Poème:The Gallery
Le Poème
Et le trouble s’éveille en moi, il m’efface, je me noie.
J’ai cette envie si violente, si forte, mais je ne peux l’exprimer. Je ne saurai dire ce qui manque tellement à ma vie, mais elle est là pressante, et m’insuffle la réponse que je n’entends toujours pas.
J’ai besoin de puiser mes émotions dans cette musique, à me gorger de son essence, jusqu’à la vider de sens, elle me fait mal tellement je la respire…
Je dois mettre fin à toute cette mascarade, cette vie où je fais semblant de jouer, où mes regrets et envies déferlent en cascade sur mon âme.
Mon âme prête à exploser de tant d’émotions trop longtemps contenues.
Et les paroles me hantent avec une intensité décuplée, fâchées de s’être tues quand je les ai tuées.
J’ai si mal. . Je dois me détacher de mon ombre, avant d’être dissoute par mes propres pensées. Je ne trouve aucun sens à ma vie, depuis le début, je ne sais où aller.
Et personne ne vient me guider. .
Alors les années passent et je m’efface, mon regard se fait triste et mon sourire mourrant.
Cette musique exprime tellement l’intensité de mon émotion. Je voudrais la crier à la Terre entière, à en perdre la voix et la Raison. Et je m’ennivre de ce son et je m’ennivre si fort…
Le désespoir est si profondemment ancré, aidez-moi. . Il me torture à chaque fois qu’il se réveille et j’ai si peur qu’il s’enracine encore et encore, et me vole le peu d’emprise qu’il me reste.
Mais je suis fatiguée de sourire et de rire. .
Je t’en supplie, viens vers moi, délivre moi de tout ce vide.
Apporte moi ce que je ne peux espérer, je voudrais encore tellement y croire.
Aide moi à ouvrir les yeux, à faire les bons choix, j’aimerais tant que tu te confondes à mes rêves. .
Mais si tu n’existais pas ?
Et si tu n’existais pas ?
Encore combien de tant je supporterais ça ?
Je ne veux même pas y songer, ma vue s’obscurcit, je tangue. J’ai envie de me
Détruire en voluptes, en vapeurs, en sur-émotions, pour ne plus que devenir sensations et me laisser lentement mourir d’illusions, m’écorcher vive pour cracher au monde mon dégoût de moi-même. .
Je suis inutile comme vous tous sur cette Terre, projetée là, sans conseils, m’efforçant d’occuper ma vie en attendant ma mort. Je voudrai tellement marquer les gens, qu’ils me voient enfin, qu’ils partagent mes émotions, mon âme vibre avec une telle intensité. .
Faîtes-moi vivre mes rêves, fais-moi revivre, je ne veux pas partir anonyme dans ma douleur et dans mes actes.
Seule.
J’ai cette envie si violente, si forte, mais je ne peux l’exprimer. Je ne saurai dire ce qui manque tellement à ma vie, mais elle est là pressante, et m’insuffle la réponse que je n’entends toujours pas.
J’ai besoin de puiser mes émotions dans cette musique, à me gorger de son essence, jusqu’à la vider de sens, elle me fait mal tellement je la respire…
Je dois mettre fin à toute cette mascarade, cette vie où je fais semblant de jouer, où mes regrets et envies déferlent en cascade sur mon âme.
Mon âme prête à exploser de tant d’émotions trop longtemps contenues.
Et les paroles me hantent avec une intensité décuplée, fâchées de s’être tues quand je les ai tuées.
J’ai si mal. . Je dois me détacher de mon ombre, avant d’être dissoute par mes propres pensées. Je ne trouve aucun sens à ma vie, depuis le début, je ne sais où aller.
Et personne ne vient me guider. .
Alors les années passent et je m’efface, mon regard se fait triste et mon sourire mourrant.
