Poème:L’amour D’un Roi
Le Poème
Quelle grande responsabilité
D’avoir un rôle quasi inné
C’est important de pouvoir gérer
Une aussi grande et belle royauté
L’air fier, mes cheveux blonds attachés
Je suis obligé de me pavaner
Dans la cours de mon château, un jour d’été
Je fais signe à mes sujets bien dressés
Mes vêtements suintent et puent la luxure
Alors que mon peuple, pour une loque, travaille dure
Je croule sous un nombre incalculable de parures
Mélangeant le noir, le rouge et le bleu azur
Tout ce monde qui, dans la cour, se rue
Attend une grande et importante venue
Une princesse, dont la virginité serait pure
Mais, personnellement, belle, vierge ou pas, je n’en ai cure
Dans le monde d’où je viens
On n’est pas libre de son destin
Dans la vie qui m’appartient
Je ne peux être mien
Mes devoirs m’obligent à être bon comédien
Mes rôles m’enchaînent pieds, poings et mains
Et ma famille, royale j’en conviens
Observe avec le peuple, si je respecte bien les mœurs d’un bon souverain
Au milieu de la foule accueillante
Je distingue celle dont l’arrivée ne m’enchante
Avec sa robe blanche, elle était certes craquantes
Mais pourtant, sa venue m’était terrifiante
Elle était suivie de deux servantes
Qui, comparées à ma promise, avaient des mines rebutantes
Sous mes apparats croulant, je maintenais mes jambes tremblantes
Je n’avais vraiment pas envie de voir cette femme envahissante
Mais, et cela pourrait vous surprendre,
Ce n’était pas l’approche de cette femme à prendre
Qui mettait mon cœur à pourfendre
Mais la vue d’un homme surmontant une foule misandre
Je l’ai reconnu s’en m’y méprendre
Son visage d’ange et ses lèvres si tendres
Ses cheveux noirs, et son corps d’élégance, là à attendre
C’est pour lui que mes sentiments se voyaient condescendre
Mon regard se noya dans ses yeux bleus
Avec lui, je savais que j’étais heureux
J’aurais voulu courir me réfugier dans ses bras courageux
Le couvrir de doux baisers langoureux
J’aurais voulu revivre nos moments sulfureux
Où nos souffles se combinaient peu à peu
Où nos corps ondulaient sous nos rythmes généreux
Où la passion prenait le pas sur l’esprit moyenâgeux
Oui, j’aurais bien voulu une dernière fois
Goûter à mon bonheur d’autrefois
J’aurais bien aimé m’enfuir avec toi
Loin des regards vils, cruels et froids
Mais voilà, tu le sais bien, je suis roi
Mon rôle, mon statut et mes devoirs pèsent de tout leur poids
Tout cela me laisse amèrement pantois
Car cet amour pourtant sincère, n’est pas de taille face aux sourires narquois
Alors que ma promise m’étouffe sous son amour
Je suffoque à l’idée d’attendre ton retour
Je n’ai que mes larmes pour mettre à jour
Les mots que jamais je ne pourrai te dire aux alentours
Et je sens ton regard pourtant de velours
Me dire, sans détour, dans un dernier recours
A quel point, tu as aimé l’homme que j’étais sans les artifices qui m’entourent
Et que j’ai aimé l’homme qui s’en allait, le cœur chargé et lourd.
