Poème:Le Flocon,
Le Poème
Au matin calme
Astres répandent
Un vague à l’âme
Universel.
On sent enfin naître avenir
Baigner un songe d’or et de jais.
Jaspé dans l’espoir fou, j’aspire
A naître enfin au monde âgé.
Or, un flocon vit ma livrée :
Blanc et petit comme tant d’autres
Et, plût à Dieu ! il s’est livré
A la noirceur de cet apôtre.
Il me plut en ce beau matin
Toucha ma cape en gabardine
Rigola comme une gamine ;
Ah ! le flocon au p’tit quinquin !
Il déboula sur mon chapeau
Tâta le cuir, tâta la peau
Et rebondit en pantomime
Sur ma mine cacochyme…
Sur mon chapeau de capitaine,
Il a plu dru sans ses mitaines
Et j’entendis alors un ange
Me dire tout bas : ’’je te mange ! ’’
Il était frais dans mes cheveux
Calme et placide, élu des dieux
Je te veux, oui ! oui ! je te veux
Le p’tit quinquin a fait son vœu !
On était calme comme Alcide
En tailleurs, nos deux mains jointes
On pensait : quel calme placide…
Dans ces contrées sans moindre crainte.
Je t’aimais, et tout de mon être
Voyait en toi son nouveau maître !
Oublie donc de virevolter
Ou je serai un révolté…
Oh ! un flocon chut ce matin
Il s’arrêta sur mon chemin
Et embrassa mon cou, ma main
M’a chouravé comme un mutin…
Je m’y vois, encore falot…
J’étais les souliers délacés
Palot, malgré le noir calot,
Reçut de ta bouche un baiser.
Une fleur tombée du ciel d’ivoire
Sur le revers de mon mitard
Et c’est un tout petit plus tard
Que serais père avec moutard !
Ah ! mais quelle est cette offrande
Et cette joie tombée si grande !
Un coin de ciel a par ennui
Bordé de miel mes sombres nuits.
Au point du jour tiré du lit -
Plaise à dieu que je ne défaille -
J’enfilerai mon gros surplis
Pour retrouver sous la mitraille
Mon âme sœur seule perçue
Parmi les anges têtes nues.
Je te verrais blanche et menue
Descendu de ton ciel, venue.
J’étais bien seul, j’étais de nuit
J’étais le p’tit somnambule
A divaguer lors qu’à minuit
Amants à deux tintinnabulent…
Je tremble encor de mes quenottes
Je jure : ce n’est point par frousse !
Tu m’as frappé de ta menotte
Si leste et puis si douce !
Un flocon m’a plu ce tantôt
J’ai dû rêvé, c’est pourtant tôt…
Pourtant mes mains qui l’on saisi
Sont encor’ froides ; toutes transies !
Et lors que foehn se lève enfin
Je te perds loin dans mon sommeil !
Entre mes doigts gourds de muffin
Tu n’étais qu’eau et moi je baille…
Je reprends ma vie de titi
Loin des atomes du Blanc-Mesnil
Du reste, pars ce soir en exil…
A toi ma fleur, à toi ton p’tit.
Astres répandent
Un vague à l’âme
Universel.
On sent enfin naître avenir
Baigner un songe d’or et de jais.
Jaspé dans l’espoir fou, j’aspire
A naître enfin au monde âgé.
Or, un flocon vit ma livrée :
Blanc et petit comme tant d’autres
Et, plût à Dieu ! il s’est livré
A la noirceur de cet apôtre.
Il me plut en ce beau matin
Toucha ma cape en gabardine
Rigola comme une gamine ;
Ah ! le flocon au p’tit quinquin !
Il déboula sur mon chapeau
Tâta le cuir, tâta la peau
Et rebondit en pantomime
Sur ma mine cacochyme…
Sur mon chapeau de capitaine,
Il a plu dru sans ses mitaines
Et j’entendis alors un ange
Me dire tout bas : ’’je te mange ! ’’
Il était frais dans mes cheveux
Calme et placide, élu des dieux
Je te veux, oui ! oui ! je te veux
Le p’tit quinquin a fait son vœu !
