeance s’installe sur un plan strictement intime et personnel. Et très vite la masturbation s’est installé ; masturbation que je pratiquais en pensant à des hommes. Mais comment y pensais-je ? Fallait-il rosser et battre leur phallus ? Si cela aurait été le cas, je n’aurais pas eu de reconnaissance, mais plutôt j’aurais été moi-même un homme violent et viril qui frappe, ce qui m’effrayait puisque c’était ce que je fuyais. Il fallait donc les faire jouir, en même temps que la jouissance aurait constitué une vengeance. Et donc tout aussi rapidement, l’idée de les chatouiller m’avait paru être un bon compromis. Mais je fuyais le rapport homme/homme. Aussi cette vengeance par les chatouilles n’aurait pas pu être envisagée, pratiquée sur le sexe des hommes auxquels je pensais. J’ai donc encore une fois trouvé un compromis, en décidant d’exercer ma vengeance sous leurs pieds, la plante des pieds étant un symbole érotique, et donc dissimulant une envie de se rapporter au sexe masculin. C’était pile poil dans mes cordes.
Voilà pourquoi je me masturbais tous les jours, à de multiples reprises, avant d’aller en cours, ou dans mon lit le soir. Mais en dehors de ça, je le faisais aussi dans le lit de mes parents. Pour punir mon père, c’est évident, mais également pour punir ma mère, qui avait toujours accepté cette virilité « monstrueuse » sous son toit, et par extension sous le mien aussi. Voilà pourquoi j’ai fini aussi par penser aux femmes en me masturbant, mais à une seule femme : ma mère. Je fantasmais donc aussi sur les pieds de mon père et ceux de ma mère. Je fantasmais de les voir ligotés tous les deux, ensemble, ou séparément, et de chatouiller leurs plantes de pieds aussi longtemps que j’aurais pu le décider. J’en éprouvais une grande jouissance, j’étais libéré sans l’être, triomphant sans jamais triompher.

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Poeme de Pendantce

Poète Pendantce

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Exutoirea=lâ=ge=de=on=ze=ans=je=me=mas=tur=bais=en=pen=sant=à=la=plan=te=des=pieds=de=mes=ca=ma=ra=des=de=classe=tant=que=jar=ri=vais=un=peu=en=re=tard=pour=les=cours=le=s=lip=sa=le=et=col=lant=au=tant=que=je=ny=pen=sais=plus=lors=que=jar=ri=vais=dans=la=classe=sils=a=vaient=su=les=filles=ne=min=té=res=saient=pas=je=les=trou=vais=beau=coup=trop=dou=ces=sans=dou=te=beau=coup=trop=filles=mais=quau=raient=tel=les=pu=fai=re=pour=y=re=mé=dier=seuls=les=gar=çons=mex=ci=taient=et=seu=le=u=ne=seu=le=cho=se=mex=ci=tait=chez=eux=leurs=pieds=de=jeu=nes=gar=çons=mê=me=au=jourd=hui=les=fem=mes=ne=min=té=res=sent=pas=et=leurs=pieds=non=plus=du=moins=cest=ce=que=je=cro=yais 162
