Prose:Pourquoi Hantes-Tu Mes Rêves ?
La Prose
Trop souvent, tel un coup de foudre
Qui fend le ciel en miettes morceaux ;
Oui, tellement de fois,
Telle une nuit qui a soif d’insomnie,
Et qui a peur d’affronter les fantasmes du sommeil,
Tu fais irruption au beau milieu de mes rêves,
Comme ces randonnées à travers le temps
Par tes somptueuses propriétés,
Hantées par le passé qu’elles ne peuvent dépasser.
Et tu continues ton errance au centre de ma pensée
Quand mon cœur ton absence ne peut plus supporter.
Pourquoi t’en es-tu allée ?
Pourquoi nous sommes-nous quittés
Si aux basques de nos envies
Nos rêves y sont restés attacher ?
Quelle surprise ce serait pour nos détracteurs
S’ils apprendraient qu’encore on est reste uni par le cœur
Et que nos désirs de nous revoir à nouveau ensemble,
Ensemble nous les chantons en silence et en chœur.
Vêtue de ton charme et de tout ta nudité,
Tu ne cesses de d’explorer le sanctuaire de mon cœur
Comme ton lieu de prédilection d’apparition
Le cœur dans la main tel une fois de plus
Le renouvellement de son offrande à ma personne.
Notre histoire oh combien nostalgique,
On n’arrête pas de la revivre dans le silence de notre âme,
Qui désormais choisit de la garder intacte,
Empêtrée dans un passé sans continuité,
En vue de la rupture continuelle avec un présent
Qui s’affirme mais ne s’assume,
Et sans relâche s’adonne à la parade
En striptease nue sous l’innocence de mes yeux.
Pourquoi foules-tu mes rêves à petits pas de chat
Par la langueur du marronage au travers des nuits
Voraces, pleines d’appétit du délice de l’obscurité ?
Pourquoi te loges-tu au fond de ma conscience,
Comme par la science infuse de ton arrière-cour ?
Faisant de mes pensées ton domaine privé
Et le bien le plus précieux qui t’a été par les Dieux légué !
Dans les parvis du trône de mon cœur
Tu t’y promènes dans tous les coins et recoins,
Dans toutes les trouées d’obscurité
En toute sécurité, hors de regards instruis,
La où personne ne peut entrer ni te voir.
Toujours, tu y procèdes à ton entrée triomphale,
Comme le couronnement du Christ le dimanche des rameaux
Sans compte à rendre aux bourreaux
Si ce n’est que dans la nuit du jeudi au vendredi saint !
Pourquoi entres-tu quand bon te semble dans mes rêves ?
Pourquoi continues-tu à hanter mes rêves ?
Est-ce pour me prouver qu’on était notre meilleur choix,
Celui qui nous a fait jusqu’au calvaire de la séparation
Porter sans voix sur la vois notre croix ?
Est-ce pour me prouver encore une fois ton amour
Perdu dans le labyrinthe de tes émotions et ressentiments ?
Ou est-ce pour me faire prendre conscience
Que notre amour s’est converti en un fantôme errant
Et mon cœur, le lieu de prédilection pour son apparition
Malgré les sentiers abrupts pour y parvenir
Quand nos désirs perdent leur auréole.
Est-ce également pour toi, dans sa subconscience,
La meilleure façon de faire preuve inconsciemment
D’une invasion de nostalgie de l’étendue de mon cœur
Dans la mitraille de mes entrailles
Depuis que tu t’es décidée loin de moi de t’en aller,
Sans préavis ni de moi aucun avis ?
Hélas, se quitter, c’est comme décider
Un beau matin de voyager,
Sans direction ni destination,
Mais avec au cœur la certitude,
L’espoir du retour au lieu d’origine,
Ne serait-ce de manière clandestine,
Même dans le silence de son âme,
Et le secret de sa conscience.
Qui fend le ciel en miettes morceaux ;
Oui, tellement de fois,
Telle une nuit qui a soif d’insomnie,
Et qui a peur d’affronter les fantasmes du sommeil,
Tu fais irruption au beau milieu de mes rêves,
Comme ces randonnées à travers le temps
Par tes somptueuses propriétés,
Hantées par le passé qu’elles ne peuvent dépasser.
Et tu continues ton errance au centre de ma pensée
Quand mon cœur ton absence ne peut plus supporter.
