Univers de poésie d'un auteur

Poème:Les Névroses Et Les Psychoses (Iii)

Le Poème

Le délire des grandeurs et de la persécution
I- Le délire des grandeurs
Mégalomanie
La « folie des grandeurs » est très familière aux psychiatres… et au public. Ce délire est donc l’exagération de la paranoïa. Le malade est convaincu de sa force physique exceptionnelle, et de sa beauté inouïe ; il descend des plus illustres familles ; il est apparenté à toutes les cours d’Europe et d’ailleurs… Il est riche, riche à milliards, brasse les affaires, commande à des millions d’hommes. Il est certain d’être un surhomme, un prophète, un des plus grands inventeurs de tous les temps. Toutes les femmes se pâment à ses pieds, tous les mérites lui sont dus, il possède tous les titres, toutes les hautes relations, toutes les richesses…
Souvent, l’aliéné se revêt d’oripeaux qui représentent le personnage qui s’est créé dans son cerveau malade. Il s’affuble de costumes, de chapeaux, de décorations, de galons.
Cette aliénation mentale si courante, n’est-elle pas la caricature des millions d’ambitieux et de paranoïaques légers qui pullulent à la surface de la Terre ? … N’est-elle pas la caricature de tous ceux qui se veulent supérieurs ?
Mais le délire des grandeurs ne se retrouve pas uniquement dans la paranoïa. On le trouve dans la paralysie générale, (Méningo-encéphalite d’origine syphilitique) , et dans certaines formes de manie ou de schizophrénie. Des débiles mentaux, à leur tour, se donnent des titres et de très hautes situations. C’est alors le port illégal de l’uniforme et des décorations, et diverses autres manifestations qui « concrétisent » leur délire.
Il existe donc une gamme allant de la paranoïa légère à la psychose proprement dite. Le problème de la responsabilité légale se trouve ainsi posé. Les paranoïaques et les mégalomanes passent parfois aux actes ; ils expriment leur « puissance » et leurs « titres » par la parole, mais également par leurs costumes ou leurs actions. Ce sont alors les infractions à l’ordre public, les ports de décorations, les insultes aux magistrats, les escroqueries, les coups et les blessures.
Il est évident que la responsabilité est nulle dans la paralysie générale. Dans les autres cas, la responsabilité est liée à l’intensité de la psychose.
II- Le délire de la persécution
Comme le délire des grandeurs, le délire de la persécution se rencontre fréquemment en clinique… et ailleurs !
La persécution est souvent liée à l’idée de grandeur ; si le malade sait tout, est puissant et absolument lucide, n’a-t-on pas intérêt à le supprimer ? … De quoi se plaint le « persécuté » ? Que l’on porte atteinte à sa fortune ou à sa situation. Qu’on exerce une influence physique sur son corps, au moyen de l’électricité, des rayons, de l’hypnotisme, etc.
Que des personnes le persécutent à distance par des moyens magiques qui peuvent influencer son esprit, détruire sa fortune, l’empêcher d’agir, le faire mourir, etc. Il prétend également qu’on l’écoute au moyen de la radio, qu’on sait tout ce qu’il fait chez lui, qu’on capte sa pensée…
Très souvent, les hallucinations se présentent. Le malade entend des voix qui l’insultent, le menacent. Parfois, il prétend qu’on a « fracturé » son cerveau pour capter ses pensées ou diriger ses idées. Il est donc naturel que ce malade ressente une vive angoisse, qui ne fait que renforcer son délire.
Tantôt il prétend que « on » le persécute, sans préciser davantage. Mais parfois il désigne telle personne, tel groupement politique, telle secte religieuse. Les commissariats de police et les autorités judiciaires en savent quelque chose.
Le malade peut réagir de plusieurs façons au délire de persécution. Il peut se livrer à certains moyens de défense : il se verrouille chez lui, porte de bizarres accoutrements, etc. Il fabrique des écrans, des fétiches et des amulettes pour se protéger contre les rayons, les ondes, ou la pensée de son persécuteur. Le malade entend également des voix, soit ennemies, soit protectrices ; il leur répond, discute, se bouche les oreilles. Ou il se défend autrement : il menace et insulte ses « persécuteurs », porte plainte, etc. S’il décide d’anéantir lui-même ceux qui le persécutent, il risque, évidemment, de devenir très dangereux.
Un exemple
Voici, en illustration, un fragment de lettre, (reproduit tel quel, fautes comprises) , d’un « persécuté » :
« Monsieur, Fraternel et Puissant,
Ceci, pour avoir l’honneur de vous dire que vous pouvez faire qu’on cesse de vouloir me tuer à distance par la pensée de mes ennemis. Ils ont des poupées qu’ils piquent et m’hypnotisent pour avoir tout ce que je sais et s’en servir contre notre pays. Je sais qu’il y a des micros qu’ils ont cachés dans ma Résidence, mais je ne parviens pas à mettre la main dessus. Mes ennemis savent bien mes secrets d’Etat et de diplomaties quand je voyagais pour les affaires politiques. Je ne veux pas m’abaisser à faire ce qu’ils font ; mais je veux une puissance près de la mienne qui est la vôtre. A nous deux, je serai certain de les vaincre et qu’ils ne pourront plus avoir mes pensées et m’entendre chez moi, entendre tout ce que je dis et ce que je pense. Si vous m’aidez, je récupérerai ma fortune et vous en donnerai. Mais je ne peux pas beaucoup sortir, parce qu’ils pourraient me diriger chez eux par la radio ou par la pensée, et m’enfermer »
Soins psychiatriques
Toutes les psychoses, même les plus graves, sont susceptibles de guérison. Certains malades semblent descendre jusqu’au degré le plus bas de l’animalité humaine. Ceux-là même guérissent parfois d’une façon rapide et définitive, reprenant une vie sociale, et capables de surmonter de grandes difficultés avec maîtrise, durant toute leur vie.
Evidemment, le traitement des psychoses ne peut pas se faire « en bloc ». Tout psychiatre devrait travailler le malade en profondeur, et pendant le temps nécessaire. De véritables résurrections mentales en seraient souvent le fruit. C’est là tout le problème ; y a-t-il suffisamment de psychiatres ? Ont-ils le temps, devant l’afflux des malades mentaux ? Malgré leur vouloir et leur science, ne doivent-ils pas se contenter parfois de traitements rapides ? De plus, ne sont-ils pas soumis à de stupides quolibets populaires et aux plaisanteries de certaines Presses ?
De plus, la psychanalyse et la psychothérapie peuvent donner de bons résultats, même chez les aliénés gravement atteints. L’aliéné est « étranger » ? Parfois bien moins qu’il ne le paraît. Malgré les apparences, il demeure en lui une personnalité étouffée, silencieuse, mais qui souffre. C’est pourquoi tout service d’asile doit être basé, avant tout, sur un respect absolu de l’aliéné qui, comme n’importe qui, garde les droits les plus sacrés de l’humain.
Encore la névrose
Après le ciel opaque des psychoses, faisons demi-tour afin de retrouver la conscience et les nuages gris des névroses.
La névrose et la puberté
La puberté ouvre la porte à de nombreuses névroses. Cette fameuse puberté n’est-elle pas le premier grand « saut », et la première adaptation très importante, demandée par la Vie ? Si des névroses apparaissent après la puberté, d’où viennent-elles ? D’une cause physique ? D’une cause psychologique ? La puberté est essentiellement caractérisée par une apparition des fonctions génitales, et par diverses modifications physiologiques (apparition des poils, développement des seins et des hanches chez la fille, changement de la voix, etc. ) Faut-il rattacher les névroses de l’adolescence aux changements physiologiques et aux modifications endocriniennes ? Pendant longtemps, on l’a cru. On a même donné une place capitale aux facteurs hormonaux ; mais actuellement le rôle endocrinien semble, en général, de plus en plus minime, sinon inexistant. Alors, que reste-t-il, sinon les éléments psychologiques ?
A nouveau, la Psychanalyse entre dans l’arène… On constate fréquemment que les névroses adolescentes viennent d’inadaptations ; inadaptations à la sexualité, inadaptations aux milieux, etc. Un manque d’évolution normale, en quelque sorte. Dans ce cas, la puberté crée-t-elle une névrose ? Il ne semble point. Mais la puberté « met le contact », et fait apparaître nettement un déséquilibre préexistant. Ce déséquilibre peut être constitutionnel, ou avoir été crée par le milieu…
L’adolescent névrosé éprouve de grandes difficultés à s’adapter aux tâches sociales ; il fuit les responsabilités, il est faible. C’est un arriéré affectif, bloqué quelque part dans son passé… Il cherche souvent refuge auprès de sa mère… jusqu’à ce qu’il fasse de même auprès de sa femme… à moins qu’il ne devienne compensé. Tous les coups sont permis !
Ce sont alors des adolescents obsédés, scrupuleux, angoissés, hyper-timides, agressifs, cyniques, révoltés… Tous ces troubles se répercutent évidemment sur la sexualité. Celle ci devient impulsive, avec besoin immédiat de satisfaction (attentats à la pudeur, masturbations répétées, homosexualité, sadisme, etc. )
Les adolescents névrosés par blocage affectif dépendent d’un traitement psychologique.
L’adolescence
Il est souvent agréable de se souvenir de son enfance ; mais se rappeler joyeusement l’ « âge ingrat » prouve souvent un manque de mémoire ! L’adolescence est une période troublée, anarchique, pénible, redoutée par beaucoup de parents ; c’est la période de vie qui succède à l’enfance, et s’étend jusqu’à l’âge adulte.
Chez le garçon : de 14 à 20 ans
Chez la fille : de 12 à 18 ans
Ces mesures varient évidemment d’après le climat, la race, le milieu social (qui peut imposer certaines adaptations précoces ou retardées) .
La puberté
C’est la porte de l’adolescence… Une renaissance, en quelque sorte. L’enfance s’éloigne, les jeux d’enfants sont abandonnés. L’équilibre est rompu ; le caractère devient d’une instabilité remarquable. Finie, l’existence douillette sous la protection des parents ! Chez beaucoup de peuples, la puberté n’est-elle pas à la fois une mort et une renaissance ? Le cinéma nous a familiarisé avec certains rites « d’initiation », cruels, impitoyables, destinés à mener le jeune pubère vers sa nouvelle existence d’Homme…
« Jeune apprenti de la vie », l’adolescent s’élance maladroitement. Fougue, émotions, impétuosité, sont ses caractéristiques.
La rêverie fait son apparition : l’adolescent découvre son « Moi ». Il se compare à ceux qui l’entourent. Il découvre la notion du temps, et commence à faire des projets d’avenir. Cette découverte du futur et du passé l’amène à « faire le point » : c’est l’époque des journaux intimes… (et Dieu sait s’ils sont émouvants, ces journaux que des adolescents m’apportent spontanément) . La révélation de son « Moi » ne peut évidemment que bouleverser l’adolescent ; il se tâte mentalement, se cherche, s’examine, se retire dans la solitude. Il tente avant tout de comprendre ce qui lui arrive ; il cherche donc à s’analyser. Empêtré dans le fatras de ses contradictions intérieures, il cherche ardemment une affection et une direction qui puissent l’aider à voir plus clair… Son imagination bat la campagne, un peu affolée, ne sachant par où commencer, ni par quel bout prendre le vaste monde… Les étendards de la révolte se lèvent : ce sont les attaques rangées contre les « vieilles barbes », contre les « croulants », contre les valeurs établies, les règles sociales, les morales traditionnelles. C’est aussi la révolte (sourde ou ouverte) , contre la famille, qui affole si souvent les éducateurs ! Les excentricités continuent : l’adolescent tient d’invraisemblables propos, « chahute », scandalise à plaisir ; raille père, mère et société ; il fait partie de « bandes » ayant leurs clubs et leurs codes secrets.
Autre découverte capitale : les valeurs spirituelles ! Les crises philosophiques et morales éclatent. L’adolescent est préoccupé par le bien, le beau, le vrai. Il se lance dans des discussions parfois acharnées, qui n’ont souvent rien d’une conversation « thé de cinq heures » ! La soif de l’absolu le ronge. C’est d’ailleurs un redoutable raisonneur… affirmant catégoriquement ce qu’il ignore, et se moquant absolument des contingences…
Si son « Moi » le rend perplexe, il est bien naturel qu’il essaie d’en sortir ! Il cherche des sympathies, des appuis, se dirigeant lentement vers l’amitié et l’amour. C’est la période appelée « stade de la délivrance du moi ».
Le volcan s’allume : les grandes passions, déchaînées, douloureuses, aveugles, font leur apparition. Les aversions acharnées également ! L’adolescent éprouve des attachements exclusifs, jaloux, ombrageux. Il cherche souvent l’amitié d’un plus jeune, qui lui permet de mieux s’affirmer ; il arrive fréquemment aussi qu’il se dévoue corps et âme à un adulte admiré : professeur, savant, écrivain… Certains professeurs sont sujets à l’engouement des lycéennes, qui dépassent parfois la mesure normale. On voit des adolescentes qui embrassent la chaise où s’est assis le maître… ou qui mangent la craie dont il s’est servi. Il y a donc ici une « fixation » importante.
Les amitiés adolescentes… On aime son ami, on a foi en lui, on l’admire. On se sacrifie pour lui, on l’imite. Beaucoup de parents s’inquiètent devant ces amitiés passionnées, et redoutent des déviations sexuelles. Qu’ils se rassurent : le cas est plutôt rare. Quant à l’amitié d’un adolescent envers un enfant plus jeune, elle peut offrir plus de dangers. Mais elle a souvent de bons effets sur le plus jeune, qui obtient ainsi un guide et une protection. (Certains collèges, Angleterre, Jésuites, ont fait un excellent usage de ces amitiés adolescentes. )
Phénomènes physiques. L’adolescence est caractérisée par l’apparition des fonctions génitales et des caractères sexuels secondaires (apparition des poils, développement des seins et des hanches chez les filles, transformation de la voix, etc. ) . Vers 12 ans (chez la fille) et vers 13 ans (chez le garçon) , les poils poussent au pubis. Un peu de temps s’écoule, et d’autres poils apparaissent sous les aisselles. Puis c’est, vers 16 ans, l’observation fréquente et hésitante devant les miroirs : la moustache apparaît ! Achat du premier rasoir « de sûreté »… nouveaux doutes… évocation de jeunes filles « qui ne doivent pas trouver ça très sensationnel »… premier savonnage, effectué comme un rituel… sensation d’être un homme… et départ vers des savonnages de plus en plus fréquents. Quant à l’aspect physique ! … Corps dégingandés ou courtauds, mains rougeaudes qui ne savent où se fourrer, points noirs sur le nez et le menton ! Mais ce n’est pas tout : une nouvelle disgrâce s’abat : la mue de la voix ! Le jeune garçon contemple désespérément cette pomme d’Adam qui saille honteusement ; il sent, comme une obsession, cette détestable pomme monter et descendre… La voix, elle, rappelle souvent Donald Duck dans ses plus beaux jours. Ici, le rôle du père peut être important : prévenir l’enfant de cette mue de la voix, afin que le jeune garçon ne se considère pas comme un vulgaire réprouvé ! …
Autre phénomène important : la fonction de reproduction. Les cellules reproductrices entrent en maturation (ovules et spermatozoïdes) . Chez les filles, l’apparition des règles varie. En moyenne, entre 12 et 14 ans. Des fillettes voient apparaître leurs règles à 11 ans. D’autres, beaucoup plus tard (18 ans) . Ces variations dépendent de la race, de la température, et de certains milieux sociaux. Les ovaires se développent chez les filles ; les testicules et les organes externes chez le garçon.
