Poème:Le Bubale Et Le Homard

Ahh… Me voici ! - encore ?
Pas de remède, pas de raison,
Inverser la poupée gigogne dans un geste de torture
Pour la louange de mon ignorance
Ni connu ni répété par l’espionnage autochtone
La modernité qui se nourrit, privatisant intensément la déchéance sale.

Vous pouvez dire aux soldats déguisés en pièces d’échecs de couleur
Essayez d’attraper leur rêve alors qu’ils se faufilent à travers les nuages
(Ils vont bouger sans toi, de toute façon… )
Affliction de qui s’est jamais soucié du professionnalisme
Du jugement dernier, chevalier l’amnésie sur les champs de bataille.

Chercher quelque chose de nouveau tout en se enchaînant
Aux supérieurs fumé -
L’abondance de la vie est toujours ignorée, -
Observant la foi de l’absurdité,
Les orangs-outans caillent leur propre sang…

L’enfant fou dansant sur rubis et asphalte,
Tient une poutre ridée vers le ciel,
(Ce qu’aucune autre âme ne dénonce ! … ) ,

Les rouleaux ne s’arrêtent jamais de rouler, les souvenirs se dissolvent
Et tout ce qui reste est la volonté de tout,
Un signal de nulle part qui se répète,
Un portrait d’un seigneur aux yeux croisés oublié.

I I

- Neologisms Fuck, la Curtsey de l’Existence ! Le cri de la vieille bataille !
Les symboles de quelqu’un d’autre jaugeraient leur âme !
Tout ce que je dis se heurte à la haine de ce à quoi je m’attends,
Le Plateau berce la terre dont je scande des mots,
Le plateau lui-même reste immobile comme il secoue ; -

Et l’écho de la pensée résonne…

Ahh… Me voici ! - encore ?
Pas de remède, pas de raison,
L’enfant fou dansant sur rubis et asphalte…