Poème:Le Chemin Des Dames
Le Poème
Heureux amants d’un jour, qui avez pénétré,
Dans le septième ciel de l’extase absolue,
Ecoutez l’édifiant et douloureux portrait,
D’un couple fascinant que la haine pollue !
Ils s’étaient rencontrés, noir clin d’œil du destin,
Par un jour de tempête où pleuvaient des cordages !
La chamade battait un merveilleux tocsin,
Sous le mâle veston et l’élégant corsage.
Les ans se sont enfuis comme étoiles filantes,
Dans le ciel argentin de la félicité.
Des ovules pondus avec joie déferlante,
Avaient donné le jour à deux charmants bébés !
Le plus fin pinailleur serait rentré bredouille,
Dans sa quête éperdue d’un petit grain de sable !
Pas l’ombre d’un hiatus, pas la plus frêle embrouille.
En trois limpides mots : le rêve inconcevable !
Il advint qu’un beau jour, sans avoir crié « gare »,
- Dieu seul connaît la clé de ce curieux mystère ! –
Un délicat relais se grippa quelque part,
Provoquant un éclat macromoléculaire…
Madame idolâtrait son minou poilucheux,
Cependant que Monsieur divinisait son chien !
Peut-être dans ce fait, un docte logicien,
Eût-il vu le ferment d’un avenir ombreux ?
De prime abord ce furent quelques invectives,
Que l’on peut qualifier de fort inoffensives !
Un « pauvre con » par ci, une « traînée » par là…
Bien maigres ingrédients pour en faire un bon plat !
Puis, la pratique aidant une imagination,
Qui chaque jour gagnait en ludique invention,
Les conjoints, déchaînés, par degré adoptèrent,
Un rythme régulier de barbare croisière !
Ce fut l’odieux concours des sordides trouvailles,
De Monsieur soulageant sa vessie dans la soupe,
À Madame érigeant en monceau de ferraille,
Le fin cabriolet à l’élégante coupe.
Semblable frénésie dans l’agressivité,
Ne pouvait déclencher qu’une fatale issue.
Qui fut, à votre avis, le premier abattu ?
Le malheureux félin, travesti en pâté.
Le point de non-retour ayant été franchi,
Les deux cerveaux féconds n’avaient qu’une obsession :
User de la violence ou de l’hypocrisie,
Pour mener l’ennemi jusqu’à l’extrême onction !
Vous avez sous les yeux, candidats à l’union,
Les lendemains radieux qui attendent vos cœurs.
Si mon récit n’est pas brillante dissuasion,
Devenez, sans regret, expérimentateurs,
Mais n’oubliez jamais que sans relâche veillent,
Dans l’âme du conjoint d’horribles intentions.
Que la méfiance un jour chez l’un de vous sommeille,
Et la mort frappera sans une hésitation !
Dans le septième ciel de l’extase absolue,
Ecoutez l’édifiant et douloureux portrait,
D’un couple fascinant que la haine pollue !
Ils s’étaient rencontrés, noir clin d’œil du destin,
Par un jour de tempête où pleuvaient des cordages !
La chamade battait un merveilleux tocsin,
Sous le mâle veston et l’élégant corsage.
Les ans se sont enfuis comme étoiles filantes,
Dans le ciel argentin de la félicité.
Des ovules pondus avec joie déferlante,
Avaient donné le jour à deux charmants bébés !
Le plus fin pinailleur serait rentré bredouille,
Dans sa quête éperdue d’un petit grain de sable !
Pas l’ombre d’un hiatus, pas la plus frêle embrouille.
En trois limpides mots : le rêve inconcevable !
Il advint qu’un beau jour, sans avoir crié « gare »,
- Dieu seul connaît la clé de ce curieux mystère ! –
Un délicat relais se grippa quelque part,
Provoquant un éclat macromoléculaire…
Madame idolâtrait son minou poilucheux,
Cependant que Monsieur divinisait son chien !
Peut-être dans ce fait, un docte logicien,
Eût-il vu le ferment d’un avenir ombreux ?
De prime abord ce furent quelques invectives,
Que l’on peut qualifier de fort inoffensives !
Un « pauvre con » par ci, une « traînée » par là…
Bien maigres ingrédients pour en faire un bon plat !
Puis, la pratique aidant une imagination,
Qui chaque jour gagnait en ludique invention,
Les conjoints, déchaînés, par degré adoptèrent,
Un rythme régulier de barbare croisière !
Ce fut l’odieux concours des sordides trouvailles,
De Monsieur soulageant sa vessie dans la soupe,
À Madame érigeant en monceau de ferraille,
Le fin cabriolet à l’élégante coupe.