Maladies de l’adolescence
Troubles physiques principaux.
L’adolescence est un âge « critique », certes ; mais il ne faut nullement en exagérer les dangers. La plupart traversent cette période sans incident bien sérieux. En premier lieu, l’adolescence montre des troubles de la croissance. Ils sont souvent l’effet d’une mauvaise régulation hormonale. Parfois, certains troubles endocriniens avancent ou retardent la fonction de reproduction. L’hypophyse peut aussi faire des siennes : c’est alors un défaut de croissance « vers le haut » ou « vers le bas », aboutissant au gigantisme ou au nanisme. Des troubles endocriniens peuvent provoquer une absence de caractères sexuels secondaires : les formes corporelles demeurent infantiles. Dans certains cas de puberté très précoce, il arrive que les garçons deviennent des « Fort de la Halle », et que les filles tendent à l’obésité.
De toute façon, il n’y a nullement de quoi s’effrayer. La médecine moderne combat efficacement les troubles sérieux de la croissance, au moyen d’hormones appliquées à chaque cas particulier.
Mais ces cas anormaux sont plutôt rares. On connaît aussi l’appétit féroce des jeunes gens. Ils doivent manger en suffisance ; la nourriture contiendra des vitamines de croissance. D’ailleurs, l’organisme connaît d’instinct ce qui lui convient : l’adolescent manifeste généralement un goût pour les crudités et les fruits dont la richesse en vitamines est connue. (Vitamine A = croissance générale ; Vitamine E = activité génitale ; Vitamine D = développement des os) .
La culture physique est importante au cours de l’adolescence, et les sports sont de plus en plus adaptés aux nécessités de cet âge. Il va de soi que les sports et l’éducation physique doivent être sévèrement contrôlés médicalement, afin que les adolescents n’accomplissent pas des efforts qui dépassent leurs capacités physiques.
Troubles psychiques principaux. L’adolescence consiste en un mûrissement psychologique, devant aboutir à une adaptation sociale. Les incidents psychologiques sont monnaie courante pendant cette période de vie ; il en est de bénins, et de très importants.
Troubles bénins.
Nous venons de voir l’évolution normale des adolescents. Ce stade de vie impose donc des troubles du comportement. On rencontre souvent des modifications de l’humeur, des tristesses profondes, de grands replis sur soi. Les crises de larmes, la solitude et l’isolement sont fréquents. Beaucoup d’adolescents se perdent en de vagues rêveries, pouvant être une amorce de la schizophrénie. Parfois ce sont des élans mystiques ou philosophiques, des explosions sentimentales brusques, et sans motif apparent. Les adolescents « capricieux », boudeurs, extrêmement pudiques, rougissant pour un rien, sont légions. Tous les parents connaissent les révoltes adolescentes ; elles se traduisent par le cynisme, l’insolence, l’agressivité, certaines fugues ; l’adolescent veut devenir indépendant et « vivre sa vie », spontanément et sans contrainte.
Certains adolescents présentent une tendance au mensonge et à la fabulation (mythomanie) . Ils altèrent la vérité, créent des histoires purement imaginaires, et simulent même des états organiques anormaux. Bien sûr, l’imagination créatrice y est pour quelque chose, ainsi que les suggestions venues de l’extérieur !
Ils vivent à la frontière de l’imaginaire avec une facilité déconcertante. Surtout les jeunes filles, qui sont capables de bâtir de véritables romans à partir d’un tout petit rien… L’adolescence est une sorte de prisme qui déforme considérablement la réalité, parce que c’est une période subjective, et capable d’audacieuses constructions… C’est d’ailleurs l’âge où l’être humain doit se « libérer » de son bouillonnement intérieur ; il fait des poèmes, devient très sensible aux beautés artistiques, écrit des essais littéraires et musicaux, etc. L’imagination galope dans tous les sens ; aussi atteint-elle rarement la consistance…
La mythomanie des adolescents provient également de la vanité et du désir de se faire valoir ; elle peut montrer des sentiments d’infériorité, courants à cet âge. De plus, certains adolescents « simulent » des situations et des maladies, essayant de retenir l’attention et la bienveillance de l’entourage. Ils retournent ainsi à un stade infantile qu’il s’agit de traiter psychologiquement ; certaines de ces simulations ayant des formes hystériques, et risquant de se prolonger.
Beaucoup de jeunes gens sont surpris par la puberté comme par une marée inattendue. Personne ne les a avertis, ce qui est une grave erreur ! Il est nécessaire de signaler aux adolescents les troubles qui vont se produire, afin qu’ils n’en retirent aucune inquiétude. De même, une mère de famille doit prévenir sa fillette, et cela vers 11 ans déjà. L’enfant doit savoir que ses règles sont proches ; qu’elle éprouvera des malaises, qu’elle constatera un écoulement de sang, etc. Trop de fillettes sont profondément effrayées, et éprouvent un grand choc psychologique, qui pourrait facilement être évité. Même rôle pour le père de famille ; son fils doit être prévenu des érections sexuelles nocturnes et des pollutions, tout à fait normales.
Troubles plus inquiétants. _ Nombre d’adolescents présentent une tendance aux obsessions et aux phobies de toutes sortes (surtout de nature sexuelle ou religieuse) . Combien sombrent dans de mortelles inquiétudes, dans des doutes terrifiants ? Dans les obsessions de communions sacrilèges ? Il s’agit de dépister tout cela à temps : ces troubles pouvant continuer et aboutir à la névrose grave. (Nous avons vu des cas de ce genre au cours de cet ouvrage) .
En cas de tares mentales préexistantes, la puberté sert fréquemment d’interrupteur. Les tares se montrent alors brutalement, bien qu’elles n’aient aucun rapport direct avec le phénomène proprement dit de la puberté.
Enfin, la puberté est un moment de choix pour un début de schizophrénie. Nous avons étudié cette pénible maladie mentale. Au début, ses manifestations sont très discrètes : tendances anormales à l’isolement, rêveries et repli sur soi exagérés ; l’adolescent semble perdre le contact avec la réalité. Ces manifestations ne sont pas toujours des signes de schizophrénie débutante, évidemment ! Cependant, on ne saurait trop insister sur un dépistage précoce de cette poignante maladie, si répandue…
La puberté et la sexualité
Dès la puberté, l’instinct sexuel monte brutalement à la surface. Ce n’est plus l’instinct rudimentaire du petit enfant, mais une tendance orientée vers « quelque chose ». Vers quoi ? Voilà bien ce qui trouble la plupart des adolescents… La sexualité se présente comme une puissante lame de fond ; elle agit au moment où l’adolescent a déjà subi l’empreinte profonde de l’éducation. Si nous nous rappelons la psychanalyse, l’instinct et la morale donnée par l’éducation sont face à face ; amis ou ennemis !
C’est pourquoi ce fameux instinct sexuel est sujet à tant de déviations. L’adolescent se sent « poussé hors de lui-même », sans savoir ni où, ni pourquoi, ni comment. En même temps que la tendance sexuelle, apparaît la sensualité.
C’est l’époque où émeuvent les parfums subtils et violents… Où l’on est très sensible à l’odeur des cheveux, de la peau, d’un gant et d’un mouchoir oubliés… Sensibilité à la beauté d’une rose ou d’une musique…
C’est la volupté, dans le sens le plus large… Quelle émotion profonde si un adolescent entrevoit la nudité d’un beau corps féminin ! Beauté, sexualité, volupté, attente, indécision ; telles sont les grandes marques de son affectivité. Devant ces puissances inconnues, beaucoup d’adolescents font demi-tour. Ils se retirent, et cherchent anxieusement la pureté, comme si l’instinct sexuel normal n’était pas la pureté même ! … De toute façon, rejetée ou acceptée, toute l’affectivité de l’adolescent devient sexuelle.
En même temps, apparaît une grande émotivité : timidité, rougeurs, rires et pleurs spasmodiques (surtout chez les filles) . Et beaucoup de parents, sidérés, ne « savent plus à quel saint se vouer… ». Ils disent à leurs enfants : « Mais qu’as-tu donc ? »… Et l’enfant devrait répondre : « Ce que j’ai ? … Mon adolescence… ».
C’est ensuite, normalement, la direction vers le sexe opposé. C’est la période d’amour platonique, d’admiration fervente, du désir de protection. C’est le moment des rêveries sans fin où les situations les plus chevaleresques sont imaginées ; des oreillers embrassés, le soir, dans la solitude de la chambre… Le culte platonique de la femme apparaît souvent, assez dangereux d’ailleurs s’il ne se liquide pas. C’est le moment le plus « corde raide » de la sexualité adolescente. Tendresse platonique d’un côté ; attirance charnelle de l’autre. L’idéal est donc qu’ils s’accordent !
Mais parfois, ils ne s’accordent pas. L’amour platonique continue jusqu’à l’âge adulte et rend impossible l’apparition de l’amour véritable… Tout dépend donc ici des prédispositions de l’adolescent, et de la façon dont il fut élevé. (Revoir le complexe d’Oedipe, étudié en psychanalyse) C’est donc une phase d’indécision, qui conduit certains adolescents à l’homosexualité, ou à l’impuissance sexuelle. Et c’est ici que l’on doit veiller à une éducation compréhensive.
Les filles suivent à peu près le même développement ; cependant, quelques différences se marquent. Leur sexualité est beaucoup plus diffuse ; au lieu de se localiser nettement, elle fait « tâche d’huile ». C’est pourquoi la masturbation est beaucoup moins fréquente chez elles que chez les garçons. Elles se contemplent, s’observent, regardent avec ravissement les courbes de leurs corps, exècrent violemment de petits défauts mineurs… Elles sont atteintes d’une « exquise » pudeur, et d’une immense coquetterie. Quant à la rêverie… un geste, un sourire, un regard, et les voilà parties vers un échafaudage de romans aux horizons infinis et émotifs…
Faut-il éduquer ensemble garçons et filles ?
Il semble que l’éducation mixte soit tout indiquée pour résoudre le chemin normal vers l’autre sexe. Cette solution est souvent excellente. L’aisance vis-à-vis de l’autre sexe en est le résultat fréquent. Bien sûr, on peut objecter que le garçon tombera difficilement amoureux d’une fille qu’il voit transpirer sur les mêmes problèmes que lui. L’attrait du mystère « d’en face », risque de cesser prosaïquement. Les opinions sont donc partagées à ce sujet : comme dans tout problème humain, il n’existe aucune solution générale. L’idéal, c’est la sauvegarde psychique et physique de l’adolescent, qui lui permet de traverser avec peu de dégâts, des situations parfois inextricables. C’est donc un problème d’éducation et de prévention mentale. De toute façon, il est indispensable que les « deux sexes » aient souvent l’occasion de se rencontrer, afin de s’observer, se connaître et s’aimer.
L’Adolescence et la masturbation
La masturbation solitaire est probablement l’activité sexuelle la plus répandue durant l’adolescence (surtout chez les garçons) . J’en ai déjà parlé en étudiant Freud. Masturbation ! … Un mot que nombre de personnes couvrent d’opprobres, de malédictions, que sais-je ! Cette pratique sexuelle solitaire est chargée d’un bien grand nombre de maux imaginaires : pertes de mémoire, paralysie, folie, grande bosse dans le dos, disparition des organes génitaux, gâtisme précoce, impossibilité d’avoir des enfants, ramolissement du cerveau, dépravation morale et débauche inévitables, maladies honteuses, et j’en passe.
Il suffit d’avoir entendu les confessions des adolescents pour savoir combien cette question est déformée. Tout cela serait assez grotesque, si des névroses parfois très graves, ne se déclenchaient à la suite de masturbations répétée durant des années.
Non pas à cause de la masturbation elle-même, mais du climat psychologique qui l’accompagne. Il y a donc là de fausses conceptions, à détruire le plus rapidement possible. Aucun tort n’est jamais provoqué par la masturbation elle-même, à condition qu’elle ne dépasse pas certaines limites. Il ne faut pas donner à l’adolescent la « honte » de son acte, mais lui apprendre à se dominer, et à trouver un dérivatif. Lui apprendre la continence, librement consentie, et le respect de soi, et non la peur de châtiments divers.
Quelles sont les causes de la masturbation ?
Sous sa forme la plus simple, elle tend à soulager un désir sexuel purement physique. C’est ainsi qu’on l’observe chez les animaux (chiens, éléphants, singes captifs) ou chez des adultes privés de toute possibilité de contact sexuel (voyageurs, prisonniers, internés psychiatriques… ) .
Beaucoup de garçons apprennent les éléments de la sexualité à l’école, par les conversations de leurs compagnons. Ils sont d’ailleurs fréquemment révoltés par la façon grossière dont la chose est présentée. Certains adolescents apprennent la masturbation, soit en entendant parler d’elle, soit afin d’imiter les autres. Mais on peut se rassurer toutefois ; la plupart des adolescents sortent moralement indemnes de ce genre d’expérience prématurée.
Sous une forme plus complexe, la masturbation peut souligner une tension psychologique, n’ayant rien à voir avec la sexualité. C’est ainsi que de nombreux adolescents se consolent d’un milieu nocif, du sentiment d’être malheureux, de la solitude, des réprimandes, etc. Certains adolescents ne pratiquent la masturbation solitaire que s’ils sont contents. D’autres, uniquement quand ils sont tristes, anxieux, mélancoliques, etc. Il y a donc ici le soulagement corporel d’une tension émotive.
La masturbation et l’imagination
C’est une forme dangereuse de masturbation, à cause de certaines « fixations » mentales pouvant continuer durant toute l’existence.