Pourquoi t’en es-tu allée ?
Pourquoi nous sommes-nous quittés
Si aux basques de nos envies
Nos rêves y sont restés attacher ?
Quelle surprise ce serait pour nos détracteurs
S’ils apprendraient qu’encore on est reste uni par le cœur
Et que nos désirs de nous revoir à nouveau ensemble,
Ensemble nous les chantons en silence et en chœur.
Vêtue de ton charme et de tout ta nudité,
Tu ne cesses de d’explorer le sanctuaire de mon cœur
Comme ton lieu de prédilection d’apparition
Le cœur dans la main tel une fois de plus
Le renouvellement de son offrande à ma personne.
Notre histoire oh combien nostalgique,
On n’arrête pas de la revivre dans le silence de notre âme,
Qui désormais choisit de la garder intacte,
Empêtrée dans un passé sans continuité,
En vue de la rupture continuelle avec un présent
Qui s’affirme mais ne s’assume,
Et sans relâche s’adonne à la parade
En striptease nue sous l’innocence de mes yeux.
Pourquoi foules-tu mes rêves à petits pas de chat
Par la langueur du marronage au travers des nuits
Voraces, pleines d’appétit du délice de l’obscurité ?
Pourquoi te loges-tu au fond de ma conscience,
Comme par la science infuse de ton arrière-cour ?
Faisant de mes pensées ton domaine privé
Et le bien le plus précieux qui t’a été par les Dieux légué !
Dans les parvis du trône de mon cœur
Tu t’y promènes dans tous les coins et recoins,
Dans toutes les trouées d’obscurité
En toute sécurité, hors de regards instruis,
La où personne ne peut entrer ni te voir.
Toujours, tu y procèdes à ton entrée triomphale,
Comme le couronnement du Christ le dimanche des rameaux
Sans compte à rendre aux bourreaux
Si ce n’est que dans la nuit du jeudi au vendredi saint !
Pourquoi entres-tu quand bon te semble dans mes rêves ?
Pourquoi continues-tu à hanter mes rêves ?
Est-ce pour me prouver qu’on était notre meilleur choix,
Celui qui nous a fait jusqu’au calvaire de la séparation
Porter sans voix sur la vois notre croix ?
Est-ce pour me prouver encore une fois ton amour
Perdu dans le labyrinthe de tes émotions et ressentiments ?
Ou est-ce pour me faire prendre conscience
Que notre amour s’est converti en un fantôme errant
Et mon cœur, le lieu de prédilection pour son apparition
Malgré les sentiers abrupts pour y parvenir
Quand nos désirs perdent leur auréole.
Est-ce également pour toi, dans sa subconscience,
La meilleure façon de faire preuve inconsciemment
D’une invasion de nostalgie de l’étendue de mon cœur
Dans la mitraille de mes entrailles
Depuis que tu t’es décidée loin de moi de t’en aller,
Sans préavis ni de moi aucun avis ?
Hélas, se quitter, c’est comme décider
Un beau matin de voyager,
Sans direction ni destination,
Mais avec au cœur la certitude,
L’espoir du retour au lieu d’origine,
Ne serait-ce de manière clandestine,
Même dans le silence de son âme,
Et le secret de sa conscience.
Poète Camilingue@Yahoo.ca
Camilingue@Yahoo.ca a publié sur le site 344 écrits. Camilingue@Yahoo.ca est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète Camilingue@Yahoo.caSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Pourquoi Hantes-Tu Mes Rêves ?