Semblable frénésie dans l’agressivité,
Ne pouvait déclencher qu’une fatale issue.
Qui fut, à votre avis, le premier abattu ?
Le malheureux félin, travesti en pâté.
Le point de non-retour ayant été franchi,
Les deux cerveaux féconds n’avaient qu’une obsession :
User de la violence ou de l’hypocrisie,
Pour mener l’ennemi jusqu’à l’extrême onction !
Vous avez sous les yeux, candidats à l’union,
Les lendemains radieux qui attendent vos cœurs.
Si mon récit n’est pas brillante dissuasion,
Devenez, sans regret, expérimentateurs,
Mais n’oubliez jamais que sans relâche veillent,
Dans l’âme du conjoint d’horribles intentions.
Que la méfiance un jour chez l’un de vous sommeille,
Et la mort frappera sans une hésitation !
PostScriptum
Ce poème fait partie d’un recueil de 104 CinéRimes, à découvrir sur le site ’Imagesetmots. fr’
Il est inspiré du film de Danny deVito ’La guerre des Rose’
Poète Giridhar
Giridhar a publié sur le site 6 écrits. Giridhar est membre du site depuis l'année 2015.Lire le profil du poète GiridharSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Chemin Des Dames
heu=reux=a=mants=dun=jour=qui=a=vez=pé=né=tré 12dans=le=sep=tième=ciel=de=lex=ta=se=ab=so=lue 12
ecou=tez=lé=di=fi=ant=et=dou=lou=reux=por=trait 12
dun=cou=ple=fas=ci=nant=que=la=hai=ne=pol=lue 12
ils=sé=taient=ren=con=trés=noir=clin=dœil=du=des=tin 12
par=un=jour=de=tem=pête=où=pleu=vaient=des=cor=dages 12
la=cha=ma=de=bat=tait=un=mer=veil=leux=toc=sin 12
sous=le=mâ=le=ves=ton=et=lé=lé=gant=cor=sage 12
les=ans=se=sont=en=fuis=comme=é=toi=les=fi=lantes 12
dans=le=ciel=ar=gen=tin=de=la=fé=li=ci=té 12
des=o=vu=les=pon=dus=a=vec=joie=dé=fer=lante 12
avaient=don=né=le=jour=à=deux=char=mants=bé=bés 11
le=plus=fin=pi=nail=leur=se=rait=ren=tré=bre=douille 12
dans=sa=quête=é=per=due=dun=pe=tit=grain=de=sable 12
pas=lombre=dun=hia=tus=pas=la=plus=frê=le=em=brouille 12
en=trois=lim=pides=mots=le=rê=ve=in=con=ce=vable 12
il=ad=vint=quun=beau=jour=sans=a=voir=cri=é=gare 12
dieu=seul=con=naît=la=clé=de=ce=cu=rieux=mys=tère 12
un=dé=li=cat=re=lais=se=grip=pa=quel=que=part 12
pro=vo=quant=un=é=clat=ma=cro=mo=lé=cu=laire 12
ma=dame=i=do=lâ=trait=son=mi=nou=poi=lu=cheux 12
ce=pen=dant=que=mon=sieur=di=vi=ni=sait=son=chien 12
peut=tê=tre=dans=ce=fait=un=doc=te=lo=gi=cien 12
eût=til=vu=le=fer=ment=dun=a=ve=nir=om=breux 12
de=prime=a=bord=ce=fu=rent=quel=ques=in=vec=tives 12
que=lon=peut=qua=li=fier=de=fort=i=nof=fen=sives 12
un=pau=vre=con=par=ci=u=ne=traî=née=par=là 12
bien=maigres=in=gré=dients=pour=en=fai=re=un=bon=plat 12