D’avoir un rôle quasi inné
C’est important de pouvoir gérer
Une aussi grande et belle royauté
L’air fier, mes cheveux blonds attachés
Je suis obligé de me pavaner
Dans la cours de mon château, un jour d’été
Je fais signe à mes sujets bien dressés
Mes vêtements suintent et puent la luxure
Alors que mon peuple, pour une loque, travaille dure
Je croule sous un nombre incalculable de parures
Mélangeant le noir, le rouge et le bleu azur
Tout ce monde qui, dans la cour, se rue
Attend une grande et importante venue
Une princesse, dont la virginité serait pure
Mais, personnellement, belle, vierge ou pas, je n’en ai cure
Dans le monde d’où je viens
On n’est pas libre de son destin
Dans la vie qui m’appartient
Je ne peux être mien
Mes devoirs m’obligent à être bon comédien
Mes rôles m’enchaînent pieds, poings et mains
Et ma famille, royale j’en conviens
Observe avec le peuple, si je respecte bien les mœurs d’un bon souverain
Au milieu de la foule accueillante
Je distingue celle dont l’arrivée ne m’enchante
Avec sa robe blanche, elle était certes craquantes
Mais pourtant, sa venue m’était terrifiante
Elle était suivie de deux servantes
Qui, comparées à ma promise, avaient des mines rebutantes
Sous mes apparats croulant, je maintenais mes jambes tremblantes
Je n’avais vraiment pas envie de voir cette femme envahissante
Mais, et cela pourrait vous surprendre,
Ce n’était pas l’approche de cette femme à prendre
Qui mettait mon cœur à pourfendre
Mais la vue d’un homme surmontant une foule misandre
Je l’ai reconnu s’en m’y méprendre
Son visage d’ange et ses lèvres si tendres
Ses cheveux noirs, et son corps d’élégance, là à attendre
C’est pour lui que mes sentiments se voyaient condescendre
Mon regard se noya dans ses yeux bleus
Avec lui, je savais que j’étais heureux
J’aurais voulu courir me réfugier dans ses bras courageux
Le couvrir de doux baisers langoureux
J’aurais voulu revivre nos moments sulfureux
Où nos souffles se combinaient peu à peu
Où nos corps ondulaient sous nos rythmes généreux
Où la passion prenait le pas sur l’esprit moyenâgeux
Oui, j’aurais bien voulu une dernière fois
Goûter à mon bonheur d’autrefois
J’aurais bien aimé m’enfuir avec toi
Loin des regards vils, cruels et froids
