Univers de poésie d'un auteur

Prose:Une Lettre

A Propos de cette Prose

S’ouvrir aux métamorphoses

La Prose

Quel est cet étrange et subi interrogatoire ? Les régions sombres se mettent à murmurer des rumeurs, glissant jusqu’à la baie de lumière. Peut-être les boursouflures orgueilleuse d’un autre temps. C’est la vieille idole de mon propre rêve qui s’en vient vers moi pour m’obséder et réclamer ses comptes. Elle ne comprend pas bien pourquoi elle n’est plus l’incarnation du mystère…
Je lui ai répondu assez vivement, je l’avoue. Je ne tenais guère à ce qu’elle puisse prendre le dessus pendant notre petite conversation. Comment ne pas aimer la lumière, alors que c’est elle, justement, gracieusement, qui fait apparaître l’invisible ? C’est bien elle qui me fait voir sans que jamais je ne la voie. Pas même le plus bénévole des êtres ne pourraient accomplir ce miracle quotidien.
Je me recroqueville tout de même un peu sur mon fauteuil, dont les accoudoirs sont un peu élimés. Je pense, ou du moins, je crois penser. Je pensais être une maison car j’abritais de l’ombre. C’était bien une cave, un cellier, mais certainement pas un foyer, toujours réconfortant avec son âtre chaud.
Ces régions d’ombres toutes gouvernées par l’idole sont si mesquines quand elle font croire à une adoration, alors que l’on s’est juste enmarbrés dans des statues. On contemple les propres dépouilles de soi en croyant avec une ferveur surnaturelle en leur vitalité. Je me suis donc bien leurré ! Ainsi que la Catherine Aulnaie et sa troupe, peinte par Patrice de La tour du Pin, je me complaisais dans un spectacle de marionnettes. Qui tire les fils ? Mon dieu, voilà que c’est moi le metteur en scène ? J’étais donc le Lazare de cette rencontre inévitable entre l’aube et le crépuscule de moi-même ? J’ai arrangé ma propre rencontre et je me suis laissé prendre à ce piège douteux. C’est ainsi que j’ai fini par aimer l’idole et que j’ai voulu la quérir jusque dans les chairs féminines, je cherchais le reflet d’une idole qui n’avait que moi-même pour image. C’est drôle, souhaiter la rencontre de l’Autre alors que c’est soi que l’on cherche, comme un aveugle dans un miroir. Et pourtant, on est si convaincu de son désintéressement… nous sommes certains que c’est le monde et les occasions qui font la fine bouche et l’on se plein de ces palais qui nous refusent des palais.
Si tu veux être vaste, il va falloir mourir un jour et constater les amples métamorphoses que méditent les feuilles mortes, les floraisons et la naissance des cigales. Petit, n’as-tu jamais été ému par ces visions ? C’est que tu n’avais pas encore pris la mesure de ton pouvoir ; tu ne pouvais pas savoir que ta sensibilité tissait sa toile sur tes sens, et que malgré ta petite taille le monde t’étais donné. Tu étais comme un petit Dieu, tout était là pour toi, et quand tu voyais mourir les choses, tu pouvais sentir, insidieusement dans ta poitrine, le léger frisson d’un deuil.
Maintenant que je suis aux portes de mon âge adulte, et qu’à force de lyrisme, ma confusion avec les choses m’épuisent, je désire avec ferveur les métamorphoses. Je suis à présent troublé par la fraîcheur qui émanent de tout les lieux qui ne sont pas les miens. Peut-être que mon goût prononcé pour le noir, à l’heure des mélancolies adolescentes, n’était que les prémisses du deuil de soi. Je crois à présent que le mystère ne loge plus dans les caves, mais si proche de ma contemplation qu’il m’est invisible. Il va me falloir m’éloigner de ce mystère si je veux au moins saisir une part de son ampleur.
Mon père craint que je ne devienne un cul-béni, vaincu par le doute et l’amertume. Même si la foi devient quelque chose de moins abstrait peut-être, je ne la désire pas pour moi, je la veux plus loin. Je ne veux pas qu’elle m’étouffe de sa force, je veux qu’elle m’obsède en se tenant, tentatrice, devant moi et mon ombre. A ce moment là, s’éprouver vraiment vivant ne sera peut-être plus une tâche si difficile. Vivre d’une promesse adressée par l’inconnu c’est une belle pensée-papillon non ? La pensée-papillon, c’est une pensée-âme, à la foi fragile mais toute saturée d’éclosion, elle est fragile à force d’éclore.
Nous sommes si traumatisés par notre naissance, que nous serions comme des lézards qui ne quitteraient jamais leurs coquilles. Les parents se garderont bien de la briser d’ailleurs, si tant est qu’ils nous aiment, ce qu’ils auraient du mal à éviter. « Oh mon petit ange, je ne veux pas que tu sois en danger, je ne voudrais pas que tu t’ouvres à la mort ». C’en est fini mes aimants… Cette guerre je la veux, et je ne serais pas un sot qui monte benoîtement à l’assaut… Je ferais serait en sorte qu’elle me voit et qu’elle puisse me compter parmi ses proies ; et je vous le jure, ma peau, je la lui vendrais chèrement, elle me doit bien ça.