Cette musique exprime tellement l’intensité de mon émotion. Je voudrais la crier à la Terre entière, à en perdre la voix et la Raison. Et je m’ennivre de ce son et je m’ennivre si fort…
Le désespoir est si profondemment ancré, aidez-moi. . Il me torture à chaque fois qu’il se réveille et j’ai si peur qu’il s’enracine encore et encore, et me vole le peu d’emprise qu’il me reste.
Mais je suis fatiguée de sourire et de rire. .
Je t’en supplie, viens vers moi, délivre moi de tout ce vide.
Apporte moi ce que je ne peux espérer, je voudrais encore tellement y croire.
Aide moi à ouvrir les yeux, à faire les bons choix, j’aimerais tant que tu te confondes à mes rêves. .
Mais si tu n’existais pas ?
Et si tu n’existais pas ?
Encore combien de tant je supporterais ça ?
Je ne veux même pas y songer, ma vue s’obscurcit, je tangue. J’ai envie de me
Détruire en voluptes, en vapeurs, en sur-émotions, pour ne plus que devenir sensations et me laisser lentement mourir d’illusions, m’écorcher vive pour cracher au monde mon dégoût de moi-même. .
Je suis inutile comme vous tous sur cette Terre, projetée là, sans conseils, m’efforçant d’occuper ma vie en attendant ma mort. Je voudrai tellement marquer les gens, qu’ils me voient enfin, qu’ils partagent mes émotions, mon âme vibre avec une telle intensité. .
Faîtes-moi vivre mes rêves, fais-moi revivre, je ne veux pas partir anonyme dans ma douleur et dans mes actes.
Seule.
PostScriptum
tout va bien, je vous assure ! !
Poète Penthesilia
Penthesilia a publié sur le site 114 écrits. Penthesilia est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète PenthesiliaSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: The Gallery
et=le=trouble=sé=vei=lleen=moi=il=mef=fa=ce=je=me=noie 14jai=cetteen=vie=si=vio=len=te=si=for=te=mais=je=ne=peux=lex=pri=mer=je=ne=sau=rai=di=re=ce=qui=man=que=tel=le=ment=à=ma=vie=mais=elle=est=là=pres=san=te=et=min=suf=fle=la=ré=pon=se=que=je=nen=tends=tou=jours=pas 55
jai=be=soin=de=pui=ser=mes=é=mo=tions=dans=cette=mu=si=que=à=me=gor=ger=de=son=es=sen=ce=jus=quà=la=vi=der=de=sens=el=le=me=fait=mal=tel=le=ment=je=la=res=pire 43
je=dois=mettre=fin=à=tou=te=cet=te=mas=ca=ra=de=cet=te=vieoù=je=fais=sem=blant=de=jouer=où=mes=re=grets=et=en=vies=dé=fer=lent=en=cas=ca=de=sur=mon=âme 39
mon=â=me=prêteà=ex=plo=ser=de=tant=dé=mo=tions=trop=long=temps=con=te=nues 18
et=les=pa=roles=me=han=tent=a=vec=u=nein=ten=si=té=dé=cu=plée=fâ=chées=de=sê=tre=tues=quand=je=les=ai=tuées 28