Mais voilà, tu le sais bien, je suis roi
Mon rôle, mon statut et mes devoirs pèsent de tout leur poids
Tout cela me laisse amèrement pantois
Car cet amour pourtant sincère, n’est pas de taille face aux sourires narquois
Alors que ma promise m’étouffe sous son amour
Je suffoque à l’idée d’attendre ton retour
Je n’ai que mes larmes pour mettre à jour
Les mots que jamais je ne pourrai te dire aux alentours
Et je sens ton regard pourtant de velours
Me dire, sans détour, dans un dernier recours
A quel point, tu as aimé l’homme que j’étais sans les artifices qui m’entourent
Et que j’ai aimé l’homme qui s’en allait, le cœur chargé et lourd.
PostScriptum
Ce poème est truffé de sous-entendus… Certains plus visible que d’autres…
Poète Faradrim
Faradrim a publié sur le site 38 écrits. Faradrim est membre du site depuis l'année 2009.Lire le profil du poète FaradrimSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: L’amour D’un Roi
quel=le=gran=de=res=pon=sa=bi=li=té 10da=voir=un=rô=le=qua=si=in=né 9
cest=im=por=tant=de=pou=voir=gé=rer 9
u=ne=aus=si=grande=et=bel=le=royau=té 10
lair=fi=er=mes=che=veux=blonds=at=ta=chés 10
je=suis=o=bli=gé=de=me=pa=va=ner 10
dans=la=cours=de=mon=châ=teau=un=jour=dé=té 11
je=fais=signe=à=mes=su=jets=bien=dres=sés 10
mes=vê=te=ments=suin=tent=et=puent=la=luxure 10
a=lors=que=mon=peuple=pour=u=ne=lo=que=tra=vaille=dure 13
je=croule=sous=un=nom=brein=cal=cu=la=ble=de=pa=rures 13
mé=lan=geant=le=noir=le=rougeet=le=bleu=a=zur 11
tout=ce=mon=de=qui=dans=la=cour=se=rue 10
at=tend=une=gran=deet=im=por=tan=te=ve=nue 11
une=prin=ces=se=dont=la=vir=gi=ni=té=se=rait=pure 13
mais=per=son=nel=le=ment=bel=le=viergeou=pas=je=nen=ai=cure 14
dans=le=mon=de=doù=je=viens 7
on=nest=pas=li=bre=de=son=des=tin 9
dans=la=vie=qui=map=par=tient 7
je=ne=peux=ê=tre=mien 6
mes=de=voirs=mo=bligent=à=ê=tre=bon=co=mé=dien 12
mes=rô=les=men=chaî=nent=pieds=poings=et=mains 10
et=ma=fa=mil=le=roya=le=jen=con=viens 10
ob=servea=vec=le=peu=ple=si=je=res=pec=te=bien=les=mœurs=dun=bon=sou=ve=rain 19
au=mi=lieu=de=la=fou=le=ac=cueillan=te 10
je=dis=tin=gue=cel=le=dont=lar=ri=vée=ne=men=chante 13
a=vec=sa=robe=blan=che=el=leé=tait=cer=tes=cra=quantes 13
mais=pour=tant=sa=ve=nue=mé=tait=ter=ri=fiante 11