Lorsque je serais sur le plan des êtres, ouverts au péril, vous aurez vraiment enfanté, et vous n’aurez pas enfanté un petit garçon triste avec son petit cartable et ses grands yeux humides. Vous le verrez se dresser comme vrai-vivant, signifiant parmi les longs chemins de vie.
… … Je me ramasse encore sur mon fauteuil, mais je souris un peu plus. Je vais manger des chocolats. Pessoa disait bien qu’il n’y a pas plus belle métaphysique que la confiserie.
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PostScriptum

Les chocolats étaient très bons.

Poeme de Aldébaran

Poète Aldébaran

Aldébaran a publié sur le site 55 écrits. Aldébaran est membre du site depuis l'année 2015.

Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Une Lettrequel=est=cet=é=tran=ge=et=su=bi=in=ter=ro=ga=toi=re=les=ré=gions=som=bres=se=met=tent=à=mur=mu=rer=des=ru=meurs=glis=sant=jus=quà=la=baie=de=lu=mière=peut=tê=tre=les=bour=sou=flu=res=or=gueilleu=se=dun=au=tre=temps=cest=la=viei=lle=i=do=le=de=mon=pro=pre=rê=ve=qui=sen=vient=vers=moi=pour=mob=sé=der=et=ré=cla=mer=ses=comptes=el=le=ne=com=prend=pas=bien=pour=quoi=el=le=nest=plus=lin=car=na=ti=on=du=mys=tè=re 104
je=lui=ai=ré=pon=du=as=sez=vive=ment=je=la=voue=je=ne=te=nais=guè=reà=ce=quel=le=puis=se=pren=dre=le=des=sus=pen=dant=no=tre=pe=ti=te=con=ver=sa=tion=com=ment=ne=pas=ai=mer=la=lu=miè=re=a=lors=que=cest=elle=jus=te=ment=gra=cieu=se=ment=qui=fait=ap=pa=raî=tre=lin=vi=si=ble=cest=bien=el=le=qui=me=fait=voir=sans=que=ja=mais=je=ne=la=voie=pas=mê=me=le=plus=bé=né=vo=le=des=ê=tres=ne=pour=raient=ac=com=plir=ce=mi=ra=cle=quo=ti=dien 113
je=me=re=cro=que=vi=lle=tout=de=mê=me=un=peu=sur=mon=fau=teuil=dont=les=ac=cou=doirs=sont=un=peu=é=li=més=je=pen=se=ou=du=moins=je=crois=pen=ser=je=pen=sais=ê=tre=u=ne=mai=son=car=ja=bri=tais=de=lombre=cé=tait=bien=u=ne=ca=ve=un=cel=li=er=mais=cer=tai=ne=ment=pas=un=foyer=tou=jours=ré=con=for=tant=a=vec=son=â=tre=chaud 84
ces=ré=gions=dombres=tou=tes=gou=ver=nées=par=li=do=le=sont=si=mes=qui=nes=quand=elle=font=croi=reà=u=ne=a=do=ra=tion=a=lors=que=lon=sest=jus=te=en=mar=brés=dans=des=sta=tues=on=con=tem=ple=les=pro=pres=dé=pouilles=de=soi=en=croyant=a=vec=u=ne=fer=veur=sur=na=tu=rel=le=en=leur=vi=ta=li=té=je=me=suis=donc=bien=leur=ré=ain=si=que=la=ca=the=ri=ne=aul=naie=et=sa=trou=pe=pein=te=par=pa=tri=ce=de=la=tour=du=pin=je=me=com=plai=sais=dans=un=s=pec=ta=cle=de=ma=rion=nettes=qui=ti=re=les=fils=mon=dieu=voi=là=que=cest=moi=le=met=teur=en=s=cè=ne=jé=tais=donc=le=la=za=re=de=cet=te=ren=con=tre=i=né=vi=ta=ble=en=tre=lau=be=et=le=cré=pus=cu=le=de=moi=mê=me=jai=ar=ran=gé=ma=pro=pre=ren=con=tre=et=je=me=suis=lais=sé=pren=dre=à=ce=piè=ge=dou=teux=cest=ain=si=que=jai=fi=ni=par=ai=mer=li=do=le=et=que=jai=vou=lu=la=qué=rir=jus=que=dans=les=chairs=fé=mi=ni=nes=je=cher=chais=le=re=flet=du=ne=i=do=le=qui=na=vait=que=moi=mê=me=pour=i=mage=cest=drô=le=sou=hai=ter=la=ren=con=tre=de=lau=tre=a=lors=que=cest=soi=que=lon=cher=che=com=me=un=a=veu=gle=dans=un=mi=roir=et=pour=tant=on=est=si=con=vain=cu=de=son=dé=sin=té=res=se=ment=nous=som=mes=cer=tains=que=cest=le=mon=de=et=les=oc=ca=sions=qui=font=la=fi=ne=bou=che=et=lon=se=plein=de=ces=pa=lais=qui=nous=re=fu=sent=des=pa=lais 333
