Poème:Triste Sans Toi

Un dimanche matin,
Très loin de la ville,
Je marche dans la rosée
Sous un ciel tranquille.

Un petit chemin,
Et quelques moutons,
Je goûte le calme, sereil
En pensant à toi, ton petit menton.

Que fais tu ce matin,
Dans ta grande ville ?
Tu bois ton café,
Les yeux dans le vide.

Et tu penses à quoi,
Je me demande bien.
Peut être est à moi,
Mais tu es si loin.

Même si tu te rapprochais, ce serait si bien,
Mais tu ne veux pas d’une vie commune,
Tu préfères garder tes petites habitudes,
Je comprends mais tu sais ma solitude !

Je m’ennuie de toi, j’ai besoin de ta présence,
Dans notre grande maison il y a ce silence,
C’est pesant et lourd, je manque de tes caresses,
Et c’est là où réside toute ma faiblesse !

Et je tourne en rond,
Je me pose mille questions.
M’aimes tu toujours
Autant mon amour ?

Je rêves tant de t’avoir
Dans mes bras chaque soir,
Ton absence pour moi
Est un vrai cauchemar.

Et quand tombe la nuit je t’attends chaque soir,
C’est plus fort que moi ça me fout le cafard,
Quand te décideras tu à venir me voir
J’ai tellement besoin de te dire que je t’aime !

Et j’allume le feu dans notre grande cheminée,
Cette âme subtile qui vit chante, et puis se consume.
Cet esprit de plus qui habite notre belle masure,
Est irrésistible par sa vie sa chaleur, ses couleurs.

Je suis sûr au fond de moi
Oui, qu’un jour au moins,
Tu me reviendras
C’est cpmme ça que ça tous les matins,

Je me lèves avec cet espoir,
Que tu reviennes un soir
Me redire je t’aime.
Je ne serais plus le même !

Et cette grande maison avec cette pancarte « à louer »,
Je pourrai enfin, , vite la décrocher l’ôter
Elle est pour l’instant pour moi sur cette façade,
Tout ce qui représente en mon cœur, une énorme blessure !

Je serais le roi au milieu de cette nature
Prêt, rien que pour toi, à mille aventures,
A tout chambouler, tout recommencer,
Changer de métier, tout laisser tomber,

Pour vivre avec toi le véritable bonheur,
Somme toute la vraie vie cela à chaque heure.
T’offrir tout ce que tu veux, être ton petit chat,
Que tu caresserais et alors je ronronnerais.

J’aimerais tellement t’avoir dans mes bras,
Pour te câliner te dire que je t’aime et et le prouver,
Par mille attentions, être pour une fois un vrai roi,
Et que tu me donnes sans retenue ta réciprocité.

Ce serait pour nous deux une vie de rêve,
Sans une anicroche, où tout coulerait dans la paix.
Mais qu’entends je au loin, serait-ce ton pas ?
Je me précipite et ouvre la porte de l’entrée.

Non, je ne rêve pas, oui c’est toi, tu es revenue !
Avec tous mes mots, je serais donc parvenu
Enfin, à te convaincre te reconquérir,
De plus tu affiches en prime, ton plus beau sourire.

Tu m’offre tes bras quel bonheur !
Tu m’as tant manqué et te revoilà,
Et surtout ressentir ton corps ta chaleur,
Voilà ça y est, nous nous ressentons revivre !