Chanson:Ce Jeux-Là

Nous avions 20 ans à peine,
Nous n’avions que de passion,
Celle pour les jeux de garçons,
Me désirant, tu t’amusais,
Me forçant, je réalisais,
Que les princes ne me font pas d’effet,
Et que leurs pinces, me déplaisaient,
Et ce jeu-là,
Je ne l’oublierai pas,
Mes yeux brillants,
Tu ne les as pas vus,
Mon cœur absent,
Tu ne l’as pas cru,
Ton plaisir montant, je le sentais,
Mon désarroi grimpant, t’a échappé,
Tes yeux hurlants, m’ont dérouté,
Mes sanglots coulants, t’as ignoré,
Et ce jeu-là,
Je ne l’oublierai pas,
Lorsque je t’ai poussé, tu m’as serré,
Mon corps fuyant, t’a attiré,
Tes mains brûlantes, m’ont détourné,
Mon front perlant,
T’as assuré d’un jeux plaisant et envoûtant,
D’un plaisir, partagé,
D’un moment, si singulier,
Et ce jeu-là,
Je ne l’oublierai pas,
Mes jambes fermées, t’ont certifié,
Que je ne souhaitais plus avancer,
Tu ne t’ai pourtant pas, arrêté,
Alors je te l’ai crié, mais je n’ai fait que de t’énerver,
Ton envie, s’est alors transformée,
En une colère, injustifiée,
De ma gorge, agrippée,
Que tu as planté, de ton épée démesurée,
Mes gémissements, m’ont condamné,
Dans ta folie, insoupçonnée,
De ce jeu-là,
Je n’en voulais pas