jai=si=mal=je=dois=me=dé=ta=cher=de=mon=ombre=a=vant=dêtre=dis=sou=te=par=mes=pro=pres=pen=sées=je=ne=trou=veau=cun=sens=à=ma=vie=de=puis=le=dé=but=je=ne=sais=où=al=ler 44
et=per=son=ne=ne=vient=me=gui=der 9
a=lors=les=an=nées=pas=sent=et=je=mef=fa=ce=mon=re=gard=se=fait=tris=te=et=mon=sou=ri=re=mour=rant 26
cette=mu=si=que=ex=pri=me=tel=le=ment=lin=ten=si=té=de=mon=é=mo=tion=je=vou=drais=la=crier=à=la=ter=reen=tiè=re=à=en=per=dre=la=voix=et=la=rai=son=et=je=men=ni=vre=de=ce=son=et=je=men=ni=vre=si=fort 55
le=déses=poir=est=si=pro=fon=dem=ment=an=cré=ai=dez=moi=il=me=tor=tu=reà=cha=que=fois=quil=se=ré=vei=lle=et=jai=si=peur=quil=sen=ra=ci=ne=en=co=re=et=en=co=re=et=me=vo=le=le=peu=dem=pri=se=quil=me=reste 55
mais=je=suis=fa=ti=guée=de=sou=ri=re=et=de=ri=re 14
je=ten=sup=plie=viens=vers=moi=dé=livre=moi=de=tout=ce=vide 14
ap=porte=moi=ce=que=je=ne=peux=es=pé=rer=je=vou=drais=en=co=re=tel=le=ment=y=croire 22
aide=moi=à=ou=vrir=les=yeux=à=fai=re=les=bons=choix=jai=me=rais=tant=que=tu=te=con=fon=des=à=mes=rêves 26
mais=si=tu=nexis=tais=pas 6
et=si=tu=nexis=tais=pas 6
en=co=re=com=bien=de=tant=je=sup=por=te=rais=ça 13
je=ne=veux=même=pas=y=son=ger=ma=vue=sobs=cur=cit=je=tangue=jai=en=vie=de=me 20
dé=truireen=vo=lup=tes=en=va=peurs=en=sur=é=mo=tions=pour=ne=plus=que=de=ve=nir=sen=sa=tions=et=me=lais=ser=len=te=ment=mou=rir=dillu=sions=mé=cor=cher=vi=ve=pour=cra=cher=au=mon=de=mon=dé=goût=de=moi=même 51
je=suis=i=nu=tile=com=me=vous=tous=sur=cet=te=ter=re=pro=je=tée=là=sans=con=seils=mef=for=çant=doc=cu=per=ma=vieen=at=ten=dant=ma=mort=je=vou=drai=tel=le=ment=mar=quer=les=gens=quils=me=voient=en=fin=quils=par=ta=gent=mes=é=mo=tions=mon=â=me=vi=bre=a=vec=u=ne=tel=le=in=ten=si=té 72
faîtes=moi=vi=vre=mes=rê=ves=fais=moi=re=vi=vre=je=ne=veux=pas=par=tir=a=no=ny=me=dans=ma=dou=leur=et=dans=mes=actes 30
seu=le 2
Phonétique : The Gallery
e lə tʁublə sevεjə ɑ̃ mwa, il mefasə, ʒə mə nwa.ʒε sεtə ɑ̃vi si vjɔlɑ̃tə, si fɔʁtə, mε ʒə nə pø lεkspʁime. ʒə nə soʁε diʁə sə ki mɑ̃kə tεllmɑ̃ a ma vi, mεz- εllə ε la pʁesɑ̃tə, e mɛ̃syflə la ʁepɔ̃sə kə ʒə nɑ̃tɑ̃ tuʒuʁ pa.
ʒε bəzwɛ̃ də pɥize mεz- emɔsjɔ̃ dɑ̃ sεtə myzikə, a mə ɡɔʁʒe də sɔ̃n- esɑ̃sə, ʒyska la vide də sɑ̃s, εllə mə fε mal tεllmɑ̃ ʒə la ʁεspiʁə…
ʒə dwa mεtʁə fɛ̃ a tutə sεtə maskaʁadə, sεtə vi u ʒə fε sɑ̃blɑ̃ də ʒue, u mε ʁəɡʁεz- e ɑ̃vi defεʁle ɑ̃ kaskadə syʁ mɔ̃n- amə.
mɔ̃n- amə pʁεtə a εksploze də tɑ̃ demɔsjɔ̃ tʁo lɔ̃tɑ̃ kɔ̃tənɥ.
e lε paʁɔlə mə-ɑ̃te avεk ynə ɛ̃tɑ̃site dekyple, faʃe də sεtʁə tɥ kɑ̃ ʒə lεz- ε tye.
