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Texte : La Petite Maison Sur La Colline



A Propos

un récit imaginaire, sans jamais oublier que, parfois, la fiction est dépassée par la réalité !

La Petite Maison Sur La Colline

Tu ne voulus, finalement, plus de moi,
toi la superbe maghrébine,
jeune femme… au corps sublime… .
Et, … par me trahir… tu finiras !

Mais, sur cette Terre… il n’y a pas… que moi !
Car, dans le cadre de ton métier
de représentante. … agréée. … ,
subitement, je te vis. … en grand émoi… .

Car, un jour, tu reçus un appel,
un appel de… là-haut,
depuis la maison sur la colline !
Tu te fis, alors, très belle,
pour aller montrer ces produits que tu déclines.

Cependant, ce vieux habitant là,
seul, avait très mauvaise réputation !
C’était un vieux garçon,
un vieux cancrelat,
mais, parait-il, aussi satyre, à la fois !

Tu le savais, et y allas, malgré tout,
te jetant dans la gueule du loup.
En fait, cet appel ne fut qu’un prétexte,
ce vieillard cacochyme… ne pensant… qu’au sexe !

Un jour, ton superbe corps mutilé,
l’on retrouva sur un sentier.
Tu avais été violée et étranglée,
pour ne t’être pas suffisamment méfiée !

« Prudence est mère de sûreté ».
Poldereaux

PostScriptum

des choses qui arrivent, parfois souvent, hélas.


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Poème en Phonétique

ty nə vulys, finaləmɑ̃, plys də mwa,
twa la sypεʁbə maɡʁebinə,
ʒənə famə… o kɔʁ syblimə…
e, … paʁ mə tʁaiʁ… ty finiʁa !

mε, syʁ sεtə teʁə… il ni a pa… kə mwa !
kaʁ, dɑ̃ lə kadʁə də tɔ̃ metje
də ʁəpʁezɑ̃tɑ̃tə… aɡʁee… ,
sybitəmɑ̃, ʒə tə vis… ɑ̃ ɡʁɑ̃t- emwa…

kaʁ, œ̃ ʒuʁ, ty ʁəsysz- œ̃n- apεl,
œ̃n- apεl də… la-o,
dəpɥi la mεzɔ̃ syʁ la kɔlinə !
ty tə fi, alɔʁ, tʁε bεllə,
puʁ ale mɔ̃tʁe sε pʁɔdɥi kə ty deklinə.

səpɑ̃dɑ̃, sə vjø-abitɑ̃ la,
səl, avε tʁε movεzə ʁepytasjɔ̃ !
setε œ̃ vjø ɡaʁsɔ̃,
œ̃ vjø kɑ̃kʁəla,
mε, paʁε til, osi satiʁə, a la fwa !

ty lə savε, e i ala, malɡʁe tu,
tə ʒətɑ̃ dɑ̃ la ɡələ dy lu.
ɑ̃ fε, sεt apεl nə fy kœ̃ pʁetεkstə,
sə vjεjaʁ kakoʃimə… nə pɑ̃sɑ̃… ko sεksə !

œ̃ ʒuʁ, tɔ̃ sypεʁbə kɔʁ mytile,
lɔ̃ ʁətʁuva syʁ œ̃ sɑ̃tje.
ty avεz- ete vjɔle e etʁɑ̃ɡle,
puʁ nə tεtʁə pa syfizamɑ̃ mefje !

« pʁydɑ̃sə ε mεʁə də syʁəte ».