Univers de poésie d'un auteur

Prose:Ppp

La Prose

Je m’appelle Dean Marend, J’aurais 22 ans à la fin du mois de Janvier, le 27, je le précise si jamais l’envi vous prenez de vouloir m’offrir un cadeau ou à défaut une bonne note pour ce devoir de PPP, dont vous vous rendrez compte que je tente de personnaliser au maximum. J’ai longuement hésité à rendre cette production, car je le sais les probabilités que je me présente et brille au rattrapage pour cet ECUE sont relativement élevé, étant donné mon aisance à l’oral, que je dois à mon aplomb naturel ou à mon « culot », selon l’interlocuteur. Puis suite à un débat avec moi-même, je me suis dit en mon fort intérieur, « ce n’est pas tous les jours que l’on te propose d’écrire sur toi et sur ton avenir ! » Bien que j’écrive ces lignes à la hâte, je vais tout de même tenter de vous faire un rapide descriptif de la personne que je peux être, ainsi que de mes projets d’avenir.
Bon, pour commencer cet exercice que je veux stylistique ; car au fond ne nous mentons pas, ce n’est pas en deux pages et en une heure de martelage de clavier, que je vais trouver ma vocation, ni même pouvoir vous rassurez sur une quelle conque vision optimiste de l’avenir professionnel qui pourrait être le mien ; je vais vous parler un petit peu de mon parcourt scolaire.
J’ai, très jeune déjà, était en décalage avec les autres élèves. J’ai appris à lire quand j’étais encore à la maternelle, grâce à ma grande sœur qui voulait absolument partager avec moi cette chose unique qu’est la lecture. Malgré cela, les charmantes Dames qui s’occupaient de moi et de mes camarades, n’ont pas jugé utile de me faire pratiquer des activités qui auraient pu stimuler d’avantage ce nouvel acquis, mais bien au contraire, elles se sont évertuées à me forcer à colorier des bougies et ce, sans dépasser les bords. Il m’a fallu deux ans pour y arriver, et enfin accéder aux cours préparatoires, communément appelé le CP. « True story ». Ici je pourrais m’étendre en longueur sur les raisons pour lesquelles j’ai été, en quelque sorte, largué par ces Dames de la maternel, mais je n’en retiendrai qu’une, à savoir l’inefficacité des structures de l’éducation Française. Cela peut paraître gratuit mais ça aura une importance par la suite, car cette expérience, va par la suite, faire parti des trois grandes vérités qui rythment mon présent, et jusqu’à preuve du contraire pour mon avenir.
Ma deuxième vérité est quand à elle inextricablement liée à la première et c’est à la fin de ma quatrième que j’en fisse réellement l’expérience. En effet tout le long de mes années Collège, j’ai été un élève que le corps enseignant qualifiait d’insubordonné. Comme si cela pouvait être considéré comme un reproche lorsque l’on est adolescent. Seulement voilà j’étais confronté à un choix pour la première fois dans ma scolarité, redoublé ou aller en troisième DP6, à savoir une troisième professionnel sensé nous préparer pour un BEP ou CAP à venir. J’ai sans hésité choisi la DP6, car de mon point de vu, ce n’était qu’une année de plus à faire que de redoubler. A dire la vérité, en ce temps là, je ne savais même pas ce qu’il y avait après le collège, je savais uniquement que l’école était obligatoire jusqu’à mes 16ans, chose qu’aimaient me rappeler mes professeurs. La conseillère d’orientation, m’a alors (c’est redondant mais je vais tout même le dire) conseillé de faire « une seconde MPMI ». Ne me demandez pas ce que cet acronyme veut dire, je ne l’ai jamais vraiment su. Je me souviens même que c’était l’une des questions lors de mon premier contrôle, sur deux points, que je n’ai pas réussi à avoir. Comme quoi les professeurs eux même n’étaient pas dupes. Malgré tout avec le temps j’ai appris à aimer cela, j’étais doué pour résoudre des équations auxquelles je ne comprenais rien, après tout on ne me demandait pas de comprendre mais de les savoir, ainsi que pour usiner des pièces de ma création, bien que je devais répondre à des consignes stricts, on reconnaissait toujours mes travaux car c’étaient les seuls qui ne ressemblaient pas aux autres, bien que je suivais avec rigueur les instructions que l’on me donnait. Je dois m’excuser pour cette longue et pénible aparté sur ma passion pour l’unique, et je m’en vais vous donner ma deuxième vérité. La voici. Ma deuxième vérité. Car si ma première vérité est que les institutions ou les individus sont faillibles, donc pas nécessairement meilleurs que moi, ces même institutions et individus ne peuvent et ne devront plus jamais décider pour moi. Oui je suis un peu anarchiste sur les bords.
Je me garderai bien de vous parler de ma troisième vérité, faute de temps, car je suppose le votre précieux. Je n’en dirai que cela : la peur est salvatrice, mais c’est la braver qui fait de nous des Hommes, et c’est ce courage, qui, paradoxalement, m’a fait quitter l’école. Puis deux ans plus tard y retourner, pour recommencer en seconde, puis de nouveau avoir à choisir. Partir en « S » (scientifique, je précise uniquement par acquis de conscience) logique vu que j’avais passé les dernières années de ma scolarité en rentré des formules mathématiques longues comme mon bras dans un ordinateur. Ou aller en « ES » (économie et social) . Mais c’est vers la « L » (ici je ne précise pas volontairement) que je me suis tourné. Choix qui a beaucoup étonné mon entourage. Je me demande bien pourquoi ?
La vérité sur moi c’est que j’aime apprendre, j’ai toujours aimé ça. Je ne connais rien de plus excitant, oui j’ai dit excitant, que de me pencher sur un problème et d’y réfléchir, mieux de trouver une solution. Je suis et resterai un adepte de la masturbation intellectuelle. Toute fois je sais pertinemment que je ne pourrai pas rester un étudiant toute ma vie, il faudra un jour trouver un travaille, fonder une famille, contracter un crédit et payer la redevance télé. Mais je n’y suis pas encore, j’espère en être loin, mais les années passent vite je m’en rends compte, et je sais qu’il me faut bâtir ma maison tant que mes bras ont la force de charrier les lourdes poutres de bois.
J’ai vaguement parlé de mon avenir au début de cette dissertation, mais je dois avouer qu’il reste flou. Travailler dans le milieu de l’Art n’est pas ce qu’on pourrait appeler ma vocation, bien que je n’imagine pas ma vie sans. J’ai la chance d’avoir une famille propriétaire terrière la bas en Guyane, si jamais viens le jour où le choix ne me sera plus offert, et je sais que ce jour viendra, ou que la vie n’exaltera plus mon être où je serai las du monde, alors je m’en irai labourer les champs de mes oncles, et prendre soin de leurs bêtes. Peu glorieux pourriez vous me dire, mais je ne cours plus après la gloire depuis que je sais ce que veut dire être un Homme. Je me contente de faire ce que je dois faire, de faire ce que j’aime et il me plait à croire que je suis bon en ces domaines, que je pratique sans intérêt particulier. Pour moi l’université n’est pas un moyen, encore mois une fin, ce n’est qu’une parenthèse exaltée dans ma vie que je veux de plus en plus ordinaire.