trop=sou=vent=tel=un=coup=de=fou=dre 9qui=fend=le=ciel=en=miet=tes=mor=ceaux 9
oui=tel=le=ment=de=fois 6
tel=le=u=ne=nuit=qui=a=soif=din=som=nie 11
et=qui=a=peur=daf=fron=ter=les=fan=tas=mes=du=som=meil 14
tu=fais=ir=rup=ti=on=au=beau=mi=lieu=de=mes=rê=ves 14
com=me=ces=ran=don=nées=à=tra=vers=le=temps 11
par=tes=somp=tu=eu=ses=pro=pri=é=tés 10
han=tées=par=le=pas=sé=quel=les=ne=peu=vent=dé=pas=ser 14
et=tu=con=ti=nues=ton=er=ranceau=cen=tre=de=ma=pen=sée 14
quand=mon=cœur=ton=ab=sen=ce=ne=peut=plus=sup=por=ter 13
pour=quoi=ten=es=tu=al=lée 7
pour=quoi=nous=som=mes=nous=quit=tés 8
si=aux=bas=ques=de=nos=en=vies 8
nos=rê=ves=y=sont=res=tés=at=ta=cher 10
quel=le=sur=pri=se=ce=se=rait=pour=nos=dé=trac=teurs 13
sils=ap=pren=draient=quen=coreon=est=res=te=u=ni=par=le=cœur 14
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que=notrea=mour=sest=con=ver=ti=en=un=fan=tô=me=er=rant 14
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est=ce=é=ga=le=ment=pour=toi=dans=sa=sub=cons=cien=ce 14
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dunein=va=sion=de=nos=tal=gie=de=lé=ten=due=de=mon=cœur 14
dans=la=mi=trail=le=de=mes=en=trail=les 10
de=puis=que=tu=tes=dé=ci=dée=loin=de=moi=de=ten=al=ler 15
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hé=las=se=quit=ter=cest=com=me=dé=ci=der 11
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Phonétique : Pourquoi Hantes-Tu Mes Rêves ?
tʁo suvɑ̃, tεl œ̃ ku də fudʁəki fɑ̃ lə sjεl ɑ̃ mjεtə mɔʁso,
ui, tεllmɑ̃ də fwa,
tεllə ynə nɥi ki a swaf dɛ̃sɔmni,
e ki a pœʁ dafʁɔ̃te lε fɑ̃tasmə dy sɔmεj,
ty fεz- iʁypsjɔ̃ o bo miljø də mε ʁεvə,
kɔmə sε ʁɑ̃dɔnez- a tʁavεʁ lə tɑ̃
paʁ tε sɔ̃ptɥøzə pʁɔpʁjete,
ɑ̃te paʁ lə pase kεllə nə pəve depase.
e ty kɔ̃tinɥ tɔ̃n- eʁɑ̃sə o sɑ̃tʁə də ma pɑ̃se
kɑ̃ mɔ̃ kœʁ tɔ̃n- absɑ̃sə nə pø plys sypɔʁte.
puʁkwa tɑ̃n- ε ty ale ?
puʁkwa nu sɔmə nu kite
si o bask də noz- ɑ̃vi
no ʁεvəz- i sɔ̃ ʁεstez- ataʃe ?
kεllə syʁpʁizə sə səʁε puʁ no detʁaktœʁ
silz- apʁɑ̃dʁε kɑ̃kɔʁə ɔ̃n- ε ʁεstə yni paʁ lə kœʁ
e kə no deziʁ də nu ʁəvwaʁ a nuvo ɑ̃sɑ̃blə,
ɑ̃sɑ̃blə nu lε ʃɑ̃tɔ̃z- ɑ̃ silɑ̃sə e ɑ̃ ʃœʁ.
vεtɥ də tɔ̃ ʃaʁmə e də tu ta nydite,
ty nə sesə də dεksplɔʁe lə sɑ̃ktɥεʁə də mɔ̃ kœʁ
kɔmə tɔ̃ ljø də pʁedilεksjɔ̃ dapaʁisjɔ̃
lə kœʁ dɑ̃ la mɛ̃ tεl ynə fwa də plys
lə ʁənuvεllmɑ̃ də sɔ̃n- ɔfʁɑ̃də a ma pεʁsɔnə.
nɔtʁə istwaʁə ɔ kɔ̃bjɛ̃ nɔstalʒikə,
ɔ̃ naʁεtə pa də la ʁəvivʁə dɑ̃ lə silɑ̃sə də nɔtʁə amə,
ki dezɔʁmε ʃwazi də la ɡaʁde ɛ̃taktə,
ɑ̃pεtʁe dɑ̃z- œ̃ pase sɑ̃ kɔ̃tinɥite,
ɑ̃ vɥ də la ʁyptyʁə kɔ̃tinɥεllə avεk œ̃ pʁezɑ̃
ki safiʁmə mε nə sasymə,
e sɑ̃ ʁəlaʃə sadɔnə a la paʁadə
ɑ̃ stʁiptəazə nɥ su linɔsɑ̃sə də mεz- iø.