les=gar=çons=me=ty=ran=ni=saient=au=col=lège=lors=que=ja=vais=on=zeans=ils=me=trai=taient=de=gros=de=p=d=de=sans=a=mi=en=pri=mai=re=jé=tais=tou=jours=a=vec=les=filles=et=je=ne=min=té=res=sais=pas=en=co=re=aux=gar=çons=je=les=zap=pais=mais=jé=tais=lâ=che=a=lors=car=je=fai=sais=con=ne=rie=sur=con=ne=rie=en=pre=nant=pour=vic=ti=mes=les=filles=je=les=ty=ran=ni=sais=je=leur=vo=lais=des=vê=te=ments=je=leur=cra=chais=des=sus=je=les=ta=pais=je=cou=pais=leurs=che=veux=je=cas=sais=leurs=lu=net=tes=du=coup=jé=tais=a=vec=elles=en=per=ma=nen=ce=mais=el=les=ne=mai=maient=pas=vrai=ment=el=les=sat=ten=daient=tou=jours=à=u=ne=cras=se=de=ma=part=je=sup=po=se=quin=cons=ciem=ment=dès=lors=les=gar=çons=sa=vaient=que=ja=vais=peur=deux=puis=que=je=ne=mat=ta=quais=ja=mais=à=eux=et=de=sur=croît=puis=que=je=mat=ta=quais=aux=filles=mais=pour=my=at=ta=quer=il=fal=lait=que=je=les=fré=quente=donc=je=jou=ais=sou=vent=à=des=jeux=de=filles=a=vec=les=filles=pour=as=sou=vir=mes=pul=sions=au=con=trai=re=de=jouer=a=vec=les=gar=çons=à=des=jeux=de=gar=çons=pour=me=cha=mailler=gen=tille=ment=donc=où=il=nau=rait=pu=sa=gir=de=pul=sions=mais=plu=tôt=de=si=mu=la=tions=dun=é=tat=puis=sant=et=vi=ril=via=des=ba=gar=res=des=af=fron=te=ments=phy=si=ques=ou=ver=baux=où=tou=te=li=den=ti=té=du=fu=tur=hom=me=que=jau=rais=é=té=au=rait=pu=se=cons=truire 329
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de=là=il=est=ve=nu=un=pro=fond=dé=sir=de=me=ven=ger=de=mes=ca=ma=rades=qui=me=fai=saient=du=mal=et=de=mon=pè=re=qui=lui=aus=si=me=fai=sait=du=mal=me=ven=ger=de=la=vi=ri=li=té=et=des=hom=mes=me=ven=ger=de=ce=sexeop=po=sé=qui=sans=pour=au=tant=me=pren=dre=pour=u=ne=fille=é=tait=pour=moi=u=ne=han=ti=se=u=ne=ap=pré=hen=sion=et=u=ne=sour=ce=dhu=mi=lia=tion=et=de=non=re=con=nais=sance=il=au=rait=é=té=lo=gi=que=donc=que=lob=jet=de=ma=ven=gean=ce=se=por=te=sur=le=sym=bo=le=de=la=vi=ri=li=té=cest=à=di=re=le=phal=lus=mais=com=me=ja=vais=be=soin=de=re=con=nais=san=ce=ce=que=je=sou=hai=tais=aus=si=in=cons=ciem=ment=cé=tait=la=re=con=nais=san=ce=à=pro=pre=ment=par=ler=je=sou=hai=tais=donc=me=ven=ger=mais=con=crè=te=ment=je=ne=pou=vais=pas=il=é=tait=donc=lo=gi=que=que=ma=ven=gean=ce=sins=tal=le=sur=un=plan=stric=te=ment=in=ti=me=et=per=son=nel=et=très=vi=te=la=mas=tur=ba=ti=on=sest=ins=tal=lé=mas=tur=ba=ti=on=que=je=pra=ti=quais=en=pen=sant=à=des=hom=mes=mais=com=ment=y=pen=sais=je=fal=lait=til=ros=ser=et=bat=tre=leur=phal=lus=si=ce=la=au=rait=é=té=le=cas=je=nau=rais=pas=eu=de=re=con=nais=san=ce=mais=plu=tôt=jau=rais=é=té=moi=mê=me=un=hom=me=vio=lent=et=vi=ril=qui=frap=pe=ce=qui=mef=frayait=puis=que=cé=tait=ce=que=je=fu=y=ais=il=fal=lait=donc=les=fai=re=jouir=en=mê=me=temps=que=la=jouis=san=ce=au=rait=cons=ti=tué=u=ne=ven=geance=et=donc=tout=aus=si=ra=pi=de=ment=li=dée=de=les=cha=touiller=ma=vait=pa=ru=ê=tre=un=bon=com=pro=mis=mais=je=fu=y=ais=le=rap=port=hom=me=s=la=sh=hom=me=aus=si=cet=te=ven=gean=ce=par=les=cha=touilles=nau=rait=pas=pu=ê=tre=en=vi=sa=gée=pra=ti=quée=sur=le=sexe=des=hom=mes=aux=quels=je=pen=sais=jai=donc=en=co=re=u=ne=fois=trou=vé=un=com=pro=mis=en=dé=ci=dant=dexer=cer=ma=ven=gean=ce=sous=leurs=pieds=la=plan=te=des=pieds=é=tant=un=sym=bo=le=é=ro=ti=que=et=donc=dis=si=mu=lant=u=ne=en=vie=de=se=rap=por=ter=au=sexe=mas=cu=lin=cé=tait=pi=le=poil=dans=mes=cordes 503