puis=la=pra=ti=queai=dant=une=i=ma=gi=na=tion 12
qui=cha=que=jour=ga=gnait=en=lu=di=que=inven=tion 12
les=con=joints=dé=chaî=nés=par=de=gré=a=do=ptèrent 12
un=ryth=me=ré=gu=lier=de=bar=ba=re=croi=sière 12
ce=fut=lo=dieux=con=cours=des=sor=dides=trou=vail=les 12
de=mon=sieur=sou=la=geant=sa=ves=sie=dans=la=soupe 12
à=ma=dame=é=ri=geant=en=mon=ceau=de=fer=raille 12
le=fin=ca=brio=let=à=lé=lé=gan=te=cou=pe 12
sem=bla=ble=fré=né=sie=dans=la=gres=si=vi=té 12
ne=pou=vait=dé=clen=cher=quune=fa=ta=le=is=sue 12
qui=fut=à=votre=a=vis=le=pre=mier=a=bat=tu 12
le=mal=heu=reux=fé=lin=tra=ves=ti=en=pâ=té 12
le=point=de=non=re=tour=ay=ant=é=té=fran=chi 12
les=deux=cer=veaux=fé=conds=na=vaient=quune=ob=ses=sion 12
user=de=la=violen=ce=ou=de=l=hy=po=cri=sie 12
pour=me=ner=lenne=mi=jus=quà=lex=trê=me=onc=tion 12
vous=a=vez=sous=les=yeux=can=di=dats=à=lu=nion 12
les=len=de=mains=ra=dieux=qui=at=ten=dent=vos=cœurs 12
si=mon=ré=cit=nest=pas=brillan=te=dis=sua=si=on 12
de=ve=nez=sans=re=gret=ex=pé=ri=men=ta=teurs 12
mais=nou=bliez=ja=mais=que=sans=re=lâ=che=veil=lent 12
dans=lâ=me=du=con=joint=d=hor=ribles=in=ten=tions 12
que=la=mé=fiance=un=jour=chez=lun=de=vous=som=meille 12
et=la=mort=frap=pe=ra=sans=une=hé=si=ta=tion 12
Phonétique : Le Chemin Des Dames
œʁøz- amɑ̃ dœ̃ ʒuʁ, ki ave penetʁe,dɑ̃ lə sεtjεmə sjεl də lεkstazə absɔlɥ,
əkute ledifjɑ̃ e duluʁø pɔʁtʁε,
dœ̃ kuplə fasinɑ̃ kə la-εnə pɔlɥ !
il setε ʁɑ̃kɔ̃tʁe, nwaʁ klɛ̃ dœj dy dεstɛ̃,
paʁ œ̃ ʒuʁ də tɑ̃pεtə u pləvε dε kɔʁdaʒə !
la ʃamadə batε œ̃ mεʁvεjø tɔksɛ̃,
su lə malə vεstɔ̃ e leleɡɑ̃ kɔʁsaʒə.
lεz- ɑ̃ sə sɔ̃t- ɑ̃fɥi kɔmə etwalə filɑ̃tə,
dɑ̃ lə sjεl aʁʒɑ̃tɛ̃ də la felisite.
dεz- ɔvylə pɔ̃dysz- avεk ʒwa defεʁlɑ̃tə,
avε dɔne lə ʒuʁ a dø ʃaʁmɑ̃ bebe !
lə plys fɛ̃ pinajœʁ səʁε ʁɑ̃tʁe bʁədujə,
dɑ̃ sa kεtə epεʁdɥ dœ̃ pəti ɡʁɛ̃ də sablə !
pa lɔ̃bʁə dœ̃n- jatys, pa la plys fʁεlə ɑ̃bʁujə.
ɑ̃ tʁwa lɛ̃pidə mo : lə ʁεvə ɛ̃kɔ̃səvablə !
il advɛ̃ kœ̃ bo ʒuʁ, sɑ̃z- avwaʁ kʁje « ɡaʁə »,
djø səl kɔnε la kle də sə kyʁjø mistεʁə !
œ̃ delika ʁəlε sə ɡʁipa kεlkə paʁ,
pʁɔvɔkɑ̃ œ̃n- ekla makʁomolekylεʁə…
madamə idɔlatʁε sɔ̃ minu pwalyʃø,
səpɑ̃dɑ̃ kə məsjø divinizε sɔ̃ ʃjɛ̃ !
pø tεtʁə dɑ̃ sə fε, œ̃ dɔktə lɔʒisjɛ̃,
y til vy lə fεʁme dœ̃n- avəniʁ ɔ̃bʁø ?
də pʁimə abɔʁ sə fyʁe kεlkz- ɛ̃vεktivə,
kə lɔ̃ pø kalifje də fɔʁ inɔfɑ̃sivə !
yn « povʁə kɔn » paʁ si, ynə « tʁεneə » paʁ la…
bjɛ̃ mεɡʁəz- ɛ̃ɡʁedjɑ̃ puʁ ɑ̃ fεʁə œ̃ bɔ̃ pla !
pɥi, la pʁatikə εdɑ̃ ynə imaʒinasjɔ̃,
ki ʃakə ʒuʁ ɡaɲε ɑ̃ lydikə ɛ̃vɑ̃sjɔ̃,
lε kɔ̃ʒwɛ̃, deʃεne, paʁ dəɡʁe adɔptεʁe,
œ̃ ʁitmə ʁeɡylje də baʁbaʁə kʁwazjεʁə !