si=tu=veux=être=vas=te=il=va=fal=loir=mou=rir=un=jour=et=cons=ta=ter=les=am=ples=mé=ta=mor=pho=ses=que=mé=di=tent=les=feu=illes=mor=tes=les=flo=rai=sons=et=la=nais=san=ce=des=ci=gales=pe=tit=nas=tu=ja=mais=é=té=é=mu=par=ces=vi=sions=cest=que=tu=na=vais=pas=en=co=re=pris=la=me=su=re=de=ton=pou=voir=tu=ne=pou=vais=pas=sa=voir=que=ta=sen=si=bi=li=té=tis=sait=sa=toi=le=sur=tes=sens=et=que=mal=gré=ta=pe=ti=te=taille=le=mon=de=té=tais=don=né=tu=é=tais=com=meun=pe=tit=dieu=tout=é=tait=là=pour=toi=et=quand=tu=vo=yais=mou=rir=les=cho=ses=tu=pou=vais=sen=tir=in=si=dieu=se=ment=dans=ta=poi=tri=ne=le=lé=ger=fris=son=dun=deuil 163
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mon=père=craint=que=je=ne=de=vien=neun=cul=bé=ni=vain=cu=par=le=dou=te=et=la=mer=tume=mê=me=si=la=foi=de=vient=quel=que=cho=se=de=moins=abs=trait=peut=tê=tre=je=ne=la=dé=si=re=pas=pour=moi=je=la=veux=plus=loin=je=ne=veux=pas=quel=le=mé=touf=fe=de=sa=for=ce=je=veux=quel=le=mob=sè=de=en=se=te=nant=ten=ta=tri=ce=de=vant=moi=et=mon=ombre=a=ce=mo=ment=là=sé=prou=ver=vrai=ment=vi=vant=ne=se=ra=peut=tê=tre=plus=u=ne=tâ=che=si=dif=fi=cile=vi=vre=du=ne=pro=mes=se=a=dres=sée=par=lin=con=nu=cest=u=ne=bel=le=pen=sée=pa=pillon=non=la=pen=sée=pa=pillon=cest=u=ne=pen=sée=â=me=à=la=foi=fra=gi=le=mais=tou=te=sa=tu=rée=dé=clo=sion=el=le=est=fra=gi=le=à=for=ce=dé=clore 177
nous=som=mes=si=trau=ma=ti=sés=par=no=tre=nais=san=ce=que=nous=se=rions=com=me=des=lé=zards=qui=ne=quit=te=raient=ja=mais=leurs=co=quilles=les=pa=rents=se=gar=de=ront=bien=de=la=bri=ser=dail=leurs=si=tant=est=quils=nous=ai=ment=ce=quils=au=raient=du=mal=à=é=vi=ter=oh=mon=pe=tit=an=ge=je=ne=veux=pas=que=tu=sois=en=dan=ger=je=ne=vou=drais=pas=que=tu=tou=vres=à=la=mort=cen=est=fi=ni=mes=ai=mants=cet=te=guer=re=je=la=veux=et=je=ne=se=rais=pas=un=sot=qui=mon=te=be=noî=te=ment=à=las=saut=je=fe=rais=se=rait=en=sor=te=quel=le=me=voit=et=quel=le=puis=se=me=comp=ter=par=mi=ses=proies=et=je=vous=le=ju=re=ma=peau=je=la=lui=ven=drais=chè=re=ment=el=le=me=doit=bien=ça 170
lors=que=je=se=rais=sur=le=plan=des=ê=tres=ou=verts=au=pé=ril=vous=au=rez=vrai=ment=en=fan=té=et=vous=nau=rez=pas=en=fan=té=un=pe=tit=gar=çon=tris=te=a=vec=son=pe=tit=car=ta=ble=et=ses=grands=y=eux=hu=mi=des=vous=le=ver=rez=se=dres=ser=com=me=vrai=vi=vant=si=gni=fi=ant=par=mi=les=longs=che=mins=de=vie 79
je=me=ra=mas=se=en=co=re=sur=mon=fau=teuil=mais=je=sou=ris=un=peu=plus=je=vais=man=ger=des=cho=co=lats=pes=soa=di=sait=bien=quil=ny=a=pas=plus=bel=le=mé=ta=phy=si=que=que=la=con=fi=se=rie 51
Phonétique : Une Lettrekεl ε sεt etʁɑ̃ʒə e sybi ɛ̃teʁɔɡatwaʁə ? lε ʁeʒjɔ̃ sɔ̃bʁə- sə mεte a myʁmyʁe dε ʁymœʁ, ɡlisɑ̃ ʒyska la bε də lymjεʁə. pø tεtʁə lε buʁsuflyʁəz- ɔʁɡœjøzə dœ̃n- otʁə tɑ̃. sε la vjεjə idɔlə də mɔ̃ pʁɔpʁə ʁεvə ki sɑ̃ vjɛ̃ vεʁ mwa puʁ mɔpsede e ʁeklame sε kɔ̃tə. εllə nə kɔ̃pʁɑ̃ pa bjɛ̃ puʁkwa εllə nε plys lɛ̃kaʁnasjɔ̃ dy mistεʁə…
ʒə lɥi ε ʁepɔ̃dy ase vivəmɑ̃, ʒə lavu. ʒə nə tənε ɡεʁə a sə kεllə pɥisə pʁɑ̃dʁə lə dəsy pɑ̃dɑ̃ nɔtʁə pətitə kɔ̃vεʁsasjɔ̃. kɔmɑ̃ nə pa εme la lymjεʁə, alɔʁ kə sεt- εllə, ʒystəmɑ̃, ɡʁasjøzəmɑ̃, ki fε apaʁεtʁə lɛ̃viziblə ? sε bjɛ̃ εllə ki mə fε vwaʁ sɑ̃ kə ʒamε ʒə nə la vwa. pa mεmə lə plys benevɔlə dεz- εtʁə- nə puʁʁε akɔ̃pliʁ sə miʁaklə kɔtidjɛ̃.
