Poème:Petit Homme De Mes Rêves
Le Poème
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
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Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
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Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
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Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
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La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
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Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
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Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
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Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
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Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
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Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
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Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
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Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
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Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
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Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
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Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
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Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
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Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
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Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
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La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
Quand Morphée m’enveloppe de doux reves
Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
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Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
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Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
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Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
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Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
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Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
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Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
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Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
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Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
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La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Quand certaines nuits où les étoiles m’auréolent
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Mes pensées vont vers ce petit homme qui caracole
Fruit d’un amour absolu mélange de nos sèves
Assis sur le tapis devant le foyer de notre cheminée
Tu fixes ton papa préparant le feux de notre bonheur
Tu es béat, tes grands yeux bleus observent avec candeur
Le crépitement du bois attisé par cette flamme sacrée
Emerveillée par le silence de ton petit corps innocent
Voir le clignement de tes yeux à chaque craquement
Sous le regard attentionné de notre bienfaiteur
Nous sommes enveloppés de cette douce chaleur
Les flammes naissantes nous envoient leur couleurs festoyantes
Projetant de magnifiques reflets roux dans ta blonde chevelure bouclée
Mes mains sur tes petits bras potelés se font caressantes
Ton père sourie devant cette toile de symbiose resplendissante
Celui-ci avait écrit les plus belles histoires chevaleresque
Pour toi petit homme, le héros de notre cœur, petit seigneur
Sa plume si habile peignait pour ta joie toutes ces fresques
J’étais la voix qui rythmait ses récits aux milles saveurs
Lui l’écrivain, moi la conteuse tu es l’essence même de nos désirs cachés
Ceux qui par le passé dans nos cœurs restaient enfermés par peur, pudeur
Mais toi tu es bien réel, tu souries, tu babilles pour nous emporter
Dans la profondeur de ton petit être, illuminé par ton grand cœur
Ton visage expressif avec ses deux billes bleues malicieuses
Ton petit nez savoureux frétillant au son de ton histoire
Tu ecoutes vaillament tes périples, le son de ma voix reveuse
Ton papa est là paisible contemplant la réalité de sa gloire
L’horloge du temps s’est envolée, nous sommes maintenant emportés
Par ce celeste instant, que jamais dans cette vie je n’aurai imaginé
Enveloppés dans les voiles du firmament, les tourments disparaissent
La vie des maux s’écroulent, laissant place à cette grande forteresse
Toi petit bonhomme au fond de mon cœur… … … … … … .
Poète Mary M'amuse
Mary M'amuse a publié sur le site 19 écrits. Mary M'amuse est membre du site depuis l'année 2011.Lire le profil du poète Mary M'amuseSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Petit Homme De Mes Rêves
quand=cer=tai=nes=nuits=où=les=é=toi=les=mau=réolent 12quand=mor=phée=men=ve=lop=pe=de=doux=reves 10
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ton=père=sou=rie=de=vant=cet=te=toi=le=de=sym=bio=se=res=plen=dis=sante 18
ce=lui=ci=a=vait=é=crit=les=plus=bel=les=his=toi=res=che=va=le=resque 18
pour=toi=pe=tit=hom=me=le=hé=ros=de=no=tre=cœur=pe=tit=sei=gneur 17
sa=plu=me=si=ha=bi=le=pei=gnait=pour=ta=joie=tou=tes=ces=fresques 16
jé=tais=la=voix=qui=ryth=mait=ses=ré=cits=aux=mil=les=sa=veurs 15
lui=lé=cri=vain=moi=la=con=teuse=tu=es=les=sen=ce=mê=me=de=nos=dé=sirs=ca=chés 21
ceux=qui=par=le=pas=sé=dans=nos=cœurs=res=taient=en=fer=més=par=peur=pu=deur 18
mais=toi=tu=es=bien=réel=tu=sou=ries=tu=ba=bi=lles=pour=nous=em=por=ter 18
dans=la=pro=fon=deur=de=ton=pe=tit=ê=tre=illu=mi=né=par=ton=grand=cœur 18
ton=vi=sa=ge=ex=pres=sif=a=vec=ses=deux=bi=lles=bleues=ma=li=cieu=ses 18
ton=pe=tit=nez=sa=vou=reux=fré=tillant=au=son=de=ton=his=toi=re 16
