Poème:Quelques Poemes Sinceres Parlant De La Vie
Le Poème
POEMES DE VIOLETA STANISLAVOVA
ELLE, la trace insignifiante de l’amour,
Puissante et impuissante,
Pressée sur la terre humide, dans ses bras,
Est couchée seule
Sous des couches de larmes fossilisées.
Tous les deux, nous nous moquions d’elle.
Mais soudainement un rayon apparaîtra
Pour dissiper les ténèbres,
Et pour dépeindre une trace dénudée.
Nous, archéologues insatiables,
Nous descendrons ensuite,
Pour retourner les couches oubliées,
Avec des ciseaux, avec des griffes…
Mais ce sera trop tard !
Nous pourrons le conserver uniquement
Dans le musée des sentiments passés.
De quelle dimension es-tu venu ?
Quelles galaxies as-tu traversées ?
Pourquoi as-tu cambriolé ma journée ?
Pourquoi as-tu coupé ma force ?
Quel code secret as-tu appelé ?
Sur quel bouton as-tu appuyé ?
Quelle piste as-tu activée en moi ?
Pourquoi l’alarme de la mémoire n’a’t-elle pas sonné ?
Quel rouage d’horloge as-tu réussi à monter secrètement en moi
Pour faire sauter tout maintenant
Et t’emparer de mon destin ?
Comment es-tu arrivé à arracher mon cœur,
À declencher ma vie
De façon que mes pensées – cet arc incandescent -
Se tordent encore une fois
En progressant vers toi ?
Vous êtes ma sphère de la diseuse de bonne aventure,
Ma vision soudaine,
Ma racine de sauvetage -
Dans la rivière de mes jours,
Mon sacrement, ma réalité
Ma magie blanche,
Mon image mystique -
Dans la paroi du temps,
Mon phénomène non devoilé,
Mon refuge secret,
Mon signe de croix sur le front,
Enflammé d’espérance.
Tu es cette étrange empreinte
Qui est apparu sur mon âme.
*
Seigneur de mon royaume,
Sauveur de ma lumière,
Quel conte dois-je te raconter
Pour que je puisse te retenir avec moi ?
Un conte du temps passé,
Un pont magique entre moi et toi
Ou bien de la larme pétrifiée -
Je maçonnais autrefois lentement - de jour en jour.
Ou peut-être de la douleur
Qui rongeait d’une manière exécrable mon rêve ?
Ou bien de la séparation enfin venue -
Un démon méchant, qui est entré en nous.
Je te dirai tout ce que tu voudras !
Mon seigneur !
Ne me quitte pas !
***
Je devrais creuser de nombreuses couches,
Jusqu’à ce que j’atteigne les trésors de ton âme.
Je devrais prononcer beaucoup de mots,
Jusqu’à ce que je te libère des chaînes de l’amour.
Je devrais comprendre beaucoup de devinettes,
Jusqu’à ce que je reussisse à révéler tes secrets.
Je devrais m’engager dans beaucoup de labyrinthes,
Jusqu’à ce que je mette à nu ta pensée.
Je devrais te donner beaucoup de beautés
Jusqu’à ce que j’apparaisse de nouveau dans tes tableaux.
Je devrais écrire beaucoup de vers
Jusqu’à ce que je te convainque que je t’aime.
UNE RENCONTRE DE MINUIT
Mer, mon allié antique,
Enfonce dans ma poitrine tes griffes avides,
Et la déchire afin que la dernère goutte
Du sang brûlant de ma bonté
S’écoule de la plaie.
Je ne dois pas la posséder !
Détruit le chagrin dans mon âme
Pétrifié depuis des siècles
Par ton contact.
Je suis impuissant à le surmonter !
Aspire avec tes lèvres salées
Les micro-cellules décomposées de ma chair morte.
Même dans la mort, oh mer…
MONOLOGUE DE L’AMPHORE
La solitude – quel vide infini !
Elle se repend dans mon âme
Comme une mer.
Et l’avale toute entière.
Les oiseaux qui se sont echappés de l’obscurité
Se hâtent de se cacher derrière l’ horizon.
Les arbres se mettent à marcher sur leurs traces -
Ils ne peuvent jamais goûter leurs propres fruits.
Quel est le destin qui m’a poussé
Dans cet abîme de silence
Afin que je doive être couché au fond
Comme cette statue antique dans la mer
Qui attend patiemment
Le jour de son salut.
C’est dommage que je n’ai pas eu
Un rayon de la liberté au moins.
LA MER ET LES OISEAUX
Mer. Elle est né de toi.
La tempête de ton sang
Pulse dans ses veines d’oiseau.
Grâce à la puissance que tu lui as donnée,
Il a réussi à sauter en volant dans les cerceaux de feu
De l’enfer de la douleur –
Terriblement calciné.
Mais respirant, cherchant désespérément
Les âtres secrets du beau,
Pressés par la peau ridée de la terre.
Tu les as trouves dans le chagrin.
Pas tous, mais tu les a découverts.
Et plus le solei de feu couchant tombait en dessous
Plus l’ombre des ailes d’oiseau
S’allongeait.