voi=là=pour=quoi=je=me=mas=tur=bais=tous=les=jours=à=de=mul=tiples=re=pri=ses=a=vant=dal=ler=en=cours=ou=dans=mon=lit=le=soir=mais=en=dehors=de=ça=je=le=fai=sais=aus=si=dans=le=lit=de=mes=pa=rents=pour=pu=nir=mon=pè=re=cest=é=vi=dent=mais=é=ga=le=ment=pour=pu=nir=ma=mè=re=qui=a=vait=tou=jours=ac=cep=té=cet=te=vi=ri=li=té=mons=trueu=se=sous=son=toit=et=par=ex=ten=sion=sous=le=mien=aus=si=voi=là=pour=quoi=jai=fi=ni=aus=si=par=pen=ser=aux=fem=mes=en=me=mas=tur=bant=mais=à=u=ne=seu=le=fem=me=ma=mère=je=fan=tas=mais=donc=aus=si=sur=les=pieds=de=mon=pè=reet=ceux=de=ma=mère=je=fan=tas=mais=de=les=voir=li=go=tés=tous=les=deux=en=sem=ble=ou=sé=pa=ré=ment=et=de=cha=touiller=leurs=plan=tes=de=pieds=aus=si=long=temps=que=jau=rais=pu=le=dé=ci=der=jen=é=prou=vais=u=ne=gran=de=jouis=san=ce=jé=tais=li=bé=ré=sans=lê=tre=triom=phant=sans=ja=mais=triom=pher 216

sou=li=gné=sou=li=gné=sou=li=gné=sou=li=gné 12
Phonétique : Exutoirea laʒə də ɔ̃zə ɑ̃, ʒə mə mastyʁbεz- ɑ̃ pɑ̃sɑ̃ a la plɑ̃tə dε pje də mε kamaʁadə də klasə. tɑ̃, kə ʒaʁivεz- œ̃ pø ɑ̃ ʁətaʁ puʁ lε kuʁ, lə slip salə e kɔlɑ̃, otɑ̃ kə ʒə ni pɑ̃sε plys lɔʁskə ʒaʁivε dɑ̃ la klasə. silz- avε sy… lε fijə nə mɛ̃teʁesε pa. ʒə lε tʁuvε boku tʁo dusə, sɑ̃ dutə boku tʁo fijə. mε koʁε tεllə py fεʁə puʁ i ʁəmedje ? səl lε ɡaʁsɔ̃ mεksitε, e sələ ynə sələ ʃozə mεksitε ʃez- ø : lœʁ pje də ʒənə ɡaʁsɔ̃. mεmə oʒuʁdɥi, lε famə nə mɛ̃teʁəse pa, e lœʁ pje nɔ̃ plys, dy mwɛ̃ sε sə kə ʒə kʁwajε…
lε ɡaʁsɔ̃ mə tiʁanizε o kɔlεʒə, lɔʁskə ʒavεz- ɔ̃zə ɑ̃. il mə tʁεtε də ɡʁo, də pe de, də sɑ̃z- ami. ɑ̃ pʁimεʁə ʒetε tuʒuʁz- avεk lε fijə, e ʒə nə mɛ̃teʁesε pa ɑ̃kɔʁə o ɡaʁsɔ̃. ʒə lε zapε. mε ʒetε laʃə alɔʁ, kaʁ ʒə fəzε kɔnəʁi syʁ kɔnəʁi, ɑ̃ pʁənɑ̃ puʁ viktimə… lε fijə. ʒə lε tiʁanizε. ʒə lœʁ vɔlε dε vεtəmɑ̃, ʒə lœʁ kʁaʃε dəsy, ʒə lε tapε, ʒə kupε lœʁ ʃəvø, ʒə kasε lœʁ lynεtə… dy ku, ʒetεz- avεk εlləz- ɑ̃ pεʁmanɑ̃sə, mεz- εllə nə mεmε pa vʁεmɑ̃. εllə satɑ̃dε tuʒuʁz- a ynə kʁasə də ma paʁ. ʒə sypozə kɛ̃kɔ̃sjamɑ̃ dε lɔʁ, lε ɡaʁsɔ̃ savε kə ʒavε pœʁ dø, pɥiskə ʒə nə matakε ʒamεz- a ø, e də syʁkʁwa pɥiskə ʒə matakεz- o fijə. mε puʁ mi atake il falε kə ʒə lε fʁekɑ̃tə. dɔ̃k, ʒə ʒuε suvɑ̃ a dε ʒø də fijə, avεk lε fijə, puʁ asuviʁ mε pylsjɔ̃, o kɔ̃tʁεʁə də ʒue avεk lε ɡaʁsɔ̃, a dε ʒø də ɡaʁsɔ̃, puʁ mə ʃamaje ʒɑ̃tijmɑ̃, dɔ̃k u il noʁε py saʒiʁ də pylsjɔ̃, mε plyto də simylasjɔ̃ dœ̃n- eta pɥisɑ̃ e viʁil, vja dε baɡaʁə, dεz- afʁɔ̃təmɑ̃ fizikz- u vεʁbo, u tutə lidɑ̃tite dy fytyʁ ɔmə kə ʒoʁεz- ete, oʁε py sə kɔ̃stʁɥiʁə.