On était calme comme Alcide
En tailleurs, nos deux mains jointes
On pensait : quel calme placide…
Dans ces contrées sans moindre crainte.
Je t’aimais, et tout de mon être
Voyait en toi son nouveau maître !
Oublie donc de virevolter
Ou je serai un révolté…
Oh ! un flocon chut ce matin
Il s’arrêta sur mon chemin
Et embrassa mon cou, ma main
M’a chouravé comme un mutin…
Je m’y vois, encore falot…
J’étais les souliers délacés
Palot, malgré le noir calot,
Reçut de ta bouche un baiser.
Une fleur tombée du ciel d’ivoire
Sur le revers de mon mitard
Et c’est un tout petit plus tard
Que serais père avec moutard !
Ah ! mais quelle est cette offrande
Et cette joie tombée si grande !
Un coin de ciel a par ennui
Bordé de miel mes sombres nuits.
Au point du jour tiré du lit -
Plaise à dieu que je ne défaille -
J’enfilerai mon gros surplis
Pour retrouver sous la mitraille
Mon âme sœur seule perçue
Parmi les anges têtes nues.
Je te verrais blanche et menue
Descendu de ton ciel, venue.
J’étais bien seul, j’étais de nuit
J’étais le p’tit somnambule
A divaguer lors qu’à minuit
Amants à deux tintinnabulent…
Je tremble encor de mes quenottes
Je jure : ce n’est point par frousse !
Tu m’as frappé de ta menotte
Si leste et puis si douce !
Un flocon m’a plu ce tantôt
J’ai dû rêvé, c’est pourtant tôt…
Pourtant mes mains qui l’on saisi
Sont encor’ froides ; toutes transies !
Et lors que foehn se lève enfin
Je te perds loin dans mon sommeil !
Entre mes doigts gourds de muffin
Tu n’étais qu’eau et moi je baille…
Je reprends ma vie de titi
Loin des atomes du Blanc-Mesnil
Du reste, pars ce soir en exil…
A toi ma fleur, à toi ton p’tit.
Poète Talweg
Talweg a publié sur le site 105 écrits. Talweg est membre du site depuis l'année 2014.Lire le profil du poète TalwegSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Le Flocon,
au=ma=tin=ca=lme 5as=tres=ré=pandent 4
un=va=gue=à=lâme 5
uni=ver=sel 3
on=sent=en=fin=naître=a=ve=nir 8
bai=gner=un=songe=dor=et=de=jais 8
jas=pé=dans=les=poir=fou=jas=pire 8
a=naîtreen=fin=au=mon=de=â=gé 8
or=un=flo=con=vit=ma=li=vrée 8
blanc=et=pe=tit=com=me=tant=dautres 8
et=plût=à=dieu=il=sest=li=vré 8
a=la=noir=ceur=de=cet=a=pôtre 8
il=me=plut=en=ce=beau=ma=tin 8
tou=cha=ma=cape=en=ga=bar=dine 8
ri=go=la=comme=u=ne=ga=mine 8
ah=le=flo=con=au=p=tit=quin=quin 9
il=dé=bou=la=sur=mon=cha=peau 8