ʒε si mal. ʒə dwa mə detaʃe də mɔ̃n- ɔ̃bʁə, avɑ̃ dεtʁə disutə paʁ mε pʁɔpʁə- pɑ̃se. ʒə nə tʁuvə okœ̃ sɑ̃sz- a ma vi, dəpɥi lə deby, ʒə nə sεz- u ale.
e pεʁsɔnə nə vjɛ̃ mə ɡide.
alɔʁ lεz- ane pase e ʒə mefasə, mɔ̃ ʁəɡaʁ sə fε tʁistə e mɔ̃ suʁiʁə muʁʁɑ̃.
sεtə myzikə εkspʁimə tεllmɑ̃ lɛ̃tɑ̃site də mɔ̃n- emɔsjɔ̃. ʒə vudʁε la kʁje a la teʁə ɑ̃tjεʁə, a ɑ̃ pεʁdʁə la vwa e la ʁεzɔ̃. e ʒə mεnivʁə də sə sɔ̃n- e ʒə mεnivʁə si fɔʁ…
lə dezεspwaʁ ε si pʁɔfɔ̃damɑ̃ ɑ̃kʁe, εde mwa. il mə tɔʁtyʁə a ʃakə fwa kil sə ʁevεjə e ʒε si pœʁ kil sɑ̃ʁasinə ɑ̃kɔʁə e ɑ̃kɔʁə, e mə vɔlə lə pø dɑ̃pʁizə kil mə ʁεstə.
mε ʒə sɥi fatiɡe də suʁiʁə e də ʁiʁə.
ʒə tɑ̃ sypli, vjɛ̃ vεʁ mwa, delivʁə mwa də tu sə vidə.
apɔʁtə mwa sə kə ʒə nə pøz- εspeʁe, ʒə vudʁεz- ɑ̃kɔʁə tεllmɑ̃ i kʁwaʁə.
εdə mwa a uvʁiʁ lεz- iø, a fεʁə lε bɔ̃ ʃwa, ʒεməʁε tɑ̃ kə ty tə kɔ̃fɔ̃dəz- a mε ʁεvə.
mε si ty nεɡzistε pa ?
e si ty nεɡzistε pa ?
ɑ̃kɔʁə kɔ̃bjɛ̃ də tɑ̃ ʒə sypɔʁtəʁε sa ?
ʒə nə vø mεmə pa i sɔ̃ʒe, ma vɥ sɔpskyʁsi, ʒə tɑ̃ɡ. ʒε ɑ̃vi də mə
detʁɥiʁə ɑ̃ vɔlyptə, ɑ̃ vapœʁ, ɑ̃ syʁ emɔsjɔ̃, puʁ nə plys kə dəvəniʁ sɑ̃sasjɔ̃z- e mə lεse lɑ̃təmɑ̃ muʁiʁ dilyzjɔ̃, mekɔʁʃe vivə puʁ kʁaʃe o mɔ̃də mɔ̃ deɡu də mwa mεmə.
ʒə sɥiz- inytilə kɔmə vu tus syʁ sεtə teʁə, pʁɔʒəte la, sɑ̃ kɔ̃sεj, mefɔʁsɑ̃ dɔkype ma vi ɑ̃n- atɑ̃dɑ̃ ma mɔʁ. ʒə vudʁε tεllmɑ̃ maʁke lε ʒɑ̃, kil mə vwae ɑ̃fɛ̃, kil paʁtaʒe mεz- emɔsjɔ̃, mɔ̃n- amə vibʁə avεk ynə tεllə ɛ̃tɑ̃site.
fεtə mwa vivʁə mε ʁεvə, fε mwa ʁəvivʁə, ʒə nə vø pa paʁtiʁ anɔnimə dɑ̃ ma dulœʁ e dɑ̃ mεz- aktə.
sələ.
