Poème:L’esprit De Minuit

Je me suis tué pour pouvoir encore te voir
Maintenant je vois noir
Plus rien n’est pareil
Il faut que je m’habitue a se monde paralelle
Je ne me voie même plus dans un mirroir
C’est fou, je ne peu y croire
La vie n’est plus… maintetant je suis morte
Et je le réalise…
Je serai sur cette enfer pour l’éternité
Même après ta mort je sera encore la
Je marche sur l’eau, je vole au ciel
J’écoute ta voie
Qui me fait rappelé le temps que j’étais bien avec toi
Mais meme si je t’ai retrouvé… je ne suis pas plus heureuse
Car je voie dans tes yeux que c’est t’elle que tu veux
Toujours encore plus fort ton amour pour elle
Qui passe les jours, les saisons et les années
Tu ma oublié, tu as p-e pleuré ma mort
Mais quelque jours plutard tu étais deja avec elle
Même si tu sais que je suis près de toi
Même si tu sais que je suis l’esprie de minuit
Qui apparait d’un flashe ma silouette, mon regard, une larme qui ne peu s’éffacé de ma joue
Encore mon cœur bat plus fort
Mais faut je me fasse a l’idée que je suis plus en vie
Que rien n’est réel, je ne peu que controlé mes mouvements
Mais sa sert a quoi, a quoi sa la servie de me suicidé
Mon cœur étais brissé, les coups de tonnere dans ma tete
Les yeux qui ne voulais plus cessé de pleuré
Sa la fait de moi une impuisante face a la vie
Alors jai tout abondonné en risquant le regret encore une fois
Voulà 20 ans plus tard j’suis encore en face de toi
Encore le cœur en morceau
Regardé faire ta vie,
Te regardé sourire
L’embrassé… j’sais que tu ne m’as pas oublié
Mais je sais aussi que tu feras toute pour y arrivé
Pcq ma mort te hante
Mais dit toi… que je tien a toi
Mais toujours tu te rappelle…
Je ne t’avais pas vue, mais moi j’étais pas toute la non plus
Je n’avais pas peur, de rien de rien
Plus rien n’avais de sence,
J’voyais plus la réalité
J’étais deja dans un autre monde
Une lame a la main, deja affilé
Je l’étendie sur mon poignet…
Je n’ai pas refléchie a rien
J’voulais partir, mourrire, revé dun monde plus beau, et encore etre avec toi
Puis d’un coup je me suis fendu les veines
J’ai saigné comme jai pleuré
Trop saigné. toi encore la ma regardé, tramatisé au courage que j’avais
Tu a fuis, tu a crié, je venais de tombé par terre
Sa ne voulais plus s’arrété, baigné dans le sang, le respiration qui ralentissais
Mon cœur je ne le sentais plus battre
Mes yeux se ferma à tous jamais
Jai vu noir, trés noir
Mais je savais ques qui se passais
Je venais de mouriree…