Poème:L’astrolabsurde De L’astronorme

Plumage de caresse dans tes battements de zèle,
Sauve-toi dans l’ondée enserrent de mam’zelle,
De la matière de la manne, donnez-moi vos manières,
Que j’aille de pair en repaire vous faire part de mon idée fixe :
Pour parfaire mon édifice faut-il que j’entaille vos pierres ?
J’entasse de café, paupières des phares dénudés,
Et des nénuphars dans ma tasse à thé,
Jour et nuit et a la jointure, je jouis,
Du fruit toujours.

Les loups pêchent à la louche et je penche,
Que s’épanchent à la loupe sur chaque poule,
Des pansements,
Qui en se perchant bien n’en panse rien.
Loup glacé ! C’est toi l’chat !
Moi-même si j’avais su chalouper,
Qu’un poissons-chat pèse son poids !
Quand les trachées payent leurs couches.
Prêchi-prêcha aux perches suaves du souper,
J’apprête une voix d’chat !
Et une faim d’loup dans la pénombre.
Je tombe ma trombine de combine béton.
L’omble trompe dans l’ombre,
Ce qui me comble, m’incombe,
En trombe d’encombre !

Mais s’en tirent sauf les relieurs,
Réticents faussent l’heure lue !
Dans les ruelles récitent,
Papier roulure d’une lueur,
Repais de leurres dissidents.
Des tannées de coups d’dés en coudée pendante,
Un coup de bâton tomba !
Pour qui se fout de n’rien nier.
Mais stress pas reste Zen,
Toi aussi ça t’épande au nez ?

Pour tes bas ont s’battra pas !
Avec nos coups d’barre de rire,
Patatras. .
On s’débat tous au pas derrière un sbar,
Devine sans abats qu’ont l’abat sans tabac,
Le sparadrap,
Nos cabas vides,
Et mon pouls rythme au mérite de mes poumons,
Tambour de guerre qui ère au gré de l’amour,
Crains celui qui t’balances ces blancs d’œil,
En neige ! Larmes au clair d’une lampe,
Déclins des clins et d’sa gêne que tu cueilles,
En éclair de génie de la hampe.

Petit Homme de toute addictions,
Jante bien large de frustration,
Hurlent les vélociraptors en roues arrières.
Asphalte féroce qui noce qui rosse dans une valse !
Ça se corse à force quand toi tu te gausses des as,
Comme un gosse.
Tu oublies tout, toi aussi tu inverses,
Mais tu es aussi doux !
Qu’un gyrophare de licorne sous l’averse,
Aux douleurs de l’arc-en-ciel.

Tu te jettes à l’eau véloce,
Et des Nunchakus t’lattes,
Je vois que tu tombes de haut,
Et sur un os écarlate !
L’monde s’est perdu putain !
Les cités d’or et même ulysse31.
Mais toi tu as un Psychogun ! T’ira loin !
Tu as fort à faire ici et maintenant !
Moi j’ai, moi j’ai, moi j’ai ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Jt’explique !
Alors l’univers et puis l’espace !
D’un instant intersidéral. .
L’un diverge l’autre dit verse,
Dans ce verre sale,
Puis ils s’inversent.
Et ça m’laisse peu haletant, voire céphalé,
S’effaçant sur-mesure décimal,
Il t’enrhume et prend racine,
Cime dans la bruine d’été,
L’assurance du mal décime,
En Susurrant ces rimes fanées.