ʒə mə ʁəkʁɔkəvilə tu də mεmə œ̃ pø syʁ mɔ̃ fotəj, dɔ̃ lεz- akudwaʁ sɔ̃t- œ̃ pø elime. ʒə pɑ̃sə, u dy mwɛ̃, ʒə kʁwa pɑ̃se. ʒə pɑ̃sεz- εtʁə ynə mεzɔ̃ kaʁ ʒabʁitε də lɔ̃bʁə. setε bjɛ̃ ynə kavə, œ̃ sεllje, mε sεʁtεnəmɑ̃ pa œ̃ fwaje, tuʒuʁ ʁekɔ̃fɔʁtɑ̃ avεk sɔ̃n- atʁə ʃo.
sε ʁeʒjɔ̃ dɔ̃bʁə- tutə ɡuvεʁne paʁ lidɔlə sɔ̃ si mεskinə kɑ̃t- εllə fɔ̃ kʁwaʁə a ynə adɔʁasjɔ̃, alɔʁ kə lɔ̃ sε ʒystə ɑ̃maʁbʁe dɑ̃ dε statɥ. ɔ̃ kɔ̃tɑ̃plə lε pʁɔpʁə- depujə də swa ɑ̃ kʁwajɑ̃ avεk ynə fεʁvœʁ syʁnatyʁεllə ɑ̃ lœʁ vitalite. ʒə mə sɥi dɔ̃k bjɛ̃ ləʁe ! ɛ̃si kə la katəʁinə olnε e sa tʁupə, pɛ̃tə paʁ patʁisə də la tuʁ dy pɛ̃, ʒə mə kɔ̃plεzε dɑ̃z- œ̃ spεktaklə də maʁjɔnεtə. ki tiʁə lε fis ? mɔ̃ djø, vwala kə sε mwa lə mεtœʁ ɑ̃ sεnə ? ʒetε dɔ̃k lə lazaʁə də sεtə ʁɑ̃kɔ̃tʁə inevitablə ɑ̃tʁə lobə e lə kʁepyskylə də mwa mεmə ? ʒε aʁɑ̃ʒe ma pʁɔpʁə ʁɑ̃kɔ̃tʁə e ʒə mə sɥi lεse pʁɑ̃dʁə a sə pjεʒə dutø. sεt- ɛ̃si kə ʒε fini paʁ εme lidɔlə e kə ʒε vuly la keʁiʁ ʒyskə dɑ̃ lε ʃεʁ femininə, ʒə ʃεʁʃε lə ʁəflε dynə idɔlə ki navε kə mwa mεmə puʁ imaʒə. sε dʁolə, suεte la ʁɑ̃kɔ̃tʁə də lotʁə alɔʁ kə sε swa kə lɔ̃ ʃεʁʃə, kɔmə œ̃n- avøɡlə dɑ̃z- œ̃ miʁwaʁ. e puʁtɑ̃, ɔ̃n- ε si kɔ̃vɛ̃ky də sɔ̃ dezɛ̃teʁəsəmɑ̃… nu sɔmə sεʁtɛ̃ kə sε lə mɔ̃də e lεz- ɔkazjɔ̃ ki fɔ̃ la finə buʃə e lɔ̃ sə plɛ̃ də sε palε ki nu ʁəfyze dε palε.
si ty vøz- εtʁə vastə, il va falwaʁ muʁiʁ œ̃ ʒuʁ e kɔ̃state lεz- ɑ̃plə metamɔʁfozə kə medite lε fœjə mɔʁtə, lε flɔʁεzɔ̃z- e la nεsɑ̃sə dε siɡalə. pəti, na ty ʒamεz- ete emy paʁ sε vizjɔ̃ ? sε kə ty navε pa ɑ̃kɔʁə pʁi la məzyʁə də tɔ̃ puvwaʁ, ty nə puvε pa savwaʁ kə ta sɑ̃sibilite tisε sa twalə syʁ tε sɑ̃s, e kə malɡʁe ta pətitə tajə lə mɔ̃də tetε dɔne. ty etε kɔmə œ̃ pəti djø, tut- etε la puʁ twa, e kɑ̃ ty vwajε muʁiʁ lε ʃozə, ty puvε sɑ̃tiʁ, ɛ̃sidjøzəmɑ̃ dɑ̃ ta pwatʁinə, lə leʒe fʁisɔ̃ dœ̃ dəj.