lə fε ε kə ʒavε pœʁ dε ɡaʁsɔ̃, də la vjɔlɑ̃sə, də la « pətitə viʁilite ». dy ku ʒə fyiε tu sə ki avε atʁε a səla, sεt- a diʁə lə spɔʁ, e dɔ̃k lə futbal, lə baskεtbal, lə-ɑ̃dbal εtseteʁa, lε diskysjɔ̃z- otuʁ dε fijə, dεz- εkspeʁjɑ̃səz- amuʁøzə də ʒənεsə, lε diskysjɔ̃z- otuʁ dε vwatyʁə, dε ʒø video, ɑ̃ dø mo ʒə fyiε lidɑ̃tite maskylinə. ʒə sypozə kə ʒə la fyiεz- osi kaʁ mɔ̃ pεʁə mɛ̃spiʁε tu səla, il sɑ̃blε a lεzə avεk lε ʒɑ̃, il etε buʁlɛ̃ɡœʁ, ɡʁɑ̃də ɡələ, paʁfwa vylɡεʁə, paʁfwa bʁytal, il εmε lə futbal, lε ʒø də kuʁsə- də vwatyʁə… mεz- il fyiε lɥi mεmə sa pʁɔpʁə sɑ̃sibilite, e dɔ̃k nə puvε pa εtʁə sɑ̃siblə a sεllə dεz- otʁə, e nɔtamɑ̃ a la mjεnə. plys taʁ, lɔʁskə ʒε kɔmɑ̃se a ekʁiʁə dε tεkstə, a fεʁə dε mɔ̃taʒə ɡʁafikz- e dεz- imaʒə, a ʃɑ̃te mε pʁɔpʁə- ʃɑ̃sɔ̃, sεt- a diʁə diz- ɑ̃ plys taʁ, səsi a kɔ̃fiʁme səla. ʒamεz- okynə paʁɔlə ɛ̃teʁese də sa paʁ, ʒamεz- okynə kyʁjozite pɔʁte syʁ sə kə ʒə fəzεz- alɔʁ. vwaʁə mεmə dy mepʁi puʁ ma sɑ̃sibilite e mɔ̃n- ɛ̃tεlliʒɑ̃sə də « tʁu dy kyl sɑ̃z- εkspeʁjɑ̃sə də la vjə ». sɑ̃ dutə avε til ublje kə la ʁeεllə εkspeʁjɑ̃sə də la vi, lɥi mεmə il sə la kaʃε, ɑ̃ pʁetɑ̃dɑ̃ kεllə kɔ̃sistε a bɔse, e a ʁapɔʁte də laʁʒe, a tʁεne o baʁ e a diskyte nɛ̃pɔʁtə kɔmɑ̃ avεk nɛ̃pɔʁtə ki, a ʁəɡaʁde dε matʃ də fu, e a vivʁə sa ʒənεsə εksklyzivəmɑ̃ ɑ̃ sə dʁɔɡɑ̃, e ɑ̃ fəzɑ̃ dε kɔnəʁi, istwaʁə də fliʁte avεk lə dɑ̃ʒe. ʒə nεmε pa mɔ̃ pεʁə. puʁ mwa setε œ̃n- etʁɑ̃ʒe, ki sɑ̃ fɔʁsemɑ̃ mə blese, mə fəzε dy mal.
də la il ε vəny œ̃ pʁɔfɔ̃ deziʁ də mə vɑ̃ʒe də mε kamaʁadə ki mə fəzε dy mal, e də mɔ̃ pεʁə ki lɥi osi mə fəzε dy mal. mə vɑ̃ʒe də la viʁilite e dεz- ɔmə. mə vɑ̃ʒe də sə sεksə ɔpoze, ki sɑ̃ puʁ otɑ̃ mə pʁɑ̃dʁə puʁ ynə fijə, etε puʁ mwa ynə-ɑ̃tizə, ynə apʁeɑ̃sjɔ̃, e ynə suʁsə dymiljasjɔ̃ e də nɔ̃ ʁəkɔnεsɑ̃sə. il oʁε ete lɔʒikə dɔ̃k, kə lɔbʒε də ma vɑ̃ʒɑ̃sə sə pɔʁtə syʁ lə sɛ̃bɔlə də la viʁilite, sεt- a diʁə lə falys. mε kɔmə ʒavε bəzwɛ̃ də ʁəkɔnεsɑ̃sə, sə kə ʒə suεtεz- osi, ɛ̃kɔ̃sjamɑ̃, setε la ʁəkɔnεsɑ̃sə a pʁɔpʁəmɑ̃ paʁle. ʒə suεtε dɔ̃k mə vɑ̃ʒe, mε kɔ̃kʁεtəmɑ̃ ʒə nə puvε pa. il etε dɔ̃k lɔʒikə kə ma vɑ̃ʒɑ̃sə sɛ̃stalə syʁ œ̃ plɑ̃ stʁiktəmɑ̃ ɛ̃timə e pεʁsɔnεl. e tʁε vitə la mastyʁbasjɔ̃ sεt- ɛ̃stale, mastyʁbasjɔ̃ kə ʒə pʁatikεz- ɑ̃ pɑ̃sɑ̃ a dεz- ɔmə. mε kɔmɑ̃ i pɑ̃sε ʒə ? falε til ʁɔse e batʁə lœʁ falys ? si səla oʁε ete lə ka, ʒə noʁε pa y də ʁəkɔnεsɑ̃sə, mε plyto ʒoʁεz- ete mwa mεmə œ̃n- ɔmə vjɔle e viʁil ki fʁapə, sə ki mefʁεjε pɥiskə setε sə kə ʒə fyiε. il falε dɔ̃k lε fεʁə ʒuiʁ, ɑ̃ mεmə tɑ̃ kə la ʒuisɑ̃sə oʁε kɔ̃stitye ynə vɑ̃ʒɑ̃sə. e dɔ̃k tut- osi ʁapidəmɑ̃, lide də lε ʃatuje mavε paʁy εtʁə œ̃ bɔ̃ kɔ̃pʁɔmi. mε ʒə fyiε lə ʁapɔʁ ɔmə slaʃ ɔmə. osi sεtə vɑ̃ʒɑ̃sə paʁ lε ʃatujə noʁε pa py εtʁə ɑ̃vizaʒe, pʁatike syʁ lə sεksə dεz- ɔməz- okεl ʒə pɑ̃sε. ʒε dɔ̃k ɑ̃kɔʁə ynə fwa tʁuve œ̃ kɔ̃pʁɔmi, ɑ̃ desidɑ̃ dεɡzεʁse ma vɑ̃ʒɑ̃sə su lœʁ pje, la plɑ̃tə dε pjez- etɑ̃ œ̃ sɛ̃bɔlə eʁɔtikə, e dɔ̃k disimylɑ̃ ynə ɑ̃vi də sə ʁapɔʁte o sεksə maskylɛ̃. setε pilə pwal dɑ̃ mε kɔʁdə.