Et la terre se fissure sous lui.
Traduction : Stanislav Marachki
ELLE, la trace insignifiante de l’amour,
Puissante et impuissante,
Pressée sur la terre humide, dans ses bras,
Est couchée seule
Sous des couches de larmes fossilisées.
Tous les deux, nous nous moquions d’elle.
Mais soudainement un rayon apparaîtra
Pour dissiper les ténèbres,
Et pour dépeindre une trace dénudée.
Nous, archéologues insatiables,
Nous descendrons ensuite,
Pour retourner les couches oubliées,
Avec des ciseaux, avec des griffes…
Mais ce sera trop tard !
Nous pourrons le conserver uniquement
Dans le musée des sentiments passés.
De quelle dimension es-tu venu ?
Quelles galaxies as-tu traversées ?
Pourquoi as-tu cambriolé ma journée ?
Pourquoi as-tu coupé ma force ?
Quel code secret as-tu appelé ?
Sur quel bouton as-tu appuyé ?
Quelle piste as-tu activée en moi ?
Pourquoi l’alarme de la mémoire n’a’t-elle pas sonné ?
Quel rouage d’horloge as-tu réussi à monter secrètement en moi
Pour faire sauter tout maintenant
Et t’emparer de mon destin ?
Comment es-tu arrivé à arracher mon cœur,
À declencher ma vie
De façon que mes pensées – cet arc incandescent -
Se tordent encore une fois
En progressant vers toi ?
Vous êtes ma sphère de la diseuse de bonne aventure,
Ma vision soudaine,
Ma racine de sauvetage -
Dans la rivière de mes jours,
Mon sacrement, ma réalité
Ma magie blanche,
Mon image mystique -
Dans la paroi du temps,
Mon phénomène non devoilé,
Mon refuge secret,
Mon signe de croix sur le front,
Enflammé d’espérance.
Tu es cette étrange empreinte
Qui est apparu sur mon âme.
*
Seigneur de mon royaume,
Sauveur de ma lumière,
Quel conte dois-je te raconter
Pour que je puisse te retenir avec moi ?
Un conte du temps passé,
Un pont magique entre moi et toi
Ou bien de la larme pétrifiée -
Je maçonnais autrefois lentement - de jour en jour.
Ou peut-être de la douleur
Qui rongeait d’une manière exécrable mon rêve ?
Ou bien de la séparation enfin venue -
Un démon méchant, qui est entré en nous.
Je te dirai tout ce que tu voudras !
Mon seigneur !
Ne me quitte pas !
***
Je devrais creuser de nombreuses couches,
Jusqu’à ce que j’atteigne les trésors de ton âme.
Je devrais prononcer beaucoup de mots,
Jusqu’à ce que je te libère des chaînes de l’amour.
Je devrais comprendre beaucoup de devinettes,
Jusqu’à ce que je reussisse à révéler tes secrets.
Je devrais m’engager dans beaucoup de labyrinthes,
Jusqu’à ce que je mette à nu ta pensée.
Je devrais te donner beaucoup de beautés
Jusqu’à ce que j’apparaisse de nouveau dans tes tableaux.
Je devrais écrire beaucoup de vers
Jusqu’à ce que je te convainque que je t’aime.
UNE RENCONTRE DE MINUIT
Mer, mon allié antique,
Enfonce dans ma poitrine tes griffes avides,
Et la déchire afin que la dernère goutte
Du sang brûlant de ma bonté
S’écoule de la plaie.
Je ne dois pas la posséder !
Détruit le chagrin dans mon âme
Pétrifié depuis des siècles
Par ton contact.
Je suis impuissant à le surmonter !
Aspire avec tes lèvres salées
Les micro-cellules décomposées de ma chair morte.
Même dans la mort, oh mer…
MONOLOGUE DE L’AMPHORE
La solitude – quel vide infini !
Elle se repend dans mon âme
Comme une mer.
Et l’avale toute entière.
Les oiseaux qui se sont echappés de l’obscurité
Se hâtent de se cacher derrière l’ horizon.
Les arbres se mettent à marcher sur leurs traces -
Ils ne peuvent jamais goûter leurs propres fruits.
Quel est le destin qui m’a poussé
Dans cet abîme de silence
Afin que je doive être couché au fond
Comme cette statue antique dans la mer
Qui attend patiemment
Le jour de son salut.
C’est dommage que je n’ai pas eu
Un rayon de la liberté au moins.
LA MER ET LES OISEAUX
Mer. Elle est né de toi.
La tempête de ton sang
Pulse dans ses veines d’oiseau.
Grâce à la puissance que tu lui as donnée,
Il a réussi à sauter en volant dans les cerceaux de feu
De l’enfer de la douleur –
Terriblement calciné.
Mais respirant, cherchant désespérément
Les âtres secrets du beau,
Pressés par la peau ridée de la terre.
Tu les as trouves dans le chagrin.
Pas tous, mais tu les a découverts.
Et plus le solei de feu couchant tombait en dessous
Plus l’ombre des ailes d’oiseau
S’allongeait.
Et la terre se fissure sous lui.