Syllabes Phonétique : The Gallery
e=lə=tʁu=blə=se=vε=jə=ɑ̃=mwa=il=me=fa=sə=ʒə=mə=nwa 16ʒε=sεtəɑ̃=vi=si=vjɔ=lɑ̃=tə=si=fɔʁ=tə=mε=ʒə=nə=pø=lεk=spʁi=me=ʒə=nə=so=ʁε=di=ʁə=sə=ki=mɑ̃=kə=tεl=lmɑ̃=a=ma=vi=mε=zεllə=ε=la=pʁe=sɑ̃=tə=e=mɛ̃=sy=flə=la=ʁe=pɔ̃=sə=kə=ʒə=nɑ̃=tɑ̃=tu=ʒuʁ=pa 54
ʒεbə=zwɛ̃=də=pɥi=ze=mε=ze=mɔ=sjɔ̃=dɑ̃=sε=tə=my=zi=kə=a=mə=ɡɔʁ=ʒe=də=sɔ̃=ne=sɑ̃=sə=ʒys=ka=la=vi=de=də=sɑ̃s=εl=lə=mə=fε=mal=tεl=lmɑ̃=ʒə=la=ʁεs=piʁə 42
ʒə=dwa=mεtʁə=fɛ̃=a=tu=tə=sε=tə=mas=ka=ʁa=də=sε=tə=vi=u=ʒə=fε=sɑ̃=blɑ̃=də=ʒu=e=u=mε=ʁə=ɡʁε=ze=ɑ̃=vi=de=fεʁ=le=ɑ̃=kas=ka=də=syʁ=mɔ̃=namə 41
mɔ̃=namə=pʁε=təa=εk=splo=ze=də=tɑ̃=de=mɔ=sjɔ̃=tʁo=lɔ̃=tɑ̃=kɔ̃=tənɥ 17
e=lε=pa=ʁɔlə=mə-ɑ̃=te=a=vεk=y=nəɛ̃=tɑ̃=si=te=de=ky=ple=fa=ʃe=də=sε=tʁə=tɥ=kɑ̃=ʒə=lε=zε=ty=e 29
ʒε=si=mal=ʒə=dwamə=de=ta=ʃe=də=mɔ̃=nɔ̃bʁə=a=vɑ̃=dε=tʁə=di=su=tə=paʁ=mε=pʁɔ=pʁə=pɑ̃=se=ʒə=nə=tʁu=vəo=kœ̃=sɑ̃s=za=ma=vi=dəp=ɥi=lə=de=by=ʒə=nə=sε=zu=a=le 44
e=pεʁ=sɔ=nə=nə=vj=ɛ̃=mə=ɡi=de 10
a=lɔʁ=lε=za=ne=pase=e=ʒə=me=fa=sə=mɔ̃=ʁə=ɡaʁ=sə=fε=tʁis=təe=mɔ̃=su=ʁi=ʁə=muʁ=ʁɑ̃ 24
sεtə=my=zi=kəεk=spʁi=mə=tεl=lmɑ̃=lɛ̃=tɑ̃=si=te=də=mɔ̃=ne=mɔ=sjɔ̃=ʒə=vu=dʁε=la=kʁje=a=la=te=ʁə=ɑ̃=tjε=ʁə=a=ɑ̃=pεʁ=dʁə=la=vwa=e=la=ʁε=zɔ̃=e=ʒə=mε=ni=vʁə=də=sə=sɔ̃=ne=ʒə=mε=ni=vʁə=si=fɔʁ 54
lə=de=zεs=pwaʁ=ε=si=pʁɔ=fɔ̃=da=mɑ̃=ɑ̃=kʁe=ε=de=mwa=il=mə=tɔʁ=tyʁəa=ʃa=kə=fwa=kil=sə=ʁe=vεjə=e=ʒε=si=pœʁ=kil=sɑ̃=ʁa=si=nə=ɑ̃=kɔ=ʁə=e=ɑ̃=kɔ=ʁə=e=mə=vɔ=lə=lə=pø=dɑ̃=pʁi=zə=kil=mə=ʁεstə 54
mε=ʒə=sɥi=fa=ti=ɡe=də=su=ʁi=ʁə=e=də=ʁi=ʁə 14
ʒə=tɑ̃=sy=pli=vj=ɛ̃=vεʁ=mwa=de=li=vʁə=mwa=də=tu=sə=vi=də 17
a=pɔʁ=tə=mwa=sə=kə=ʒə=nə=pø=zεs=pe=ʁe=ʒə=vu=dʁε=zɑ̃=kɔ=ʁə=tεl=lmɑ̃=i=kʁwa=ʁə 23
ε=də=mwa=a=u=vʁiʁ=lε=zi=ø=a=fε=ʁə=lε=bɔ̃=ʃwa=ʒε=mə=ʁε=tɑ̃=kə=ty=tə=kɔ̃=fɔ̃=də=za=mε=ʁε=və 29
mε=si=ty=nεɡ=zis=tε=pa 7