tâ=ta=le=cuir=tâ=ta=la=peau 8
et=re=bon=dit=en=pan=to=mime 8
sur=ma=mi=ne=ca=co=chy=me 8
sur=mon=cha=peau=de=ca=pi=taine 8
il=a=plu=dru=sans=ses=mi=taines 8
et=jen=ten=dis=a=lors=un=ange 8
me=di=re=tout=bas=je=te=mange 8
il=é=tait=frais=dans=mes=che=veux 8
cal=meet=pla=cide=é=lu=des=dieux 8
je=te=veux=oui=oui=je=te=veux 8
le=p=tit=quin=quin=a=fait=son=vœu 9
on=é=tait=cal=me=comme=al=cide 8
en=tail=leurs=nos=deux=mains=join=tes 8
on=pen=sait=quel=cal=me=pla=cide 8
dans=ces=con=trées=sans=moin=dre=crainte 8
je=tai=mais=et=tout=de=mon=être 8
vo=yait=en=toi=son=nou=veau=maître 8
ou=blie=donc=de=vi=re=vol=ter 8
ou=je=se=rai=un=ré=vol=té 8
oh=un=flo=con=chut=ce=ma=tin 8
il=sar=rê=ta=sur=mon=che=min 8
et=em=bras=sa=mon=cou=ma=main 8
ma=chou=ra=vé=comme=un=mu=tin 8
je=my=vois=en=co=re=fa=lot 8
jé=tais=les=sou=liers=dé=la=cés 8
pa=lot=mal=gré=le=noir=ca=lot 8
re=çut=de=ta=bouche=un=bai=ser 8
une=fleur=tom=bée=du=ciel=di=voire 8
sur=le=re=vers=de=mon=mi=tard 8
et=cest=un=tout=pe=tit=plus=tard 8
que=se=rais=père=a=vec=mou=tard 8
ah=mais=quel=le=est=cette=of=frande 8
et=cet=te=joie=tom=bée=si=grande 8
un=coin=de=ciel=a=par=en=nui 8
bor=dé=de=miel=mes=som=bres=nuits 8
au=point=du=jour=ti=ré=du=lit 8
plaise=à=dieu=que=je=ne=dé=faille 8
jen=fi=le=rai=mon=gros=sur=plis 8
pour=re=trou=ver=sous=la=mi=traille 8
mon=â=me=sœur=seu=le=per=çue 8
par=mi=les=an=ges=tê=tes=nues 8
je=te=ver=rais=blanche=et=me=nue 8
des=cen=du=de=ton=ciel=ve=nue 8
jé=tais=bien=seul=jé=tais=de=nuit 8
jé=tais=le=p=tit=som=nam=bule 8
a=di=va=guer=lors=quà=mi=nuit 8
amants=à=deux=tin=tin=na=bu=lent 8
je=trem=bleen=cor=de=mes=que=nottes 8
je=jure=ce=nest=point=par=frous=se 8
tu=mas=frap=pé=de=ta=me=notte 8
si=les=te=et=puis=si=dou=ce 8
un=flo=con=ma=plu=ce=tan=tôt 8
jai=dû=rê=vé=cest=pour=tant=tôt 8
pour=tant=mes=mains=qui=lon=sai=si 8
sont=en=cor=froides=tou=tes=tran=sies 8
et=lors=que=foehn=se=lève=en=fin 8
je=te=perds=loin=dans=mon=som=meil 8
en=tre=mes=doigts=gourds=de=muf=fin 8
tu=né=tais=queau=et=moi=je=baille 8
je=re=prends=ma=vie=de=ti=ti 8
loin=des=a=tomes=du=blanc=mes=nil 8
du=res=te=pars=ce=soir=en=exil 8
a=toi=ma=fleur=à=toi=ton=p=tit 9
Phonétique : Le Flocon,
o matɛ̃ kalməastʁə- ʁepɑ̃de
œ̃ vaɡ a lamə
ynivεʁsεl.
ɔ̃ sɑ̃ ɑ̃fɛ̃ nεtʁə avəniʁ
bεɲe œ̃ sɔ̃ʒə dɔʁ e də ʒε.
ʒaspe dɑ̃ lεspwaʁ fu, ʒaspiʁə
a nεtʁə ɑ̃fɛ̃ o mɔ̃də aʒe.