el=le=é=tait=sui=vie=de=deux=ser=vantes 10
qui=com=pa=rées=à=ma=pro=mise=a=vaient=des=mi=nes=re=bu=tantes 16
sous=mes=ap=pa=rats=crou=lant=je=mainte=nais=mes=jam=bes=trem=blantes 15
je=na=vais=vraiment=pas=en=vie=de=voir=cet=te=fem=meen=va=his=sante 16
mais=et=ce=la=pour=rait=vous=sur=pren=dre 10
ce=né=tait=pas=lap=proche=de=cet=te=fem=meà=prendre 12
qui=met=tait=mon=cœur=à=pour=fen=dre 9
mais=la=vue=dun=homme=sur=mon=tant=u=ne=fou=le=mi=sandre 14
je=lai=re=con=nu=sen=my=mé=pren=dre 10
son=vi=sage=dan=geet=ses=lè=vres=si=tendres 10
ses=che=veux=noirs=et=son=corps=dé=lé=gance=là=à=at=tendre 14
cest=pour=lui=que=mes=sen=timents=se=vo=yaient=con=des=cendre 13
mon=re=gard=se=noya=dans=ses=y=eux=bleus 10
a=vec=lui=je=sa=vais=que=jé=tais=heu=reux 11
jau=rais=vou=lu=cou=rir=me=ré=fu=gier=dans=ses=bras=cou=ra=geux 16
le=cou=vrir=de=doux=bai=sers=lan=gou=reux 10
jau=rais=vou=lu=re=vivre=nos=moments=sul=fu=reux 11
où=nos=souf=fles=se=com=bi=naient=peu=à=peu 11
où=nos=corps=on=du=laient=sous=nos=ryth=mes=gé=né=reux 13
où=la=pas=sion=pre=nait=le=pas=sur=les=prit=moyen=âgeux 13
oui=jau=rais=bien=vou=lu=une=der=niè=re=fois 11
goû=ter=à=mon=bon=heur=dau=tre=fois 9
jau=rais=bien=ai=mé=men=fu=ir=a=vec=toi 11
loin=des=re=gards=vils=cruels=et=froids 8
mais=voi=là=tu=le=sais=bien=je=suis=roi 10
mon=rôle=mon=sta=tut=et=mes=de=voirs=pè=sent=de=tout=leur=poids 15
tout=ce=la=me=laissea=mè=re=ment=pan=tois 10
car=cet=a=mour=pour=tant=sin=cère=nest=pas=de=taille=fa=ceaux=sou=ri=res=nar=quois 19
a=lors=que=ma=pro=mise=mé=touf=fe=sous=son=a=mour 13
je=suf=fo=queà=li=dée=dat=tendre=ton=re=tour 11
je=nai=que=mes=lar=mes=pour=mettre=à=jour 10
les=mots=que=ja=mais=je=ne=pour=rai=te=direaux=a=len=tours 14
et=je=sens=ton=re=gard=pour=tant=de=ve=lours 11
me=dire=sans=dé=tour=dans=un=der=nier=re=cours 11
a=quel=point=tu=as=ai=mé=lhomme=que=jé=tais=sans=les=ar=ti=fi=ces=qui=men=tourent 20
et=que=jai=ai=mé=lhomme=qui=sen=al=lait=le=cœur=char=gé=et=lourd 16
Phonétique : L’amour D’un Roi
kεllə ɡʁɑ̃də ʁεspɔ̃sabilitedavwaʁ œ̃ ʁolə kazi ine
sεt- ɛ̃pɔʁtɑ̃ də puvwaʁ ʒeʁe
ynə osi ɡʁɑ̃də e bεllə ʁwajote
lεʁ fje, mε ʃəvø blɔ̃z- ataʃe
ʒə sɥiz- ɔbliʒe də mə pavane
dɑ̃ la kuʁ də mɔ̃ ʃato, œ̃ ʒuʁ dete
