Prose:Manque
La Prose
La mort rouge
Plus besoin de parler
Plus rien ne bouge
Le souffle court effacé
La bougie s’éteint
L’odeur se propage
Encore un acte divin
Pour de nouvelles images
Rose, moi je m’appelle Rose
La discussion est close
La mort tiède
Des larmes sur des mots
Un appel à l’aide
Le double effet de trop
Dans ton sourire, ton regard
Tant de tristesse abonde
Une misère propagée au hasard
Dans ton âme vagabonde
La mort crainte
Un mal être en diffusion
Une perfusion d’absinthe
Premiers secours, émotions
Y’a-t-il quelqu’un
S’il vous plait vite
Par ici, ce matin
Journée en fuite
Encore un peu d’adrénaline
J’ai besoin de vitamines Six heures le chant du coq
L’heure de notre apéritif
Quelle drôle d’époque
Trinquons à ce moment additif
Le corps frissonne
Je démissionne
Je me soucis de tes ennuis
Doit-on t’attacher Madone ?
Rose, moi je m’appelle Rose
Et la discussion est close
Non je dois méditer
Ton départ est proche
Pour Londres, retrouver tes proches
Mais doit-on t’attacher ?
Hélas, tu es partie
Et n’ais jamais réapparue
Notre avenir appartient au passé
Nous savions cet instant disparu
Tu ne reviendras jamais
Et ton pouls non plus
Mort rouge, je n’ai plus besoin de vous
Mort tiède je dois me détendre
Mort crainte, visions floues
La mort frémit en mes membres
Assois-toi, prends un verre
Bienvenue à la fabrique antistress
Non, nous devons partir Rose
Allons prendre l’air
Le temps nous presse
Non, la discussion est close
La mort rouge
Vastes souvenirs parfumés
Ton odeur sur le papier
Plus rien ne bouge
Sauf toi, des souvenirs
Peu de joie, peu de rire
Juste de l’apaisement
En mon âme et pour longtemps
Pardonne-moi Rose
Tu n’y es pour rien
Personne ne t’as dit de souffrir
A présent tu te repose
Tu dois être bien
Paisible
Prête à m’accueillir
Plus besoin de parler
Plus rien ne bouge
Le souffle court effacé
La bougie s’éteint
L’odeur se propage
Encore un acte divin
Pour de nouvelles images
Rose, moi je m’appelle Rose
La discussion est close
La mort tiède
Des larmes sur des mots
Un appel à l’aide
Le double effet de trop
Dans ton sourire, ton regard
Tant de tristesse abonde
Une misère propagée au hasard
Dans ton âme vagabonde
La mort crainte
Un mal être en diffusion
Une perfusion d’absinthe
Premiers secours, émotions
Y’a-t-il quelqu’un
S’il vous plait vite
Par ici, ce matin
Journée en fuite
Encore un peu d’adrénaline
J’ai besoin de vitamines Six heures le chant du coq
L’heure de notre apéritif
Quelle drôle d’époque
Trinquons à ce moment additif
Le corps frissonne
Je démissionne
Je me soucis de tes ennuis
Doit-on t’attacher Madone ?
Rose, moi je m’appelle Rose
Et la discussion est close
Non je dois méditer
Ton départ est proche
Pour Londres, retrouver tes proches
Mais doit-on t’attacher ?