mɛ̃tənɑ̃ kə ʒə sɥiz- o pɔʁtə- də mɔ̃n- aʒə adyltə, e ka fɔʁsə də liʁismə, ma kɔ̃fyzjɔ̃ avεk lε ʃozə mepɥize, ʒə deziʁə avεk fεʁvœʁ lε metamɔʁfozə. ʒə sɥiz- a pʁezɑ̃ tʁuble paʁ la fʁεʃœʁ ki emane də tu lε ljø ki nə sɔ̃ pa lε mjɛ̃. pø tεtʁə kə mɔ̃ ɡu pʁonɔ̃se puʁ lə nwaʁ, a lœʁ dε melɑ̃kɔliz- adɔlesɑ̃tə, netε kə lε pʁemisə dy dəj də swa. ʒə kʁwaz- a pʁezɑ̃ kə lə mistεʁə nə lɔʒə plys dɑ̃ lε kavə, mε si pʁoʃə də ma kɔ̃tɑ̃plasjɔ̃ kil mεt- ɛ̃viziblə. il va mə falwaʁ melwaɲe də sə mistεʁə si ʒə vøz- o mwɛ̃ sεziʁ ynə paʁ də sɔ̃n- ɑ̃plœʁ.
mɔ̃ pεʁə kʁɛ̃ kə ʒə nə dəvjεnə œ̃ kyl beni, vɛ̃ky paʁ lə dutə e lamεʁtymə. mεmə si la fwa dəvjɛ̃ kεlkə ʃozə də mwɛ̃z- abstʁε pø tεtʁə, ʒə nə la deziʁə pa puʁ mwa, ʒə la vø plys lwɛ̃. ʒə nə vø pa kεllə metufə də sa fɔʁsə, ʒə vø kεllə mɔpsεdə ɑ̃ sə tənɑ̃, tɑ̃tatʁisə, dəvɑ̃ mwa e mɔ̃n- ɔ̃bʁə. a sə mɔmɑ̃ la, sepʁuve vʁεmɑ̃ vivɑ̃ nə səʁa pø tεtʁə plysz- ynə taʃə si difisilə. vivʁə dynə pʁɔmεsə adʁese paʁ lɛ̃kɔny sεt- ynə bεllə pɑ̃se papijɔ̃ nɔ̃ ? la pɑ̃se papijɔ̃, sεt- ynə pɑ̃se amə, a la fwa fʁaʒilə mε tutə satyʁe deklozjɔ̃, εllə ε fʁaʒilə a fɔʁsə deklɔʁə.
nu sɔmə si tʁomatize paʁ nɔtʁə nεsɑ̃sə, kə nu səʁjɔ̃ kɔmə dε lezaʁd ki nə kitəʁε ʒamε lœʁ kɔkjə. lε paʁɑ̃ sə ɡaʁdəʁɔ̃ bjɛ̃ də la bʁize dajœʁ, si tɑ̃ ε kil nuz- εme, sə kilz- oʁε dy mal a evite. « ɔ mɔ̃ pəti ɑ̃ʒə, ʒə nə vø pa kə ty swaz- ɑ̃ dɑ̃ʒe, ʒə nə vudʁε pa kə ty tuvʁəz- a la mɔʁt ». sɑ̃n- ε fini mεz- εmɑ̃… sεtə ɡeʁə ʒə la vø, e ʒə nə səʁε pa œ̃ so ki mɔ̃tə bənwatəmɑ̃ a laso… ʒə fəʁε səʁε ɑ̃ sɔʁtə kεllə mə vwa e kεllə pɥisə mə kɔ̃te paʁmi sε pʁwa, e ʒə vu lə ʒyʁə, ma po, ʒə la lɥi vɑ̃dʁε ʃεʁəmɑ̃, εllə mə dwa bjɛ̃ sa.
lɔʁskə ʒə səʁε syʁ lə plɑ̃ dεz- εtʁə, uvεʁz- o peʁil, vuz- oʁe vʁεmɑ̃ ɑ̃fɑ̃te, e vu noʁe pa ɑ̃fɑ̃te œ̃ pəti ɡaʁsɔ̃ tʁistə avεk sɔ̃ pəti kaʁtablə e sε ɡʁɑ̃z- iø ymidə. vu lə veʁe sə dʁese kɔmə vʁε vivɑ̃, siɲifjɑ̃ paʁmi lε lɔ̃ɡ ʃəmɛ̃ də vi.