Tel jeune homme se masturbe en imaginant qu’il se trouve sur un trône royal, avec des dizaines de femmes à ses pieds. Tel autre le fait en pensant à un camarade plus âgé, et qu’il admire beaucoup. Tel autre jeune se masturbe en imaginant qu’il humilie des jeunes filles dont il a peur, etc. , etc. Ces pratiques montrent bien les tendances profondes de chaque adolescent. Il y a donc danger !
Certaines tendances perverses peuvent se lier à la masturbation, et en devenir inséparables… Le jeune homme continuera donc à satisfaire ces tendances par le même moyen, et ce, jusqu’à l’âge adulte. Il arrive alors fréquemment qu’il soit obligé de se masturber toute sa vie, qu’il soit célibataire ou marié. Pourquoi ? Parce qu’il n’oserait jamais avouer ses désirs « secrets » à sa partenaire. La masturbation de l’adulte peut se pratiquer de deux façons : soit dans la solitude, soit au cours de l’acte sexuel entre époux. Dans ce dernier cas, l’acte sexuel semble s’accomplir normalement… alors que le (ou la) partenaire laisse tourner son imagination sur ses tendances particulières, restées semblables à elles-mêmes depuis de nombreuses années… j’en reparlerai d’ailleurs dans le chapitre suivant : La Sexualité.
C’est surtout dans ce domaine imaginatif que les adolescents doivent être mis en garde. Encore faut-il qu’ils se confient… ce qui est beaucoup plus facile qu’on ne le croit. Il faut qu’ils sachent n’être pas seuls sur Terre à pratiquer ce « vice », tout d’abord. Et qu’ensuite, il aient le sentiment profond que l’éducateur considère la question avec une compréhension et une largeur d’esprit totales. La masturbation redevient alors ce qu’elle doit être : un incident normal de l’adolescence, temporaire, et vite oublié.
La délinquance juvénile
La délinquance juvénile est l’une des formes les plus pénibles (et dangereuses) de l’inadaptation sociale des enfants, puis des adolescents devenus délinquants. Les journaux regorgent de ces cas de délinquance ; des actes absurdes, gratuits, et sans motifs, sont accomplis. Cette délinquance intéresse donc les éducateurs, la société, les psychologues, les médecins, qui détectent d’ailleurs souvent, chez les jeunes délinquants, des troubles du caractère et des tares mentales. Ce qui est normal, étant donné l’affreuse bêtise de certains gestes criminels.
Il est certain que les climats de guerre, l’abandon moral ou physique de beaucoup d’enfants, la chute des valeurs humaines, l’appréhension d’avenirs chargés de bombes, ont fait rebondir la « fureur de vivre » et la délinquance juvénile.
La diminution de la moralité est certainement un des facteurs principaux. Et les éléments de cette diminution ne manquent pas. Comment nombre d’enfants ne seraient-ils pas marqués par cette chute de la morale et du respect d’autrui ? Ainsi que par le désir de « jouir » de la vie le plus vite possible ?
Les conditions de vie sont également très importantes. L’indigence, la grande pauvreté, la séparation rigoureuse des « classes » sociales, le chômage, l’alcoolisme, ne sont pas faits pour arranger les choses. Si on y ajoute les tentations extérieures, on constate, en effet, que la délinquance est plus fréquente dans les villes que dans les campagnes.
La plupart des auteurs sont d’accord pour donner à la désorganisation du milieu familial une place prépondérante. Les cas sont très pénibles : parents divorcés, parents qui ne s’entendent pas, révolte des enfants contre leur milieu, concubinage, abandon moral ou physique, etc.
Quant au cinéma, son rôle est véritablement pernicieux, et représente, pour beaucoup d’enfants, une véritable intoxication. Il suffit de se promener en ville, et de contempler les affiches annonçant les films ; on est stupéfait de constater le nombre de films tournant autour de crimes ; de voir quantité d’affiches montrant des gestes agressifs, d’observer le nombre de revolvers représentés sur ces mêmes affiches ! C’est absolument effrayant ; et on pourrait dire que, dans ce domaine, la société récolte ce qu’elle sème. Les mesures destinées à protéger la jeunesse contre certains cinémas sont indispensables.
Les jeunes voleurs
Ils volent, soit en bandes, soit solitaires. Le vol peut être l’action d’un enfant pervers, mais également d’un adolescent dont l’affectivité est troublée. L’enfant vole surtout aux alentours de la puberté ; le mobile peut être la jalousie envers une autre personne de son âge, une vengeance envers les parents, le désir de satisfaire ses besoins, la vanité, etc. Si le vol est provoqué par une affectivité troublée, la psychothérapie est indiquée pour en détecter les motifs.
Les jeunes prostituées
La prostitution est assez fréquente ; très souvent, elle est le résultat du vagabondage. On comprend que la prostitution juvénile soit encouragée par la misère, le chômage, les mauvais exemples, les entraînements dangereux.
Les jeunes vagabonds
Il existe avant tout les jeunes vagabonds « maladifs » et irresponsables ; ce sont les épileptiques, les schizophrènes, etc. Le cinéma et les romans d’aventures (policiers ou autres) ont également déclenché bien des départs d’adolescents, partant à l’aventure… Le vagabondage a on le comprend pour effets fréquents : la mendicité, le vol et la prostitution. Il existe aussi une autre forme de vagabondage : ce sont les fugues.
Les fugues
Etant donné leur nombre, les fugues présentent un intérêt particulier. Une fugue peut provenir d’une maladie déjà installée (telles épilepsie, perversité, etc. ) . Mais, le plus souvent, les mobiles en sont purement psychologiques. Il faut alors chercher dans la vie affective du jeune « fugueur », et dans son milieu familial ou scolaire. On y trouve des fuites devant ce que l’enfant considère comme une injustice, ou une sévérité déplacée. On y trouve la peur d’être réprimandé, la sensation d’être frustré, la certitude de ne pas être aimé. Certaines fugues sont des chantages destinés à faire voir aux parents « combien leur enfant est malheureux », à leur faire peur, à se venger d’eux, etc. Ces fugues sont donc des évasions psychologiques, qui demandent un examen approfondi en chaque cas particulier, et souvent une thérapie familiale.
Les principales causes de la délinquance juvénile
La plupart des délinquants juvéniles sont des déséquilibrés de l’esprit. Il y a les jeunes qui se laissent entraîner par vanité, ou par faiblesse liée à une grande suggestibilité. Il existe aussi tous ceux à tendance paranoïaque (la paranoïa a été étudiée) ; c’est alors toute la gamme des « faux raisonneurs », des révoltés, des revendicateurs, des méfiants ; ce sont ceux qui cultivent le paradoxe et le suivent jusqu’au bout, etc. Il y a les hyper-émotifs, pour lesquels la moindre contrainte est insupportable, et qui sont sujets à des actes impulsifs. Et enfin, les pervers, qui sont les plus dangereux. On remarque chez eux une absence d’émotions, une morale inexistante, et une inadaptabilité marquée. On voit que de très nombreux facteurs entrent en jeu dans la délinquance juvénile. Le climat familial, scolaire, social, ainsi que les prédispositions de l’enfant, doivent être examinés sous toutes les coutures. Il existe souvent toute une réunion de motifs entremêlés. Les idées ont d’ailleurs considérablement évolué dans ce domaine ; les anciennes mesures de répression et de châtiment sont remplacées par les notions de traitement et de récupération sociale.
La drogue
Un des problèmes qui préoccupent actuellement les parents d’adolescents est l’extension prise par « la drogue ».
Au sens strict, une drogue est un produit (voire un comportement) , destiné à éliminer une souffrance physique (ou affective) , à modifier un état corporel (ou mental) , difficilement supportable. Les drogues sont évidemment aussi anciennes que la souffrance humaine. La fuite dans l’abus du vin ou du tabac, la voiture automobile procurant des compensations aux sentiments d’infériorité, sont des « drogues » parfaitement quotidiennes.
Ce que l’on appelle « la drogue » comprend aujourd’hui une série de produits, ayant un effet sur le psychisme, provoquant une accoutumance et un état de besoin grandissant, et conduisant inexorablement à l’utilisation de produits puissants, de plus en plus puissants, extrêmement coûteux, et mortellement irréversibles, à moins qu’un sevrage, entrepris relativement tôt, ne freine, puis arrête, non seulement les prises de drogues, mais l’état et le comportement addictif. Le but d’un sevrage est donc d’annihiler la tendance addictive d’un individu drogué.
En réalité, l’utilisation des drogues représente un des symptômes les plus monstrueux de nos sociétés schizophrènes. Il faut insister : nullement une maladie, mais un symptôme.
Entre les marchands multimilliardaires qui tiennent le haut du pavot, et les revendeurs minables, en fin de chaîne, guettant les enfants aux portes d’écoles, se trouvent les hallucinants déchets européens, hébétés dans leur agonie sociale, survivant donc comme ils peuvent, et sur lesquels on marche, sans vergogne, quelque part en Orient. Il s’agit des petits producteurs de drogue ; pauvres et délaissés par le système mafieux qui les emploie. Au centre de ce gluant réseau donc, des millions de parents vivent dans l’angoisse. Car si le chanvre n’est pas méchant, fumé occasionnellement, par curiosité ou contagion, mais sans lendemain, en revanche, les requins de la drogue savent combien ce chanvre peut être l’amorce d’utilisation de produits plus forts, et hors prix, qui font leur fortune. Ce que cherchent ces marchands, c’est que la marijuana, par exemple, aboutisse à la vente des grandes tueuses, pourvoyeuses de folie et de mort : L. S. D, héroïne, cocaïne, etc.
Les drogues mineures sont, cependant, extrêmement dangereuses. Parce qu’une partie de la jeunesse les a revêtues de « symboles », qui, pour être lamentablement décadents, n’en existent pas moins. Chacun sait que le chanvre est devenu l’emblème de la lutte actuelle entre les générations. De plus, certains adolescents lui attribuent des pouvoirs « spirituels », voire de découvertes « religieuses ».
Tout drogué véritable est, peu ou prou, un suicidaire. Et il n’est pas difficile de connaître le pourquoi de cette tendance au suicide mental ou corporel, qui est la part de certaines jeunesses d’aujourd’hui. La pathologie de la drogue est donc celle de l’échec, de la disparition, du suicide devant un monde que l’on refuse. La plupart des jeunes drogués cherchent à se laisser glisser vers la mort, après avoir « vécu intensément » (par la drogue) . En réalité, ce qu’ils appellent vivre intensément, signifie toucher et dépasser les frontières de la folie et de la schizophrénie, frontières souvent sans retour.
Le plus tragique est qu’il est rigoureusement inutile de moraliser ou de faire peur. Il faut se dire que nombre de « jeunes » se heurtent à des conditions sociales épouvantables. Faut-il rappeler la multiplication des grands ensembles d’habitations, les ennuis qui en découlent, la cohabitation forcée, les guerres, le chômage, les études faites dans les pires conditions, ou faites en pure perte, l’attente d’une situation meilleure, l’état de fait d’un monde actuel coupé de ses racines, de la nature, du naturel, de la joie de vivre ; le tout étant remplacé par la « haute valeur » de la finance, qui évidemment n’est pas la réponse attendue à tout ceci. Alors, devant les massacres quotidiens dans le monde, que pourrait faire, aux criminels de la drogue, la mort dans la folie de quelques milliers d’enfants de quinze ans ?
Que peuvent faire les parents ? L’adolescence est, nous l’avons dit, l’époque des grands conflits familiaux, philosophiques, métaphysiques, etc. C’est l’âge le plus sensible aux excès, le plus pendulaire et, en fin de compte, le plus malheureux dans la vie d’une personne. Or, cet âge acéré se heurte aux murs les plus épais qui aient jamais existé. Nombre de jeunes gens vivent dans des conditions sociales et familiales proprement épouvantables. De plus, les adolescents sont maintenus dans l’adolescence bien plus longtemps qu’autrefois, pour des raisons économiques. Ils sont ensuite lancés dans un monde qui ne sait qu’en faire, à moins qu’il n’en veuille pas.
Jamais il ne fut autant qu’aujourd’hui demandé aux parents. Le problème de la drogue est avant tout une question de prévention et d’hygiène mentale. La drogue est le terrible moyen, choisi par des jeunes qui veulent se faire entendre, par un monde qui refuse de les écouter. Que faire ? Il n’y a pas grand-chose à « faire », dans un univers technologiquement, politiquement, et économiquement programmé pour cliver, dans un univers destructeur et suicidaire lui aussi ! qui, pour l’instant, semble irréversible. Mais il y aurait grand avantage à « être », socialement et familialement. Malgré les efforts accomplis, il est évident que le règne de la drogue ne s’écroulera pas demain ; la demande demeurera forte durant longtemps encore. Aussi, la tâche antidrogue devrait s’installer au niveau familial. La drogue n’est qu’un symptôme, répétons-le encore. Et pratiquement parlant, tout dépend si un adolescent se sent accueilli, écouté, admis, entendu, soutenu, en sécurité, non pas auprès de tel ou tel de ses parents, mais au sein du couple parental, sans l’harmonie duquel il n’y a pas grand-chose à faire. Et tout couple parental, au lieu de se dire : « Que faire ? » devrait se demander : « Qui sommes-nous ? ». Car l’enfant, lui aussi, est un symptôme sain ou malade : celui du couple que forme ou non ses parents ; et, de ce fait, est et sera armé ou non, suffisamment fort, ou pas, pour résister à la drogue, voire même ne pas l’envisager une seule seconde, ou pour y céder pleinement. Et ce qui pousse des jeunes gens vers la drogue, vers le laisser-aller ou toute autre forme de lent suicide, c’est la glu de l’informulé, et des arrières-plans sordides, hypocrites, mercantiles, de notre planète.
Du bon usage de l’adolescence
L’adolescence passe vite, dit-on… Elle va vers l’âge adulte à travers ses élans, ses contradictions, ses erreurs et ses tâtonnements. Elle a ses malades, comme n’importe quelle période de vie. On connaît le mot de Rodin, qui appelait les adolescents les « officiants de la beauté ». Et c’est bien cela qui domine en général : la recherche de la beauté et des valeurs spirituelles. C’est l’âge où se posent les grandes questions humaines et supra-humaines. C’est l’âge des découvertes fulgurantes de la religion et de l’art. L’adolescence est avide de beaux gestes, de chevalerie, de loyauté, de grand exemples. Faisons donc tout notre possible pour ne pas les en priver. Et les revers de la médaille (tels que les délinquants juvéniles) ne doivent nullement entamer la très belle idée qu’on peut se faire de la jeunesse. Ils recherchent une sincérité nette, le sens de l’honneur, de la solidarité, de l’esprit de sacrifice.