Traduction : Stanislav Marachki
Poète Violeta Stanislavova
Violeta Stanislavova a publié sur le site 5 écrits. Violeta Stanislavova est membre du site depuis l'année 2012.Lire le profil du poète Violeta StanislavovaSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Quelques Poemes Sinceres Parlant De La Vie
poe=mes=de=viole=ta=sta=ni=sla=vo=va 10elle=la=tracein=si=gni=fian=te=de=la=mour 10
puis=san=te=et=im=puis=san=te 8
pres=sée=sur=la=terre=hu=mi=de=dans=ses=bras 11
est=cou=chée=seu=le 5
sous=des=couches=de=lar=mes=fos=si=li=sées 10
tous=les=deux=nous=nous=mo=quions=delle 8
mais=sou=daine=ment=un=rayon=ap=pa=raî=tra 10
pour=dis=si=per=les=té=nè=bres 8
et=pour=dé=peindreu=ne=tra=ce=dé=nu=dée 10
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nous=des=cen=drons=en=sui=te 7
pour=re=tour=ner=les=couches=ou=bli=ées 9
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mais=ce=se=ra=trop=tard 6
nous=pour=rons=le=con=ser=ver=u=ni=que=ment 11
dans=le=mu=sée=des=sen=timents=pas=sés 9
as=té=ris=que=as=té=risque 7
de=quel=le=dimen=sion=es=tu=ve=nu 9
quel=les=ga=laxies=as=tu=tra=ver=sées 9
pour=quoi=as=tu=cam=brio=lé=ma=jour=née 10
pour=quoi=as=tu=cou=pé=ma=force 8
quel=code=se=cret=as=tu=ap=pe=lé 9
sur=quel=bou=ton=as=tu=ap=puyé 8
quel=le=pisteas=tu=ac=ti=vée=en=moi 9
pour=quoi=la=lar=me=de=la=mé=moire=nat=elle=pas=son=né 14
quel=rou=age=dhor=lo=geas=tu=réus=si=à=mon=ter=se=crè=te=ment=en=moi 18
pour=faire=sau=ter=tout=main=te=nant 8
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comment=es=tu=ar=ri=vé=à=ar=ra=cher=mon=cœur 12
à=de=clen=cher=ma=vie 6
de=fa=çon=que=mes=pen=sées=cet=arc=in=candes=cent 12
se=tordent=en=co=re=u=ne=fois 8
en=pro=gres=sant=vers=toi 6
as=té=ris=que=as=té=risque 7
vous=êtes=ma=sphè=re=de=la=di=seu=se=de=bon=nea=ven=ture 15
ma=vi=si=on=sou=dai=ne 7
ma=ra=ci=ne=de=sau=ve=tage 8
dans=la=ri=viè=re=de=mes=jours 8
mon=sacre=ment=ma=ré=a=li=té 8
ma=ma=gie=blan=che 5
mon=i=ma=ge=mys=tique 6
dans=la=pa=roi=du=temps 6
mon=phé=no=mène=non=de=voi=lé 8
mon=re=fu=ge=se=cret 6
mon=si=gne=de=croix=sur=le=front 8
en=flam=mé=des=pé=ran=ce 7
tu=es=cette=é=tran=ge=em=preinte 8
qui=est=ap=pa=ru=sur=mon=âme 8
as=té=ris=queas=té=ris=que=as=té=risque 10
sei=gneur=de=mon=ro=yau=me 7
sau=veur=de=ma=lu=mi=è=re 8
quel=conte=dois=je=te=ra=con=ter 8
pour=que=je=puisse=te=re=te=nir=a=vec=moi 11
un=con=te=du=temps=pas=sé 7
un=pont=ma=gi=queentre=moi=et=toi 8
ou=bien=de=la=lar=me=pé=tri=fi=ée 10
je=ma=çon=nais=autre=fois=len=te=ment=de=jour=en=jour 13
ou=peut=tê=tre=de=la=dou=leur 8
qui=ron=geait=dune=ma=niè=re=exé=cra=ble=mon=rêve 12
ou=bien=de=la=sé=pa=ra=tion=en=fin=ve=nue 12
un=dé=mon=mé=chant=qui=est=en=tré=en=nous 11
je=te=di=rai=tout=ce=que=tu=vou=dras 10
mon=sei=gneur 3
ne=me=quit=te=pas 5
as=té=ris=queas=té=ris=que=as=té=risque 10
je=de=vrais=creu=ser=de=nom=breuses=couches 9
jus=quà=ce=que=jat=teigne=les=tré=sors=de=ton=âme 12
je=de=vrais=pro=non=cer=beau=coup=de=mots 10
jus=quà=ce=que=je=te=li=bère=des=chaînes=de=la=mour 13