ʒə fε siɲə a mε syʒε bjɛ̃ dʁese
mε vεtəmɑ̃ sɥɛ̃te e pɥe la lyksyʁə
alɔʁ kə mɔ̃ pəplə, puʁ ynə lɔkə, tʁavajə dyʁə
ʒə kʁulə suz- œ̃ nɔ̃bʁə ɛ̃kalkylablə də paʁyʁə
melɑ̃ʒɑ̃ lə nwaʁ, lə ʁuʒə e lə blø azyʁ
tu sə mɔ̃də ki, dɑ̃ la kuʁ, sə ʁy
atɑ̃t- ynə ɡʁɑ̃də e ɛ̃pɔʁtɑ̃tə vənɥ
ynə pʁɛ̃sεsə, dɔ̃ la viʁʒinite səʁε pyʁə
mε, pεʁsɔnεllmɑ̃, bεllə, vjεʁʒə u pa, ʒə nɑ̃n- ε kyʁə
dɑ̃ lə mɔ̃də du ʒə vjɛ̃
ɔ̃ nε pa libʁə də sɔ̃ dεstɛ̃
dɑ̃ la vi ki mapaʁtjɛ̃
ʒə nə pøz- εtʁə mjɛ̃
mε dəvwaʁ mɔbliʒe a εtʁə bɔ̃ kɔmedjɛ̃
mε ʁolə mɑ̃ʃεne pje, puiŋz- e mɛ̃
e ma famijə, ʁwajalə ʒɑ̃ kɔ̃vjɛ̃
ɔpsεʁvə avεk lə pəplə, si ʒə ʁεspεktə bjɛ̃ lε mœʁ dœ̃ bɔ̃ suvəʁɛ̃
o miljø də la fulə akœjɑ̃tə
ʒə distɛ̃ɡ sεllə dɔ̃ laʁive nə mɑ̃ʃɑ̃tə
avεk sa ʁɔbə blɑ̃ʃə, εllə etε sεʁtə- kʁakɑ̃tə
mε puʁtɑ̃, sa vənɥ metε teʁifjɑ̃tə
εllə etε sɥivi də dø sεʁvɑ̃tə
ki, kɔ̃paʁez- a ma pʁɔmizə, avε dε minə ʁəbytɑ̃tə
su mεz- apaʁa kʁulɑ̃, ʒə mɛ̃tənε mε ʒɑ̃bə tʁɑ̃blɑ̃tə
ʒə navε vʁεmɑ̃ pa ɑ̃vi də vwaʁ sεtə famə ɑ̃vaisɑ̃tə
mε, e səla puʁʁε vu syʁpʁɑ̃dʁə,
sə netε pa lapʁoʃə də sεtə famə a pʁɑ̃dʁə
ki mεtε mɔ̃ kœʁ a puʁfɑ̃dʁə
mε la vɥ dœ̃n- ɔmə syʁmɔ̃tɑ̃ ynə fulə mizɑ̃dʁə
ʒə lε ʁəkɔny sɑ̃ mi mepʁɑ̃dʁə
sɔ̃ vizaʒə dɑ̃ʒə e sε lεvʁə- si tɑ̃dʁə
sε ʃəvø nwaʁ, e sɔ̃ kɔʁ deleɡɑ̃sə, la a atɑ̃dʁə
sε puʁ lɥi kə mε sɑ̃timɑ̃ sə vwajε kɔ̃desɑ̃dʁə
mɔ̃ ʁəɡaʁ sə nwaja dɑ̃ sεz- iø bløs
avεk lɥi, ʒə savε kə ʒetεz- œʁø
ʒoʁε vuly kuʁiʁ mə ʁefyʒje dɑ̃ sε bʁa kuʁaʒø
lə kuvʁiʁ də du bεze lɑ̃ɡuʁø
ʒoʁε vuly ʁəvivʁə no mɔmɑ̃ sylfyʁø
u no suflə sə kɔ̃binε pø a pø
u no kɔʁz- ɔ̃dylε su no ʁitmə ʒeneʁø
u la pasjɔ̃ pʁənε lə pa syʁ lεspʁi mwajənaʒø
ui, ʒoʁε bjɛ̃ vuly ynə dεʁnjεʁə fwa
ɡute a mɔ̃ bɔnœʁ dotʁəfwa
ʒoʁε bjɛ̃ εme mɑ̃fɥiʁ avεk twa
lwɛ̃ dε ʁəɡaʁd vil, kʁyεlz- e fʁwa
mε vwala, ty lə sε bjɛ̃, ʒə sɥi ʁwa
mɔ̃ ʁolə, mɔ̃ staty e mε dəvwaʁ pεze də tu lœʁ pwa
tu səla mə lεsə amεʁəmɑ̃ pɑ̃twa
kaʁ sεt amuʁ puʁtɑ̃ sɛ̃sεʁə, nε pa də tajə fasə o suʁiʁə naʁkwa
alɔʁ kə ma pʁɔmizə metufə su sɔ̃n- amuʁ
ʒə syfɔkə a lide datɑ̃dʁə tɔ̃ ʁətuʁ
ʒə nε kə mε laʁmə- puʁ mεtʁə a ʒuʁ
lε mo kə ʒamε ʒə nə puʁʁε tə diʁə oz- alɑ̃tuʁ
e ʒə sɑ̃s tɔ̃ ʁəɡaʁ puʁtɑ̃ də vəluʁ
mə diʁə, sɑ̃ detuʁ, dɑ̃z- œ̃ dεʁnje ʁəkuʁ
a kεl pwɛ̃, ty a εme lɔmə kə ʒetε sɑ̃ lεz- aʁtifisə ki mɑ̃tuʁe
e kə ʒε εme lɔmə ki sɑ̃n- alε, lə kœʁ ʃaʁʒe e luʁ.