vwala puʁkwa ʒə mə mastyʁbε tus lε ʒuʁ, a də myltiplə ʁəpʁizə, avɑ̃ dale ɑ̃ kuʁ, u dɑ̃ mɔ̃ li lə swaʁ. mεz- ɑ̃ dəɔʁ də sa, ʒə lə fəzεz- osi dɑ̃ lə li də mε paʁɑ̃. puʁ pyniʁ mɔ̃ pεʁə, sεt- evide, mεz- eɡaləmɑ̃ puʁ pyniʁ ma mεʁə, ki avε tuʒuʁz- aksεpte sεtə viʁilite « mɔ̃stʁyøzə » sus sɔ̃ twa, e paʁ εkstɑ̃sjɔ̃ su lə mjɛ̃ osi. vwala puʁkwa ʒε fini osi paʁ pɑ̃se o faməz- ɑ̃ mə mastyʁbɑ̃, mεz- a ynə sələ famə : ma mεʁə. ʒə fɑ̃tasmε dɔ̃k osi syʁ lε pje də mɔ̃ pεʁə e sø də ma mεʁə. ʒə fɑ̃tasmε də lε vwaʁ liɡɔte tus lε dø, ɑ̃sɑ̃blə, u sepaʁemɑ̃, e də ʃatuje lœʁ plɑ̃tə də pjez- osi lɔ̃tɑ̃ kə ʒoʁε py lə deside. ʒɑ̃n- epʁuvεz- ynə ɡʁɑ̃də ʒuisɑ̃sə, ʒetε libeʁe sɑ̃ lεtʁə, tʁjɔ̃fɑ̃ sɑ̃ ʒamε tʁjɔ̃fe.

suliɲe suliɲe suliɲe suliɲe
Syllabes Phonétique : Exutoirea=la=ʒə=də=ɔ̃=zə=ɑ̃=ʒə=mə=mas=tyʁ=bε=zɑ̃=pɑ̃=sɑ̃=a=la=plɑ̃=tə=dε=pj=e=də=mε=ka=ma=ʁa=də=də=kla=sə=tɑ̃=kə=ʒa=ʁi=vε=zœ̃=pø=ɑ̃=ʁə=taʁ=puʁ=lε=kuʁ=lə=slip=sa=lə=e=kɔ=lɑ̃=o=tɑ̃=kə=ʒə=ni=pɑ̃=sε=plys=lɔʁ=skə=ʒa=ʁi=vε=dɑ̃=la=kla=sə=sil=za=vε=sy=lε=fi=jə=nə=mɛ̃=te=ʁe=sε=pa=ʒə=lε=tʁu=vε=bo=ku=tʁo=du=sə=sɑ̃=du=tə=bo=ku=tʁo=fi=jə=mε=ko=ʁε=tεl=lə=py=fε=ʁə=puʁ=i=ʁə=me=dje=səl=lε=ɡaʁ=sɔ̃=mεk=si=tε=e=sə=lə=y=nə=sə=lə=ʃo=zə=mεk=si=tε=ʃe=zø=lœʁ=pje=də=ʒə=nə=ɡaʁ=sɔ̃=mε=mə=o=ʒuʁ=dɥi=lε=fa=mə=nə=mɛ̃=te=ʁə=se=pa=e=lœʁ=pje=nɔ̃=plys=dy=mwɛ̃=sε=sə=kə=ʒə=kʁwa=jε 166
lε=ɡaʁ=sɔ̃mə=ti=ʁa=ni=zε=o=kɔ=lε=ʒə=lɔʁ=skə=ʒa=vε=zɔ̃=zəɑ̃=il=mə=tʁε=tε=də=ɡʁo=də=pe=de=də=sɑ̃=za=mi=ɑ̃=pʁi=mε=ʁə=ʒe=tε=tu=ʒuʁ=za=vεk=lε=fi=jə=e=ʒə=nə=mɛ̃=te=ʁe=sε=pa=ɑ̃=kɔ=ʁə=o=ɡaʁ=sɔ̃=ʒə=lε=za=pε=mε=ʒe=tε=la=ʃə=a=lɔʁ=kaʁ=ʒə=fə=zε=kɔ=nə=ʁi=syʁ=kɔ=nə=ʁi=ɑ̃=pʁə=nɑ̃=puʁ=vik=ti=mə=lε=fi=jə=ʒə=lε=ti=ʁa=ni=zε=ʒə=lœʁ=vɔ=lε=dε=vε=tə=mɑ̃=ʒə=lœʁ=kʁa=ʃε=də=sy=ʒə=lε=ta=pε=ʒə=ku=pε=lœʁ=ʃə=vø=ʒə=ka=sε=lœʁ=ly=nε=tə=dy=ku=ʒe=tε=za=vεk=εllə=zɑ̃=pεʁ=ma=nɑ̃=sə=mε=zεl=lə=nə=mε=mε=pa=vʁε=mɑ̃=εl=lə=sa=tɑ̃=dε=tu=ʒuʁ=za=y=nə=kʁa=sə=də=ma=paʁ=ʒə=sy=po=zə=kɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃=dε=lɔʁ=lε=ɡaʁ=sɔ̃=sa=vε=kə=ʒa=vε=pœʁ=dø=pɥis=kə=ʒə=nə=ma=ta=kε=ʒa=mε=za=ø=e=də=syʁ=kʁwa=pɥis=kə=ʒə=ma=ta=kε=zo=fi=jə=mε=puʁ=mi=a=ta=ke=il=fa=lε=kə=ʒə=lε=fʁe=kɑ̃=tə=dɔ̃k=ʒə=ʒu=ε=su=vɑ̃=a=dε=ʒø=də=fi=jə=a=vεk=lε=fi=jə=puʁ=a=su=viʁ=mε=pyl=sjɔ̃=o=kɔ̃=tʁε=ʁə=də=ʒu=e=a=vεk=lε=ɡaʁ=sɔ̃=a=dε=ʒø=də=ɡaʁ=sɔ̃=puʁ=mə=ʃa=ma=je=ʒɑ̃=tij=mɑ̃=dɔ̃k=u=il=no=ʁε=py=sa=ʒiʁ=də=pyl=sjɔ̃=mε=ply=to=də=si=my=la=sjɔ̃=dœ̃=ne=ta=pɥi=sɑ̃=e=vi=ʁil=vja=dε=ba=ɡa=ʁə=dε=za=fʁɔ̃=tə=mɑ̃=fi=zik=zu=vεʁ=bo=u=tu=tə=li=dɑ̃=ti=te=dy=fy=tyʁ=ɔ=mə=kə=ʒo=ʁε=ze=te=o=ʁε=py=sə=kɔ̃s=tʁɥiʁə 336
lə=fε=εkə=ʒa=vε=pœʁ=dε=ɡaʁ=sɔ̃=də=la=vjɔ=lɑ̃=sə=də=la=pə=ti=tə=vi=ʁi=li=te=dy=ku=ʒə=fy=i=ε=tu=sə=ki=a=vε=a=tʁε=a=sə=la=sε=ta=di=ʁə=lə=spɔʁ=e=dɔ̃k=lə=fut=bal=lə=bas=kεt=bal=lə-ɑ̃d=bal=εt=se=te=ʁa=lε=dis=ky=sjɔ̃=zo=tuʁ=dε=fi=jə=dε=zεk=spe=ʁjɑ̃=sə=za=mu=ʁø=zə=də=ʒə=nε=sə=lε=dis=ky=sjɔ̃=zo=tuʁ=dε=vwa=ty=ʁə=dε=ʒø=vi=de=o=ɑ̃=dø=mo=ʒə=fy=i=ε=li=dɑ̃=ti=te=mas=ky=li=nə=ʒə=sy=po=zə=kə=ʒə=la=fy=i=ε=zo=si=kaʁ=mɔ̃=pε=ʁə=mɛ̃s=pi=ʁε=tu=sə=la=il=sɑ̃=blε=a=lε=zəa=vεk=lε=ʒɑ̃=il=e=tε=buʁ=lɛ̃=ɡœʁ=ɡʁɑ̃=də=ɡə=lə=paʁ=fwa=vyl=ɡε=ʁə=paʁ=fwa=bʁy=tal=il=ε=mε=lə=fut=bal=lε=ʒø=də=kuʁ=sə=də=vwa=ty=ʁə=mε=zil=fy=i=ε=lɥi=mε=mə=sa=pʁɔ=pʁə=sɑ̃=si=bi=li=te=e=dɔ̃k=nə=pu=vε=pa=ε=tʁə=sɑ̃=si=blə=a=sεllə=dε=zo=tʁə=e=nɔ=ta=mɑ̃=a=la=mjε=nə=plys=taʁ=lɔʁ=skə=ʒε=kɔ=mɑ̃=se=a=e=kʁi=ʁə=dε=tεk=stə=a=fε=ʁə=dε=mɔ̃=ta=ʒə=ɡʁa=fik=ze=dε=zi=ma=ʒə=a=ʃɑ̃=te=mε=pʁɔ=pʁə=ʃɑ̃=sɔ̃=sε=ta=di=ʁə=di=zɑ̃=plys=taʁ=sə=si=a=kɔ̃=fiʁ=me=sə=la=ʒa=mε=zo=ky=nə=pa=ʁɔ=lə=ɛ̃=te=ʁe=se=də=sa=paʁ=ʒa=mε=zo=ky=nə=ky=ʁjo=zi=te=pɔʁ=te=syʁ=sə=kə=ʒə=fə=zε=za=lɔʁ=vwa=ʁə=mε=mə=dy=me=pʁi=puʁ=ma=sɑ̃=si=bi=li=te=e=mɔ̃=nɛ̃=tεl=li=ʒɑ̃=sə=də=tʁu=dy=kyl=sɑ̃=zεk=spe=ʁjɑ̃=sə=də=la=vjə=sɑ̃=du=tə=a=vε=til=u=blje=kə=la=ʁe=εl=lə=εk=spe=ʁjɑ̃=sə=də=la=vi=lɥi=mε=mə=il=sə=la=ka=ʃε=ɑ̃=pʁe=