e=si=ty=nεɡ=zis=tε=pa 7
ɑ̃=kɔ=ʁə=kɔ̃=bj=ɛ̃=də=tɑ̃=ʒə=sy=pɔʁ=tə=ʁε=sa 14
ʒə=nə=vø=mε=mə=pa=i=sɔ̃=ʒe=ma=vɥ=sɔp=skyʁ=si=ʒə=tɑ̃ɡ=ʒε=ɑ̃=vi=də=mə 21
det=ʁɥi=ʁə=ɑ̃=vɔ=lyp=tə=ɑ̃=va=pœʁ=ɑ̃=syʁ=e=mɔ=sjɔ̃=puʁ=nə=plys=kə=də=və=niʁ=sɑ̃=sa=sjɔ̃=ze=mə=lε=se=lɑ̃=tə=mɑ̃=mu=ʁiʁ=di=ly=zjɔ̃=me=kɔʁ=ʃe=vi=və=puʁ=kʁa=ʃe=o=mɔ̃=də=mɔ̃=de=ɡu=də=mwa=mεmə 54
ʒə=sɥi=zi=ny=tilə=kɔ=mə=vu=tus=syʁ=sε=tə=te=ʁə=pʁɔ=ʒə=te=la=sɑ̃=kɔ̃=sεj=me=fɔʁ=sɑ̃=dɔ=ky=pe=ma=vi=ɑ̃=na=tɑ̃=dɑ̃=ma=mɔʁ=ʒə=vu=dʁε=tεl=lmɑ̃=maʁ=ke=lε=ʒɑ̃=kil=mə=vwa=ɑ̃=fɛ̃=kil=paʁ=ta=ʒe=mε=ze=mɔ=sjɔ̃=mɔ̃=na=mə=vi=bʁəa=vεk=y=nə=tεllə=ɛ̃=tɑ̃=si=te 70
fε=tə=mwa=vi=vʁə=mε=ʁε=və=fε=mwa=ʁə=vi=vʁə=ʒə=nə=vø=pa=paʁ=tiʁ=a=nɔ=ni=mə=dɑ̃=ma=du=lœ=ʁə=e=dɑ̃=mε=zak=tə 33
sə=lə 2
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
02/10/2004 00:00Emyraud
solitude d’une vie, alors se prouver aux autres? poemes a plusieurs tons, j’aime bien.
02/10/2004 00:00Emyraud
solitude d’une vie, alors se prouver aux autres? poemes a plusieurs tons, j’aime bien.
04/10/2004 00:00Thierry
Un texte poignant. . . bravo
11/10/2004 00:00Edeltayon
Une partie de toi va bien c’est sur!!Mais je soupçonne qu’un etre tourmenté habite dans ton crane, vu les indices evident du mal etre si bien decrit. . . . Mais je ne suis pas un as des enquetes therapeutiques
17/11/2004 00:00Ikare
lol jm bien le comentaire. . . . tt va bien, ( sa se voi!!!)
tre bo poeme encore. . . bravo
28/11/2004 00:00Sydtama
et si tu n’existais pas, dis moi pour ki j’existerai,. . .
dans un monde sans toile et sans toit, sans espoir et sans regret. . .
The Gallery se revele etre le secret de tes pensées les plus sombres.
Poème Avenir
Du 01/10/2004 17:07
L'écrit contient 474 mots qui sont répartis dans 11 strophes.