je=de=vrais=compren=dre=beau=coup=de=de=vi=nettes 11
jus=quà=ce=que=je=reus=sisseà=ré=vé=ler=tes=se=crets 13
je=de=vrais=men=ga=ger=dans=beau=coup=de=la=by=rinthes 13
jus=quà=ce=que=je=metteà=nu=ta=pen=sée 10
je=de=vrais=te=don=ner=beau=coup=de=beau=tés 11
jus=quà=ce=que=jap=pa=raisse=de=nou=veau=dans=tes=ta=bleaux 14
je=de=vrais=é=crire=beau=coup=de=vers 9
jus=quà=ce=que=je=te=con=vain=que=que=je=taime 12
u=ne=ren=con=tre=de=mi=nuit 8
mer=mon=al=li=é=an=ti=que 8
en=fonce=dans=ma=poi=tri=ne=tes=grif=fes=a=vides 12
et=la=dé=chirea=fin=que=la=der=nè=re=goutte 11
du=sang=brû=lant=de=ma=bon=té 8
sé=cou=le=de=la=plaie 6
je=ne=dois=pas=la=pos=sé=der 8
dé=truit=le=cha=grin=dans=mon=âme 8
pé=tri=fi=é=de=puis=des=siècles 8
par=ton=con=tact 4
je=suis=im=puis=sant=à=le=sur=mon=ter 10
as=pirea=vec=tes=lè=vres=sa=lées 8
les=mi=cro=cel=lules=dé=com=po=sées=de=ma=chair=morte 13
mê=me=dans=la=mort=oh=mer 7
mo=no=lo=gue=de=lam=pho=re 8
la=so=li=tude=quel=videin=fi=ni 8
el=le=se=re=pend=dans=mon=âme 8
com=me=u=ne=mer 5
et=la=va=le=tou=te=en=tière 8
les=oi=seaux=qui=se=sont=e=chap=pés=de=lobs=cu=ri=té 14
se=hâ=tent=de=se=ca=cher=der=rière=lho=ri=zon 12
les=ar=bres=se=mettent=à=mar=cher=sur=leurs=traces 11
ils=ne=peuvent=ja=mais=goû=ter=leurs=pro=pres=fruits 11
quel=est=le=des=tin=qui=ma=pous=sé 9
dans=cet=a=bî=me=de=si=lence 8
a=fin=que=je=doive=ê=tre=cou=ché=au=fond 11
comme=cet=te=sta=tuean=ti=que=dans=la=mer 10
qui=at=tend=pa=tiem=ment 6
le=jour=de=son=sa=lut 6
cest=dom=mage=que=je=nai=pas=eu 8
un=rayon=de=la=li=ber=té=au=moins 9
la=mer=et=les=oi=seaux 6
mer=el=le=est=né=de=toi 7
la=tem=pê=te=de=ton=sang 7
pul=se=dans=ses=vei=nes=doi=seau 8
grâ=ceà=la=puis=sance=que=tu=lui=as=don=née 11
il=a=réus=si=à=sau=ter=en=vo=lant=dans=les=cer=ceaux=de=feu 16
de=len=fer=de=la=dou=leur 7
ter=ri=ble=ment=cal=ci=né 7
mais=res=pi=rant=cher=chant=déses=pé=rément 9
les=â=tres=se=crets=du=beau 7
pres=sés=par=la=peau=ri=dée=de=la=terre 10
tu=les=as=trouves=dans=le=cha=grin 8
pas=tous=mais=tu=les=a=dé=cou=verts 9
et=plus=le=so=lei=de=feu=cou=chant=tom=bait=en=des=sous 14
plus=lom=bre=des=ai=les=doi=seau 8
sal=lon=geait 3
et=la=terre=se=fis=su=re=sous=lui 9
tra=duc=tion=s=ta=ni=slav=ma=ra=ch=ki 11
Phonétique : Quelques Poemes Sinceres Parlant De La Vie
poəmə də vjɔləta stanislavɔvaεllə, la tʁasə ɛ̃siɲifjɑ̃tə də lamuʁ,
pɥisɑ̃tə e ɛ̃pɥisɑ̃tə,
pʁese syʁ la teʁə ymidə, dɑ̃ sε bʁa,
ε kuʃe sələ
su dε kuʃə də laʁmə- fɔsilize.
tus lε dø, nu nu mɔkjɔ̃ dεllə.
mε sudεnəmɑ̃ œ̃ ʁεjɔ̃ apaʁεtʁa
puʁ disipe lε tenεbʁə,
e puʁ depɛ̃dʁə ynə tʁasə denyde.
nu, aʁʃeɔlɔɡz- ɛ̃sasjablə,
nu desɑ̃dʁɔ̃z- ɑ̃sɥitə,
puʁ ʁətuʁne lε kuʃəz- ublje,
avεk dε sizo, avεk dε ɡʁifə…
mε sə səʁa tʁo taʁ !
nu puʁʁɔ̃ lə kɔ̃sεʁve ynikəmɑ̃
dɑ̃ lə myze dε sɑ̃timɑ̃ pase.
asteʁiskə asteʁiskə
də kεllə dimɑ̃sjɔ̃ ε ty vəny ?
kεllə ɡalaksiz- a ty tʁavεʁse ?
puʁkwa a ty kɑ̃bʁjɔle ma ʒuʁne ?
puʁkwa a ty kupe ma fɔʁsə ?
kεl kɔdə sεkʁε a ty apəle ?
syʁ kεl butɔ̃ a ty apyie ?