ɔʁ, œ̃ flɔkɔ̃ vit ma livʁe :
blɑ̃ e pəti kɔmə tɑ̃ dotʁə
e, ply a djø ! il sε livʁe
a la nwaʁsœʁ də sεt apotʁə.
il mə ply ɑ̃ sə bo matɛ̃
tuʃa ma kapə ɑ̃ ɡabaʁdinə
ʁiɡɔla kɔmə ynə ɡaminə,
a ! lə flɔkɔ̃ o ptit kɛ̃kɛ̃ !
il debula syʁ mɔ̃ ʃapo
tata lə kɥiʁ, tata la po
e ʁəbɔ̃di ɑ̃ pɑ̃tɔmimə
syʁ ma minə kakoʃimə…
syʁ mɔ̃ ʃapo də kapitεnə,
il a ply dʁy sɑ̃ sε mitεnə
e ʒɑ̃tɑ̃diz- alɔʁz- œ̃n- ɑ̃ʒə
mə diʁə tu ba : ʒə tə mɑ̃ʒə !
il etε fʁε dɑ̃ mε ʃəvø
kalmə e plasidə, ely dε djø
ʒə tə vø, ui ! ui ! ʒə tə vø
lə ptit kɛ̃kɛ̃ a fε sɔ̃ vey !
ɔ̃n- etε kalmə kɔmə alsidə
ɑ̃ tajœʁ, no dø mɛ̃ ʒwɛ̃tə
ɔ̃ pɑ̃sε : kεl kalmə plasidə…
dɑ̃ sε kɔ̃tʁe sɑ̃ mwɛ̃dʁə kʁɛ̃tə.
ʒə tεmε, e tu də mɔ̃n- εtʁə
vwajε ɑ̃ twa sɔ̃ nuvo mεtʁə !
ubli dɔ̃k də viʁəvɔlte
u ʒə səʁε œ̃ ʁevɔlte…
ɔ ! œ̃ flɔkɔ̃ ʃy sə matɛ̃
il saʁεta syʁ mɔ̃ ʃəmɛ̃
e ɑ̃bʁasa mɔ̃ ku, ma mɛ̃
ma ʃuʁave kɔmə œ̃ mytɛ̃…
ʒə mi vwa, ɑ̃kɔʁə falo…
ʒetε lε sulje delase
palo, malɡʁe lə nwaʁ kalo,
ʁəsy də ta buʃə œ̃ bεze.
ynə flœʁ tɔ̃be dy sjεl divwaʁə
syʁ lə ʁəve də mɔ̃ mitaʁ
e sεt- œ̃ tu pəti plys taʁ
kə səʁε pεʁə avεk mutaʁ !
a ! mε kεllə ε sεtə ɔfʁɑ̃də
e sεtə ʒwa tɔ̃be si ɡʁɑ̃də !
œ̃ kwɛ̃ də sjεl a paʁ ɑ̃nɥi
bɔʁde də mjεl mε sɔ̃bʁə- nɥi.
o pwɛ̃ dy ʒuʁ tiʁe dy li
plεzə a djø kə ʒə nə defajə
ʒɑ̃filəʁε mɔ̃ ɡʁo syʁpli
puʁ ʁətʁuve su la mitʁajə
mɔ̃n- amə sœʁ sələ pεʁsɥ
paʁmi lεz- ɑ̃ʒə tεtə nɥ.
ʒə tə veʁε blɑ̃ʃə e mənɥ
desɑ̃dy də tɔ̃ sjεl, vənɥ.
ʒetε bjɛ̃ səl, ʒetε də nɥi
ʒetε lə ptit sɔmnɑ̃bylə
a divaɡe lɔʁ ka minɥi
amɑ̃z- a dø tɛ̃tinabyle…
ʒə tʁɑ̃blə ɑ̃kɔʁ də mε kənɔtə
ʒə ʒyʁə : sə nε pwɛ̃ paʁ fʁusə !
ty ma fʁape də ta mənɔtə
si lεstə e pɥi si dusə !
œ̃ flɔkɔ̃ ma ply sə tɑ̃to
ʒε dy ʁεve, sε puʁtɑ̃ to…
puʁtɑ̃ mε mɛ̃ ki lɔ̃ sεzi
sɔ̃t- ɑ̃kɔʁfʁwadə, tutə tʁɑ̃zi !
e lɔʁ kə foεn sə lεvə ɑ̃fɛ̃
ʒə tə pεʁd lwɛ̃ dɑ̃ mɔ̃ sɔmεj !