Hélas, tu es partie
Et n’ais jamais réapparue
Notre avenir appartient au passé
Nous savions cet instant disparu
Tu ne reviendras jamais
Et ton pouls non plus
Mort rouge, je n’ai plus besoin de vous
Mort tiède je dois me détendre
Mort crainte, visions floues
La mort frémit en mes membres
Assois-toi, prends un verre
Bienvenue à la fabrique antistress
Non, nous devons partir Rose
Allons prendre l’air
Le temps nous presse
Non, la discussion est close
La mort rouge
Vastes souvenirs parfumés
Ton odeur sur le papier
Plus rien ne bouge
Sauf toi, des souvenirs
Peu de joie, peu de rire
Juste de l’apaisement
En mon âme et pour longtemps
Pardonne-moi Rose
Tu n’y es pour rien
Personne ne t’as dit de souffrir
A présent tu te repose
Tu dois être bien
Paisible
Prête à m’accueillir
Poète Sydtama
Sydtama a publié sur le site 7 écrits. Sydtama est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète SydtamaSyllabation De L'Écrit
Phonétique : Manque
la mɔʁ ʁuʒəplys bəzwɛ̃ də paʁle
plys ʁjɛ̃ nə buʒə
lə suflə kuʁ efase
la buʒi setɛ̃
lɔdœʁ sə pʁɔpaʒə
ɑ̃kɔʁə œ̃n- aktə divɛ̃
puʁ də nuvεlləz- imaʒə
ʁozə, mwa ʒə mapεllə ʁozə
la diskysjɔ̃ ε klozə
la mɔʁ tjεdə
dε laʁmə- syʁ dε mo
œ̃n- apεl a lεdə
lə dublə efε də tʁo
dɑ̃ tɔ̃ suʁiʁə, tɔ̃ ʁəɡaʁ
tɑ̃ də tʁistεsə abɔ̃də
ynə mizεʁə pʁɔpaʒe o-azaʁ
dɑ̃ tɔ̃n- amə vaɡabɔ̃də
la mɔʁ kʁɛ̃tə
œ̃ mal εtʁə ɑ̃ difyzjɔ̃
ynə pεʁfyzjɔ̃ dabsɛ̃tə
pʁəmje səkuʁ, emɔsjɔ̃
ia til kεlkœ̃
sil vu plε vitə
paʁ isi, sə matɛ̃
ʒuʁne ɑ̃ fɥitə
ɑ̃kɔʁə œ̃ pø dadʁenalinə
ʒε bəzwɛ̃ də vitaminə siz- œʁ lə ʃɑ̃ dy kɔk
lœʁ də nɔtʁə apeʁitif
kεllə dʁolə depɔkə
tʁɛ̃kɔ̃z- a sə mɔmɑ̃ aditif
lə kɔʁ fʁisɔnə
ʒə demisjɔnə
ʒə mə susi də tεz- ɑ̃nɥi
dwa tɔ̃ tataʃe madɔnə ?
ʁozə, mwa ʒə mapεllə ʁozə
e la diskysjɔ̃ ε klozə
nɔ̃ ʒə dwa medite
tɔ̃ depaʁ ε pʁoʃə
puʁ lɔ̃dʁə, ʁətʁuve tε pʁoʃə
mε dwa tɔ̃ tataʃe ?
ela, ty ε paʁti
e nεs ʒamε ʁeapaʁy
nɔtʁə avəniʁ apaʁtjɛ̃ o pase
nu savjɔ̃ sεt ɛ̃stɑ̃ dispaʁy
ty nə ʁəvjɛ̃dʁa ʒamε
e tɔ̃ pul nɔ̃ plys
mɔʁ ʁuʒə, ʒə nε plys bəzwɛ̃ də vu
mɔʁ tjεdə ʒə dwa mə detɑ̃dʁə
mɔʁ kʁɛ̃tə, vizjɔ̃ flu
la mɔʁ fʁemi ɑ̃ mε mɑ̃bʁə
aswa twa, pʁɑ̃z- œ̃ veʁə
bjɛ̃vənɥ a la fabʁikə ɑ̃tistʁεs
nɔ̃, nu dəvɔ̃ paʁtiʁ ʁozə
alɔ̃ pʁɑ̃dʁə lεʁ
lə tɑ̃ nu pʁεsə
nɔ̃, la diskysjɔ̃ ε klozə
la mɔʁ ʁuʒə
vastə suvəniʁ paʁfyme
tɔ̃n- ɔdœʁ syʁ lə papje
plys ʁjɛ̃ nə buʒə
sof twa, dε suvəniʁ
pø də ʒwa, pø də ʁiʁə
ʒystə də lapεsəmɑ̃
ɑ̃ mɔ̃n- amə e puʁ lɔ̃tɑ̃
paʁdɔnə mwa ʁozə
ty ni ε puʁ ʁjɛ̃
pεʁsɔnə nə ta di də sufʁiʁ
a pʁezɑ̃ ty tə ʁəpozə
ty dwaz- εtʁə bjɛ̃
pεziblə
pʁεtə a makœjiʁ
Récompense
Commentaire Sur La Poesie
16/06/2014 21:10La Mouche
J’ai été vraiment à fond dedans au début et après ça s’essouffle un peu je trouve.
Toutefois je trouve l’écrit percutant et touchant !
J’aime bien
Prose - Sans Thème -
Du 16/06/2014 00:00
L'écrit contient 331 mots qui sont répartis dans 14 strophes.