sə fy lɔdjø kɔ̃kuʁ dε sɔʁdidə tʁuvajə,
də məsjø sulaʒɑ̃ sa vesi dɑ̃ la supə,
a madamə eʁiʒɑ̃ ɑ̃ mɔ̃so də feʁajə,
lə fɛ̃ kabʁjɔlε a leleɡɑ̃tə kupə.
sɑ̃blablə fʁenezi dɑ̃ laɡʁesivite,
nə puvε deklɑ̃ʃe kynə fatalə isɥ.
ki fy, a vɔtʁə avi, lə pʁəmje abaty ?
lə maləʁø felɛ̃, tʁavεsti ɑ̃ pate.
lə pwɛ̃ də nɔ̃ ʁətuʁ εjɑ̃ ete fʁɑ̃ʃi,
lε dø sεʁvo fekɔ̃ navε kynə ɔpsesjɔ̃ :
yze də la vjɔlɑ̃sə u də lipɔkʁizi,
puʁ məne lεnəmi ʒyska lεkstʁεmə ɔ̃ksjɔ̃ !
vuz- ave su lεz- iø, kɑ̃didaz- a lynjɔ̃,
lε lɑ̃dəmɛ̃ ʁadjø ki atɑ̃de vo kœʁ.
si mɔ̃ ʁesi nε pa bʁijɑ̃tə disɥazjɔ̃,
dəvəne, sɑ̃ ʁəɡʁε, εkspeʁimɑ̃tatœʁ,
mε nublje ʒamε kə sɑ̃ ʁəlaʃə vεje,
dɑ̃ lamə dy kɔ̃ʒwɛ̃ dɔʁibləz- ɛ̃tɑ̃sjɔ̃.
kə la mefjɑ̃sə œ̃ ʒuʁ ʃe lœ̃ də vu sɔmεjə,
e la mɔʁ fʁapəʁa sɑ̃z- ynə ezitasjɔ̃ !
Syllabes Phonétique : Le Chemin Des Dames
œ=ʁø=za=mɑ̃=dœ̃=ʒuʁ=ki=a=ve=pe=ne=tʁe 12dɑ̃=lə=sε=tjε=mə=sjεl=də=lεk=sta=zə=ab=sɔlɥ 12
ə=ku=te=le=di=fjɑ̃=e=du=lu=ʁø=pɔʁ=tʁε 12
dœ̃=ku=plə=fa=si=nɑ̃=kə=la-ε=nə=pɔlɥ 11
il=se=tε=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=nwaʁ=klɛ̃=dœj=dy=dεs=tɛ̃ 12
paʁ=œ̃=ʒuʁ=də=tɑ̃=pεtə=u=plə=vε=dε=kɔʁ=daʒə 12
la=ʃa=ma=də=ba=tε=œ̃=mεʁ=vε=jø=tɔk=sɛ̃ 12
su=lə=ma=lə=vεs=tɔ̃=e=le=le=ɡɑ̃=kɔʁ=saʒə 12
lε=zɑ̃sə=sɔ̃=tɑ̃f=ɥi=kɔ=mə=e=twa=lə=fi=lɑ̃tə 12
dɑ̃=lə=sjεl=aʁ=ʒɑ̃=tɛ̃=də=la=fe=li=si=te 12
dε=zɔ=vy=lə=pɔ̃=dys=za=vεk=ʒwa=de=fεʁ=lɑ̃tə 12
a=vε=dɔ=ne=lə=ʒuʁ=a=dø=ʃaʁ=mɑ̃=be=be 12
lə=plys=fɛ̃=pi=na=jœʁ=sə=ʁε=ʁɑ̃=tʁe=bʁə=dujə 12
dɑ̃=sa=kε=tə=e=pεʁdɥ=dœ̃=pə=ti=ɡʁɛ̃=də=sablə 12
pa=lɔ̃bʁə=dœ̃=nja=tys=pa=la=plys=fʁε=ləɑ̃=bʁu=jə 12
ɑ̃=tʁwa=lɛ̃=pi=də=molə=ʁε=və=ɛ̃=kɔ̃=sə=vablə 12
il=ad=vɛ̃=kœ̃=bo=ʒuʁ=sɑ̃=za=vwaʁ=kʁje=ɡa=ʁə 12
djø=səl=kɔ=nε=la=kle=də=sə=ky=ʁjø=mis=tεʁə 12
œ̃=de=li=ka=ʁə=lε=sə=ɡʁi=pa=kεl=kə=paʁ 12
pʁɔ=vɔ=kɑ̃=œ̃=ne=kla=ma=kʁo=mo=le=ky=lεʁə 12
ma=damə=i=dɔ=la=tʁε=sɔ̃=mi=nu=pwa=ly=ʃø 12
sə=pɑ̃=dɑ̃=kə=mə=sjø=di=vi=ni=zε=sɔ̃=ʃjɛ̃ 12