tu=e=cou=tes=vailla=ment=tes=pé=ri=ples=le=son=de=ma=voix=re=veu=se 18
ton=pa=pa=est=là=pai=sible=con=tem=plant=la=ré=a=li=té=de=sa=gloire 18
lhor=lo=ge=du=temps=sest=en=vo=lée=nous=som=mes=main=te=nant=em=por=tés 18
par=ce=ce=les=teins=tant=que=ja=mais=dans=cette=vie=je=nau=rai=i=ma=gi=né 19
en=ve=lop=pés=dans=les=voi=les=du=fir=ma=ment=les=tour=ments=dis=pa=raissent 18
la=vie=des=maux=sé=croulent=lais=sant=pla=ce=à=cet=te=gran=de=for=te=resse 18
toi=pe=tit=bon=hom=me=au=fond=de=mon=cœur 11
quand=cer=tai=nes=nuits=où=les=é=toi=les=mau=réolent 12
quand=mor=phée=men=ve=lop=pe=de=doux=reves 10
mes=pen=sées=vont=vers=ce=pe=tit=hom=me=qui=ca=ra=co=le 15
fruit=dun=a=mour=ab=so=lu=mé=lan=ge=de=nos=sè=ves 14
as=sis=sur=le=ta=pis=de=vant=le=foy=er=de=no=tre=che=mi=née 17
tu=fi=xes=ton=pa=pa=pré=pa=rant=le=feux=de=no=tre=bon=heur 16
tu=es=bé=at=tes=grands=y=eux=bleus=ob=ser=vent=a=vec=can=deur 16
le=cré=pi=te=ment=du=bois=at=ti=sé=par=cet=te=flam=me=sa=crée 17
emer=veil=lée=par=le=si=len=ce=de=ton=pe=tit=corps=in=no=cent 16
voir=le=cli=gne=ment=de=tes=y=eux=à=cha=que=cra=que=ment 15
sous=le=re=gard=at=ten=ti=on=né=de=no=tre=bien=fai=teur 15
nous=som=mes=en=ve=lop=pés=de=cet=te=dou=ce=cha=leur 14
les=flam=mes=nais=san=tes=nous=en=voient=leur=cou=leurs=fes=toy=an=tes 16
proje=tant=de=ma=gni=fi=ques=re=flets=roux=dans=ta=blon=de=che=ve=lu=re=bou=clée 20
mes=mains=sur=tes=pe=tits=bras=po=te=lés=se=font=ca=res=san=tes 16
ton=père=sou=rie=de=vant=cet=te=toi=le=de=sym=bio=se=res=plen=dis=sante 18
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pour=toi=pe=tit=hom=me=le=hé=ros=de=no=tre=cœur=pe=tit=sei=gneur 17
sa=plu=me=si=ha=bi=le=pei=gnait=pour=ta=joie=tou=tes=ces=fresques 16
jé=tais=la=voix=qui=ryth=mait=ses=ré=cits=aux=mil=les=sa=veurs 15
lui=lé=cri=vain=moi=la=con=teuse=tu=es=les=sen=ce=mê=me=de=nos=dé=sirs=ca=chés 21
ceux=qui=par=le=pas=sé=dans=nos=cœurs=res=taient=en=fer=més=par=peur=pu=deur 18
mais=toi=tu=es=bien=réel=tu=sou=ries=tu=ba=bi=lles=pour=nous=em=por=ter 18
dans=la=pro=fon=deur=de=ton=pe=tit=ê=tre=illu=mi=né=par=ton=grand=cœur 18
ton=vi=sa=ge=ex=pres=sif=a=vec=ses=deux=bi=lles=bleues=ma=li=cieu=ses 18
ton=pe=tit=nez=sa=vou=reux=fré=tillant=au=son=de=ton=his=toi=re 16
tu=e=cou=tes=vailla=ment=tes=pé=ri=ples=le=son=de=ma=voix=re=veu=se 18
ton=pa=pa=est=là=pai=sible=con=tem=plant=la=ré=a=li=té=de=sa=gloire 18
lhor=lo=ge=du=temps=sest=en=vo=lée=nous=som=mes=main=te=nant=em=por=tés 18
par=ce=ce=les=teins=tant=que=ja=mais=dans=cette=vie=je=nau=rai=i=ma=gi=né 19
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la=vie=des=maux=sé=croulent=lais=sant=pla=ce=à=cet=te=gran=de=for=te=resse 18
toi=pe=tit=bon=hom=me=au=fond=de=mon=cœur 11
quand=cer=tai=nes=nuits=où=les=é=toi=les=mau=réolent 12
quand=mor=phée=men=ve=lop=pe=de=doux=reves 10
mes=pen=sées=vont=vers=ce=pe=tit=hom=me=qui=ca=ra=co=le 15
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mes=mains=sur=tes=pe=tits=bras=po=te=lés=se=font=ca=res=san=tes 16
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pour=toi=pe=tit=hom=me=le=hé=ros=de=no=tre=cœur=pe=tit=sei=gneur 17