kεllə pistə a ty aktive ɑ̃ mwa ?
puʁkwa lalaʁmə də la memwaʁə nate εllə pa sɔne ?
kεl ʁuaʒə dɔʁlɔʒə a ty ʁeysi a mɔ̃te sεkʁεtəmɑ̃ ɑ̃ mwa
puʁ fεʁə sote tu mɛ̃tənɑ̃
e tɑ̃paʁe də mɔ̃ dεstɛ̃ ?
kɔmɑ̃ ε ty aʁive a aʁaʃe mɔ̃ kœʁ,
a dəklɑ̃ʃe ma vi
də fasɔ̃ kə mε pɑ̃se sεt aʁk ɛ̃kɑ̃desɑ̃
sə tɔʁde ɑ̃kɔʁə ynə fwa
ɑ̃ pʁɔɡʁesɑ̃ vεʁ twa ?
asteʁiskə asteʁiskə
vuz- εtə ma sfεʁə də la dizøzə də bɔnə avɑ̃tyʁə,
ma vizjɔ̃ sudεnə,
ma ʁasinə də sovətaʒə
dɑ̃ la ʁivjεʁə də mε ʒuʁ,
mɔ̃ sakʁəmɑ̃, ma ʁealite
ma maʒi blɑ̃ʃə,
mɔ̃n- imaʒə mistikə
dɑ̃ la paʁwa dy tɑ̃,
mɔ̃ fenɔmεnə nɔ̃ dəvwale,
mɔ̃ ʁəfyʒə sεkʁε,
mɔ̃ siɲə də kʁwa syʁ lə fʁɔ̃,
ɑ̃flame dεspeʁɑ̃sə.
ty ε sεtə etʁɑ̃ʒə ɑ̃pʁɛ̃tə
ki εt- apaʁy syʁ mɔ̃n- amə.
asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə
sεɲœʁ də mɔ̃ ʁwajomə,
sovœʁ də ma lymjεʁə,
kεl kɔ̃tə dwa ʒə tə ʁakɔ̃te
puʁ kə ʒə pɥisə tə ʁətəniʁ avεk mwa ?
œ̃ kɔ̃tə dy tɑ̃ pase,
œ̃ pɔ̃ maʒikə ɑ̃tʁə mwa e twa
u bjɛ̃ də la laʁmə petʁifje
ʒə masɔnεz- otʁəfwa lɑ̃təmɑ̃ də ʒuʁ ɑ̃ ʒuʁ.
u pø tεtʁə də la dulœʁ
ki ʁɔ̃ʒε dynə manjεʁə εɡzekʁablə mɔ̃ ʁεvə ?
u bjɛ̃ də la sepaʁasjɔ̃ ɑ̃fɛ̃ vənɥ
œ̃ demɔ̃ meʃɑ̃, ki εt- ɑ̃tʁe ɑ̃ nu.
ʒə tə diʁε tu sə kə ty vudʁa !
mɔ̃ sεɲœʁ !
nə mə kitə pa !
asteʁiskə asteʁiskə asteʁiskə
ʒə dəvʁε kʁøze də nɔ̃bʁøzə kuʃə,
ʒyska sə kə ʒatεɲə lε tʁezɔʁ də tɔ̃n- amə.
ʒə dəvʁε pʁonɔ̃se boku də mo,
ʒyska sə kə ʒə tə libεʁə dε ʃεnə də lamuʁ.
ʒə dəvʁε kɔ̃pʁɑ̃dʁə boku də dəvinεtə,
ʒyska sə kə ʒə ʁøsisə a ʁevele tε sεkʁε.
ʒə dəvʁε mɑ̃ɡaʒe dɑ̃ boku də labiʁɛ̃tə,
ʒyska sə kə ʒə mεtə a ny ta pɑ̃se.
ʒə dəvʁε tə dɔne boku də bote
ʒyska sə kə ʒapaʁεsə də nuvo dɑ̃ tε tablo.
ʒə dəvʁεz- ekʁiʁə boku də vεʁ
ʒyska sə kə ʒə tə kɔ̃vɛ̃kə kə ʒə tεmə.
ynə ʁɑ̃kɔ̃tʁə də minɥi
mεʁ, mɔ̃n- alje ɑ̃tikə,
ɑ̃fɔ̃sə dɑ̃ ma pwatʁinə tε ɡʁifəz- avidə,
e la deʃiʁə afɛ̃ kə la dεʁnεʁə ɡutə
dy sɑ̃ bʁylɑ̃ də ma bɔ̃te
sekulə də la plε.
ʒə nə dwa pa la pɔsede !
detʁɥi lə ʃaɡʁɛ̃ dɑ̃ mɔ̃n- amə
petʁifje dəpɥi dε sjεklə
paʁ tɔ̃ kɔ̃takt.
ʒə sɥiz- ɛ̃pɥisɑ̃ a lə syʁmɔ̃te !
aspiʁə avεk tε lεvʁə- sale
lε mikʁo sεllylə dekɔ̃poze də ma ʃεʁ mɔʁtə.
mεmə dɑ̃ la mɔʁ, ɔ mεʁ…
monolɔɡ də lɑ̃fɔʁə
la sɔlitydə kεl vidə ɛ̃fini !