Syllabes Phonétique : L’amour D’un Roi
kεl=lə=ɡʁɑ̃=də=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te 10da=vwaʁ=œ̃=ʁo=lə=ka=zi=i=ne 9
sε=tɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=də=pu=vwaʁ=ʒe=ʁe 9
ynə=o=si=ɡʁɑ̃=də=e=bεllə=ʁwa=jo=te 10
lεʁ=fj=e=mε=ʃə=vø=blɔ̃=za=ta=ʃe 10
ʒə=sɥi=zɔ=bli=ʒe=də=mə=pa=va=ne 10
dɑ̃=la=kuʁdə=mɔ̃=ʃa=to=œ̃=ʒuʁ=de=te 10
ʒə=fε=siɲə=a=mε=sy=ʒε=bjɛ̃=dʁe=se 10
mε=vεtə=mɑ̃=sɥɛ̃=te=e=pɥe=la=lyk=syʁə 10
a=lɔʁkə=mɔ̃=pə=plə=puʁ=y=nə=lɔ=kə=tʁa=vajə=dyʁə 13
ʒə=kʁulə=su=zœ̃=nɔ̃=bʁəɛ̃=kal=ky=la=blə=də=pa=ʁyʁə 13
me=lɑ̃=ʒɑ̃lə=nwaʁ=lə=ʁu=ʒəe=lə=blø=a=zyʁ 11
tu=sə=mɔ̃=də=ki=dɑ̃=la=kuʁ=sə=ʁy 10
a=tɑ̃=tynə=ɡʁɑ̃=dəe=ɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=tə=vənɥ 10
ynə=pʁɛ̃=sε=sə=dɔ̃=la=viʁ=ʒi=ni=te=sə=ʁεpyʁə 12
mε=pεʁ=sɔ=nεl=lmɑ̃=bεl=lə=vjεʁʒəu=pa=ʒə=nɑ̃=nε=kyʁə 13
dɑ̃=lə=mɔ̃=də=du=ʒə=vj=ɛ̃ 8
ɔ̃=nε=pa=li=bʁə=də=sɔ̃=dεs=tɛ̃ 9
dɑ̃=la=vi=ki=ma=paʁ=tj=ɛ̃ 8
ʒə=nə=pø=zε=tʁə=mj=ɛ̃ 7
mεdə=vwaʁ=mɔ=bli=ʒe=a=ε=tʁə=bɔ̃=kɔ=me=djɛ̃ 12
mε=ʁolə=mɑ̃=ʃε=ne=pje=pu=iŋ=ze=mɛ̃ 10
e=ma=fa=mijə=ʁwa=ja=lə=ʒɑ̃=kɔ̃=vjɛ̃ 10
ɔp=sεʁvəa=vεk=lə=pə=plə=si=ʒə=ʁεs=pεk=tə=bjɛ̃=lε=mœʁ=dœ̃=bɔ̃=su=və=ʁɛ̃ 19
o=mi=ljø=də=la=fu=lə=a=kœjɑ̃=tə 10
ʒə=dis=tɛ̃ɡ=sεllə=dɔ̃=la=ʁi=ve=nə=mɑ̃ʃɑ̃tə 10
a=vεk=sa=ʁɔbə=blɑ̃=ʃə=εl=ləe=tε=sεʁ=tə=kʁa=kɑ̃tə 13
mε=puʁ=tɑ̃=sa=vənɥ=me=tε=te=ʁi=fjɑ̃tə 10
εl=lə=e=tε=sɥi=vi=də=dø=sεʁ=vɑ̃tə 10
ki=kɔ̃=pa=ʁe=za=ma=pʁɔ=mizə=a=vε=dε=mi=nə=ʁə=by=tɑ̃tə 16
su=mε=za=pa=ʁa=kʁu=lɑ̃=ʒə=mɛ̃tə=nε=mε=ʒɑ̃=bə=tʁɑ̃=blɑ̃tə 15
ʒə=na=vε=vʁε=mɑ̃=pa=ɑ̃=vidə=vwaʁ=sε=tə=fa=məɑ̃=va=i=sɑ̃tə 16
mε=e=sə=la=puʁ=ʁε=vu=syʁ=pʁɑ̃=dʁə 10
sə=ne=tε=pa=la=pʁoʃə=də=sε=tə=fa=məapʁɑ̃dʁə 11
ki=mε=tε=mɔ̃=kœ=ʁə=a=puʁ=fɑ̃=dʁə 10
mε=la=vɥ=dœ̃=nɔmə=syʁ=mɔ̃=tɑ̃=y=nə=fu=lə=mi=zɑ̃dʁə 14
ʒə=lε=ʁə=kɔ=ny=sɑ̃=mi=me=pʁɑ̃=dʁə 10