Ainsi, l’adolescence est pourvue d’une grande mission, dont les sociétés humaines se rendent de mieux en mieux compte. L’adolescence passe vite ? … Pas suffisamment pour qu’on ne puisse s’appuyer sur elle, en constatant combien de choses étriquées et salie elle peut assainir.
Après ce long passage au sujet de problématiques concernant l’adolescence, revenons à la névrose, qui mérite encore quelques précisions.
La névrose et la vie conjugale
L’adolescent doit donc s’adapter à sa personnalité nouvelle, et à l’autre sexe ; il doit se séparer « mentalement » de ses parents, afin d’envisager sa vie propre. C’est un moment décisif : il franchit la barrière… ou reste sur place. Ensuite, adapté ou non, il file en ligne droite vers le mariage. Or, on constate que de nombreuses névroses se manifestent peu après le mariage.
Quelles sont les deux grandes adaptations demandées par cette nouvelle période de vie ? Ce sont : l’acte génital et l’adaptation à la vie commune.
L’acte génital
Il ne s’agit pas d’un acte génital quelconque, mais accompli avec une personne bien déterminée : l’épouse ou l’époux. Et cela change tout… La névrose conjugale est souvent à base sexuelle : impuissance totale ou partielle du mari, frigidité chez la femme.

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Syllabation De L'Écrit

Syllabes Hyphénique: Les Névroses Et Les Psychoses (Iii)le=dé=lire=des=gran=deurs=et=de=la=per=sé=cu=tion 13
i=le=dé=li=re=des=gran=deurs 8
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un=exemple 2
voi=ci=en=illus=tra=tion=un=frag=ment=de=lettre=re=pro=duit=tel=quel=fau=tes=com=pri=ses=dun=per=sé=cu=té 26
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de=plus=la=psy=cha=na=ly=seet=la=psy=cho=thé=ra=pie=peuvent=don=ner=de=bons=ré=sul=tats=mê=me=chez=les=a=lié=nés=gra=ve=ment=at=teints=la=li=é=né=est=é=tran=ger=par=fois=bien=moins=quil=ne=le=pa=raît=mal=gré=les=ap=pa=ren=ces=il=de=meu=re=en=lui=u=ne=per=son=na=li=té=é=touf=fée=si=len=cieu=se=mais=qui=souffre=cest=pour=quoi=tout=ser=vi=ce=da=si=le=doit=ê=tre=ba=sé=a=vant=tout=sur=un=res=pect=ab=so=lu=de=la=li=é=né=qui=com=me=nim=por=te=qui=gar=de=les=droits=les=plus=sa=crés=de=lhu=main 129
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la=né=vro=se=et=la=pu=ber=té 9
la=pu=ber=té=ouvre=la=por=teà=de=nom=breu=ses=né=vroses=cet=te=fa=meu=se=pu=ber=té=nest=elle=pas=le=pre=mier=grand=saut=et=la=pre=miè=re=a=dap=ta=tion=très=im=por=tan=te=de=man=dée=par=la=vie=si=des=né=vro=ses=ap=pa=rais=sent=a=près=la=pu=ber=té=doù=vien=nent=tel=les=du=ne=cau=se=phy=si=que=du=ne=cau=se=psy=cho=lo=gi=que=la=pu=ber=té=est=es=sen=tiel=le=ment=ca=rac=té=ri=sée=par=u=ne=ap=pa=ri=ti=on=des=fonc=tions=gé=ni=ta=les=et=par=di=ver=ses=mo=di=fi=ca=tions=phy=sio=lo=gi=ques=ap=pa=ri=ti=on=des=poils=dé=ve=lop=pe=ment=des=seins=et=des=han=ches=chez=la=fille=chan=ge=ment=de=la=voix=èt=cé=té=ra=faut=til=rat=ta=cher=les=né=vro=ses=de=la=do=les=cen=ce=aux=chan=ge=ments=phy=sio=lo=gi=ques=et=aux=mo=di=fi=ca=tions=en=do=cri=nien=nes=pen=dant=long=temps=on=la=cru=on=a=mê=me=don=né=u=ne=pla=ce=ca=pi=ta=le=aux=fac=teurs=hor=mo=naux=mais=ac=tuel=le=ment=le=rô=le=en=do=cri=nien=sem=ble=en=gé=né=ral=de=plus=en=plus=mi=ni=me=si=non=i=nexis=tant=alors=que=res=te=til=si=non=les=élé=ments=psy=cho=lo=gi=ques 270
a=nou=veau=la=psy=cha=na=ly=seentre=dans=la=rè=ne=on=cons=ta=te=fré=quem=ment=que=les=né=vro=ses=a=do=les=cen=tes=vien=nent=di=na=dap=ta=tions=i=na=dap=ta=tions=à=la=sexua=li=té=i=na=dap=ta=tions=aux=mi=lieux=èt=cé=té=ra=un=man=que=dé=vo=lu=tion=nor=ma=le=en=quel=que=sorte=dans=ce=cas=la=pu=ber=té=crée=tel=le=u=ne=né=vro=se=il=ne=sem=ble=point=mais=la=pu=ber=té=met=le=con=tact=et=fait=ap=pa=raî=tre=net=te=ment=un=dé=sé=qui=li=bre=préexis=tant=ce=dé=sé=qui=li=bre=peut=ê=tre=cons=ti=tu=ti=on=nel=ou=a=voir=é=té=crée=par=le=mi=lieu 144
la=doles=cent=né=vro=sé=é=prou=ve=de=gran=des=dif=fi=cul=tés=à=sa=dap=ter=aux=tâ=ches=so=cia=les=il=fuit=les=res=pon=sa=bi=li=tés=il=est=faible=cest=un=ar=rié=ré=af=fec=tif=blo=qué=quel=que=part=dans=son=pas=sé=il=cher=che=sou=vent=re=fu=geau=près=de=sa=mè=re=jus=quà=ce=quil=fas=se=de=mê=me=au=près=de=sa=fem=me=à=moins=quil=ne=de=vien=ne=com=pen=sé=tous=les=coups=sont=per=mis 99
ce=sont=a=lors=des=a=doles=cents=ob=sé=dés=s=cru=pu=leux=an=gois=sés=hy=per=ti=mi=des=a=gres=sif=s=cy=ni=ques=ré=vol=tés=tous=ces=trou=bles=se=ré=per=cu=tent=é=vi=dem=ment=sur=la=sexua=li=té=cel=le=ci=de=vient=im=pul=si=ve=a=vec=be=soin=im=mé=diat=de=sa=tis=fac=tion=at=ten=tats=à=la=pu=deur=mas=tur=ba=tions=ré=pé=tées=ho=mo=sexua=li=té=sa=dis=me=èt=cé=té=ra 98
les=a=doles=cents=né=vro=sés=par=blo=ca=geaf=fec=tif=dé=pen=dent=dun=trai=te=ment=psy=cho=lo=gique 24
la=do=les=cen=ce 5
il=est=souvent=a=gré=a=ble=de=se=sou=ve=nir=de=son=en=fan=ce=mais=se=rap=pe=ler=joyeu=se=ment=l=â=gein=grat=prou=ve=sou=vent=un=man=que=de=mé=moi=re=la=do=les=cen=ce=est=u=ne=pé=rio=de=trou=blée=a=nar=chi=que=pé=ni=ble=re=dou=tée=par=beau=coup=de=pa=rents=cest=la=pé=rio=de=de=vie=qui=suc=cè=de=à=len=fan=ce=et=sé=tend=jus=quà=lâ=ge=a=dulte 93
chez=le=gar=çon=de=qua=tor=ze=à=vingt=ans 11
chez=la=fille=de=douze=à=dix=hu=it=ans 10
ces=me=sures=va=rient=é=vi=dem=ment=da=près=le=cli=mat=la=ra=ce=le=mi=lieu=so=cial=qui=peut=im=po=ser=cer=tai=nes=a=dap=ta=tions=pré=co=ces=ou=re=tar=dées 41
la=pu=ber=té 4
cest=la=porte=de=la=do=les=cen=ce=u=ne=re=nais=san=ce=en=quel=que=sorte=len=fan=ce=sé=loi=gne=les=jeux=den=fants=sont=a=ban=don=nés=lé=qui=li=breest=rom=pu=le=ca=rac=tè=re=de=vient=du=ne=ins=ta=bi=li=té=re=mar=quable=fi=nie=lexis=ten=ce=douillet=te=sous=la=pro=tec=tion=des=pa=rents=chez=beau=coup=de=peu=ples=la=pu=ber=té=nest=elle=pas=à=la=fois=u=ne=mort=et=u=ne=re=nais=san=ce=le=ci=né=ma=nous=a=fa=mi=lia=ri=sé=a=vec=cer=tains=ri=tes=di=ni=tia=tion=cruels=im=pi=toya=bles=des=ti=nés=à=me=ner=le=jeu=ne=pu=bè=re=vers=sa=nou=vel=le=exis=ten=ce=dhomme 145
jeuneap=pren=ti=de=la=vie=la=do=les=cent=sé=lan=ce=ma=la=droi=te=ment=fou=gue=é=mo=tions=im=pé=tuo=si=té=sont=ses=ca=rac=té=ris=tiques 36
la=rêve=rie=fait=son=ap=pa=ri=tion=la=do=les=cent=dé=cou=vre=son=moi=il=se=com=pa=reà=ceux=qui=len=tourent=il=dé=cou=vre=la=no=tion=du=temps=et=com=men=ce=à=fai=re=des=pro=jets=da=ve=nir=cet=te=dé=cou=ver=te=du=fu=tur=et=du=pas=sé=la=mè=ne=à=fai=re=le=point=cest=lé=po=que=des=jour=naux=in=ti=mes=et=dieu=sait=sils=sont=é=mou=vants=ces=jour=naux=que=des=a=do=les=cents=map=por=tent=s=pon=ta=né=ment=la=ré=vé=la=ti=on=de=son=moi=ne=peut=é=vi=dem=ment=que=bou=le=ver=ser=la=do=les=cent=il=se=tâ=te=men=ta=le=ment=se=cher=che=sexa=mi=ne=se=re=ti=re=dans=la=so=li=tude=il=ten=te=a=vant=tout=de=com=pren=dre=ce=qui=lui=ar=ri=ve=il=cher=che=donc=à=sa=na=ly=ser=em=pê=tré=dans=le=fa=tras=de=ses=con=tra=dic=tions=in=té=rieu=res=il=cher=che=ar=dem=ment=u=ne=af=fec=ti=on=et=u=ne=di=rec=ti=on=qui=puis=sent=lai=der=à=voir=plus=clair=son=i=ma=gi=na=ti=on=bat=la=cam=pa=gne=un=peu=af=fo=lée=ne=sa=chant=par=où=com=men=cer=ni=par=quel=bout=pren=dre=le=vas=te=mon=de=les=é=ten=dards=de=la=ré=vol=te=se=lè=vent=ce=sont=les=at=ta=ques=ran=gées=con=tre=les=viei=lles=bar=bes=con=tre=les=crou=lants=con=tre=les=va=leurs=é=ta=blies=les=rè=gles=so=cia=les=les=mo=ra=les=tra=di=ti=on=nelles=cest=aus=si=la=ré=vol=te=sour=de=ou=ou=ver=te=con=tre=la=fa=mille=qui=af=fo=le=si=sou=vent=les=é=du=ca=teurs=les=ex=cen=tri=ci=tés=con=ti=nuent=la=do=les=cent=tient=din=vrai=sem=bla=bles=pro=pos=cha=hu=te=s=can=da=li=se=à=plai=sir=rail=le=pè=re=mè=re=et=so=cié=té=il=fait=par=tie=de=ban=des=ay=ant=leurs=clubs=et=leurs=co=des=se=crets 402
autre=dé=cou=ver=te=ca=pi=ta=le=les=va=leurs=s=pi=ri=tuel=les=les=cri=ses=phi=lo=so=phi=ques=et=mo=ra=les=é=clatent=la=do=les=cent=est=préoc=cu=pé=par=le=bien=le=beau=le=vrai=il=se=lan=ce=dans=des=dis=cus=sions=par=fois=a=char=nées=qui=nont=sou=vent=rien=du=ne=con=ver=sa=tion=thé=de=cinq=heu=res=la=soif=de=lab=so=lu=le=ronge=cest=dailleurs=un=re=dou=ta=ble=rai=son=neur=af=fir=mant=ca=té=go=ri=que=ment=ce=quil=i=gno=re=et=se=mo=quant=ab=so=lu=ment=des=con=tin=gences 120
si=son=moi=le=rend=per=plexe=il=est=bien=na=tu=rel=quil=es=saie=den=sor=tir=il=cherche=des=sym=pa=thies=des=ap=puis=se=di=ri=geant=len=te=ment=vers=la=mi=tié=et=la=mour=cest=la=pé=rio=deap=pe=lée=s=ta=de=de=la=dé=li=vran=ce=du=moi 60
le=vol=can=sal=lume=les=gran=des=pas=sions=dé=chaî=nées=dou=lou=reu=ses=a=veu=gles=font=leur=ap=pa=ri=tion=les=a=ver=sions=a=char=nées=é=ga=le=ment=la=do=les=cent=é=prou=ve=des=at=ta=che=ments=ex=clu=sif=s=ja=loux=om=bra=geux=il=cher=che=sou=vent=la=mi=tié=dun=plus=jeu=ne=qui=lui=per=met=de=mieux=saf=fir=mer=il=ar=ri=ve=fré=quem=ment=aus=si=quil=se=dé=voue=corps=et=â=meà=un=a=dul=te=ad=mi=ré=pro=fes=seur=sa=vant=é=cri=vain=cer=tains=pro=fes=seurs=sont=su=jets=à=len=goue=ment=des=ly=céen=nes=qui=dé=pas=sent=par=fois=la=me=su=re=nor=male=on=voit=des=a=do=les=cen=tes=qui=em=bras=sent=la=chai=se=où=sest=as=sis=le=maî=tre=ou=qui=man=gent=la=craie=dont=il=sest=ser=vi=il=y=a=donc=i=ci=u=ne=fixa=tion=im=por=tante 185