εllə sə ʁəpɑ̃ dɑ̃ mɔ̃n- amə
kɔmə ynə mεʁ.
e lavalə tutə ɑ̃tjεʁə.
lεz- wazo ki sə sɔ̃t- εʃape də lɔpskyʁite
sə ate də sə kaʃe dəʁjεʁə lɔʁizɔ̃.
lεz- aʁbʁə- sə mεte a maʁʃe syʁ lœʁ tʁasə
il nə pəve ʒamε ɡute lœʁ pʁɔpʁə- fʁɥi.
kεl ε lə dεstɛ̃ ki ma puse
dɑ̃ sεt abimə də silɑ̃sə
afɛ̃ kə ʒə dwavə εtʁə kuʃe o fɔ̃
kɔmə sεtə statɥ ɑ̃tikə dɑ̃ la mεʁ
ki atɑ̃ pasjamɑ̃
lə ʒuʁ də sɔ̃ saly.
sε dɔmaʒə kə ʒə nε pa y
œ̃ ʁεjɔ̃ də la libεʁte o mwɛ̃.
la mεʁ e lεz- wazo
mεʁ. εllə ε ne də twa.
la tɑ̃pεtə də tɔ̃ sɑ̃
pylsə dɑ̃ sε vεnə dwazo.
ɡʁasə a la pɥisɑ̃sə kə ty lɥi a dɔne,
il a ʁeysi a sote ɑ̃ vɔlɑ̃ dɑ̃ lε sεʁso də fø
də lɑ̃fe də la dulœʁ
teʁibləmɑ̃ kalsine.
mε ʁεspiʁɑ̃, ʃεʁʃɑ̃ dezεspeʁemɑ̃
lεz- atʁə- sεkʁε dy bo,
pʁese paʁ la po ʁide də la teʁə.
ty lεz- a tʁuvə dɑ̃ lə ʃaɡʁɛ̃.
pa tus, mε ty lεz- a dekuvεʁ.
e plys lə sɔlε də fø kuʃɑ̃ tɔ̃bε ɑ̃ dəsu
plys lɔ̃bʁə dεz- εlə dwazo
salɔ̃ʒε.
e la teʁə sə fisyʁə su lɥi.
tʁadyksjɔ̃ : stanislav maʁaʃki
Syllabes Phonétique : Quelques Poemes Sinceres Parlant De La Vie
poə=mə=də=vjɔ=lə=ta=sta=ni=sla=vɔ=va 11εllə=la=tʁasəɛ̃=si=ɲi=fjɑ̃=tə=də=la=muʁ 10
pɥi=sɑ̃=tə=e=ɛ̃p=ɥi=sɑ̃=tə 8
pʁe=se=syʁ=la=teʁə=y=midə=dɑ̃=sε=bʁa 10
ε=ku=ʃe=sə=lə 5
su=dε=ku=ʃə=də=laʁmə=fɔ=si=li=ze 10
tus=lε=dø=nu=nu=mɔ=kj=ɔ̃=dεl=lə 10
mε=su=dεnə=mɑ̃=œ̃=ʁε=jɔ̃=a=pa=ʁε=tʁa 11
puʁ=di=si=pe=lε=te=nε=bʁə 8
e=puʁ=de=pɛ̃dʁəy=nə=tʁa=sə=de=ny=de 10
nu=aʁ=ʃe=ɔ=lɔɡ=zɛ̃=sa=sj=a=blə 10
nu=de=sɑ̃=dʁɔ̃=zɑ̃s=ɥi=tə 7
puʁ=ʁə=tuʁ=ne=lε=ku=ʃə=zu=blj=e 10
a=vεk=dε=si=zo=a=vεk=dε=ɡʁi=fə 10
mε=sə=sə=ʁa=tʁo=taʁ 6
nu=puʁ=ʁɔ̃lə=kɔ̃=sεʁ=ve=y=ni=kə=mɑ̃ 10
dɑ̃=lə=my=ze=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=pa=se 10
as=te=ʁis=kə=as=te=ʁis=kə 8
də=kεl=lə=di=mɑ̃=sjɔ̃=ε=ty=və=ny 10
kεl=lə=ɡa=lak=si=za=ty=tʁa=vεʁ=se 10
puʁ=kwa=a=ty=kɑ̃=bʁjɔ=le=ma=ʒuʁ=ne 10
puʁ=kwa=a=ty=ku=pe=ma=fɔʁ=sə 9
kεl=kɔ=də=sε=kʁε=a=ty=a=pə=le 10
syʁ=kεl=bu=tɔ̃=a=ty=a=py=i=e 10
kεl=lə=pistə=a=ty=ak=ti=ve=ɑ̃=mwa 10