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lui=lé=cri=vain=moi=la=con=teuse=tu=es=les=sen=ce=mê=me=de=nos=dé=sirs=ca=chés 21
ceux=qui=par=le=pas=sé=dans=nos=cœurs=res=taient=en=fer=més=par=peur=pu=deur 18
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tu=fi=xes=ton=pa=pa=pré=pa=rant=le=feux=de=no=tre=bon=heur 16
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les=flam=mes=nais=san=tes=nous=en=voient=leur=cou=leurs=fes=toy=an=tes 16
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pour=toi=pe=tit=hom=me=le=hé=ros=de=no=tre=cœur=pe=tit=sei=gneur 17
sa=plu=me=si=ha=bi=le=pei=gnait=pour=ta=joie=tou=tes=ces=fresques 16
jé=tais=la=voix=qui=ryth=mait=ses=ré=cits=aux=mil=les=sa=veurs 15
lui=lé=cri=vain=moi=la=con=teuse=tu=es=les=sen=ce=mê=me=de=nos=dé=sirs=ca=chés 21
ceux=qui=par=le=pas=sé=dans=nos=cœurs=res=taient=en=fer=més=par=peur=pu=deur 18
mais=toi=tu=es=bien=réel=tu=sou=ries=tu=ba=bi=lles=pour=nous=em=por=ter 18
dans=la=pro=fon=deur=de=ton=pe=tit=ê=tre=illu=mi=né=par=ton=grand=cœur 18
ton=vi=sa=ge=ex=pres=sif=a=vec=ses=deux=bi=lles=bleues=ma=li=cieu=ses 18
ton=pe=tit=nez=sa=vou=reux=fré=tillant=au=son=de=ton=his=toi=re 16
tu=e=cou=tes=vailla=ment=tes=pé=ri=ples=le=son=de=ma=voix=re=veu=se 18
ton=pa=pa=est=là=pai=sible=con=tem=plant=la=ré=a=li=té=de=sa=gloire 18
lhor=lo=ge=du=temps=sest=en=vo=lée=nous=som=mes=main=te=nant=em=por=tés 18
par=ce=ce=les=teins=tant=que=ja=mais=dans=cette=vie=je=nau=rai=i=ma=gi=né 19
en=ve=lop=pés=dans=les=voi=les=du=fir=ma=ment=les=tour=ments=dis=pa=raissent 18
la=vie=des=maux=sé=croulent=lais=sant=pla=ce=à=cet=te=gran=de=for=te=resse 18
toi=pe=tit=bon=hom=me=au=fond=de=mon=cœur 11
Phonétique : Petit Homme De Mes Rêves
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔlekɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
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ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
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lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
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lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
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su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
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mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
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tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
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ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
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su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
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mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
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ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
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mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
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lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
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twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
