Prose:La Crémation Insoluble

Des sphères de chair sans centre enflamment l’approche inhabituelle du Coucher du Soleil, reflétant des cohérences sans fin de la vie, façonnant la lumière par des services commémorant l’angoisse, les rythmes répétés dans les auditoriums appartenant à la totalité de la Nature non encore reçue ; l’encre de l’innocence, une rancune renforcée par la négligence ; - la sève se propage à travers les vents, glissant à travers l’herbe teintée et le chêne évidé, fixant la vue d’un festival miniature témoignant d’une Nouvelle Beauté, l’ambition de toute une vie obscurcie seulement par le remords de base ! - L’échange divin de la réaction instinctive quitte la jeunesse, la performance éphémère qui revient à jamais, se désintégrant sous un léger hiver noircissant, une saison qui n’a plus besoin de nous revoir.

Affalés, dans les bras l’un de l’autre, sur des échafaudages à côté de cascades violettes - le sentiment trop familier qui n’indique rien, pas de victoire, pas de perte, mais des séquelles dans nos ventres, nous rappelant l’horizon de Venise ; Trop silencieux pour être compris comme autre chose que de la décomposition, je regarde les acteurs antiques se trouver déchiquetés et saigner dans l’écume des rapides, notre souffle perd de nouveau sa signification.

Vous, a-sommeil, êtes la cause de mon agitation constante - Enfer sans mots, sans instabilité hilarante mortifiant des héros reconnaissables - vous n’avez jamais parlé de l’avantage d’être seul !
Au lieu de cela, vous riez avec moi. Le plaidoyer que nos pères ont fait avant la naissance !
Est-ce que ma chair se dissout en fragments d’or émis seulement par le Soleil en m’attendant ? - Suis-je une chose à savoir ? …

Ah ! Non… Histoire ! Aucune volonté ! Pas de perfection ! Pas de souvenir de la magie créant l’existence ! Ici nous nous trouvons, pour toujours… Il ne reste plus qu’un mal du pays, une vie dépendante des autres pour tout sauf
FORTUNE - QUEL DÉCHET D’AMOUR JE SUIS !

I I

L’échange divin de la réaction instinctive quitte la jeunesse, la représentation éphémère éternellement revenue, se désintégrant sous un léger hiver noircissant, une saison qui n’a plus besoin de nous revoir.

La progression est aussi constante que le néophyte hurlant qui s’attaque au destin qui a tué sa mère.

Est-ce que ma chair se dissout en fragments d’or émis seulement par le Soleil en m’attendant ?

etc… etc… etc…