puʁ=kwa=la=laʁmə=də=la=me=mwa=ʁə=na=te=εllə=pa=sɔ=ne 15
kεl=ʁu=aʒə=dɔʁ=lɔ=ʒəa=ty=ʁe=y=si=a=mɔ̃=te=sε=kʁε=tə=mɑ̃=ɑ̃=mwa 19
puʁ=fε=ʁə=so=te=tu=mɛ̃=tə=nɑ̃ 9
e=tɑ̃=pa=ʁe=də=mɔ̃=dεs=tɛ̃ 8
kɔ=mɑ̃=ε=ty=a=ʁi=ve=a=a=ʁa=ʃe=mɔ̃=kœʁ 13
a=də=klɑ̃=ʃe=ma=vi 6
də=fa=sɔ̃kə=mε=pɑ̃=se=sεt=aʁk=ɛ̃=kɑ̃=de=sɑ̃ 12
sə=tɔʁ=de=ɑ̃=kɔ=ʁə=y=nə=fwa 9
ɑ̃=pʁɔ=ɡʁe=sɑ̃=vεʁ=twa 6
as=te=ʁis=kə=as=te=ʁis=kə 8
vu=zεtə=ma=sfε=ʁə=də=la=di=zø=zə=də=bɔ=nəa=vɑ̃=tyʁə 15
ma=vi=zj=ɔ̃=su=dε=nə 7
ma=ʁa=si=nə=də=so=və=ta=ʒə 9
dɑ̃=la=ʁi=vj=ε=ʁə=də=mε=ʒuʁ 9
mɔ̃=sa=kʁə=mɑ̃=ma=ʁe=a=li=te 9
ma=ma=ʒi=blɑ̃=ʃə 5
mɔ̃=ni=ma=ʒə=mis=ti=kə 7
dɑ̃=la=pa=ʁwa=dy=tɑ̃ 6
mɔ̃=fe=nɔ=mε=nə=nɔ̃=də=vwa=le 9
mɔ̃=ʁə=fy=ʒə=sε=kʁε 6
mɔ̃=si=ɲə=də=kʁwa=syʁ=lə=fʁɔ̃ 8
ɑ̃=fla=me=dεs=pe=ʁɑ̃=sə 7
ty=ε=sε=tə=e=tʁɑ̃=ʒə=ɑ̃=pʁɛ̃=tə 10
ki=ε=ta=pa=ʁy=syʁ=mɔ̃=na=mə 9
as=te=ʁiskə=as=te=ʁis=kə=as=te=ʁiskə 10
sε=ɲœ=ʁə=də=mɔ̃=ʁwa=jo=mə 8
so=vœ=ʁə=də=ma=ly=mj=ε=ʁə 9
kεl=kɔ̃=tə=dwa=ʒə=tə=ʁa=kɔ̃=te 9
puʁkə=ʒə=pɥi=sə=təʁə=tə=niʁ=a=vεk=mwa 10
œ̃=kɔ̃=tə=dy=tɑ̃=pa=se 7
œ̃=pɔ̃=ma=ʒi=kə=ɑ̃=tʁə=mwa=e=twa 10
u=bjɛ̃=də=la=laʁ=mə=pe=tʁi=fj=e 10
ʒə=ma=sɔ=nε=zotʁə=fwa=lɑ̃=tə=mɑ̃=də=ʒuʁ=ɑ̃=ʒuʁ 13
u=pø=tε=tʁə=də=la=du=lœ=ʁə 9
ki=ʁɔ̃=ʒε=dynə=ma=njε=ʁəεɡ=ze=kʁa=blə=mɔ̃ʁεvə 11
u=bjɛ̃də=la=se=pa=ʁa=sjɔ̃=ɑ̃=fɛ̃=vənɥ 10
œ̃=de=mɔ̃=me=ʃɑ̃=ki=ε=tɑ̃=tʁe=ɑ̃=nu 11
ʒə=tə=di=ʁε=tu=sə=kə=ty=vu=dʁa 10
mɔ̃=sε=ɲœ=ʁə 4
nə=mə=ki=tə=pa 5
as=te=ʁiskə=as=te=ʁis=kə=as=te=ʁiskə 10
ʒə=də=vʁε=kʁø=ze=də=nɔ̃=bʁø=zə=kuʃə 10
ʒys=kasə=kə=ʒa=tεɲə=lε=tʁe=zɔʁ=də=tɔ̃namə 10
ʒə=də=vʁε=pʁo=nɔ̃=se=bo=ku=də=mo 10
ʒys=kasə=kə=ʒə=tə=li=bε=ʁə=dε=ʃε=nə=də=la=muʁ 14
ʒə=də=vʁε=kɔ̃=pʁɑ̃dʁə=bo=ku=də=də=vinεtə 10
ʒys=kasə=kə=ʒə=ʁø=sisəa=ʁe=ve=le=tε=sε=kʁε 12
ʒə=də=vʁε=mɑ̃=ɡa=ʒe=dɑ̃=bo=kudə=la=bi=ʁɛ̃tə 12
ʒys=kasə=kə=ʒə=mε=tə=a=ny=ta=pɑ̃se 10
ʒə=də=vʁεtə=dɔ=ne=bo=ku=də=bo=te 10
ʒys=kasə=kə=ʒa=pa=ʁεsə=də=nu=vo=dɑ̃=tε=ta=blo 13
ʒə=də=vʁε=ze=kʁi=ʁə=bo=ku=də=vεʁ 10
ʒys=kasə=kə=ʒə=tə=kɔ̃=vɛ̃=kə=kə=ʒə=tεmə 11