les=a=mi=tiés=a=doles=cen=tes=on=ai=me=son=a=mi=on=a=foi=en=lui=on=lad=mire=on=se=sa=cri=fie=pour=lui=on=li=mite=beau=coup=de=pa=rents=sin=quiè=tent=de=vant=ces=a=mi=ti=és=pas=sion=nées=et=re=dou=tent=des=dé=via=tions=sexuelles=quils=se=ras=su=rent=le=cas=est=plu=tôt=rare=quant=à=la=mi=ti=é=dun=a=do=les=cent=en=vers=un=en=fant=plus=jeu=ne=el=le=peut=of=frir=plus=de=dan=gers=mais=ellea=sou=vent=de=bons=ef=fets=sur=le=plus=jeu=ne=qui=ob=tient=ain=si=un=gui=de=et=u=ne=pro=tec=tion=cer=tains=col=lè=ges=an=gle=ter=re=jé=sui=tes=ont=fait=un=ex=cel=lent=u=sa=ge=de=ces=a=mi=ti=és=a=do=les=centes 156
phé=no=mènes=phy=siques=sou=li=gné=la=do=les=cen=ceest=ca=rac=té=ri=sée=par=lap=pa=ri=tion=des=fonc=tions=gé=ni=ta=les=et=des=ca=rac=tè=res=sexuels=se=con=dai=res=ap=pa=ri=ti=on=des=poils=dé=ve=lop=pe=ment=des=seins=et=des=han=ches=chez=les=filles=trans=for=ma=ti=on=de=la=voix=èt=cé=té=ra=vers=dou=ze=ans=chez=la=fille=et=vers=trei=ze=ans=chez=le=gar=çon=les=poils=pous=sent=au=pu=bis=un=peu=de=temps=sé=cou=le=et=dau=tres=poils=ap=pa=rais=sent=sous=les=ais=selles=puis=cest=vers=sei=ze=ans=lob=ser=va=ti=on=fré=quen=te=et=hé=si=tan=te=de=vant=les=mi=roirs=la=mous=ta=che=ap=pa=raît=a=chat=du=pre=mier=ra=soir=de=sû=re=té=nou=veaux=dou=tes=é=vo=ca=ti=on=de=jeu=nes=filles=qui=ne=doi=vent=pas=trou=ver=ça=très=sen=sa=ti=on=nel=pre=mier=sa=von=na=ge=ef=fec=tué=com=me=un=ri=tuel=sen=sa=ti=on=dê=tre=un=hom=me=et=dé=part=vers=des=sa=von=na=ges=de=plus=en=plus=fré=quents=quant=à=las=pect=phy=si=que=corps=dé=gin=gan=dés=ou=cour=tauds=mains=rou=geau=des=qui=ne=sa=vent=où=se=four=rer=points=noirs=sur=le=nez=et=le=men=ton=mais=ce=nest=pas=tout=u=ne=nou=vel=le=dis=grâ=ce=sa=bat=la=mue=de=la=voix=le=jeu=ne=gar=çon=con=tem=ple=dé=ses=pé=ré=ment=cet=te=pom=me=da=dam=qui=saille=hon=teu=se=ment=il=sent=com=me=u=ne=ob=ses=sion=cet=te=dé=tes=ta=ble=pom=me=mon=ter=et=des=cen=dre=la=voix=el=le=rap=pel=le=sou=vent=do=nald=du=ck=dans=ses=plus=beaux=jours=ici=le=rô=le=du=pè=re=peut=ê=tre=im=por=tant=pré=ve=nir=len=fant=de=cet=te=mue=de=la=voix=a=fin=que=le=jeu=ne=gar=çon=ne=se=con=si=dè=re=pas=com=me=un=vul=gai=re=ré=prou=vé 394
autre=phé=no=mè=neim=por=tant=la=fonc=tion=de=re=pro=duc=tion=les=cel=lu=les=re=pro=duc=tri=ces=en=trent=en=ma=tu=ra=tion=o=vu=les=et=sper=ma=to=zoï=des=chez=les=filles=lap=pa=ri=ti=on=des=rè=gles=va=rie=en=moyen=ne=en=tre=dou=ze=et=qua=tor=ze=ans=des=fillet=tes=voient=ap=pa=raî=tre=leurs=rè=gles=à=on=ze=ans=dau=tres=beau=coup=plus=tard=dix=hu=it=ans=ces=va=ria=tions=dé=pen=dent=de=la=ra=ce=de=la=tem=pé=ra=tu=re=et=de=cer=tains=mi=lieux=so=ciaux=les=o=vai=res=se=dé=ve=lop=pent=chez=les=filles=les=tes=ti=cu=les=et=les=or=ga=nes=ex=ter=nes=chez=le=gar=çon 145
ma=la=dies=de=la=do=les=cen=ce 9
troubles=phy=si=ques=prin=ci=paux=sou=li=gné=la=do=les=cen=ceest=un=â=ge=cri=ti=que=cer=tes=mais=il=ne=faut=nul=le=ment=en=exa=gé=rer=les=dan=gers=la=plu=part=tra=ver=sent=cet=te=pé=rio=de=sans=in=ci=dent=bien=sé=rieux=en=pre=mier=lieu=la=do=les=cen=ce=mon=tre=des=trou=bles=de=la=crois=sance=ils=sont=sou=vent=lef=fet=du=ne=mau=vai=se=ré=gu=la=tion=hor=mo=nale=par=fois=cer=tains=trou=bles=en=do=cri=niens=a=van=cent=ou=re=tar=dent=la=fonc=ti=on=de=re=pro=duc=tion=lhy=po=phy=se=peut=aus=si=fai=re=des=sien=nes=cest=a=lors=un=dé=faut=de=crois=san=ce=vers=le=haut=ou=vers=le=bas=a=bou=tis=sant=au=gi=gan=tis=me=ou=au=na=nisme=des=trou=bles=en=do=cri=niens=peu=vent=pro=vo=quer=u=ne=ab=sen=ce=de=ca=rac=tè=res=sexuels=se=con=dai=res=les=for=mes=cor=po=rel=les=de=meu=rent=in=fan=tiles=dans=cer=tains=cas=de=pu=ber=té=très=pré=co=ce=il=ar=ri=ve=que=les=gar=çons=de=vien=nent=des=fort=de=la=hal=le=et=que=les=filles=ten=dent=à=lo=bé=si=té 239
de=toute=fa=çon=il=ny=a=nul=le=ment=de=quoi=sef=frayer=la=mé=de=ci=ne=mo=der=ne=com=bat=ef=fi=ca=ce=ment=les=trou=bles=sé=rieux=de=la=crois=san=ce=au=moyen=dhor=mo=nes=ap=pli=quées=à=cha=que=cas=par=ti=cu=lier 55
mais=ces=cas=a=nor=maux=sont=plu=tôt=rares=on=con=naît=aus=si=lap=pé=tit=fé=roce=des=jeu=nes=gens=ils=doi=vent=man=ger=en=suf=fi=san=ce=la=nour=ri=tu=re=con=tien=dra=des=vi=ta=mi=nes=de=crois=sance=dailleurs=lor=ga=nis=me=con=naît=dins=tinct=ce=qui=lui=con=vient=la=do=les=cent=ma=ni=fes=te=gé=né=ra=le=ment=un=goût=pour=les=cru=di=tés=et=les=fruits=dont=la=ri=ches=seen=vi=ta=mi=nes=est=con=nue=vi=ta=mi=ne=a=é=gal=crois=san=ce=gé=né=ra=le=vi=ta=mi=ne=e=é=gal=ac=ti=vi=té=gé=ni=ta=le=vi=ta=mi=ne=d=é=gal=dé=ve=lop=pe=ment=des=os 142
la=cul=ture=phy=si=queest=im=por=tan=te=au=cours=de=la=do=les=cen=ce=et=les=sports=sont=de=plus=en=plus=a=dap=tés=aux=né=ces=si=tés=de=cet=âge=il=va=de=soi=que=les=sports=et=lé=du=ca=tion=phy=si=que=doi=vent=ê=tre=sé=vè=re=ment=con=trô=lés=mé=di=ca=le=ment=a=fin=que=les=a=do=les=cents=nac=com=plis=sent=pas=des=ef=forts=qui=dé=pas=sent=leurs=ca=pa=ci=tés=phy=siques 95
troubles=psy=chi=ques=prin=ci=paux=sou=li=gné=la=do=les=cen=ce=con=sis=teen=un=mû=ris=se=ment=psy=cho=lo=gi=que=de=vant=a=bou=tir=à=u=ne=a=dap=ta=tion=so=ciale=les=in=ci=dents=psy=cho=lo=gi=ques=sont=mon=naie=cou=ran=te=pen=dant=cet=te=pé=rio=de=de=vie=il=en=est=de=bé=nins=et=de=très=im=por=tants 78
troubles=bé=nins=sou=li=gné=nous=ve=nons=de=voir=lé=vo=lu=tion=nor=ma=le=des=a=do=les=cents=ce=sta=de=de=vieim=po=se=donc=des=trou=bles=du=com=por=te=ment=on=ren=con=tre=sou=vent=des=mo=di=fi=ca=tions=de=lhu=meur=des=tris=tes=ses=pro=fon=des=de=grands=re=plis=sur=soi=les=cri=ses=de=lar=mes=la=so=li=tu=de=et=li=so=le=ment=sont=fré=quents=beau=coup=da=do=les=cents=se=per=dent=en=de=va=gues=rê=ve=ries=pou=vant=ê=tre=u=ne=a=mor=ce=de=la=schi=zo=phré=nie=par=fois=ce=sont=des=é=lans=mys=ti=ques=ou=phi=lo=so=phi=ques=des=ex=plo=sions=sen=ti=men=ta=les=brus=ques=et=sans=mo=tif=ap=pa=rent=les=a=do=les=cents=ca=pri=cieux=bou=deurs=ex=trê=me=ment=pu=di=ques=rou=gis=sant=pour=un=rien=sont=lé=gions=tous=les=pa=rents=con=nais=sent=les=ré=vol=tes=a=do=les=cen=tes=el=les=se=tra=dui=sent=par=le=cy=nis=me=lin=so=len=ce=la=gres=si=vi=té=cer=tai=nes=fu=gues=la=do=les=cent=veut=de=ve=nir=in=dé=pen=dant=et=vi=vre=sa=vie=s=pon=ta=né=ment=et=sans=con=trainte 244
cer=tains=a=doles=cents=pré=sen=tent=u=ne=ten=dan=ceau=men=son=ge=et=à=la=fa=bu=la=tion=my=tho=ma=nie=ils=al=tè=rent=la=vé=ri=té=créent=des=his=toi=res=pu=re=ment=i=ma=gi=nai=res=et=si=mu=lent=mê=me=des=é=tats=or=ga=ni=ques=a=nor=maux=bien=sûr=li=ma=gi=na=tion=cré=a=tri=ce=y=est=pour=quel=que=cho=se=ain=si=que=les=sug=ges=tions=ve=nues=de=lex=té=rieur 95
ils=vivent=à=la=fron=tiè=re=de=li=ma=gi=nai=rea=vec=u=ne=fa=ci=li=té=dé=con=cer=tante=sur=tout=les=jeu=nes=filles=qui=sont=ca=pa=bles=de=bâ=tir=de=vé=ri=ta=bles=ro=mans=à=par=tir=dun=tout=pe=tit=rien=la=do=les=cen=ce=est=u=ne=sor=te=de=pris=me=qui=dé=for=me=con=si=dé=ra=ble=ment=la=ré=a=li=té=par=ce=que=cest=u=ne=pé=rio=de=sub=jec=ti=ve=et=ca=pa=ble=dau=da=cieu=ses=cons=truc=tions=cest=dailleurs=lâ=ge=où=lê=tre=hu=main=doit=se=li=bé=rer=de=son=bou=illonne=ment=in=té=rieur=il=fait=des=po=è=mes=de=vient=très=sen=si=ble=aux=beau=tés=ar=tis=ti=ques=é=crit=des=es=sais=lit=té=rai=res=et=mu=si=caux=èt=cé=té=ra=li=ma=gi=na=tion=ga=lo=pe=dans=tous=les=sens=aus=si=at=teint=tel=le=ra=re=ment=la=con=sis=tance 188
la=my=tho=ma=nie=des=a=doles=cents=pro=vient=é=ga=le=ment=de=la=va=ni=té=et=du=dé=sir=de=se=fai=re=va=loir=el=le=peut=mon=trer=des=sen=ti=ments=din=fé=rio=ri=té=cou=rants=à=cet=âge=de=plus=cer=tains=a=do=les=cents=si=mu=lent=des=si=tua=tions=et=des=ma=la=dies=es=sayant=de=re=te=nir=lat=ten=ti=on=et=la=bien=veillan=ce=de=len=tou=rage=ils=re=tour=nent=ain=si=à=un=sta=dein=fan=tile=quil=sa=git=de=trai=ter=psy=cho=lo=gi=que=ment=cer=tai=nes=de=ces=si=mu=la=tions=ay=ant=des=for=mes=hys=té=ri=ques=et=ris=quant=de=se=pro=lon=ger 138
beau=coup=de=jeunes=gens=sont=sur=pris=par=la=pu=ber=té=com=me=par=u=ne=ma=rée=i=nat=ten=due=per=son=ne=ne=les=a=a=ver=tis=ce=qui=est=u=ne=gra=veer=reur=il=est=né=ces=sai=re=de=si=gna=ler=aux=a=do=les=cents=les=trou=bles=qui=vont=se=pro=dui=re=a=fin=quils=nen=re=ti=rent=au=cu=ne=in=quié=tude=de=mê=me=u=ne=mè=re=de=fa=mille=doit=pré=ve=nir=sa=fillet=te=et=ce=la=vers=on=ze=ans=dé=jà=len=fant=doit=sa=voir=que=ses=rè=gles=sont=pro=ches=quel=le=é=prou=ve=ra=des=ma=lai=ses=quel=le=cons=ta=te=ra=un=é=cou=le=ment=de=sang=èt=cé=té=ra=trop=de=fillet=tes=sont=pro=fon=dé=ment=ef=frayées=et=é=prou=vent=un=grand=choc=psy=cho=lo=gi=que=qui=pour=rait=fa=ci=le=ment=ê=tre=é=vi=té=mê=me=rô=le=pour=le=pè=re=de=fa=mil=le=son=fils=doit=ê=tre=pré=ve=nu=des=é=rec=tions=sexuel=les=noc=tur=nes=et=des=pol=lu=tions=tout=à=fait=nor=males 217