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kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
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fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
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su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
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tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
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twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
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kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
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su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
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lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
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tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
kɑ̃ sεʁtεnə nɥiz- u lεz- etwalə moʁeɔle
kɑ̃ mɔʁfe mɑ̃vəlɔpə də du ʁəvə
mε pɑ̃se vɔ̃ vεʁ sə pəti ɔmə ki kaʁakɔlə
fʁɥi dœ̃n- amuʁ absɔly melɑ̃ʒə də no sεvə
asi syʁ lə tapi dəvɑ̃ lə fwaje də nɔtʁə ʃəmine
ty fiksə tɔ̃ papa pʁepaʁɑ̃ lə fø də nɔtʁə bɔnœʁ
ty ε bea, tε ɡʁɑ̃z- iø bløsz- ɔpsεʁve avεk kɑ̃dœʁ
lə kʁepitəmɑ̃ dy bwaz- atize paʁ sεtə flamə sakʁe
əmεʁvεje paʁ lə silɑ̃sə də tɔ̃ pəti kɔʁz- inɔse
vwaʁ lə kliɲəmɑ̃ də tεz- iøz- a ʃakə kʁakəmɑ̃
su lə ʁəɡaʁ atɑ̃sjɔne də nɔtʁə bjɛ̃fεtœʁ
nu sɔməz- ɑ̃vəlɔpe də sεtə dusə ʃalœʁ
lε flamə nεsɑ̃tə nuz- ɑ̃vwae lœʁ kulœʁ fεstwajɑ̃tə
pʁɔʒətɑ̃ də maɲifik ʁəflε ʁu dɑ̃ ta blɔ̃də ʃəvəlyʁə bukle
mε mɛ̃ syʁ tε pəti bʁa pɔtəle sə fɔ̃ kaʁesɑ̃tə
tɔ̃ pεʁə suʁi dəvɑ̃ sεtə twalə də sɛ̃bjozə ʁεsplɑ̃disɑ̃tə
səlɥi si avε ekʁi lε plys bεlləz- istwaʁə ʃəvaləʁεskə
puʁ twa pəti ɔmə, lə eʁo də nɔtʁə kœʁ, pəti sεɲœʁ
sa plymə si-abilə pεɲε puʁ ta ʒwa tutə sε fʁεsk
ʒetε la vwa ki ʁitmε sε ʁesiz- o milə savœʁ
lɥi lekʁivɛ̃, mwa la kɔ̃tøzə ty ε lesɑ̃sə mεmə də no deziʁ kaʃe
sø ki paʁ lə pase dɑ̃ no kœʁ ʁεstε ɑ̃fεʁme paʁ pœʁ, pydœʁ
mε twa ty ε bjɛ̃ ʁeεl, ty suʁi, ty babijə puʁ nuz- ɑ̃pɔʁte
dɑ̃ la pʁɔfɔ̃dœʁ də tɔ̃ pəti εtʁə, ilymine paʁ tɔ̃ ɡʁɑ̃ kœʁ
tɔ̃ vizaʒə εkspʁesif avεk sε dø bijə blø malisjøzə
tɔ̃ pəti ne savuʁø fʁetijɑ̃ o sɔ̃ də tɔ̃n- istwaʁə
ty əkutə vajame tε peʁiplə, lə sɔ̃ də ma vwa ʁəvøzə
tɔ̃ papa ε la pεziblə kɔ̃tɑ̃plɑ̃ la ʁealite də sa ɡlwaʁə
lɔʁlɔʒə dy tɑ̃ sεt- ɑ̃vɔle, nu sɔmə mɛ̃tənɑ̃ ɑ̃pɔʁte
paʁ sə səlεstə ɛ̃stɑ̃, kə ʒamε dɑ̃ sεtə vi ʒə noʁε imaʒine
ɑ̃vəlɔpe dɑ̃ lε vwalə dy fiʁmame, lε tuʁmɑ̃ dispaʁεse
la vi dε mo sekʁule, lεsɑ̃ plasə a sεtə ɡʁɑ̃də fɔʁtəʁεsə
twa pəti bɔnɔmə o fɔ̃ də mɔ̃ kœʁ…
Syllabes Phonétique : Petit Homme De Mes Rêves
kɑ̃=sεʁ=tε=nə=nɥi=zu=lε=ze=twa=lə=mo=ʁe=ɔ=le 14kɑ̃=mɔʁ=fe=mɑ̃=və=lɔ=pə=də=du=ʁə=və 11
mε=pɑ̃=se=vɔ̃=vεʁ=sə=pə=ti=ɔ=mə=ki=ka=ʁa=kɔ=lə 15
fʁɥi=dœ̃=na=muʁ=ab=sɔ=ly=me=lɑ̃=ʒə=də=no=sε=və 14
a=si=syʁ=lə=ta=pidə=vɑ̃=lə=fwa=je=də=nɔ=tʁə=ʃə=mi=ne 16
ty=fik=sə=tɔ̃=pa=pa=pʁe=pa=ʁɑ̃=lə=fø=də=nɔ=tʁə=bɔ=nœʁ 16
ty=ε=be=a=tε=ɡʁɑ̃=zi=ø=bløs=zɔp=sεʁ=ve=a=vεk=kɑ̃=dœʁ 16
lə=kʁe=pitə=mɑ̃=dy=bwa=za=ti=ze=paʁ=sε=tə=fla=mə=sa=kʁe 16