tɑ̃=dɑ̃=kεl=lə=kɔ̃=sis=tε=a=bɔ=se=e=a=ʁa=pɔʁ=te=də=laʁ=ʒe=a=tʁε=ne=o=baʁ=e=a=dis=ky=te=nɛ̃=pɔʁ=tə=kɔ=mɑ̃=a=vεk=nɛ̃=pɔʁ=tə=ki=a=ʁə=ɡaʁ=de=dε=matʃ=də=fu=e=a=vi=vʁə=sa=ʒə=nε=sə=εk=skly=zi=və=mɑ̃=ɑ̃=sə=dʁɔ=ɡɑ̃=e=ɑ̃=fə=zɑ̃=dε=kɔ=nə=ʁi=is=twa=ʁə=də=fliʁ=te=a=vεk=lə=dɑ̃=ʒe=ʒə=nε=mε=pa=mɔ̃=pε=ʁə=puʁ=mwa=se=tε=œ̃=ne=tʁɑ̃=ʒe=ki=sɑ̃=fɔʁ=se=mɑ̃=mə=ble=se=mə=fə=zε=dy=mal 479
də=la=il=εvə=ny=œ̃=pʁɔ=fɔ̃=de=ziʁ=də=mə=vɑ̃=ʒe=də=mε=ka=ma=ʁa=də=ki=mə=fə=zε=dy=mal=e=də=mɔ̃=pε=ʁə=ki=lɥi=o=si=mə=fə=zε=dy=mal=mə=vɑ̃=ʒe=də=la=vi=ʁi=li=te=e=dε=zɔ=mə=mə=vɑ̃=ʒe=də=sə=sεk=səɔ=po=ze=ki=sɑ̃=puʁ=o=tɑ̃=mə=pʁɑ̃=dʁə=puʁ=y=nə=fi=jə=e=tε=puʁ=mwa=y=nə-ɑ̃=ti=zə=y=nə=a=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=e=y=nə=suʁ=sə=dy=mi=lja=sjɔ̃=e=də=nɔ̃=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=il=o=ʁε=e=te=lɔ=ʒi=kə=dɔ̃k=kə=lɔb=ʒε=də=ma=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=sə=pɔʁ=tə=syʁ=lə=sɛ̃=bɔ=lə=də=la=vi=ʁi=li=te=sε=ta=di=ʁə=lə=fa=lys=mε=kɔ=mə=ʒa=vε=bə=zwɛ̃=də=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=sə=kə=ʒə=su=ε=tε=zo=si=ɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃=se=tε=la=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=a=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=paʁ=le=ʒə=su=ε=tε=dɔ̃k=mə=vɑ̃=ʒe=mε=kɔ̃=kʁε=tə=mɑ̃=ʒə=nə=pu=vε=pa=il=e=tε=dɔ̃k=lɔ=ʒi=kə=kə=ma=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=sɛ̃s=ta=lə=syʁ=œ̃=plɑ̃=stʁik=tə=mɑ̃=ɛ̃=ti=mə=e=pεʁ=sɔ=nεl=e=tʁε=vi=tə=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=sε=tɛ̃s=ta=le=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=kə=ʒə=pʁa=ti=kε=zɑ̃=pɑ̃=sɑ̃=a=dε=zɔ=mə=mε=kɔ=mɑ̃=i=pɑ̃=sε=ʒə=fa=lε=til=ʁɔ=se=e=ba=tʁə=lœʁ=fa=lys=si=sə=la=o=ʁε=e=te=lə=ka=ʒə=no=ʁε=pa=y=də=ʁə=kɔ=nε=sɑ̃=sə=mε=ply=to=ʒo=ʁε=ze=te=mwa=mε=mə=œ̃=nɔ=mə=vjɔ=le=e=vi=ʁil=ki=fʁa=pə=sə=ki=me=fʁε=jε=pɥis=kə=se=tε=sə