puʁkwa fulə ty mε ʁεvəz- a pəti pa də ʃa
paʁ la lɑ̃ɡœʁ dy maʁɔnaʒə o tʁavεʁ dε nɥi
vɔʁasə, plεnə dapeti dy delisə də lɔpskyʁite ?
puʁkwa tə lɔʒə ty o fɔ̃ də ma kɔ̃sjɑ̃sə,
kɔmə paʁ la sjɑ̃sə ɛ̃fyzə də tɔ̃n- aʁjεʁə kuʁ ?
fəzɑ̃ də mε pɑ̃se tɔ̃ dɔmεnə pʁive
e lə bjɛ̃ lə plys pʁesjø ki ta ete paʁ lε djø leɡe !
dɑ̃ lε paʁvi dy tʁonə də mɔ̃ kœʁ
ty ti pʁɔmεnə dɑ̃ tus lε kwɛ̃z- e ʁəkwɛ̃,
dɑ̃ tutə lε tʁue dɔpskyʁite
ɑ̃ tutə sekyʁite, ɔʁ də ʁəɡaʁdz- ɛ̃stʁɥi,
la u pεʁsɔnə nə pø ɑ̃tʁe ni tə vwaʁ.
tuʒuʁ, ty i pʁɔsεdəz- a tɔ̃n- ɑ̃tʁe tʁjɔ̃falə,
kɔmə lə kuʁɔnəmɑ̃ dy kʁist lə dimɑ̃ʃə dε ʁamo
sɑ̃ kɔ̃tə a ʁɑ̃dʁə o buʁʁo
si sə nε kə dɑ̃ la nɥi dy ʒødi o vɑ̃dʁədi sɛ̃ !
puʁkwa ɑ̃tʁə- ty kɑ̃ bɔ̃ tə sɑ̃blə dɑ̃ mε ʁεvə ?
puʁkwa kɔ̃tinɥ ty a-ɑ̃te mε ʁεvə ?
ε sə puʁ mə pʁuve kɔ̃n- etε nɔtʁə mεjœʁ ʃwa,
səlɥi ki nuz- a fε ʒysko kalvεʁə də la sepaʁasjɔ̃
pɔʁte sɑ̃ vwa syʁ la vwa nɔtʁə kʁwa ?
ε sə puʁ mə pʁuve ɑ̃kɔʁə ynə fwa tɔ̃n- amuʁ
pεʁdy dɑ̃ lə labiʁɛ̃tə də tεz- emɔsjɔ̃z- e ʁəsɑ̃timɑ̃ ?
u ε sə puʁ mə fεʁə pʁɑ̃dʁə kɔ̃sjɑ̃sə
kə nɔtʁə amuʁ sε kɔ̃vεʁti ɑ̃n- œ̃ fɑ̃tomə eʁɑ̃
e mɔ̃ kœʁ, lə ljø də pʁedilεksjɔ̃ puʁ sɔ̃n- apaʁisjɔ̃
malɡʁe lε sɑ̃tjez- abʁypt puʁ i paʁvəniʁ
kɑ̃ no deziʁ pεʁde lœʁ oʁeɔlə.
ε sə eɡaləmɑ̃ puʁ twa, dɑ̃ sa sybkɔ̃sjɑ̃sə,
la mεjəʁə fasɔ̃ də fεʁə pʁəvə ɛ̃kɔ̃sjamɑ̃
dynə ɛ̃vazjɔ̃ də nɔstalʒi də letɑ̃dɥ də mɔ̃ kœʁ
dɑ̃ la mitʁajə də mεz- ɑ̃tʁajə
dəpɥi kə ty tε deside lwɛ̃ də mwa də tɑ̃n- ale,
sɑ̃ pʁeavi ni də mwa okœ̃ avi ?
ela, sə kite, sε kɔmə deside
œ̃ bo matɛ̃ də vwajaʒe,
sɑ̃ diʁεksjɔ̃ ni dεstinasjɔ̃,
mεz- avεk o kœʁ la sεʁtitydə,
lεspwaʁ dy ʁətuʁ o ljø dɔʁiʒinə,
nə səʁε sə də manjεʁə klɑ̃dεstinə,
mεmə dɑ̃ lə silɑ̃sə də sɔ̃n- amə,
e lə sεkʁε də sa kɔ̃sjɑ̃sə.
