Chanson:Une Vie

Une vie que j’été à me corrompre et livrer,
A l’abîme de monstre et de ses songes éveillés,
Soudain tel que l’Ansellus,
Me vînt une vision éclairée,
Si bien que semblable à Horus,
Je m’y suis jeté,
Dans une douce mélodie murmurée à l’oreille,
Douce comme le chant des abeilles,
Sous un printemps de soleil,
Mon cœur pincé par son essence enchantée,
Je la prends à enivrer ma réalité,
Maintenant désuet,
Sur cet écueil de prouesses,
Délestés de toutes promesses,
J’ai manqué d’air, je me souviens,
Tandis que son image culmine dans mes pensées,
Poussant la convoitise et le souhait au paroxysme, de son cœur à ma guise,
Cause incomprise,
Pensant dévolu, son cœur est dorénavant déchu,
Son prénom placé dans ma mémoire effacée, que la bringue a épuisé,
De cette torture insensée qui nous as éloignés,
Sans illusion, nous souffrons de cet amour à répétition,
Je lui manque, pourtant je suis là,
Le ventre tel un dessin,
A faire pâlir les Rodin,
Ces choses de l’humain qui font l’amour,
Si grand, que l’on en fait des empires,
Accueillant l’infini, que nul ne sait vraiment définir,
Car rien ne finit l’infini, ni moi ni l’indéfini,
Que l’on emploi pour définir l’indéfini infini,
Ce syntagme bien connu,
Cet aphorisme tant lu,
Cette maxime d’ores cousue,
« La vie ne vaut d’être vécue, sans amour »