Poème:La Symphonie Du Vent
Le Poème
Résonne dans un son clair.
La forêt en harmonie
On voit un cerf solitaire.
Le cerf cesse de brouter
Au premier souffle de vent.
En sentant le grand danger
Il fuit du champ ondulant.
Soudain, le vent en colère
Un violent bris de branches
Cerf pauvre, cherche ta mère.
Un enclos coupé en tranches.
Mais le calme est revenu.
À la fin du lendemain
Notre cerf n’est pas perdu.
Dieu veille sur le chemin.

Poète Jean Dupont
Jean Dupont a publié sur le site 168 écrits. Jean Dupont est membre du site depuis l'année 2023.Lire le profil du poète Jean DupontSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: La Symphonie Du Vent
une=dou=ce=mé=lo=die 6ré=sonne=dans=un=son=clair 6
la=fo=rêt=en=har=mo=nie 7
on=voit=un=cerf=so=li=taire 7
le=cerf=ces=se=de=brou=ter 7
au=pre=mier=souf=fle=de=vent 7
en=sen=tant=le=grand=dan=ger 7
il=fuit=du=champ=on=du=lant 7
sou=dain=le=vent=en=co=lère 7
un=vio=lent=bris=de=branches 6
cerf=pauvre=cher=che=ta=mère 6
un=en=clos=cou=pé=en=tranches 7
mais=le=cal=meest=re=ve=nu 7
à=la=fin=du=lende=main 6
notre=cerf=nest=pas=per=du 6
dieu=veille=sur=le=che=min 6
Phonétique : La Symphonie Du Vent
ynə dusə melɔdiʁezɔnə dɑ̃z- œ̃ sɔ̃ klεʁ.
la fɔʁε ɑ̃-aʁmɔni
ɔ̃ vwa œ̃ sεʁf sɔlitεʁə.
lə sεʁf sεsə də bʁute
o pʁəmje suflə də vɑ̃.
ɑ̃ sɑ̃tɑ̃ lə ɡʁɑ̃ dɑ̃ʒe
il fɥi dy ʃɑ̃ ɔ̃dylɑ̃.
sudɛ̃, lə vɑ̃ ɑ̃ kɔlεʁə
œ̃ vjɔle bʁi də bʁɑ̃ʃə
sεʁf povʁə, ʃεʁʃə ta mεʁə.
œ̃n- ɑ̃klo kupe ɑ̃ tʁɑ̃ʃə.
mε lə kalmə ε ʁəvəny.
a la fɛ̃ dy lɑ̃dəmɛ̃
nɔtʁə sεʁf nε pa pεʁdy.
djø vεjə syʁ lə ʃəmɛ̃.
Syllabes Phonétique : La Symphonie Du Vent
y=nə=du=sə=me=lɔ=di 7ʁe=zɔ=nə=dɑ̃=zœ̃=sɔ̃=klεʁ 7
la=fɔ=ʁε=ɑ̃-aʁ=mɔ=ni 7
ɔ̃=vwa=œ̃=sεʁf=sɔ=li=tε=ʁə 8
lə=sεʁf=sε=sə=də=bʁu=te 7
o=pʁə=mj=e=su=flə=də=vɑ̃ 8
ɑ̃=sɑ̃=tɑ̃=lə=ɡʁɑ̃=dɑ̃=ʒe 7
il=fɥi=dy=ʃɑ̃=ɔ̃=dy=lɑ̃ 7
su=dɛ̃=lə=vɑ̃=ɑ̃=kɔ=lε=ʁə 8
œ̃=vj=ɔ=le=bʁi=də=bʁɑ̃=ʃə 8
sεʁf=po=vʁə=ʃεʁ=ʃə=ta=mε=ʁə 8
œ̃=nɑ̃=klo=ku=pe=ɑ̃=tʁɑ̃=ʃə 8
mε=lə=kal=mə=ε=ʁə=və=ny 8
a=la=fɛ̃=dy=lɑ̃=də=mɛ̃ 7
nɔ=tʁə=sεʁf=nε=pa=pεʁ=dy 7
dj=ø=vε=jə=syʁ=lə=ʃə=mɛ̃ 8
Récompense
Commentaires Sur La Poesie

J’adore le titre!
Et le poème aussi bien sûr!
La caresse du vent d’abord sur le museau sensible du cerf et plus tard le changement.
L’ire d’Éole et de grands fracas pour effrayer la forêt, une colère passagère comme celle des humains. Car au fond des choses on a tous une graine de bonté en soi… Mon coup de cœur poétique pour ce merveilleux écrit, bravo Martin!
Description trés poétique de ce cerf en pleine forèt qui a perdu ses repères et du vent craint la colére. Des hommes aussi il faudrait se méfier parfois mais ce jour là un ange gardien a veillé On aimerait que sur cette terre aux dangers multipliés des milliers de bonnes âmes se pressent pour nous protéger De nous mêmes peut ètre.. Merci Jean pour cette belle fable Je n’ai plus de cœurs à distribuer mais je reviendrai

Je ne peux qu’aimer une pareille histoire qui finit bien et nous rassure à la fois, on peut tout aussi bien se mettre à la place du cerf en tant que croyant et ça devient alors une sorte de leçon pour nous dit avec un peu de simplicité, qui va à l’essentiel. J’adore.