sɔ̃=vi=zaʒə=dɑ̃=ʒə=e=sε=lε=vʁə=sitɑ̃dʁə 10
sεʃə=vø=nwaʁ=e=sɔ̃=kɔʁ=de=le=ɡɑ̃=sə=la=a=a=tɑ̃dʁə 14
sε=puʁ=lɥikə=mε=sɑ̃=ti=mɑ̃=sə=vwa=jε=kɔ̃=de=sɑ̃dʁə 13
mɔ̃ʁə=ɡaʁ=sə=nwa=ja=dɑ̃=sε=zi=ø=bløs 10
a=vεk=lɥi=ʒə=sa=vεkə=ʒe=tε=zœ=ʁø 10
ʒo=ʁε=vu=ly=ku=ʁiʁ=mə=ʁe=fy=ʒje=dɑ̃=sε=bʁa=ku=ʁa=ʒø 16
lə=ku=vʁiʁ=də=du=bε=ze=lɑ̃=ɡu=ʁø 10
ʒo=ʁε=vu=lyʁə=vivʁə=no=mɔ=mɑ̃=syl=fy=ʁø 11
u=no=suflə=sə=kɔ̃=bi=nε=pø=a=pø 10
u=no=kɔʁ=zɔ̃=dy=lε=su=no=ʁit=mə=ʒe=ne=ʁø 13
u=la=pa=sjɔ̃pʁə=nε=lə=pa=syʁ=lεs=pʁi=mwajə=na=ʒø 13
ui=ʒo=ʁε=bjɛ̃=vu=ly=ynə=dεʁ=njε=ʁə=fwa 11
ɡu=te=a=mɔ̃=bɔ=nœ=ʁə=do=tʁə=fwa 10
ʒo=ʁε=bjɛ̃=ε=me=mɑ̃f=ɥiʁ=a=vεk=twa 10
lwɛ̃=dε=ʁə=ɡaʁd=vil=kʁy=εl=ze=fʁwa 9
mε=vwa=la=ty=lə=sε=bjɛ̃=ʒə=sɥi=ʁwa 10
mɔ̃=ʁolə=mɔ̃=sta=ty=e=mε=də=vwaʁ=pε=ze=də=tu=lœʁ=pwa 15
tusə=la=mə=lε=səa=mε=ʁə=mɑ̃=pɑ̃=twa 10
kaʁ=sεt=a=muʁ=puʁ=tɑ̃=sɛ̃=sεʁə=nε=pa=də=tajə=fa=səo=su=ʁi=ʁə=naʁ=kwa 19
a=lɔʁkə=ma=pʁɔ=mi=zə=me=tu=fə=su=sɔ̃=na=muʁ 13
ʒə=sy=fɔkəa=li=de=da=tɑ̃=dʁə=tɔ̃=ʁə=tuʁ 11
ʒə=nε=kə=mε=laʁmə=puʁ=mε=tʁə=a=ʒuʁ 10
lε=mokə=ʒa=mε=ʒə=nə=puʁ=ʁε=tə=di=ʁəo=za=lɑ̃=tuʁ 14
e=ʒə=sɑ̃s=tɔ̃ʁə=ɡaʁ=puʁ=tɑ̃=də=və=luʁ 10
mə=diʁə=sɑ̃=de=tuʁ=dɑ̃=zœ̃=dεʁ=njeʁə=kuʁ 10
a=kεl=pwɛ̃=ty=a=ε=me=lɔmə=kə=ʒe=tε=sɑ̃=lε=zaʁ=ti=fi=sə=ki=mɑ̃=tu=ʁe 21
e=kə=ʒε=ε=me=lɔmə=ki=sɑ̃=na=lε=lə=kœʁ=ʃaʁ=ʒe=e=luʁ 16
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
09/06/2014 09:04Coburitc
Un début presque Révolutionnaire, le Roi et ses parures, un peuple en loques, puis un amour arrangé qui devient passion ; étonnant.
Amitié
Jean-Pierre
11/06/2014 14:54La Mouche
respect ! J’adore, c’est très bien écrit, imaginé et très émouvant...
Bravo !
Poème Amour-Amitié
Du 08/06/2014 20:04
L'écrit contient 541 mots qui sont répartis dans 16 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.