… ʒə mə ʁamasə ɑ̃kɔʁə syʁ mɔ̃ fotəj, mε ʒə suʁiz- œ̃ pø plys. ʒə vε mɑ̃ʒe dε ʃɔkɔla. pesɔa dizε bjɛ̃ kil ni a pa plys bεllə metafizikə kə la kɔ̃fizəʁi.
Syllabes Phonétique : Une Lettrekεl=ε=sεt=e=tʁɑ̃=ʒə=e=sy=bi=ɛ̃=te=ʁɔ=ɡa=twa=ʁə=lε=ʁe=ʒj=ɔ̃=sɔ̃=bʁə=sə=mε=te=a=myʁ=my=ʁe=dε=ʁy=mœʁ=ɡli=sɑ̃=ʒys=ka=la=bε=də=ly=mjε=ʁə=pø=tε=tʁə=lε=buʁ=su=fly=ʁə=zɔʁ=ɡœjø=zə=dœ̃=no=tʁə=tɑ̃=sε=la=vjε=jə=i=dɔ=lə=də=mɔ̃=pʁɔ=pʁə=ʁε=və=ki=sɑ̃=vjɛ̃=vεʁ=mwa=puʁ=mɔp=se=de=e=ʁe=kla=me=sε=kɔ̃=tə=εl=lə=nə=kɔ̃=pʁɑ̃=pa=bjɛ̃=puʁ=kwa=εl=lə=nε=plys=lɛ̃=kaʁ=na=sjɔ̃=dy=mis=tε=ʁə 106
ʒə=lɥi=ε=ʁe=pɔ̃=dy=ase=vi=və=mɑ̃=ʒə=la=vu=ʒə=nə=tə=nε=ɡε=ʁəa=sə=kεllə=pɥi=sə=pʁɑ̃=dʁə=lə=də=sy=pɑ̃=dɑ̃=nɔ=tʁə=pə=ti=tə=kɔ̃=vεʁ=sa=sjɔ̃=kɔ=mɑ̃=nə=pa=ε=me=la=ly=mjε=ʁə=a=lɔʁ=kə=sε=tεl=lə=ʒys=tə=mɑ̃=ɡʁa=sjø=zə=mɑ̃=ki=fε=a=pa=ʁε=tʁə=lɛ̃=vi=zi=blə=sε=bjɛ̃=εl=lə=ki=mə=fε=vwaʁ=sɑ̃=kə=ʒa=mε=ʒə=nə=la=vwa=pa=mε=mə=lə=plys=be=ne=vɔ=lə=dε=zε=tʁə=nə=puʁ=ʁε=a=kɔ̃=pliʁ=sə=mi=ʁa=klə=kɔ=ti=djɛ̃ 113
ʒə=mə=ʁə=kʁɔ=kə=vi=lə=tu=də=mε=mə=œ̃=pø=syʁ=mɔ̃=fo=təj=dɔ̃=lε=za=ku=dwaʁ=sɔ̃=tœ̃=pø=e=li=me=ʒə=pɑ̃=sə=u=dy=mwɛ̃=ʒə=kʁwa=pɑ̃=se=ʒə=pɑ̃=sε=zε=tʁə=y=nə=mε=zɔ̃=kaʁ=ʒa=bʁi=tε=də=lɔ̃=bʁə=se=tε=bj=ɛ̃=y=nə=ka=və=œ̃=sεl=lj=e=mε=sεʁ=tε=nə=mɑ̃=pa=œ̃=fwa=je=tu=ʒuʁ=ʁe=kɔ̃=fɔʁ=tɑ̃=a=vεk=sɔ̃=na=tʁə=ʃo 87
sε=ʁe=ʒjɔ̃=dɔ̃bʁə=tu=tə=ɡu=vεʁ=ne=paʁ=li=dɔ=lə=sɔ̃=si=mεs=ki=nə=kɑ̃=tεllə=fɔ̃=kʁwa=ʁəa=y=nə=a=dɔ=ʁa=sjɔ̃=a=lɔʁ=kə=lɔ̃=sε=ʒys=tə=ɑ̃=maʁ=bʁe=dɑ̃=dε=statɥ=ɔ̃=kɔ̃=tɑ̃=plə=lε=pʁɔ=pʁə=de=pu=jə=də=swa=ɑ̃=kʁwa=jɑ̃=a=vεk=y=nə=fεʁ=vœʁ=syʁ=na=ty=ʁεl=lə=ɑ̃=lœʁ=vi=ta=li=te=ʒə=mə=sɥi=dɔ̃k=bjɛ̃=lə=ʁe=ɛ̃=si=kə=la=ka=tə=ʁi=nə=ol=nε=e=sa=tʁu=pə=pɛ̃=tə=paʁ=pa=tʁi=sə=də=la=tuʁ=dy=pɛ̃=ʒə=mə=kɔ̃=plε=zε=dɑ̃=zœ̃=spεk=ta=klə=də=ma=ʁjɔ=nε=tə=ki=ti=ʁə=lε=fis=mɔ̃=djø=vwa=la=kə=sε=mwa=lə=mε=tœʁ=ɑ̃=sε=nə=ʒe=tε=dɔ̃k=lə=la=za=ʁə=də=sε=tə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=i=ne=vi=ta=blə=ɑ̃=tʁə=lo=bə=e=lə