Poème:Orgue De Barbarie

Ô orgue de barbarie, mélodie d’autrefois,
Ton air envoûtant réveille en moi mille émois.
Au son de tes notes, mon cœur se laisse emporter,
Dans un monde enchanté où tout peut arriver.

Tes manivelles tournent, dans un rythme hypnotique,
Et ta musique douce, me transporte en musique.
De rue en rue, de place en place, tu vagabondes,
Enchantant les passants, tes refrains les inondent.

Sur tes touches colorées, tes doigts dansent avec grâce,
Créant des harmonies, une symphonie qui s’efface.
Les airs d’antan résonnent dans les vieilles ruelles,
Éveillant des souvenirs, des émotions éternelles.

Que tes mélodies suaves enchantent nos vies,
Faisant vibrer nos âmes, nos cœurs, nos valises.
Orgue de barbarie, gardien de l’art éphémère,
Ta musique nous touche, de manière si sincère.

Alors, joue encore, laisse tes notes s’élancer,
Au gré des rues et des cœurs, leur destin embrasser.
Orgue de barbarie, source de rêves et d’émotion,
Je t’admire et t’applaudis, inspirant ma passion.

Ô orgue de barbarie, berceur de nos doux souvenirs,
Ta mélodie traverse le temps, sans jamais vieillir.
Continue de chanter, ô cher instrument de charme,
Et fais de nos vies une symphonie, sans aucunes larmes.