Dean Marend, un poète perdu sur le chemin de la Fac.
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PostScriptum

Cette chose là, était un devoir que je devais rendre après la visite d’un musée, il fallait parler de l’exposition et des métiers de l’art, mais n’y étant pas allé et fermement décider de faire un peu marrer ma prof d’histoire de l’art, j’ai fait en sorte de lui rendre un devoir qui sorte de l’ordinaire et qui m’a malgré tout valu un 18/20.
Le meilleur H-S de ma vie.

Poeme de Dean Marend

Poète Dean Marend

Dean Marend a publié sur le site 8 écrits. Dean Marend est membre du site depuis l'année 2013.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : Pppʒə mapεllə dəɑ̃ maʁɑ̃, ʒoʁε vɛ̃t- døz- ɑ̃ a la fɛ̃ dy mwa də ʒɑ̃vje, lə vɛ̃t- sεt, ʒə lə pʁesizə si ʒamε lɑ̃vi vu pʁəne də vulwaʁ mɔfʁiʁ œ̃ kado u a defo ynə bɔnə nɔtə puʁ sə dəvwaʁ də pe pe pe, dɔ̃ vu vu ʁɑ̃dʁe kɔ̃tə kə ʒə tɑ̃tə də pεʁsɔnalize o maksimɔm. ʒε lɔ̃ɡəmɑ̃ ezite a ʁɑ̃dʁə sεtə pʁɔdyksjɔ̃, kaʁ ʒə lə sε lε pʁɔbabilite kə ʒə mə pʁezɑ̃tə e bʁijə o ʁatʁapaʒə puʁ sεt əkɥ sɔ̃ ʁəlativəmɑ̃ eləve, etɑ̃ dɔne mɔ̃n- εzɑ̃sə a lɔʁal, kə ʒə dwaz- a mɔ̃n- aplɔ̃ natyʁεl u a mɔn « kylɔt », səlɔ̃ lɛ̃tεʁlɔkytœʁ. pɥi sɥitə a œ̃ deba avεk mwa mεmə, ʒə mə sɥi di ɑ̃ mɔ̃ fɔʁ ɛ̃teʁjœʁ, « sə nε pa tus lε ʒuʁ kə lɔ̃ tə pʁɔpozə dekʁiʁə syʁ twa e syʁ tɔ̃n- avəniʁ ! » bjɛ̃ kə ʒekʁivə sε liɲəz- a la atə, ʒə vε tu də mεmə tɑ̃te də vu fεʁə œ̃ ʁapidə dεskʁiptif də la pεʁsɔnə kə ʒə pøz- εtʁə, ɛ̃si kə də mε pʁɔʒε davəniʁ.
bɔ̃, puʁ kɔmɑ̃se sεt εɡzεʁsisə kə ʒə vø stilistikə, kaʁ o fɔ̃ nə nu mɑ̃tɔ̃ pa, sə nε pa ɑ̃ dø paʒəz- e ɑ̃n- ynə œʁ də maʁtəlaʒə də klavje, kə ʒə vε tʁuve ma vɔkasjɔ̃, ni mεmə puvwaʁ vu ʁasyʁe syʁ ynə kεllə kɔ̃kə vizjɔ̃ ɔptimistə də lavəniʁ pʁɔfesjɔnεl ki puʁʁε εtʁə lə mjɛ̃, ʒə vε vu paʁle œ̃ pəti pø də mɔ̃ paʁkuʁ skɔlεʁə.
