Prose:Petite Pensé D’automne, Alors Que L’hiver Approche
La Prose
Petite Pensée d’Automne, Alors que l’Hiver Approche.
Je marchais encore, seul, dans la nuit, dans le froid. Les lumières de la ville encore vibrante de la froideur hivernal me guidait dans mes errantes insomnies. Je me retrouvais alors à espérer me retrouver dans un lieu. Sombre et chaud. Doux et moelleux. L’éclat des réverbères peu à peu s’effacèrent et ton visage m’apparut dans le reflet de la fontaine. Ici, pas de stupeur pas de joie ni de regret. Je restais là, immobile, fasciné, pourrais je un jour l’avouer ? ! Mes mots s’envolent une fois liés à l’encre mais s’éthèrent au contacte de l’aire que tu respires. Mon cœur palpite pourtant vous en êtes si loin. Devrais je vous l’avouer, mais à quel but, à quelle fin ? ! Pour le plaisir de le dire sans l’écrire ? Pour qu’elles le sachent, pour les posséder et que personnes d’autre ne le veuillent ? Pour que mes regrets qui se profilent à l’horizon ne restent qu’un mirage ? ! Renoncer avant d’échouer. Est-ce la peur qui me réfrène ou me pousse-t-elle à fuir ? ! En vérité je fuis l’embarra de l’honnêteté, l’embarra de vous le dire, je n’ai pas peur de renoncer ni même de m’avouer vaincu. Seuls l’indifférences de ma mort sur vos cœurs m’effraie.
Ma plume quand à elle ne ment jamais, sincère sirène au plumage argenté, pour quelle obscure raison devrais je cacher ce qui est, à la seul qui à jamais sera être sensible à mes pensés.
Je marchais encore, seul, dans la nuit, dans le froid. Les lumières de la ville encore vibrante de la froideur hivernal me guidait dans mes errantes insomnies. Je me retrouvais alors à espérer me retrouver dans un lieu. Sombre et chaud. Doux et moelleux. L’éclat des réverbères peu à peu s’effacèrent et ton visage m’apparut dans le reflet de la fontaine. Ici, pas de stupeur pas de joie ni de regret. Je restais là, immobile, fasciné, pourrais je un jour l’avouer ? ! Mes mots s’envolent une fois liés à l’encre mais s’éthèrent au contacte de l’aire que tu respires. Mon cœur palpite pourtant vous en êtes si loin. Devrais je vous l’avouer, mais à quel but, à quelle fin ? ! Pour le plaisir de le dire sans l’écrire ? Pour qu’elles le sachent, pour les posséder et que personnes d’autre ne le veuillent ? Pour que mes regrets qui se profilent à l’horizon ne restent qu’un mirage ? ! Renoncer avant d’échouer. Est-ce la peur qui me réfrène ou me pousse-t-elle à fuir ? ! En vérité je fuis l’embarra de l’honnêteté, l’embarra de vous le dire, je n’ai pas peur de renoncer ni même de m’avouer vaincu. Seuls l’indifférences de ma mort sur vos cœurs m’effraie.
Ma plume quand à elle ne ment jamais, sincère sirène au plumage argenté, pour quelle obscure raison devrais je cacher ce qui est, à la seul qui à jamais sera être sensible à mes pensés.
PostScriptum
CQFD !
Poète Dean Marend
Dean Marend a publié sur le site 8 écrits. Dean Marend est membre du site depuis l'année 2013.Lire le profil du poète Dean MarendSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Petite Pensé D’automne, Alors Que L’hiver Approche
pətitə pɑ̃se dotɔmnə, alɔʁ kə livεʁ apʁoʃə.ʒə maʁʃεz- ɑ̃kɔʁə, səl, dɑ̃ la nɥi, dɑ̃ lə fʁwa. lε lymjεʁə də la vilə ɑ̃kɔʁə vibʁɑ̃tə də la fʁwadœʁ ivεʁnal mə ɡidε dɑ̃ mεz- eʁɑ̃təz- ɛ̃sɔmni. ʒə mə ʁətʁuvεz- alɔʁz- a εspeʁe mə ʁətʁuve dɑ̃z- œ̃ ljø. sɔ̃bʁə e ʃo. duz- e mwalø. lekla dε ʁevεʁbεʁə pø a pø sefasεʁe e tɔ̃ vizaʒə mapaʁy dɑ̃ lə ʁəflε də la fɔ̃tεnə. isi, pa də stypœʁ pa də ʒwa ni də ʁəɡʁε. ʒə ʁεstε la, imɔbilə, fasine, puʁʁε ʒə œ̃ ʒuʁ lavue ? ! mε mo sɑ̃vɔle ynə fwa ljez- a lɑ̃kʁə mε setεʁe o kɔ̃taktə də lεʁə kə ty ʁεspiʁə. mɔ̃ kœʁ palpitə puʁtɑ̃ vuz- ɑ̃n- εtə si lwɛ̃. dəvʁε ʒə vu lavue, mεz- a kεl byt, a kεllə fɛ̃ ? ! puʁ lə plεziʁ də lə diʁə sɑ̃ lekʁiʁə ? puʁ kεllə lə saʃe, puʁ lε pɔsede e kə pεʁsɔnə dotʁə nə lə vœje ? puʁ kə mε ʁəɡʁε ki sə pʁɔfile a lɔʁizɔ̃ nə ʁεste kœ̃ miʁaʒə ? ! ʁənɔ̃se avɑ̃ deʃue. ε sə la pœʁ ki mə ʁefʁεnə u mə pusə tεllə a fɥiʁ ? ! ɑ̃ veʁite ʒə fɥi lɑ̃baʁa də lɔnεtəte, lɑ̃baʁa də vu lə diʁə, ʒə nε pa pœʁ də ʁənɔ̃se ni mεmə də mavue vɛ̃ky. səl lɛ̃difeʁɑ̃sə də ma mɔʁ syʁ vo kœʁ mefʁε.
ma plymə kɑ̃t- a εllə nə mɑ̃ ʒamε, sɛ̃sεʁə siʁεnə o plymaʒə aʁʒɑ̃te, puʁ kεllə ɔpskyʁə ʁεzɔ̃ dəvʁε ʒə kaʃe sə ki ε, a la səl ki a ʒamε səʁa εtʁə sɑ̃siblə a mε pɑ̃se.
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
24/01/2014 19:23Daniel
Fort ressenti dans cette promenade hivernale et nocturne...
Dan....
25/01/2014 05:30Dean Marend
Je vous remercie de vos commentaires, il est bon de se savoir lu et apprécié.
CQFD= Ce Qu’il Fallait Démontrer.
Amicalement,
Dean...:p
Prose Saisons
Du 23/01/2014 20:31
L'écrit contient 268 mots qui sont répartis dans 1 strophes.