troubles=plus=in=quié=tants=sou=li=gné=nom=bre=da=do=les=cents=pré=sen=tent=u=ne=ten=dan=ceaux=ob=ses=sions=et=aux=pho=bies=de=tou=tes=sor=tes=sur=tout=de=na=tu=re=sexuel=le=ou=re=li=gieu=se=com=bien=som=brent=dans=de=mor=tel=les=in=qui=é=tu=des=dans=des=dou=tes=ter=ri=fiants=dans=les=ob=ses=sions=de=com=mu=nions=sa=cri=lè=ges=il=sa=git=de=dé=pis=ter=tout=ce=la=à=temps=ces=trou=bles=pou=vant=con=ti=nuer=et=a=bou=tir=à=la=né=vro=se=grave=nous=a=vons=vu=des=cas=de=ce=gen=re=au=cours=de=cet=ou=vra=ge 128
en=cas=de=tares=men=ta=les=préexis=tan=tes=la=pu=ber=té=sert=fré=quem=ment=din=ter=rup=teur=les=ta=res=se=mon=trent=a=lors=bru=ta=le=ment=bien=quel=les=naient=au=cun=rap=port=di=rect=a=vec=le=phé=no=mè=ne=pro=pre=ment=dit=de=la=pu=ber=té 60
en=fin=la=pu=ber=té=est=un=moment=de=choix=pour=un=dé=but=de=schi=zo=phré=nie=nous=a=vons=é=tu=dié=cet=te=pé=ni=ble=ma=la=die=men=tale=au=dé=but=ses=ma=ni=fes=ta=tions=sont=très=dis=crè=tes=ten=dan=ces=a=nor=ma=les=à=li=so=le=ment=rê=ve=ries=et=re=pli=sur=soi=exa=gé=rés=la=do=les=cent=sem=ble=per=dre=le=con=tact=a=vec=la=ré=a=li=té=ces=ma=ni=fes=ta=tions=ne=sont=pas=tou=jours=des=si=gnes=de=schi=zo=phré=nie=dé=bu=tan=te=é=vi=dem=ment=ce=pen=dant=on=ne=sau=rait=trop=in=sis=ter=sur=un=dé=pis=ta=ge=pré=co=ce=de=cet=te=poi=gnan=te=ma=la=die=si=ré=pan=due 151
la=pu=ber=té=et=la=sexua=li=té 9
dès=la=pu=ber=té=lins=tinct=sexuel=monte=bru=ta=le=ment=à=la=sur=face=ce=nest=plus=lins=tinct=ru=di=men=tai=re=du=pe=tit=en=fant=mais=u=ne=ten=dan=ceo=rien=tée=vers=quel=que=cho=se=vers=quoi=voi=là=bien=ce=qui=trou=ble=la=plu=part=des=a=do=les=cents=la=sexua=li=té=se=pré=sen=te=com=me=u=ne=puis=san=te=la=me=de=fond=el=le=a=git=au=mo=ment=où=la=do=les=cent=a=dé=jà=su=bi=lem=prein=te=pro=fon=de=de=lé=du=ca=tion=si=nous=nous=rap=pe=lons=la=psy=cha=na=ly=se=lins=tinct=et=la=mo=ra=le=don=née=par=lé=du=ca=tion=sont=fa=ce=à=fa=ce=a=mis=ou=en=ne=mis 147
cest=pour=quoi=ce=fa=meux=ins=tinct=sexuel=est=sujet=à=tant=de=dé=via=tions=la=do=les=cent=se=sent=pous=sé=hors=de=lui=mê=me=sans=sa=voir=ni=où=ni=pour=quoi=ni=comment=en=mê=me=temps=que=la=ten=dan=ce=sexuel=le=ap=pa=raît=la=sen=sua=li=té 59
cest=lé=po=queoù=é=meuvent=les=par=fums=sub=tils=et=vio=lents=où=lon=est=très=sen=si=ble=à=lo=deur=des=che=veux=de=la=peau=dun=gant=et=dun=mou=choir=ou=bliés=sen=si=bi=li=té=à=la=beau=té=du=ne=ro=se=ou=du=ne=mu=si=que 57
cest=la=vo=lup=té=dans=le=sens=le=plus=lar=ge=quel=leé=mo=tion=pro=fonde=si=un=a=do=les=cent=en=tre=voit=la=nu=di=té=dun=beau=corps=fé=mi=nin=beau=té=sexua=li=té=vo=lup=té=at=ten=te=in=dé=ci=sion=tel=les=sont=les=gran=des=mar=ques=de=son=af=fec=ti=vi=té=de=vant=ces=puis=san=ces=in=con=nues=beau=coup=da=do=les=cents=font=de=mi=tour=ils=se=re=ti=rent=et=cher=chent=an=xieu=se=ment=la=pu=re=té=com=me=si=lins=tinct=sexuel=nor=mal=né=tait=pas=la=pu=re=té=mê=me=de=tou=te=fa=çon=re=je=tée=ou=ac=cep=tée=tou=te=laf=fec=ti=vi=té=de=la=do=les=cent=de=vient=sexuelle 146
en=même=temps=ap=pa=raît=u=ne=gran=deé=mo=ti=vi=té=ti=mi=di=té=rou=geurs=ri=res=et=pleurs=s=pas=mo=di=ques=sur=tout=chez=les=filles=et=beau=coup=de=pa=rents=si=dé=rés=ne=sa=vent=plus=à=quel=saint=se=vouer=ils=di=sent=à=leurs=en=fants=mais=quas=tu=donc=et=len=fant=de=vrait=ré=pon=dre=ce=que=jai=mon=a=do=les=cen=ce 80
cest=en=suite=nor=ma=le=ment=la=di=rec=tion=vers=le=sexeop=po=sé=cest=la=pé=rio=de=da=mour=pla=to=ni=que=dad=mi=ra=ti=on=fer=ven=te=du=dé=sir=de=pro=tec=tion=cest=le=mo=ment=des=rê=ve=ries=sans=fin=où=les=si=tua=tions=les=plus=che=va=le=res=ques=sont=i=ma=gi=nées=des=o=reillers=em=bras=sés=le=soir=dans=la=so=li=tu=de=de=la=cham=bre=le=cul=te=pla=to=ni=que=de=la=fem=me=ap=pa=raît=sou=vent=as=sez=dan=ge=reux=dail=leurs=sil=ne=se=li=qui=de=pas=cest=le=mo=ment=le=plus=cor=de=rai=de=de=la=sexua=li=té=a=do=les=cente=ten=dres=se=pla=to=ni=que=dun=cô=té=at=ti=ran=ce=char=nel=le=de=lautre=li=dé=al=est=donc=quils=sac=cordent 163
mais=par=fois=ils=ne=sac=cordent=pas=la=mour=pla=to=ni=que=con=ti=nue=jus=quà=lâ=gea=dul=te=et=rend=im=pos=si=ble=lap=pa=ri=tion=de=la=mour=vé=ri=ta=ble=tout=dé=pend=donc=i=ci=des=pré=dis=po=si=tions=de=la=do=les=cent=et=de=la=fa=çon=dont=il=fut=é=le=vé=re=voir=le=com=plexe=doe=di=pe=é=tu=dié=en=psy=cha=na=ly=se=cest=donc=u=ne=pha=se=din=dé=ci=sion=qui=con=duit=cer=tains=a=do=les=cents=à=lho=mo=sexua=li=té=ou=à=lim=puis=san=ce=sexuelle=et=cest=i=ci=que=lon=doit=veiller=à=u=ne=é=du=ca=ti=on=com=pré=hen=sive 137
les=filles=suivent=à=peu=près=le=mê=me=dé=ve=lop=pe=ment=ce=pen=dant=quel=ques=dif=fé=ren=ces=se=marquent=leur=sexua=li=té=est=beau=coup=plus=dif=fu=se=au=lieu=de=se=lo=ca=li=ser=net=te=ment=el=le=fait=tâ=che=dhui=le=cest=pour=quoi=la=mas=tur=ba=tion=est=beau=coup=moins=fré=quen=te=chez=elles=que=chez=les=gar=çons=el=les=se=con=tem=plent=sob=ser=vent=re=gar=dent=a=vec=ra=vis=se=ment=les=cour=bes=de=leurs=corps=exè=crent=vio=lem=ment=de=pe=tits=dé=fauts=mi=neurs=el=les=sont=at=tein=tes=du=ne=ex=qui=se=pu=deur=et=du=neim=men=se=co=quet=te=rie=quant=à=la=rê=ve=rie=un=ges=te=un=sou=ri=re=un=re=gard=et=les=voi=là=par=ties=vers=un=é=cha=fau=da=ge=de=ro=mans=aux=ho=ri=zons=in=fi=nis=et=é=mo=tif=s 178
faut=til=é=du=quer=en=sem=ble=gar=çons=et=filles 12
il=sem=ble=que=lé=du=ca=tion=mix=te=soit=tout=in=di=quée=pour=ré=soudre=le=che=min=nor=mal=vers=lau=tre=sexe=cet=te=so=lu=ti=on=est=sou=vent=ex=cel=lente=lai=san=ce=vis=à=vis=de=lau=tre=sexeen=est=le=ré=sul=tat=fré=quent=bien=sûr=on=peut=ob=jec=ter=que=le=gar=çon=tom=be=ra=dif=fi=ci=le=ment=a=mou=reux=du=ne=fille=quil=voit=trans=pi=rer=sur=les=mê=mes=pro=blè=mes=que=lui=lat=trait=du=mys=tè=re=den=fa=ce=ris=que=de=ces=ser=pro=saï=que=ment=les=o=pi=nions=sont=donc=par=ta=gées=à=ce=su=jet=com=me=dans=tout=pro=blè=me=hu=main=il=nexis=te=au=cu=ne=so=lu=ti=on=gé=né=rale=li=dé=al=cest=la=sau=ve=gar=de=psy=chi=que=et=phy=si=que=de=la=do=les=cent=qui=lui=per=met=de=tra=ver=ser=a=vec=peu=de=dé=gâts=des=si=tua=tions=par=fois=i=nex=tri=cables=cest=donc=un=pro=blè=me=dé=du=ca=ti=on=et=de=pré=ven=ti=on=men=tale=de=tou=te=fa=çon=il=est=in=dis=pen=sa=ble=que=les=deux=sexes=aient=sou=vent=loc=ca=sion=de=se=ren=con=trer=a=fin=de=sob=ser=ver=se=con=naî=tre=et=sai=mer 252
la=doles=cen=ce=et=la=mas=tur=ba=tion 10
la=mas=tur=ba=tion=so=li=taireest=pro=ba=ble=ment=lac=ti=vi=té=sexuel=le=la=plus=ré=pan=due=du=rant=la=do=les=cen=ce=sur=tout=chez=les=gar=çons=jen=ai=dé=jà=par=lé=en=é=tu=diant=freud=mas=tur=ba=tion=un=mot=que=nom=bre=de=per=son=nes=cou=vrent=dop=pro=bres=de=ma=lé=dic=tions=que=sais=je=cet=te=pra=ti=que=sexuel=le=so=li=tai=re=est=char=gée=dun=bien=grand=nom=bre=de=maux=i=ma=gi=nai=res=per=tes=de=mé=moi=re=pa=ra=ly=sie=fo=lie=gran=de=bos=se=dans=le=dos=dis=pa=ri=ti=on=des=or=ga=nes=gé=ni=taux=gâ=tis=me=pré=co=ce=im=pos=si=bi=li=té=da=voir=des=en=fants=ra=mo=lis=se=ment=du=cer=veau=dé=pra=va=ti=on=mo=ra=le=et=dé=bau=che=i=né=vi=ta=bles=ma=la=dies=hon=teu=ses=et=jen=passe 181
il=suf=fit=da=voir=enten=du=les=con=fes=sions=des=a=do=les=cents=pour=sa=voir=com=bien=cet=te=ques=tion=est=dé=for=mée=tout=ce=la=se=rait=as=sez=gro=tes=que=si=des=né=vro=ses=par=fois=très=gra=ves=ne=se=dé=clen=chaient=à=la=sui=te=de=mas=tur=ba=tions=ré=pé=tée=du=rant=des=an=nées 71
non=pas=à=cause=de=la=mas=tur=ba=tion=elle=mê=me=mais=du=cli=mat=psy=cho=lo=gi=que=qui=lac=com=pagne=il=y=a=donc=là=de=faus=ses=con=cep=tions=à=dé=trui=re=le=plus=ra=pi=de=ment=pos=sible=au=cun=tort=nest=ja=mais=pro=vo=qué=par=la=mas=tur=ba=ti=on=el=le=mê=me=à=con=di=ti=on=quel=le=ne=dé=pas=se=pas=cer=tai=nes=li=mites=il=ne=faut=pas=don=ner=à=la=do=les=cent=la=hon=te=de=son=ac=te=mais=lui=ap=pren=dreà=se=do=mi=ner=et=à=trou=ver=un=dé=ri=va=tif=lui=ap=pren=dre=la=con=ti=nen=ce=li=bre=ment=con=sen=tie=et=le=res=pect=de=soi=et=non=la=peur=de=châ=ti=ments=di=vers 153
quel=les=sont=les=causes=de=la=mas=tur=ba=tion 11
sous=sa=forme=la=plus=sim=ple=el=le=tend=à=sou=la=ger=un=dé=sir=sexuel=pu=re=ment=phy=sique=cest=ain=si=quon=lob=ser=ve=chez=les=a=ni=maux=chiens=é=lé=phants=sin=ges=cap=tif=s=ou=chez=des=a=dul=tes=pri=vés=de=tou=te=pos=si=bi=li=té=de=con=tact=sexuel=voya=geurs=pri=son=niers=in=ter=nés=psy=chia=tri=ques 76
beau=coup=de=gar=çons=ap=prennent=les=élé=ments=de=la=sexua=li=té=à=lé=co=le=par=les=con=ver=sa=tions=de=leurs=com=pa=gnons=ils=sont=dailleurs=fré=quem=ment=ré=vol=tés=par=la=fa=çon=gros=siè=re=dont=la=cho=seest=pré=sen=tée=cer=tains=a=do=les=cents=ap=pren=nent=la=mas=tur=ba=tion=soit=en=en=ten=dant=par=ler=del=le=soit=a=fin=di=mi=ter=les=autres=mais=on=peut=se=ras=su=rer=tou=te=fois=la=plu=part=des=a=do=les=cents=sor=tent=mo=ra=le=ment=in=dem=nes=de=ce=gen=re=dex=pé=rien=ce=pré=ma=tu=rée 123