=kə=ʒə=fy=i=ε=il=fa=lε=dɔ̃k=lε=fε=ʁə=ʒu=iʁ=ɑ̃=mε=mə=tɑ̃=kə=la=ʒui=sɑ̃=sə=o=ʁε=kɔ̃s=ti=ty=e=y=nə=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=e=dɔ̃k=tu=to=si=ʁa=pi=də=mɑ̃=li=de=də=lε=ʃa=tu=je=ma=vε=pa=ʁy=ε=tʁə=œ̃=bɔ̃=kɔ̃=pʁɔ=mi=mε=ʒə=fy=i=ε=lə=ʁa=pɔʁ=ɔ=mə=slaʃ=ɔ=mə=o=si=sε=tə=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=paʁ=lε=ʃa=tu=jə=no=ʁε=pa=py=ε=tʁə=ɑ̃=vi=za=ʒe=pʁa=ti=ke=syʁ=lə=sεk=sə=dε=zɔ=mə=zo=kεl=ʒə=pɑ̃=sε=ʒε=dɔ̃k=ɑ̃=kɔ=ʁə=y=nə=fwa=tʁu=ve=œ̃=kɔ̃=pʁɔ=mi=ɑ̃=de=si=dɑ̃=dεɡ=zεʁ=se=ma=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=su=lœʁ=pje=la=plɑ̃=tə=dε=pje=ze=tɑ̃=œ̃=sɛ̃=bɔ=lə=e=ʁɔ=ti=kə=e=dɔ̃k=di=si=my=lɑ̃=y=nə=ɑ̃=vi=də=sə=ʁa=pɔʁ=te=o=sεk=sə=mas=ky=lɛ̃=se=tε=pi=lə=pwal=dɑ̃=mε=kɔʁdə 511
vwa=la=puʁ=kwaʒə=mə=mas=tyʁ=bε=tus=lε=ʒuʁ=a=də=myl=ti=plə=ʁə=pʁi=zə=a=vɑ̃=da=le=ɑ̃=kuʁ=u=dɑ̃=mɔ̃=li=lə=swaʁ=mε=zɑ̃=dəɔʁ=də=sa=ʒə=lə=fə=zε=zo=si=dɑ̃=lə=li=də=mε=pa=ʁɑ̃=puʁ=py=niʁ=mɔ̃=pε=ʁə=sε=te=vi=de=mε=ze=ɡa=lə=mɑ̃=puʁ=py=niʁ=ma=mε=ʁə=ki=a=vε=tu=ʒuʁ=zak=sεp=te=sε=tə=vi=ʁi=li=te=mɔ̃s=tʁy=ø=zə=sus=sɔ̃=twa=e=paʁ=εk=stɑ̃=sjɔ̃=su=lə=mjɛ̃=o=si=vwa=la=puʁ=kwa=ʒε=fi=ni=o=si=paʁ=pɑ̃=se=o=fa=mə=zɑ̃=mə=mas=tyʁ=bɑ̃=mε=za=y=nə=sə=lə=fa=mə=ma=mε=ʁə=ʒə=fɑ̃=tas=mε=dɔ̃k=o=si=syʁ=lε=pje=də=mɔ̃=pε=ʁə=e=sø=də=ma=mε=ʁə=ʒə=fɑ̃=tas=mε=də=lε=vwaʁ=li=ɡɔ=te=tus=lε=dø=ɑ̃=sɑ̃=blə=u=se=pa=ʁe=mɑ̃=e=də=ʃa=tu=je=lœʁ=plɑ̃=tə=də=pje=zo=si=lɔ̃=tɑ̃=kə=ʒo=ʁε=py=lə=de=si=de=ʒɑ̃=ne=pʁu=vε=zy=nə=ɡʁɑ̃=də=ʒui=sɑ̃=sə=ʒe=tε=li=be=ʁe=sɑ̃=lε=tʁə=tʁjɔ̃=fɑ̃=sɑ̃=ʒa=mε=tʁjɔ̃=fe 221

su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe=su=li=ɲe 12

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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
07/02/2014 14:44Antoine38

Jolie plume et un sujet qui mérite le détour

Poème - Sans Thème -
Du 14/02/2012 10:58

L'écrit contient 1100 mots qui sont répartis dans 3 strophes.