Syllabes Phonétique : Pourquoi Hantes-Tu Mes Rêves ?
tʁo=su=vɑ̃=tεl=œ̃=ku=də=fu=dʁə 9ki=fɑ̃=lə=sjεl=ɑ̃=mj=ε=tə=mɔʁ=so 10
u=i=tεl=lmɑ̃=də=fwa 6
tεl=lə=y=nə=nɥi=ki=a=swaf=dɛ̃=sɔm=ni 11
e=ki=a=pœʁ=da=fʁɔ̃=te=lε=fɑ̃=tas=mə=dy=sɔ=mεj 14
ty=fε=zi=ʁyp=sjɔ̃=o=bo=mi=ljø=də=mε=ʁεvə 12
kɔ=mə=sε=ʁɑ̃=dɔ=ne=za=tʁa=vεʁ=lə=tɑ̃ 11
paʁ=tε=sɔ̃p=tɥ=ø=zə=pʁɔ=pʁj=e=te 10
ɑ̃=te=paʁlə=pa=se=kεl=lə=nə=pə=ve=de=pase 12
e=ty=kɔ̃=tinɥ=tɔ̃=ne=ʁɑ̃sə=o=sɑ̃tʁə=də=ma=pɑ̃se 12
kɑ̃=mɔ̃=kœʁ=tɔ̃=nab=sɑ̃sə=nə=pø=plys=sy=pɔʁ=te 12
puʁ=kwa=tɑ̃=nε=ty=a=le 7
puʁ=kwa=nu=sɔ=mə=nu=ki=te 8
si=o=bask=də=no=zɑ̃=vi 7
no=ʁε=və=zi=sɔ̃=ʁεs=te=za=ta=ʃe 10
kεl=lə=syʁ=pʁizə=sə=sə=ʁε=puʁ=no=de=tʁak=tœʁ 12
sil=za=pʁɑ̃=dʁε=kɑ̃=kɔʁəɔ̃=nε=ʁεstəy=ni=paʁ=lə=kœʁ 12
e=kə=no=de=ziʁ=də=nuʁə=vwaʁ=a=nu=vo=ɑ̃sɑ̃blə 12
ɑ̃=sɑ̃blə=nu=lε=ʃɑ̃=tɔ̃=zɑ̃=si=lɑ̃=səe=ɑ̃=ʃœʁ 12
vε=tɥ=də=tɔ̃=ʃaʁmə=e=də=tu=ta=ny=di=te 12
tynə=se=sə=də=dεk=spl=ʁe=lə=sɑ̃k=tɥεʁə=də=mɔ̃=kœʁ 13
kɔmə=tɔ̃=ljødə=pʁe=di=lεk=sjɔ̃=da=pa=ʁi=s=jɔ̃ 12
lə=kœ=ʁə=dɑ̃=la=mɛ̃=tεl=y=nə=fwa=də=plys 12
lə=ʁə=nu=vεl=lmɑ̃də=sɔ̃=nɔ=fʁɑ̃=də=a=ma=pεʁsɔnə 12
nɔ=tʁə=is=twa=ʁə=ɔ=kɔ̃=bjɛ̃=nɔs=tal=ʒi=kə 12
ɔ̃naʁεtə=pa=də=la=ʁə=vi=vʁə=dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=də=nɔtʁəamə 14
ki=de=zɔʁ=mε=ʃwa=zidə=la=ɡaʁ=de=ɛ̃=tak=tə 12
ɑ̃=pε=tʁe=dɑ̃=zœ̃=pa=se=sɑ̃=kɔ̃=tin=ɥi=te 12
ɑ̃=vɥ=də=la=ʁyp=tyʁə=kɔ̃=tin=ɥεlləa=vεk=œ̃=pʁe=zɑ̃ 13
ki=sa=fiʁ=mə=mε=nə=sa=sy=mə 9
e=sɑ̃=ʁə=la=ʃə=sa=dɔ=nə=a=la=pa=ʁadə 12
ɑ̃=stʁip=təazə=nɥ=su=li=nɔ=sɑ̃=sə=də=mε=ziø 12
puʁ=kwafulə=ty=mε=ʁε=və=za=pə=ti=pa=də=ʃa 12
paʁ=la=lɑ̃=ɡœʁ=dy=ma=ʁɔ=naʒəo=tʁa=vεʁ=dε=nɥi 12
vɔʁasə=plεnə=da=pe=ti=dy=de=li=sə=də=lɔp=sky=ʁi=te 14
puʁ=kwa=tə=lɔ=ʒə=ty=o=fɔ̃=də=ma=kɔ̃=sjɑ̃sə 12