=kʁe=pys=ky=lə=də=mwa=mε=mə=ʒε=a=ʁɑ̃=ʒe=ma=pʁɔ=pʁə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=e=ʒə=mə=sɥi=lε=se=pʁɑ̃=dʁə=a=sə=pjε=ʒə=du=tø=sε=tɛ̃=si=kə=ʒε=fi=ni=paʁ=ε=me=li=dɔ=lə=e=kə=ʒε=vu=ly=la=ke=ʁiʁ=ʒys=kə=dɑ̃=lε=ʃεʁ=fe=mi=ni=nə=ʒə=ʃεʁ=ʃε=lə=ʁə=flε=dy=nə=i=dɔ=lə=ki=na=vε=kə=mwa=mε=mə=puʁ=i=ma=ʒə=sε=dʁo=lə=su=ε=te=la=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=də=lo=tʁə=a=lɔʁ=kə=sε=swa=kə=lɔ̃=ʃεʁ=ʃə=kɔ=mə=œ̃=na=vø=ɡlə=dɑ̃=zœ̃=mi=ʁwaʁ=e=puʁ=tɑ̃=ɔ̃=nε=si=kɔ̃=vɛ̃=ky=də=sɔ̃=de=zɛ̃=te=ʁə=sə=mɑ̃=nu=sɔ=mə=sεʁ=tɛ̃=kə=sε=lə=mɔ̃=də=e=lε=zɔ=ka=zjɔ̃=ki=fɔ̃=la=fi=nə=bu=ʃə=e=lɔ̃=sə=plɛ̃=də=sε=pa=lε=ki=nu=ʁə=fy=ze=dε=pa=lε 334
si=ty=vø=zεtʁə=vas=tə=il=va=fa=lwaʁ=mu=ʁiʁ=œ̃=ʒuʁ=e=kɔ̃s=ta=te=lε=zɑ̃=plə=me=ta=mɔʁ=fo=zə=kə=me=di=te=lε=fœjə=mɔʁ=tə=lε=flɔ=ʁε=zɔ̃=ze=la=nε=sɑ̃=sə=dε=si=ɡa=lə=pə=ti=na=ty=ʒa=mε=ze=te=e=my=paʁ=sε=vi=zjɔ̃=sε=kə=ty=na=vε=pa=ɑ̃=kɔ=ʁə=pʁi=la=mə=zy=ʁə=də=tɔ̃=pu=vwaʁ=ty=nə=pu=vε=pa=sa=vwaʁ=kə=ta=sɑ̃=si=bi=li=te=ti=sε=sa=twa=lə=syʁ=tε=sɑ̃s=e=kə=mal=ɡʁe=ta=pə=ti=tə=ta=jə=lə=mɔ̃=də=te=tε=dɔ=ne=ty=e=tε=kɔ=məœ̃=pə=ti=djø=tu=te=tε=la=puʁ=twa=e=kɑ̃=ty=vwa=jε=mu=ʁiʁ=lε=ʃo=zə=ty=pu=vε=sɑ̃=tiʁ=ɛ̃=si=djø=zə=mɑ̃=dɑ̃=ta=pwa=tʁi=nə=lə=le=ʒe=fʁi=sɔ̃=dœ̃=dəj 164
mɛ̃tə=nɑ̃=kə=ʒə=sɥi=zo=pɔʁ=tə=də=mɔ̃=na=ʒə=a=dyl=tə=e=ka=fɔʁ=sə=də=li=ʁis=mə=ma=kɔ̃=fy=zjɔ̃=a=vεk=lε=ʃo=zə=mep=ɥi=ze=ʒə=de=zi=ʁə=a=vεk=fεʁ=vœʁ=lε=me=ta=mɔʁ=fo=zə=ʒə=sɥi=za=pʁe=zɑ̃=tʁu=ble=paʁ=la=fʁε=ʃœʁ=ki=e=ma=ne=də=tu=lε=ljø=ki=nə=sɔ̃=pa=lε=mjɛ̃=pø=tε=tʁə=kə=mɔ̃=ɡu=pʁo=nɔ̃=se=puʁ=lə=nwaʁ=a=lœʁ=dε=me=lɑ̃=kɔ=li=za=dɔ=le=sɑ̃=tə=ne=tε=kə=lε=pʁe=mi=sə=dy=dəj=də=swa=ʒə=kʁwa=za=pʁe=zɑ̃=kə=lə=mis=tε=ʁə=nə=lɔ=ʒə=plys=dɑ̃=lε=ka=və=mε=si=pʁo=ʃə=də=ma=kɔ̃=tɑ̃=pla=sjɔ̃=kil=mε=tɛ̃=vi=zi=blə=il=va=mə=fa=lwaʁ=me=lwa=ɲe=də=sə=mis=tε=ʁə=si=ʒə=vø=zo=mwɛ̃=sε=ziʁ=y=nə=paʁ=də=sɔ̃=nɑ̃=plœʁ 170