ʒε, tʁε ʒənə deʒa, etε ɑ̃ dekalaʒə avεk lεz- otʁəz- elεvə. ʒε apʁiz- a liʁə kɑ̃ ʒetεz- ɑ̃kɔʁə a la matεʁnεllə, ɡʁasə a ma ɡʁɑ̃də sœʁ ki vulε absɔlymɑ̃ paʁtaʒe avεk mwa sεtə ʃozə ynikə kε la lεktyʁə. malɡʁe səla, lε ʃaʁmɑ̃tə damə ki sɔkypε də mwa e də mε kamaʁadə, nɔ̃ pa ʒyʒe ytilə də mə fεʁə pʁatike dεz- aktivite ki oʁε py stimyle davɑ̃taʒə sə nuvεl aki, mε bjɛ̃ o kɔ̃tʁεʁə, εllə sə sɔ̃t- evεʁtyez- a mə fɔʁse a kɔlɔʁje dε buʒiz- e sə, sɑ̃ depase lε bɔʁd. il ma faly døz- ɑ̃ puʁ i aʁive, e ɑ̃fɛ̃ aksede o kuʁ pʁepaʁatwaʁə, kɔmynemɑ̃ apəle lə se pe. « tʁy stɔʁi ». isi ʒə puʁʁε metɑ̃dʁə ɑ̃ lɔ̃ɡœʁ syʁ lε ʁεzɔ̃ puʁ lekεllə ʒε ete, ɑ̃ kεlkə sɔʁtə, laʁɡe paʁ sε damə də la matεʁnεl, mε ʒə nɑ̃ ʁətjɛ̃dʁε kynə, a savwaʁ linefikasite dε stʁyktyʁə də ledykasjɔ̃ fʁɑ̃sεzə. səla pø paʁεtʁə ɡʁatɥi mε sa oʁa ynə ɛ̃pɔʁtɑ̃sə paʁ la sɥitə, kaʁ sεtə εkspeʁjɑ̃sə, va paʁ la sɥitə, fεʁə paʁti dε tʁwa ɡʁɑ̃də veʁite ki ʁitme mɔ̃ pʁezɑ̃, e ʒyska pʁəvə dy kɔ̃tʁεʁə puʁ mɔ̃n- avəniʁ.
ma døzjεmə veʁite ε kɑ̃t- a εllə inεkstʁikabləmɑ̃ lje a la pʁəmjεʁə e sεt- a la fɛ̃ də ma katʁjεmə kə ʒɑ̃ fisə ʁeεllmɑ̃ lεkspeʁjɑ̃sə. ɑ̃n- efε tu lə lɔ̃ də mεz- ane kɔlεʒə, ʒε ete œ̃n- elεvə kə lə kɔʁz- ɑ̃sεɲɑ̃ kalifjε dɛ̃sybɔʁdɔne. kɔmə si səla puvε εtʁə kɔ̃sideʁe kɔmə œ̃ ʁəpʁoʃə lɔʁskə lɔ̃n- εt- adɔlesɑ̃. sələmɑ̃ vwala ʒetε kɔ̃fʁɔ̃te a œ̃ ʃwa puʁ la pʁəmjεʁə fwa dɑ̃ ma skɔlaʁite, ʁəduble u ale ɑ̃ tʁwazjεmə de pe sis, a savwaʁ ynə tʁwazjεmə pʁɔfesjɔnεl sɑ̃se nu pʁepaʁe puʁ œ̃ bεp u kap a vəniʁ. ʒε sɑ̃z- ezite ʃwazi la de pe sis, kaʁ də mɔ̃ pwɛ̃ də vy, sə netε kynə ane də plysz- a fεʁə kə də ʁəduble. a diʁə la veʁite, ɑ̃ sə tɑ̃ la, ʒə