sous=une=for=me=plus=com=plexe=la=mas=tur=ba=tion=peut=sou=li=gner=u=ne=ten=sion=psy=cho=lo=gi=que=nay=ant=rien=à=voir=a=vec=la=sexua=li=té=cest=ain=si=que=de=nom=breux=a=do=les=cents=se=con=so=lent=dun=mi=lieu=no=cif=du=sen=ti=ment=dê=tre=malheu=reux=de=la=so=li=tu=de=des=ré=pri=man=des=èt=cé=té=ra=cer=tains=a=do=les=cents=ne=pra=ti=quent=la=mas=tur=ba=ti=on=so=li=tai=re=que=sils=sont=con=tents=dau=tres=u=ni=que=ment=quand=ils=sont=tris=tes=an=xieux=mé=lan=co=li=ques=èt=cé=té=ra=il=y=a=donc=i=ci=le=sou=la=ge=ment=cor=po=rel=du=ne=ten=sion=é=mo=tive 147
la=mas=tur=ba=tion=et=li=ma=gi=na=tion 11
cest=une=for=me=dan=ge=reu=se=de=mas=tur=ba=tion=à=cau=se=de=cer=tai=nes=fixa=tions=men=ta=les=pou=vant=con=ti=nuer=du=rant=tou=te=lexis=tence 36
tel=jeune=hom=me=se=mas=tur=been=i=ma=gi=nant=quil=se=trou=ve=sur=un=trô=ne=royal=a=vec=des=di=zai=nes=de=fem=mes=à=ses=pieds=tel=au=tre=le=fait=en=pen=sant=à=un=ca=ma=ra=de=plus=â=gé=et=quil=ad=mi=re=beau=coup=tel=au=tre=jeu=ne=se=mas=tur=be=en=i=ma=gi=nant=quil=hu=mi=lie=des=jeu=nes=filles=dont=il=a=peur=èt=cé=té=ra=èt=cé=té=ra=ces=pra=ti=ques=mon=trent=bien=les=ten=dan=ces=pro=fon=des=de=cha=que=a=do=les=cent=il=y=a=donc=dan=ger 118
cer=taines=ten=dan=ces=per=ver=ses=peu=vent=se=lier=à=la=mas=tur=ba=tion=et=en=de=ve=nir=in=sé=pa=ra=bles=le=jeu=ne=hom=me=con=ti=nue=ra=donc=à=sa=tis=fai=re=ces=ten=dan=ces=par=le=mê=me=moyen=et=ce=jus=quà=lâ=gea=dulte=il=ar=ri=ve=a=lors=fré=quem=ment=quil=soit=o=bli=gé=de=se=mas=tur=ber=tou=te=sa=vie=quil=soit=cé=li=ba=tai=re=ou=ma=rié=pour=quoi=par=ce=quil=no=se=rait=ja=mais=a=vouer=ses=dé=sirs=se=crets=à=sa=par=te=naire=la=mas=tur=ba=tion=de=la=dul=te=peut=se=pra=ti=quer=de=deux=fa=çons=soit=dans=la=so=li=tu=de=soit=au=cours=de=lac=te=sexuel=en=tre=é=poux=dans=ce=der=nier=cas=lac=te=sexuel=sem=ble=sac=com=plir=nor=ma=le=ment=a=lors=que=le=ou=la=par=te=nai=re=lais=se=tour=ner=son=i=ma=gi=na=ti=on=sur=ses=ten=dan=ces=par=ti=cu=liè=res=res=tées=sem=bla=bles=à=elles=mê=mes=de=puis=de=nom=breu=ses=an=nées=jen=re=par=le=rai=dailleurs=dans=le=cha=pi=tre=sui=vant=la=sexua=li=té 232
cest=sur=tout=dans=ce=do=maine=i=ma=gi=na=tif=que=les=a=do=les=cents=doi=vent=ê=tre=mis=en=garde=en=co=re=faut=til=quils=se=con=fient=ce=qui=est=beau=coup=plus=fa=ci=le=quon=ne=le=croit=il=faut=quils=sa=chent=nê=tre=pas=seuls=sur=ter=reà=pra=ti=quer=ce=vi=ce=tout=da=bord=et=quen=sui=te=il=aient=le=sen=ti=ment=pro=fond=que=lé=du=ca=teur=con=si=dè=re=la=ques=tion=a=vec=u=ne=com=pré=hen=sion=et=u=ne=lar=geur=des=prit=to=tales=la=mas=tur=ba=ti=on=re=de=vient=a=lors=ce=quel=le=doit=ê=tre=un=in=ci=dent=nor=mal=de=la=do=les=cen=ce=tem=po=rai=re=et=vi=te=ou=blié 147
la=dé=lin=quan=ce=ju=vé=ni=le 9
la=dé=lin=quance=ju=vé=ni=leest=lu=ne=des=for=mes=les=plus=pé=ni=bles=et=dan=ge=reu=ses=de=li=na=dap=ta=tion=so=cia=le=des=en=fants=puis=des=a=do=les=cents=de=ve=nus=dé=lin=quants=les=jour=naux=re=gor=gent=de=ces=cas=de=dé=lin=quan=ce=des=ac=tes=ab=sur=des=gra=tuits=et=sans=mo=tif=s=sont=ac=com=plis=cet=te=dé=lin=quan=ce=in=té=res=se=donc=les=é=du=ca=teurs=la=so=cié=té=les=psy=cho=lo=gues=les=mé=de=cins=qui=dé=tec=tent=dailleurs=sou=vent=chez=les=jeu=nes=dé=lin=quants=des=trou=bles=du=ca=rac=tè=re=et=des=ta=res=men=tales=ce=qui=est=nor=mal=é=tant=don=né=laf=freu=se=bê=ti=se=de=cer=tains=ges=tes=cri=mi=nels 158
il=est=cer=tain=que=les=cli=mats=de=guerre=la=ban=don=mo=ral=ou=phy=si=que=de=beau=coup=den=fants=la=chu=te=des=va=leurs=hu=mai=nes=lap=pré=hen=sion=da=ve=nirs=char=gés=de=bom=bes=ont=fait=re=bon=dir=la=fu=reur=de=vi=vre=et=la=dé=lin=quan=ce=ju=vé=nile 65
la=di=mi=nu=tion=de=la=mo=ra=li=té=est=cer=taine=ment=un=des=fac=teurs=prin=ci=paux=et=les=élé=ments=de=cet=te=di=mi=nu=ti=on=ne=man=quent=pas=com=ment=nom=bre=den=fants=ne=se=raient=tils=pas=mar=qués=par=cet=te=chu=te=de=la=mo=ra=leet=du=res=pect=dau=trui=ain=si=que=par=le=dé=sir=de=jouir=de=la=vie=le=plus=vi=te=pos=sible 84
les=con=di=tions=de=vie=sont=é=gale=ment=très=im=por=tantes=lin=di=gen=ce=la=gran=de=pau=vre=té=la=sé=pa=ra=tion=ri=gou=reu=se=des=clas=ses=so=cia=les=le=chô=ma=ge=lal=coo=lis=me=ne=sont=pas=faits=pour=ar=ran=ger=les=choses=si=on=y=a=jou=te=les=ten=ta=tions=ex=té=rieu=res=on=cons=ta=te=en=ef=fet=que=la=dé=lin=quan=ceest=plus=fré=quen=te=dans=les=villes=que=dans=les=cam=pagnes 96
la=plu=part=des=au=teurs=sont=dac=cord=pour=don=ner=à=la=dé=sor=ga=ni=sa=tion=du=mi=lieu=fa=mi=lial=une=pla=ce=pré=pon=dé=rante=les=cas=sont=très=pé=ni=bles=pa=rents=di=vor=cés=pa=rents=qui=ne=sen=ten=dent=pas=ré=vol=te=des=en=fants=con=tre=leur=mi=lieu=con=cu=bi=na=ge=a=ban=don=mo=ral=ou=phy=si=que=èt=cé=té=ra 82
quant=au=ci=né=ma=son=rôleest=vé=ri=ta=ble=ment=per=ni=cieux=et=re=pré=sen=te=pour=beau=coup=den=fants=u=ne=vé=ri=ta=ble=in=toxi=ca=tion=il=suf=fit=de=se=pro=me=ner=en=ville=et=de=con=tem=pler=les=af=fi=ches=an=non=çant=les=film=s=on=est=stu=pé=fait=de=cons=ta=ter=le=nom=bre=de=films=tour=nant=au=tour=de=cri=mes=de=voir=quan=ti=té=daf=fi=ches=mon=trant=des=ges=tes=a=gres=sif=s=dob=ser=ver=le=nom=bre=de=re=vol=vers=re=pré=sen=tés=sur=ces=mê=mes=af=fi=ches=cest=ab=so=lu=ment=ef=frayant=et=on=pour=rait=di=re=que=dans=ce=do=mai=ne=la=so=cié=té=ré=col=te=ce=quel=le=sème=les=me=su=res=des=ti=nées=à=pro=té=ger=la=jeu=nes=se=con=tre=cer=tains=ci=né=mas=sont=in=dis=pen=sables 176
les=jeu=nes=vo=leurs 5
ils=volent=soit=en=ban=des=soit=so=li=taires=le=vol=peut=ê=tre=lac=tion=dun=en=fant=per=vers=mais=é=ga=le=ment=dun=a=do=les=cent=dont=laf=fec=ti=vi=té=est=trou=blée=len=fant=vo=le=sur=tout=aux=a=len=tours=de=la=pu=ber=té=le=mo=bile=peut=ê=tre=la=ja=lou=sieen=vers=u=ne=au=tre=per=son=ne=de=son=â=ge=u=ne=ven=gean=ce=en=vers=les=pa=rents=le=dé=sir=de=sa=tis=fai=re=ses=be=soins=la=va=ni=té=èt=cé=té=ra=si=le=vol=est=pro=vo=qué=par=u=ne=af=fec=ti=vi=té=trou=blée=la=psy=cho=thé=ra=pie=est=in=di=quée=pour=en=dé=tec=ter=les=mo=tif=s 143
les=jeu=nes=pros=ti=tuées 6
la=pros=ti=tu=tion=est=as=sez=fré=quente=très=sou=vent=el=leest=le=ré=sul=tat=du=va=ga=bon=dage=on=com=prend=que=la=pros=ti=tu=ti=on=ju=vé=ni=le=soit=en=cou=ra=gée=par=la=mi=sè=re=le=chô=ma=ge=les=mau=vais=exem=ples=les=en=traî=ne=ments=dan=ge=reux 65
les=jeu=nes=va=ga=bonds 6
il=existea=vant=tout=les=jeu=nes=va=ga=bonds=ma=la=dif=s=et=ir=res=pon=sa=bles=ce=sont=les=é=pi=lep=ti=ques=les=schi=zo=phrè=nes=èt=cé=té=ra=le=ci=né=ma=et=les=ro=mans=da=ven=tu=res=po=li=ciers=ou=au=tres=ont=é=ga=le=ment=dé=clen=ché=bien=des=dé=parts=da=do=les=cents=par=tant=à=la=ven=tu=re=le=va=ga=bon=da=ge=a=sou=li=gné=on=le=com=prend=sou=li=gné=pour=ef=fets=fré=quents=la=men=di=ci=té=le=vol=et=la=pros=ti=tu=tion=il=exis=te=aus=si=u=ne=au=tre=for=me=de=va=ga=bon=da=ge=ce=sont=les=fugues 134
les=fugues 2
etant=don=né=leur=nombre=les=fu=gues=présen=tent=un=in=té=rêt=par=ti=cu=lier=une=fu=gue=peut=pro=ve=nir=du=ne=ma=la=die=dé=jà=ins=tal=lée=tel=les=é=pi=lep=sie=per=ver=si=té=èt=cé=té=ra=mais=le=plus=sou=vent=les=mo=biles=en=sont=pu=re=ment=psy=cho=lo=giques=il=faut=a=lors=cher=cher=dans=la=vieaf=fec=ti=ve=du=jeu=ne=fu=gueur=et=dans=son=mi=lieu=fa=mi=lial=ou=s=co=laire=on=y=trou=ve=des=fui=tes=de=vant=ce=que=len=fant=con=si=dè=re=com=me=u=ne=in=jus=ti=ce=ou=u=ne=sé=vé=ri=té=dé=pla=cée=on=y=trou=ve=la=peur=dê=tre=ré=pri=man=dé=la=sen=sa=tion=dê=tre=frus=tré=la=cer=ti=tu=de=de=ne=pas=ê=tre=ai=mé=cer=tai=nes=fu=gues=sont=des=chan=ta=ges=des=ti=nés=à=fai=re=voir=aux=pa=rents=com=bien=leur=en=fant=est=malheu=reux=à=leur=fai=re=peur=à=se=ven=ger=deux=èt=cé=té=ra=ces=fu=gues=sont=donc=des=é=va=sions=psy=cho=lo=gi=ques=qui=de=man=dent=un=exa=men=ap=pro=fon=di=en=cha=que=cas=par=ti=cu=lier=et=sou=vent=u=ne=thé=ra=pie=fa=mi=liale 248
les=prin=ci=pales=cau=ses=de=la=dé=lin=quan=ce=ju=vé=nile 15
la=plu=part=des=dé=lin=quants=ju=vé=niles=sont=des=dé=sé=qui=li=brés=de=les=prit=il=y=a=les=jeu=nes=qui=se=lais=sent=en=traî=ner=par=va=ni=té=ou=par=fai=bles=se=li=ée=à=u=ne=gran=de=sug=ges=ti=bi=li=té=il=exis=teaus=si=tous=ceux=à=ten=dan=ce=pa=ra=noïa=que=la=pa=ra=noïa=a=é=té=é=tu=di=ée=cest=a=lors=tou=te=la=gam=me=des=faux=rai=son=neurs=des=ré=vol=tés=des=re=ven=di=ca=teurs=des=mé=fiants=ce=sont=ceux=qui=cul=ti=vent=le=pa=ra=doxe=et=le=sui=vent=jus=quau=bout=èt=cé=té=ra=il=y=a=les=hy=per=é=mo=tif=s=pour=les=quels=la=moin=dre=con=train=te=est=in=sup=por=ta=ble=et=qui=sont=su=jets=à=des=ac=tes=im=pul=sif=s=et=en=fin=les=per=vers=qui=sont=les=plus=dan=ge=reux=on=re=mar=que=chez=eux=u=ne=ab=sen=ce=dé=mo=tions=u=ne=mo=ra=le=i=nexis=tan=te=et=u=ne=i=na=dap=ta=bi=li=té=mar=quée=on=voit=que=de=très=nom=breux=fac=teurs=en=trent=en=jeu=dans=la=dé=lin=quan=ce=ju=vé=nile=le=cli=mat=fa=mi=lial=s=co=lai=re=so=cial=ain=si=que=les=pré=dis=po=si=tions=de=len=fant=doi=vent=ê=tre=exa=mi=nés=sous=tou=tes=les=cou=tu=res=il=exis=te=sou=vent=tou=te=u=ne=réu=nion=de=mo=tifs=en=tre=mê=lés=les=i=dées=ont=dailleurs=con=si=dé=ra=ble=ment=é=vo=lué=dans=ce=do=mai=ne=les=an=ci=en=nes=me=su=res=de=ré=pres=sion=et=de=châ=ti=ment=sont=rem=pla=cées=par=les=no=tions=de=trai=te=ment=et=de=ré=cu=pé=ra=tion=so=ciale 349