kɔmə=paʁ=la=sjɑ̃=səɛ̃=fyzə=də=tɔ̃=na=ʁjε=ʁə=kuʁ 12
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kɔmə=lə=kuʁɔnə=mɑ̃=dy=kʁist=lə=di=mɑ̃=ʃə=dε=ʁa=mo 13
sɑ̃=kɔ̃=tə=a=ʁɑ̃=dʁə=o=buʁ=ʁo 9
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εsə=puʁmə=pʁu=ve=kɔ̃=ne=tε=nɔ=tʁə=mε=jœʁ=ʃwa 12
səl=ɥi=ki=nu=za=fε=ʒys=ko=kal=vεʁə=də=lase=pa=ʁa=sjɔ̃ 15
pɔʁ=te=sɑ̃=vwa=syʁ=la=vwa=nɔ=tʁə=kʁwa 10
εsə=puʁmə=pʁu=ve=ɑ̃=kɔ=ʁəy=nə=fwa=tɔ̃=na=muʁ 12
pεʁdydɑ̃lə=la=bi=ʁɛ̃=tə=də=tε=ze=mɔ=sjɔ̃=ze=ʁə=sɑ̃=ti=mɑ̃ 15
u=ε=sə=puʁ=mə=fε=ʁə=pʁɑ̃=dʁə=kɔ̃=sjɑ̃=sə 12
kə=nɔtʁəa=muʁ=sε=kɔ̃=vεʁ=ti=ɑ̃=nœ̃=fɑ̃=toməe=ʁɑ̃ 12
e=mɔ̃=kœʁ=lə=ljødə=pʁe=di=lεk=sjɔ̃=puʁ=sɔ̃=na=pa=ʁi=sjɔ̃ 15
mal=ɡʁe=lε=sɑ̃=tje=za=bʁypt=puʁ=i=paʁ=və=niʁ 12
kɑ̃=no=de=ziʁ=pεʁ=de=lœ=ʁə=o=ʁe=ɔ=lə 12
εsə=e=ɡa=lə=mɑ̃=puʁ=twa=dɑ̃=sa=syb=kɔ̃=sjɑ̃sə 12
la=mεjə=ʁə=fa=sɔ̃də=fε=ʁə=pʁə=vəɛ̃=kɔ̃=sja=mɑ̃ 12
dynəɛ̃=va=zjɔ̃də=nɔs=tal=ʒi=də=le=tɑ̃dɥ=də=mɔ̃=kœʁ 12
dɑ̃=la=mi=tʁa=jə=də=mε=zɑ̃=tʁa=jə 10
dəp=ɥikə=ty=tε=de=si=de=lwɛ̃də=mwadə=tɑ̃=na=le 12
sɑ̃=pʁe=a=vi=ni=də=mwa=o=kœ̃=a=vi 11
e=la=sə=ki=te=sε=kɔ=mə=de=si=de 11
œ̃=bo=ma=tɛ̃=də=vwa=ja=ʒe 8
sɑ̃=di=ʁεk=sj=ɔ̃=ni=dεs=ti=na=sj=ɔ̃ 11
mε=za=vεk=o=kœ=ʁə=la=sεʁ=ti=ty=də 11
lεs=pwaʁ=dy=ʁə=tuʁ=o=lj=ø=dɔ=ʁi=ʒi=nə 12
nə=sə=ʁε=sə=də=ma=njε=ʁə=klɑ̃=dεs=ti=nə 12
mε=mə=dɑ̃=lə=si=lɑ̃=sə=də=sɔ̃=na=mə 11
e=lə=sε=kʁε=də=sa=kɔ̃=sj=ɑ̃=sə 10
Récompense
Commentaire Sur La Poesie

03/04/2021 19:17Printemps
Beau poème où vivent les souvenirs brûlants d’un amour marqué par la séparation et garde encore l’espoir d’une nouvelle rencontre! Merci du partage, Camilingue!
Prose Secret
Du 31/03/2021 15:22
L'écrit contient 605 mots qui sont répartis dans 9 strophes.