pø=tε=tʁə=dɑ̃=sə=fε=œ̃=dɔk=tə=lɔ=ʒi=sjɛ̃ 12
y=til=vy=lə=fεʁ=me=dœ̃=na=və=niʁ=ɔ̃=bʁø 12
də=pʁi=mə=a=bɔʁ=sə=fy=ʁe=kεl=kzɛ̃=vεk=tivə 12
kə=lɔ̃=pø=ka=li=fje=də=fɔʁ=i=nɔ=fɑ̃=sivə 12
yn=povʁə=kɔ=nə=paʁ=si=y=nə=tʁε=ne=ə=paʁ=la 13
bjɛ̃=mεɡʁə=zɛ̃=ɡʁe=djɑ̃=puʁ=ɑ̃=fε=ʁə=œ̃=bɔ̃=pla 12
pɥi=la=pʁa=tikəε=dɑ̃=y=nə=i=ma=ʒi=na=sjɔ̃ 12
ki=ʃakə=ʒuʁ=ɡa=ɲε=ɑ̃=ly=di=kəɛ̃=vɑ̃=s=jɔ̃ 12
lε=kɔ̃=ʒwɛ̃=de=ʃε=ne=paʁdə=ɡʁe=a=dɔp=tε=ʁe 12
œ̃=ʁit=mə=ʁe=ɡy=lje=də=baʁ=ba=ʁə=kʁwa=zjεʁə 12
sə=fy=lɔ=djø=kɔ̃=kuʁ=dε=sɔʁ=di=də=tʁu=vajə 12
də=mə=sjø=su=la=ʒɑ̃=sa=ve=si=dɑ̃=la=supə 12
a=ma=damə=e=ʁi=ʒɑ̃=ɑ̃=mɔ̃=so=də=fe=ʁajə 12
lə=fɛ̃=ka=bʁjɔ=lε=a=le=le=ɡɑ̃=tə=ku=pə 12
sɑ̃=bla=blə=fʁe=ne=zi=dɑ̃=la=ɡʁe=si=vi=te 12
nə=pu=vε=de=klɑ̃=ʃe=ky=nə=fa=ta=lə=isɥ 12
ki=fy=a=vɔtʁə=a=vi=lə=pʁə=mje=a=ba=ty 12
lə=ma=lə=ʁø=fe=lɛ̃=tʁa=vεs=ti=ɑ̃=pa=te 12
lə=pwɛ̃=də=nɔ̃=ʁə=tuʁ=ε=jɑ̃=e=te=fʁɑ̃=ʃi 12
lε=dø=sεʁ=vo=fe=kɔ̃=na=vε=kynəɔp=se=s=jɔ̃ 12
y=ze=də=la=vjɔ=lɑ̃sə=u=də=li=pɔ=kʁi=zi 12
puʁmə=ne=lε=nə=mi=ʒys=ka=lεk=stʁε=məɔ̃k=s=jɔ̃ 12
vu=za=ve=su=lε=ziø=kɑ̃=di=da=za=ly=njɔ̃ 12
lε=lɑ̃=də=mɛ̃=ʁa=djø=ki=a=tɑ̃=de=vo=kœʁ 12
si=mɔ̃=ʁe=si=nε=pa=bʁi=jɑ̃=tə=dis=ɥa=zjɔ̃ 12
də=və=ne=sɑ̃=ʁə=ɡʁε=εk=spe=ʁi=mɑ̃=ta=tœʁ 12
mε=nu=blje=ʒa=mε=kə=sɑ̃=ʁə=la=ʃə=vε=je 12
dɑ̃=la=mə=dy=kɔ̃=ʒwɛ̃=dɔ=ʁi=blə=zɛ̃=tɑ̃=sjɔ̃ 12
kə=la=me=fjɑ̃sə=œ̃=ʒuʁ=ʃe=lœ̃=də=vu=sɔ=mεjə 12
e=la=mɔʁ=fʁapə=ʁa=sɑ̃=zy=nəe=zi=ta=s=jɔ̃ 12
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
11/06/2016 23:33Coburitc
Ah la guerre des roses , impayable Michael Douglas qui ensuite subit les foudres d’une liaison fatale , puis peu après d’un basic instinct .
jean-Pierre
12/06/2016 18:33Gilbertgosseyn
Humour, philosophie et poésie. Excellent !
Poème Couple
Du 11/06/2016 16:37
L'écrit contient 395 mots qui sont répartis dans 13 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.
Forme poétique utilisée
Alexandrin