y=nə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=də=min=ɥi 8
mεʁ=mɔ̃=na=lj=e=ɑ̃=ti=kə 8
ɑ̃=fɔ̃sə=dɑ̃=ma=pwa=tʁi=nə=tε=ɡʁi=fə=za=vidə 12
e=la=de=ʃiʁəa=fɛ̃=kə=la=dεʁ=nε=ʁə=ɡutə 11
dy=sɑ̃=bʁy=lɑ̃=də=ma=bɔ̃=te 8
se=ku=lə=də=la=plε 6
ʒə=nə=dwa=pa=la=pɔ=se=de 8
det=ʁɥi=lə=ʃa=ɡʁɛ̃=dɑ̃=mɔ̃=na=mə 9
pe=tʁi=fj=e=dəp=ɥi=dε=sj=ε=klə 10
paʁ=tɔ̃=kɔ̃=takt 4
ʒə=sɥi=zɛ̃p=ɥi=sɑ̃=a=lə=syʁ=mɔ̃=te 10
as=pi=ʁə=a=vεk=tε=lε=vʁə=sa=le 10
lε=mi=kʁo=sεl=lylə=de=kɔ̃=po=ze=də=ma=ʃεʁmɔʁtə 12
mε=mə=dɑ̃=la=mɔʁ=ɔ=mεʁ 7
mo=no=lɔɡ=də=lɑ̃=fɔ=ʁə 7
la=sɔ=li=tydə=kεl=vi=də=ɛ̃=fi=ni 10
εl=lə=sə=ʁə=pɑ̃=dɑ̃=mɔ̃=na=mə 9
kɔ=mə=y=nə=mεʁ 5
e=la=va=lə=tu=tə=ɑ̃=tjεʁ=ə 9
lε=zwa=zo=kisə=sɔ̃=tε=ʃa=pe=də=lɔp=sky=ʁi=te 13
səa=te=də=sə=ka=ʃe=də=ʁjεʁə=lɔ=ʁi=zɔ̃ 11
lε=zaʁbʁə=sə=mε=te=a=maʁ=ʃe=syʁ=lœʁ=tʁasə 11
il=nə=pə=ve=ʒa=mε=ɡu=te=lœʁ=pʁɔ=pʁəf=ʁɥi 12
kεl=ε=lə=dεs=tɛ̃=ki=ma=pu=se 9
dɑ̃=sεt=a=bi=mə=də=si=lɑ̃=sə 9
a=fɛ̃kə=ʒə=dwa=vəε=tʁə=ku=ʃe=o=fɔ̃ 10
kɔmə=sε=tə=statɥ=ɑ̃=ti=kə=dɑ̃=la=mεʁ 10
ki=a=tɑ̃=pa=sj=a=mɑ̃ 7
lə=ʒuʁ=də=sɔ̃=sa=ly 6
sε=dɔ=ma=ʒə=kə=ʒə=nε=pa=y 9
œ̃=ʁε=jɔ̃=də=la=li=bεʁ=te=o=mwɛ̃ 10
la=mεʁ=e=lε=zwa=zo 6
mεʁ=εl=lə=ε=ne=də=twa 7
la=tɑ̃=pε=tə=də=tɔ̃=sɑ̃ 7
pyl=sə=dɑ̃=sε=vε=nə=dwa=zo 8
ɡʁasəa=la=pɥi=sɑ̃sə=kə=ty=lɥi=a=dɔ=ne 10
il=a=ʁe=y=si=a=so=te=ɑ̃=vɔ=lɑ̃=dɑ̃=lε=sεʁ=sodə=fø 16
də=lɑ̃=fe=də=la=du=lœ=ʁə 8
te=ʁi=blə=mɑ̃=kal=si=ne 7
mε=ʁεs=pi=ʁɑ̃=ʃεʁ=ʃɑ̃=de=zεs=pe=ʁe=mɑ̃ 11
lε=za=tʁə=sε=kʁε=dy=bo 7
pʁe=se=paʁ=la=po=ʁi=de=də=la=teʁə 10
ty=lε=za=tʁu=və=dɑ̃=lə=ʃa=ɡʁɛ̃ 9
pa=tus=mε=ty=lε=za=de=ku=vεʁ 9
e=plys=lə=sɔ=lεdə=fø=ku=ʃɑ̃=tɔ̃=bε=ɑ̃=də=su 13
plys=lɔ̃=bʁə=dε=zε=lə=dwa=zo 8
sa=lɔ̃=ʒε 3
e=la=te=ʁə=sə=fi=sy=ʁə=su=lɥi 10
tʁa=dyk=sj=ɔ̃=sta=ni=slav=ma=ʁaʃ=ki 10
Récompense
Poesie sans commentaire
16/06/2025Poeme-France
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Poème Sincérité
Du 31/05/2012 16:32
L'écrit contient 752 mots qui sont répartis dans 7 strophes.