nə savε mεmə pa sə kil i avε apʁε lə kɔlεʒə, ʒə savεz- ynikəmɑ̃ kə lekɔlə etε ɔbliɡatwaʁə ʒyska mε sεzə ɑ̃, ʃozə kεmε mə ʁapəle mε pʁɔfesœʁ. la kɔ̃sεjεʁə dɔʁjɛ̃tasjɔ̃, ma alɔʁs (sε ʁədɔ̃dɑ̃ mε ʒə vε tu mεmə lə diʁə) kɔ̃sεje də fεʁə « ynə səɡɔ̃də mpmi ». nə mə dəmɑ̃de pa sə kə sεt akʁɔnimə vø diʁə, ʒə nə lε ʒamε vʁεmɑ̃ sy. ʒə mə suvjɛ̃ mεmə kə setε lynə dε kεstjɔ̃ lɔʁ də mɔ̃ pʁəmje kɔ̃tʁolə, syʁ dø pwɛ̃, kə ʒə nε pa ʁeysi a avwaʁ. kɔmə kwa lε pʁɔfesœʁz- ø mεmə netε pa dypə. malɡʁe tut- avεk lə tɑ̃ ʒε apʁiz- a εme səla, ʒetε due puʁ ʁezudʁə dεz- ekasjɔ̃z- okεllə ʒə nə kɔ̃pʁənε ʁjɛ̃, apʁε tut- ɔ̃ nə mə dəmɑ̃dε pa də kɔ̃pʁɑ̃dʁə mε də lε savwaʁ, ɛ̃si kə puʁ yzine dε pjεsə də ma kʁeasjɔ̃, bjɛ̃ kə ʒə dəvε ʁepɔ̃dʁə a dε kɔ̃siɲə stʁikt, ɔ̃ ʁəkɔnεsε tuʒuʁ mε tʁavo kaʁ setε lε səl ki nə ʁəsɑ̃blε pa oz- otʁə, bjɛ̃ kə ʒə sɥivεz- avεk ʁiɡœʁ lεz- ɛ̃stʁyksjɔ̃ kə lɔ̃ mə dɔnε. ʒə dwa mεkskyze puʁ sεtə lɔ̃ɡ e peniblə apaʁte syʁ ma pasjɔ̃ puʁ lynikə, e ʒə mɑ̃ vε vu dɔne ma døzjεmə veʁite. la vwasi. ma døzjεmə veʁite. kaʁ si ma pʁəmjεʁə veʁite ε kə lεz- ɛ̃stitysjɔ̃z- u lεz- ɛ̃dividys sɔ̃ fajiblə, dɔ̃k pa nesesεʁəmɑ̃ mεjœʁ kə mwa, sε mεmə ɛ̃stitysjɔ̃z- e ɛ̃dividys nə pəve e nə dəvʁɔ̃ plys ʒamε deside puʁ mwa. ui ʒə sɥiz- œ̃ pø anaʁʃistə syʁ lε bɔʁd.
ʒə mə ɡaʁdəʁε bjɛ̃ də vu paʁle də ma tʁwazjεmə veʁite, fotə də tɑ̃, kaʁ ʒə sypozə lə vɔtʁə pʁesjø. ʒə nɑ̃ diʁε kə səla : la pœʁ ε salvatʁisə, mε sε la bʁave ki fε də nu dεz- ɔmə, e sε sə kuʁaʒə, ki, paʁadɔksaləmɑ̃, ma fε kite lekɔlə. pɥi døz- ɑ̃ plys taʁ i ʁətuʁne, puʁ ʁəkɔmɑ̃se ɑ̃ səɡɔ̃də, pɥi də nuvo avwaʁ a ʃwaziʁ. paʁtiʁ ən « s » (sjɑ̃tifikə, ʒə pʁesizə ynikəmɑ̃ paʁ aki də kɔ̃sjɑ̃sə) lɔʒikə vy kə ʒavε pase lε dεʁnjεʁəz- ane də ma skɔlaʁite ɑ̃ ʁɑ̃tʁe dε fɔʁmylə matematik lɔ̃ɡ kɔmə mɔ̃ bʁa dɑ̃z- œ̃n- ɔʁdinatœʁ. u ale ən « əs » (ekɔnɔmi e sɔsjal) . mε sε vεʁ la « l » (isi ʒə nə pʁesizə pa vɔlɔ̃tεʁəmεnt) kə ʒə mə sɥi tuʁne. ʃwa ki a boku etɔne mɔ̃n- ɑ̃tuʁaʒə. ʒə mə dəmɑ̃də bjɛ̃ puʁkwa ?