ɑ̃tʁə mε dwa ɡuʁd də myfɛ̃
ty netε ko e mwa ʒə bajə…
ʒə ʁəpʁɑ̃ ma vi də titi
lwɛ̃ dεz- atɔmə dy blɑ̃ menil
dy ʁεstə, paʁ sə swaʁ ɑ̃n- εɡzil…
a twa ma flœʁ, a twa tɔ̃ ptit.
Syllabes Phonétique : Le Flocon,
o=ma=tɛ̃=kal=mə 5as=tʁə=ʁe=pɑ̃=de 5
œ̃=va=ɡə=a=la=mə 6
y=ni=vεʁ=sεl 4
ɔ̃=sɑ̃=ɑ̃=fɛ̃=nεtʁə=a=və=niʁ 8
bε=ɲe=œ̃=sɔ̃ʒə=dɔʁ=e=də=ʒε 8
ʒas=pe=dɑ̃=lεs=pwaʁ=fu=ʒas=piʁə 8
a=nεtʁəɑ̃=fɛ̃=o=mɔ̃=də=a=ʒe 8
ɔʁ=œ̃=flɔ=kɔ̃=vit=ma=li=vʁe 8
blɑ̃=e=pə=ti=kɔ=mə=tɑ̃=dotʁə 8
e=ply=a=djø=il=sε=li=vʁe 8
a=la=nwaʁ=sœʁ=də=sεt=a=potʁə 8
il=mə=ply=ɑ̃=sə=bo=ma=tɛ̃ 8
tu=ʃa=ma=kapə=ɑ̃=ɡa=baʁ=dinə 8
ʁi=ɡɔ=la=kɔmə=y=nə=ɡa=minə 8
a=lə=flɔ=kɔ̃=o=ptit=kɛ̃=kɛ̃ 8
il=de=bu=la=syʁ=mɔ̃=ʃa=po 8
ta=ta=lə=kɥiʁ=ta=ta=la=po 8
e=ʁə=bɔ̃=di=ɑ̃=pɑ̃=tɔ=mimə 8
syʁ=ma=mi=nə=ka=ko=ʃi=mə 8
syʁ=mɔ̃=ʃa=po=də=ka=pi=tεnə 8
il=a=ply=dʁy=sɑ̃=sε=mi=tεnə 8
e=ʒɑ̃=tɑ̃=di=za=lɔʁ=zœ̃=nɑ̃ʒə 8
mə=di=ʁə=tu=ba=ʒə=tə=mɑ̃ʒə 8
il=e=tε=fʁε=dɑ̃=mε=ʃə=vø 8
kal=məe=pla=sidə=e=ly=dε=djø 8
ʒə=tə=vø=ui=u=i=ʒə=tə=vø 9
lə=ptit=kɛ̃=kɛ̃=a=fε=sɔ̃=ve=y 9
ɔ̃=ne=tε=kal=mə=kɔmə=al=sidə 8
ɑ̃=ta=jœʁ=no=dø=mɛ̃=ʒwɛ̃=tə 8
ɔ̃=pɑ̃=sε=kεl=kal=mə=pla=sidə 8
dɑ̃=sε=kɔ̃=tʁe=sɑ̃=mwɛ̃=dʁə=kʁɛ̃tə 8
ʒə=tε=mε=e=tu=də=mɔ̃=nεtʁə 8
vwa=jε=ɑ̃=twa=sɔ̃=nu=vo=mεtʁə 8
u=bli=dɔ̃k=də=vi=ʁə=vɔl=te 8
u=ʒə=sə=ʁε=œ̃=ʁe=vɔl=te 8
ɔ=œ̃=flɔ=kɔ̃=ʃy=sə=ma=tɛ̃ 8
il=sa=ʁε=ta=syʁ=mɔ̃=ʃə=mɛ̃ 8
e=ɑ̃=bʁa=sa=mɔ̃=ku=ma=mɛ̃ 8
ma=ʃu=ʁa=ve=kɔmə=œ̃=my=tɛ̃ 8
ʒə=mi=vwa=ɑ̃=kɔ=ʁə=fa=lo 8
ʒe=tε=lε=su=lje=de=la=se 8
pa=lo=mal=ɡʁe=lə=nwaʁ=ka=lo 8
ʁə=sydə=ta=bu=ʃə=œ̃=bε=ze 8
ynə=flœʁ=tɔ̃=be=dy=sjεl=di=vwaʁə 8
syʁ=lə=ʁə=ve=də=mɔ̃=mi=taʁ 8
e=sε=tœ̃=tu=pə=ti=plys=taʁ 8
kə=sə=ʁε=pεʁə=a=vεk=mu=taʁ 8
a=mε=kεl=lə=ε=sεtə=ɔ=fʁɑ̃də 8
e=sε=tə=ʒwa=tɔ̃=be=si=ɡʁɑ̃də 8
œ̃=kwɛ̃=də=sjεl=a=paʁ=ɑ̃n=ɥi 8
bɔʁ=de=də=mjεl=mε=sɔ̃=bʁən=ɥi 8
o=pwɛ̃=dy=ʒuʁ=ti=ʁe=dy=li 8
plε=zə=a=djøkə=ʒə=nə=de=fajə 8
ʒɑ̃=fi=lə=ʁε=mɔ̃=ɡʁo=syʁ=pli 8
puʁ=ʁə=tʁu=ve=su=la=mi=tʁajə 8
mɔ̃=na=mə=sœ=ʁə=sə=lə=pεʁsɥ 8
paʁ=mi=lε=zɑ̃=ʒə=tε=tə=nɥ 8
ʒə=tə=ve=ʁε=blɑ̃=ʃə=e=mənɥ 8
de=sɑ̃=dy=də=tɔ̃=sjεl=vənɥ 7
ʒe=tε=bjɛ̃=səl=ʒe=tε=də=nɥi 8
ʒe=tε=lə=ptit=sɔm=nɑ̃=by=lə 8
a=di=va=ɡe=lɔʁ=ka=min=ɥi 8
a=mɑ̃=za=dø=tɛ̃=ti=na=by=le 9
ʒə=tʁɑ̃blə=ɑ̃=kɔʁ=də=mε=kə=nɔtə 8
ʒə=ʒy=ʁə=sə=nε=pwɛ̃=paʁ=fʁusə 8
ty=ma=fʁa=pe=də=ta=mə=nɔtə 8
si=lεs=tə=e=pɥi=si=du=sə 8
œ̃=flɔ=kɔ̃=ma=ply=sə=tɑ̃=to 8
ʒε=dy=ʁε=ve=sε=puʁ=tɑ̃=to 8
puʁ=tɑ̃=mε=mɛ̃=ki=lɔ̃=sε=zi 8
sɔ̃=tɑ̃=kɔʁ=fʁwadə=tu=tə=tʁɑ̃=zi 8
e=lɔʁkə=fo=εn=sə=lε=vəɑ̃=fɛ̃ 8
ʒə=tə=pεʁd=lwɛ̃=dɑ̃=mɔ̃=sɔ=mεj 8
ɑ̃=tʁə=mε=dwa=ɡuʁd=də=my=fɛ̃ 8
ty=ne=tε=ko=e=mwa=ʒə=bajə 8
ʒə=ʁə=pʁɑ̃=ma=vi=də=ti=ti 8
lwɛ̃=dε=za=tɔmə=dy=blɑ̃=me=nil 8
dy=ʁεs=tə=paʁsə=swaʁ=ɑ̃=nεɡ=zil 8
a=twa=ma=flœʁ=a=twa=tɔ̃=ptit 8
Récompense
Poesie sans commentaire
19/04/2024Poeme-France
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Poème Amour
Du 01/09/2016 00:04
L'écrit contient 481 mots qui sont répartis dans 20 strophes. Toutes les strophes sont composés de 4 vers. Il est possible que le texte suive une forme de poésie classique.