mɔ̃=pεʁə=kʁɛ̃=kə=ʒə=nə=də=vjε=nəœ̃=kyl=be=ni=vɛ̃=ky=paʁ=lə=du=tə=e=la=mεʁ=ty=mə=mε=mə=si=la=fwa=də=vjɛ̃=kεl=kə=ʃo=zə=də=mwɛ̃=zab=stʁε=pø=tε=tʁə=ʒə=nə=la=de=zi=ʁə=pa=puʁ=mwa=ʒə=la=vø=plys=lwɛ̃=ʒə=nə=vø=pa=kεllə=me=tu=fə=də=sa=fɔʁ=sə=ʒə=vø=kεl=lə=mɔp=sε=də=ɑ̃=sə=tə=nɑ̃=tɑ̃=ta=tʁi=sə=də=vɑ̃=mwa=e=mɔ̃=nɔ̃bʁə=a=sə=mɔ=mɑ̃=la=se=pʁu=ve=vʁε=mɑ̃=vi=vɑ̃=nə=sə=ʁa=pø=tε=tʁə=plys=zy=nə=ta=ʃə=si=di=fi=si=lə=vi=vʁə=dy=nə=pʁɔ=mε=sə=a=dʁe=se=paʁ=lɛ̃=kɔ=ny=sε=ty=nə=bεl=lə=pɑ̃=se=pa=pi=jɔ̃=nɔ̃=la=pɑ̃=se=pa=pi=jɔ̃=sε=ty=nə=pɑ̃=se=a=mə=a=la=fwa=fʁa=ʒi=lə=mε=tu=tə=sa=ty=ʁe=de=klo=zjɔ̃=εl=lə=ε=fʁa=ʒi=lə=a=fɔʁ=sə=de=klɔʁə 180
nu=sɔ=mə=si=tʁo=ma=ti=ze=paʁ=nɔ=tʁə=nε=sɑ̃=sə=kə=nu=sə=ʁjɔ̃=kɔ=mə=dε=le=zaʁd=ki=nə=ki=tə=ʁε=ʒa=mε=lœʁ=kɔ=kjə=lε=pa=ʁɑ̃=sə=ɡaʁ=də=ʁɔ̃=bjɛ̃=də=la=bʁi=ze=da=jœʁ=si=tɑ̃=ε=kil=nu=zε=me=sə=kil=zo=ʁε=dy=mal=a=e=vi=te=ɔ=mɔ̃=pə=ti=ɑ̃=ʒə=ʒə=nə=vø=pa=kə=ty=swa=zɑ̃=dɑ̃=ʒe=ʒə=nə=vu=dʁε=pa=kə=ty=tu=vʁə=za=la=mɔʁt=sɑ̃=nε=fi=ni=mε=zε=mɑ̃=sε=tə=ɡe=ʁə=ʒə=la=vø=e=ʒə=nə=sə=ʁε=pa=œ̃=so=ki=mɔ̃=tə=bə=nwa=tə=mɑ̃=a=la=so=ʒə=fə=ʁε=sə=ʁε=ɑ̃=sɔʁ=tə=kεl=lə=mə=vwa=e=kεl=lə=pɥi=sə=mə=kɔ̃=te=paʁ=mi=sε=pʁwa=e=ʒə=vu=lə=ʒy=ʁə=ma=po=ʒə=la=lɥi=vɑ̃=dʁε=ʃε=ʁə=mɑ̃=εl=lə=mə=dwa=bjɛ̃=sa 170
lɔʁ=skə=ʒə=sə=ʁε=syʁ=lə=plɑ̃=dε=zε=tʁə=u=vεʁ=zo=pe=ʁil=vu=zo=ʁe=vʁε=mɑ̃=ɑ̃=fɑ̃=te=e=vu=no=ʁe=pa=ɑ̃=fɑ̃=te=œ̃=pə=ti=ɡaʁ=sɔ̃=tʁis=tə=a=vεk=sɔ̃=pə=ti=kaʁ=ta=blə=e=sε=ɡʁɑ̃=zi=ø=y=mi=də=vu=lə=ve=ʁe=sə=dʁe=se=kɔ=mə=vʁε=vi=vɑ̃=si=ɲi=fj=ɑ̃=paʁ=mi=lε=lɔ̃ɡ=ʃə=mɛ̃=də=vi 79
ʒə=mə=ʁa=ma=sə=ɑ̃=kɔ=ʁə=syʁ=mɔ̃=fo=təj=mε=ʒə=su=ʁi=zœ̃=pø=plys=ʒə=vε=mɑ̃=ʒe=dε=ʃɔ=kɔ=la=pe=sɔ=a=di=zε=bj=ɛ̃=kil=ni=a=pa=plys=bεl=lə=me=ta=fi=zi=kə=kə=la=kɔ̃=fi=zə=ʁi 53

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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
26/04/2024Poeme-France
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Prose Flamme
Du 26/04/2018 21:37

L'écrit contient 976 mots qui sont répartis dans 1 strophes.