Texte:Mon Père… Un Vrai Flamand. …

mon père était un vrai flamand,
un véritable… … pur-sang,
idolâtrant sa Patrie,
la… « Flandre éternelle »,
tout en ignorant qu’aussi
existent des… « flamands français » !

Une très importante chose :
pourtant néerlandophone,
il avait une Sainte horreur. …
… des hollandais,
qu’au plus haut point… il détestait.

Mais pourtant, et j’en suis le très fidèle témoin,
il avait une admiration… sans fin… ,
pour… … Jérôme Bosch !

Mais cet antique peintre était, pourtant… … un hollandais !

Mon père était hyper-sensible aux plus déshérités
aux… de la vie les… éclopés,
il avait un coeur non point en sang,
mais… en or pur !

Il aurait donné sa propre vie,
pour un malheureux, pour un… . . déshérité !
Il était un homme… d’une immense charité !

Alors, alors,
quel est le rapport,
avec le peintre hollandais… … Jérôme Bosch ?

Je vous rappelle que mon père, le flamand
avait une sainte horreur pour les hollandais,
mais, cependant, il admirait, pourtant Jérôme Bosch,
… un… peintre… hollandais !

Comprenons-en la raison !

Eh bien, tout simplement,
Jérôme Bosch fut-il le peintre des mendiants,
des culs-de-jatte, et des éclopés,
de ceux-là même… livrés… à la mendicité,
etc… , etc… .

Ce à quoi mon père, le flamand,
immense ennemi des Hollandais,
fut particulièrement… terriblement sensible.

Et s’ il ne prit pas… Jérôme Bosch… pour un charlatan,
il fut, néanmoins très… … sensible,
à sa guilde envers… … les pires des mendiants !