ə=mεʁ=vε=je=paʁ=lə=si=lɑ̃=sə=də=tɔ̃=pə=ti=kɔʁ=zi=nɔse 16
vwaʁ=lə=kli=ɲə=mɑ̃=də=tε=zi=ø=za=ʃa=kə=kʁa=kə=mɑ̃ 15
su=lə=ʁə=ɡaʁ=a=tɑ̃=sj=ɔ=ne=də=nɔ=tʁə=bjɛ̃=fε=tœ=ʁə 16
nu=sɔ=mə=zɑ̃=və=lɔ=pe=də=sε=tə=du=sə=ʃa=lœ=ʁə 15
lε=fla=mə=nε=sɑ̃=tə=nu=zɑ̃=vwa=lœʁ=ku=lœʁ=fεs=twa=jɑ̃=tə 16
pʁɔʒə=tɑ̃=də=ma=ɲi=fik=ʁə=flε=ʁu=dɑ̃=ta=blɔ̃=də=ʃə=və=ly=ʁə=bu=kle 19
mε=mɛ̃=syʁ=tε=pə=ti=bʁa=pɔ=tə=le=sə=fɔ̃=ka=ʁe=sɑ̃=tə 16
tɔ̃=pεʁə=su=ʁi=də=vɑ̃=sε=tə=twa=lə=də=sɛ̃=bjo=zə=ʁεs=plɑ̃=di=sɑ̃tə 18
səl=ɥi=si=a=vε=e=kʁi=lε=plys=bεllə=zis=twaʁə=ʃə=va=lə=ʁεskə 16
puʁ=twapə=ti=ɔ=mə=lə=e=ʁo=də=nɔ=tʁə=kœʁ=pə=ti=sε=ɲœʁ 16
sa=ply=mə=si-a=bi=lə=pε=ɲε=puʁ=ta=ʒwa=tu=tə=sε=fʁεsk 16
ʒe=tε=la=vwa=ki=ʁit=mε=sε=ʁe=si=zo=mi=lə=sa=vœ=ʁə 16
lɥi=le=kʁi=vɛ̃=mwa=la=kɔ̃=tøzə=ty=ε=le=sɑ̃=sə=mε=mə=də=no=de=ziʁ=ka=ʃe 21
sø=ki=paʁlə=pa=se=dɑ̃=no=kœʁ=ʁεs=tε=ɑ̃=fεʁ=me=paʁ=pœʁ=py=dœʁ 17
mε=twa=ty=ε=bjɛ̃=ʁe=εl=ty=su=ʁi=ty=ba=bi=jə=puʁ=nu=zɑ̃=pɔʁ=te 19
dɑ̃=la=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=də=tɔ̃pə=ti=ε=tʁə=i=ly=mi=ne=paʁ=tɔ̃=ɡʁɑ̃=kœʁ 18
tɔ̃=vi=zaʒə=εk=spʁe=sif=a=vεk=sε=dø=bi=jə=blø=ma=li=sjøzə 16
tɔ̃=pə=ti=ne=sa=vu=ʁø=fʁe=ti=jɑ̃=o=sɔ̃=də=tɔ̃=nis=twaʁə 16
tyə=ku=tə=va=ja=me=tε=pe=ʁi=plə=lə=sɔ̃=də=ma=vwa=ʁə=vøzə 17
tɔ̃=pa=pa=ε=la=pε=ziblə=kɔ̃=tɑ̃=plɑ̃=la=ʁe=a=li=te=də=sa=ɡlwaʁə 18
lɔʁ=lɔʒə=dy=tɑ̃=sε=tɑ̃=vɔ=le=nu=sɔ=mə=mɛ̃=tə=nɑ̃=ɑ̃=pɔʁ=te 17
paʁsə=sə=lεs=təɛ̃s=tɑ̃=kə=ʒa=mε=dɑ̃=sε=tə=vi=ʒə=no=ʁε=i=ma=ʒi=ne 19
ɑ̃və=lɔ=pe=dɑ̃=lε=vwa=lə=dy=fiʁ=ma=me=lε=tuʁ=mɑ̃=dis=pa=ʁεse 17
la=vi=dε=mose=kʁu=le=lε=sɑ̃=pla=səa=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=fɔʁ=tə=ʁεsə 17
twa=pə=ti=bɔ=nɔ=mə=o=fɔ̃=də=mɔ̃=kœ=ʁə 12
kɑ̃=sεʁ=tε=nə=nɥi=zu=lε=ze=twa=lə=mo=ʁe=ɔ=le 14
kɑ̃=mɔʁ=fe=mɑ̃=və=lɔ=pə=də=du=ʁə=və 11
mε=pɑ̃=se=vɔ̃=vεʁ=sə=pə=ti=ɔ=mə=ki=ka=ʁa=kɔ=lə 15
fʁɥi=dœ̃=na=muʁ=ab=sɔ=ly=me=lɑ̃=ʒə=də=no=sε=və 14
a=si=syʁ=lə=ta=pidə=vɑ̃=lə=fwa=je=də=nɔ=tʁə=ʃə=mi=ne 16
ty=fik=sə=tɔ̃=pa=pa=pʁe=pa=ʁɑ̃=lə=fø=də=nɔ=tʁə=bɔ=nœʁ 16
ty=ε=be=a=tε=ɡʁɑ̃=zi=ø=bløs=zɔp=sεʁ=ve=a=vεk=kɑ̃=dœʁ 16
lə=kʁe=pitə=mɑ̃=dy=bwa=za=ti=ze=paʁ=sε=tə=fla=mə=sa=kʁe 16
ə=mεʁ=vε=je=paʁ=lə=si=lɑ̃=sə=də=tɔ̃=pə=ti=kɔʁ=zi=nɔse 16
vwaʁ=lə=kli=ɲə=mɑ̃=də=tε=zi=ø=za=ʃa=kə=kʁa=kə=mɑ̃ 15
su=lə=ʁə=ɡaʁ=a=tɑ̃=sj=ɔ=ne=də=nɔ=tʁə=bjɛ̃=fε=tœ=ʁə 16
nu=sɔ=mə=zɑ̃=və=lɔ=pe=də=sε=tə=du=sə=ʃa=lœ=ʁə 15
lε=fla=mə=nε=sɑ̃=tə=nu=zɑ̃=vwa=lœʁ=ku=lœʁ=fεs=twa=jɑ̃=tə 16
pʁɔʒə=tɑ̃=də=ma=ɲi=fik=ʁə=flε=ʁu=dɑ̃=ta=blɔ̃=də=ʃə=və=ly=ʁə=bu=kle 19
mε=mɛ̃=syʁ=tε=pə=ti=bʁa=pɔ=tə=le=sə=fɔ̃=ka=ʁe=sɑ̃=tə 16
tɔ̃=pεʁə=su=ʁi=də=vɑ̃=sε=tə=twa=lə=də=sɛ̃=bjo=zə=ʁεs=plɑ̃=di=sɑ̃tə 18
səl=ɥi=si=a=vε=e=kʁi=lε=plys=bεllə=zis=twaʁə=ʃə=va=lə=ʁεskə 16
puʁ=twapə=ti=ɔ=mə=lə=e=ʁo=də=nɔ=tʁə=kœʁ=pə=ti=sε=ɲœʁ 16
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paʁsə=sə=lεs=təɛ̃s=tɑ̃=kə=ʒa=mε=dɑ̃=sε=tə=vi=ʒə=no=ʁε=i=ma=ʒi=ne 19
ɑ̃və=lɔ=pe=dɑ̃=lε=vwa=lə=dy=fiʁ=ma=me=lε=tuʁ=mɑ̃=dis=pa=ʁεse 17
la=vi=dε=mose=kʁu=le=lε=sɑ̃=pla=səa=sε=tə=ɡʁɑ̃=də=fɔʁ=tə=ʁεsə 17
twa=pə=ti=bɔ=nɔ=mə=o=fɔ̃=də=mɔ̃=kœ=ʁə 12
Récompense
Poesie sans commentaire
24/04/2024Poeme-France
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Poème Enfant
Du 15/05/2011 13:10
L'écrit contient 5280 mots qui sont répartis dans 4 strophes. Toutes les strophes sont composés de 132 vers.