la veʁite syʁ mwa sε kə ʒεmə apʁɑ̃dʁə, ʒε tuʒuʁz- εme sa. ʒə nə kɔnε ʁjɛ̃ də plysz- εksitɑ̃, ui ʒε di εksitɑ̃, kə də mə pɑ̃ʃe syʁ œ̃ pʁɔblεmə e di ʁefleʃiʁ, mjø də tʁuve ynə sɔlysjɔ̃. ʒə sɥiz- e ʁεstəʁε œ̃n- adεptə də la mastyʁbasjɔ̃ ɛ̃tεllεktɥεllə. tutə fwa ʒə sε pεʁtinamɑ̃ kə ʒə nə puʁʁε pa ʁεste œ̃n- etydjɑ̃ tutə ma vi, il fodʁa œ̃ ʒuʁ tʁuve œ̃ tʁavajə, fɔ̃de ynə famijə, kɔ̃tʁakte œ̃ kʁedi e pεje la ʁədəvɑ̃sə tele. mε ʒə ni sɥi pa ɑ̃kɔʁə, ʒεspεʁə ɑ̃n- εtʁə lwɛ̃, mε lεz- ane pase vitə ʒə mɑ̃ ʁɑ̃ kɔ̃tə, e ʒə sε kil mə fo batiʁ ma mεzɔ̃ tɑ̃ kə mε bʁaz- ɔ̃ la fɔʁsə də ʃaʁje lε luʁdə- putʁə- də bwa.
ʒε vaɡəmɑ̃ paʁle də mɔ̃n- avəniʁ o deby də sεtə disεʁtasjɔ̃, mε ʒə dwaz- avue kil ʁεstə flu. tʁavaje dɑ̃ lə miljø də laʁ nε pa sə kɔ̃ puʁʁε apəle ma vɔkasjɔ̃, bjɛ̃ kə ʒə nimaʒinə pa ma vi sɑ̃. ʒε la ʃɑ̃sə davwaʁ ynə famijə pʁɔpʁjetεʁə teʁjεʁə la ba ɑ̃ ɡianə, si ʒamε vjɛ̃ lə ʒuʁ u lə ʃwa nə mə səʁa plysz- ɔfεʁ, e ʒə sε kə sə ʒuʁ vjɛ̃dʁa, u kə la vi nεɡzaltəʁa plys mɔ̃n- εtʁə u ʒə səʁε las dy mɔ̃də, alɔʁ ʒə mɑ̃n- iʁε labuʁe lε ʃɑ̃ də mεz- ɔ̃klə, e pʁɑ̃dʁə swɛ̃ də lœʁ bεtə. pø ɡlɔʁjø puʁʁje vu mə diʁə, mε ʒə nə kuʁ plysz- apʁε la ɡlwaʁə dəpɥi kə ʒə sε sə kə vø diʁə εtʁə œ̃n- ɔmə. ʒə mə kɔ̃tɑ̃tə də fεʁə sə kə ʒə dwa fεʁə, də fεʁə sə kə ʒεmə e il mə plε a kʁwaʁə kə ʒə sɥi bɔ̃ ɑ̃ sε dɔmεnə, kə ʒə pʁatikə sɑ̃z- ɛ̃teʁε paʁtikylje. puʁ mwa lynivεʁsite nε pa œ̃ mwajɛ̃, ɑ̃kɔʁə mwaz- ynə fɛ̃, sə nε kynə paʁɑ̃tεzə εɡzalte dɑ̃ ma vi kə ʒə vø də plysz- ɑ̃ plysz- ɔʁdinεʁə.

dəɑ̃ maʁɑ̃, œ̃ pɔεtə pεʁdy syʁ lə ʃəmɛ̃ də la fak.

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
15/11/2013 03:07Eden Bis

Tu trouveras tout naturellement ton chemin.
Merci
Eden 🙂

Auteur de Poésie
15/11/2013 03:15Dean Marend

Merci de ton soutien Eden. Pas de réprimande sur mon orthographe cette fois...suis-je en progrès ? 😉

Auteur de Poésie
22/11/2013 04:51Dean Marend

HAHA encore une fois N tu m’as percé à jour...oui je bois, trop. Je ne me souviens plus exactement mais je crois que j’ai écrit cette chose là au alentour de 3 heures du matin, ou était-ce une heure comme celle-ci, en un peu plus d’une heure...oui je suis du genre à faire mes devoirs 4 heures avant d’aller en cours!
Pour justifier mes erreurs grammaticales je dirai que mon style est plus proche du chant que de la littérature (du vrai lyrisme quoi) , je m’accommode donc de certain barbarisme afin de conserver le rythme de ma phrase, appelons ça une licence poétique ou une anicroche verbale (histoire de rester dans l’thème) . Sur quoi vous pourriez me dire à raison "bull shit!" au quel cas je répondrai..."vous m’avez compris" 🙂

Dean

Prose Devoir
Du 15/11/2013 01:36

L'écrit contient 1331 mots qui sont répartis dans 2 strophes.