la=drogue 2
un=des=pro=blèmes=qui=préoc=cu=pent=ac=tuel=le=ment=les=pa=rents=da=do=les=cents=est=lex=ten=sion=pri=se=par=la=dro=gue 29
au=sens=strict=une=dro=gueest=un=pro=duit=voi=re=un=com=por=te=ment=des=ti=né=à=é=li=mi=ner=u=ne=souf=fran=ce=phy=si=que=ou=af=fec=ti=ve=à=mo=di=fier=un=é=tat=cor=po=rel=ou=men=tal=dif=fi=ci=le=ment=sup=por=table=les=dro=gues=sont=é=vi=dem=ment=aus=si=an=ci=en=nes=que=la=souf=fran=ce=hu=maine=la=fui=te=dans=la=bus=du=vin=ou=du=ta=bac=la=voi=tu=re=au=to=mo=bile=pro=cu=rant=des=com=pen=sa=tions=aux=sen=ti=ments=din=fé=rio=ri=té=sont=des=dro=gues=par=fai=te=ment=quo=ti=diennes 127
ce=que=lon=ap=pel=le=la=dro=gue=com=prend=au=jourdhui=une=sé=rie=de=pro=duits=ayant=un=ef=fet=sur=le=psy=chis=me=pro=vo=quant=u=neac=cou=tu=man=ce=et=un=é=tat=de=be=soin=gran=dis=sant=et=con=dui=sant=i=nexo=ra=ble=ment=à=lu=ti=li=sa=ti=on=de=pro=duits=puis=sants=de=plus=en=plus=puis=sants=ex=trê=me=ment=coû=teux=et=mor=tel=le=ment=ir=ré=ver=si=bles=à=moins=quun=se=vra=ge=en=tre=pris=re=la=ti=ve=ment=tôt=ne=frei=ne=puis=ar=rê=te=non=seu=le=ment=les=pri=ses=de=dro=gues=mais=lé=tat=et=le=com=por=te=ment=ad=dic=tif=le=but=dun=se=vra=ge=est=donc=dan=ni=hi=ler=la=ten=dan=ce=ad=dic=ti=ve=dun=in=di=vi=du=dro=gué 161
en=ré=a=li=té=lu=ti=li=sa=tion=des=dro=gues=re=présen=teun=des=symp=tô=mes=les=plus=mons=trueux=de=nos=so=cié=tés=schi=zo=phrènes=il=faut=in=sis=ter=nul=le=ment=u=ne=ma=la=die=mais=un=symp=tôme 49
entre=les=mar=chands=mul=ti=milliar=dai=res=qui=tien=nent=le=haut=du=pa=vot=et=les=re=ven=deurs=mi=na=bles=en=fin=de=chaî=ne=guet=tant=les=en=fants=aux=por=tes=dé=co=les=se=trou=vent=les=hal=lu=ci=nants=dé=chets=eu=ro=péens=hé=bé=tés=dans=leur=a=go=nie=so=cia=le=sur=vi=vant=donc=com=me=ils=peu=vent=et=sur=les=quels=on=mar=che=sans=ver=go=gne=quel=que=part=en=o=rient=il=sa=git=des=pe=tits=pro=duc=teurs=de=dro=gue=pau=vres=et=dé=lais=sés=par=le=sys=tè=me=ma=fieux=qui=les=em=ploie=au=cen=tre=de=ce=gluant=ré=seau=donc=des=mil=lions=de=pa=rents=vi=vent=dans=lan=goisse=car=si=le=chan=vre=nest=pas=mé=chant=fu=mé=oc=ca=sion=nel=le=ment=par=cu=rio=si=té=ou=con=ta=gion=mais=sans=len=de=main=en=re=van=che=les=re=quins=de=la=dro=gue=sa=vent=com=bien=ce=chan=vre=peut=ê=tre=la=mor=ce=du=ti=li=sa=tion=de=pro=duits=plus=forts=et=hors=prix=qui=font=leur=for=tune=ce=que=cher=chent=ces=mar=chands=cest=que=la=ma=ri=jua=na=par=exem=ple=a=bou=tis=seà=la=ven=te=des=gran=des=tueu=ses=pour=voyeu=ses=de=fo=lie=et=de=mort=l=s=d=hé=roï=ne=co=caï=ne=èt=cé=té=ra 264
les=dro=gues=mi=neures=sont=ce=pen=dant=ex=trê=me=ment=dan=ge=reuses=par=ce=quu=ne=par=tie=de=la=jeu=nes=se=les=a=re=vê=tues=de=sym=bo=les=qui=pour=ê=tre=la=men=ta=ble=ment=dé=ca=dents=nen=exis=tent=pas=moins=cha=cun=sait=que=le=chan=vreest=de=ve=nu=lem=blè=me=de=la=lut=te=ac=tuel=le=en=tre=les=gé=né=ra=tions=de=plus=cer=tains=a=do=les=cents=lui=at=tri=buent=des=pou=voirs=s=pi=ri=tuels=voi=re=de=dé=cou=ver=tes=re=li=gieu=ses 110
tout=dro=gué=vé=ri=tableest=peu=ou=prou=un=sui=ci=daire=et=il=nest=pas=dif=fi=ci=le=de=con=naî=tre=le=pour=quoi=de=cet=te=ten=dan=ce=au=sui=ci=de=men=tal=ou=cor=po=rel=qui=est=la=part=de=cer=tai=nes=jeu=nes=ses=dau=jourdhui=la=pa=tho=lo=gie=de=la=dro=gue=est=donc=cel=le=de=lé=chec=de=la=dis=pa=ri=tion=du=sui=ci=de=de=vant=un=mon=de=que=lon=re=fuse=la=plu=part=des=jeu=nes=dro=gués=cher=chent=à=se=lais=ser=glis=ser=vers=la=mort=a=près=a=voir=vé=cu=in=ten=sé=ment=par=la=dro=gue=en=ré=a=li=té=ce=quils=ap=pel=lent=vi=vre=in=ten=sé=ment=si=gni=fie=tou=cher=et=dé=pas=ser=les=fron=tiè=res=de=la=fo=lie=et=de=la=schi=zo=phré=nie=fron=tiè=res=sou=vent=sans=re=tour 173
le=plus=tra=gi=queest=quil=est=ri=gou=reuse=ment=i=nu=tile=de=mo=ra=li=ser=ou=de=fai=re=peur=il=faut=se=di=re=que=nom=bre=de=jeu=nes=se=heur=tent=à=des=con=di=tions=so=cia=les=é=pou=van=tables=faut=til=rap=pe=ler=la=mul=ti=pli=ca=tion=des=grands=en=sem=bles=dha=bi=ta=tions=les=en=nuis=qui=en=dé=cou=lent=la=co=ha=bi=ta=ti=on=for=cée=les=guer=res=le=chô=ma=ge=les=é=tu=des=fai=tes=dans=les=pi=res=con=di=tions=ou=fai=tes=en=pu=re=per=te=lat=ten=te=du=ne=si=tua=ti=on=meilleu=re=lé=tat=de=fait=dun=mon=de=ac=tuel=cou=pé=de=ses=ra=ci=nes=de=la=na=tu=re=du=na=tu=rel=de=la=joie=de=vi=vre=le=tout=é=tant=rem=pla=cé=par=la=hau=te=va=leur=de=la=fi=nan=ce=qui=é=vi=dem=ment=nest=pas=la=ré=pon=se=at=ten=due=à=tout=ce=ci=alors=de=vant=les=mas=sa=cres=quo=ti=diens=dans=le=mon=de=que=pour=rait=fai=re=aux=cri=mi=nels=de=la=dro=gue=la=mort=dans=la=fo=lie=de=quel=ques=milliers=den=fants=de=quin=ze=ans 236
que=peuvent=fai=re=les=pa=rents=la=do=les=cen=ceest=nous=la=vons=dit=lé=po=que=des=grands=con=flits=fa=mi=liaux=phi=lo=so=phi=ques=mé=ta=phy=si=ques=èt=cé=té=ra=cest=lâ=ge=le=plus=sen=si=ble=aux=ex=cès=le=plus=pen=du=lai=re=et=en=fin=de=comp=te=le=plus=malheu=reux=dans=la=vie=du=ne=per=sonne=or=cet=â=ge=a=cé=ré=se=heur=te=aux=murs=les=plus=é=pais=qui=aient=ja=mais=exis=té=nom=bre=de=jeu=nes=gens=vi=vent=dans=des=con=di=tions=so=cia=les=et=fa=mi=lia=les=pro=pre=ment=é=pou=van=tables=de=plus=les=a=do=les=cents=sont=main=te=nus=dans=la=do=les=cen=ce=bien=plus=long=temps=quau=tre=fois=pour=des=rai=sons=é=co=no=miques=ils=sont=en=sui=te=lan=cés=dans=un=mon=de=qui=ne=sait=quen=fai=re=à=moins=quil=nen=veuille=pas 179
ja=mais=il=ne=fut=au=tant=quau=jourdhui=de=man=dé=aux=parents=le=pro=blè=me=de=la=dro=gueest=a=vant=tout=u=ne=ques=tion=de=pré=ven=ti=on=et=d=hy=giè=ne=men=tale=la=dro=gue=est=le=ter=ri=ble=moyen=choi=si=par=des=jeu=nes=qui=veu=lent=se=fai=re=en=ten=dre=par=un=mon=de=qui=re=fu=se=de=les=é=cou=ter=que=fai=re=il=ny=a=pas=grand=cho=se=à=fai=re=dans=un=u=ni=vers=tech=no=lo=gi=que=ment=po=li=ti=que=ment=et=é=co=no=mi=que=ment=pro=gram=mé=pour=cli=ver=dans=un=u=ni=vers=des=truc=teur=et=sui=ci=dai=re=sou=li=gné=lui=aus=si=sou=li=gné=qui=pour=lins=tant=sem=ble=ir=ré=ver=sible=mais=il=y=au=rait=grand=a=van=ta=ge=à=ê=tre=so=cia=le=ment=et=fa=mi=lia=le=ment=mal=gré=les=ef=forts=ac=com=plis=il=est=é=vi=dent=que=le=rè=gne=de=la=dro=gue=ne=sé=crou=le=ra=pas=de=main=la=de=man=de=de=meu=re=ra=for=te=du=rant=long=temps=en=core=aus=si=la=tâ=che=an=ti=dro=gue=de=vrait=sins=tal=ler=au=ni=veau=fa=mi=lial=la=dro=gue=nest=quun=symp=tô=me=ré=pé=tons=le=en=core=et=pra=ti=que=ment=par=lant=tout=dé=pend=si=un=a=do=les=cent=se=sent=ac=cueilli=é=cou=té=ad=mis=en=ten=du=sou=te=nu=en=sé=cu=ri=té=non=pas=au=près=de=tel=ou=tel=de=ses=pa=rents=mais=au=sein=du=cou=ple=pa=ren=tal=sans=l=har=mo=nie=du=quel=il=ny=a=pas=grand=cho=se=à=faire=et=tout=cou=ple=pa=ren=tal=au=lieu=de=se=di=re=que=fai=re=de=vrait=se=de=man=der=qui=som=mes=nous=car=len=fant=lui=aus=si=est=un=symp=tô=me=sain=ou=ma=la=de=ce=lui=du=cou=ple=que=for=me=sou=li=gné=ou=non=sou=li=gné=ses=pa=rents=et=de=ce=fait=est=et=se=ra=ar=mé=ou=non=suf=fi=sam=ment=fort=ou=pas=pour=ré=sis=ter=à=la=dro=gue=voi=re=mê=me=ne=pas=len=vi=sa=ger=u=ne=seu=le=se=con=de=ou=pour=y=cé=der=plei=ne=ment=et=ce=qui=pous=se=des=jeu=nes=gens=vers=la=dro=gue=vers=le=lais=ser=al=ler=ou=tou=te=au=tre=for=me=de=lent=sui=ci=de=cest=la=glu=de=lin=for=mu=lé=et=des=ar=riè=res=plans=sor=di=des=hy=po=cri=tes=mer=can=tiles=de=no=tre=pla=nète 500
du=bon=u=sa=ge=de=la=do=les=cence 10
la=doles=cen=ce=pas=se=vi=te=dit=ton=el=le=va=vers=lâ=gea=dul=te=à=tra=vers=ses=é=lans=ses=con=tra=dic=tions=ses=er=reurs=et=ses=tâ=ton=ne=ments=el=le=a=ses=ma=la=des=com=me=nim=por=te=quel=le=pé=rio=de=de=vie=on=con=naît=le=mot=de=ro=din=qui=ap=pe=lait=les=a=do=les=cents=les=of=fi=ciants=de=la=beau=té=et=cest=bien=ce=la=qui=do=mi=ne=en=gé=né=ral=la=re=cher=che=de=la=beau=té=et=des=va=leurs=s=pi=ri=tuelles=cest=lâ=ge=où=se=po=sent=les=gran=des=ques=tions=hu=mai=nes=et=su=pra=hu=maines=cest=lâ=ge=des=dé=cou=ver=tes=ful=gu=ran=tes=de=la=re=li=gion=et=de=lart=la=do=les=cen=ce=est=a=vi=de=de=beaux=ges=tes=de=che=va=le=rie=de=loyau=té=de=grand=exemples=fai=sons=donc=tout=no=tre=pos=si=ble=pour=ne=pas=les=en=pri=ver=et=les=re=vers=de=la=mé=daille=tels=que=les=dé=lin=quants=ju=vé=ni=les=ne=doi=vent=nul=le=ment=en=ta=mer=la=très=bel=le=i=dée=quon=peut=se=fai=re=de=la=jeu=nesse=ils=re=cher=chent=u=ne=sin=cé=ri=té=net=te=le=sens=de=lhon=neur=de=la=so=li=da=ri=té=de=les=prit=de=sa=cri=fice 264
ain=si=la=doles=cen=ceest=pour=vue=du=ne=gran=de=mis=sion=dont=les=so=cié=tés=hu=mai=nes=se=ren=dent=de=mieux=en=mieux=compte=la=do=les=cen=ce=pas=se=vi=te=pas=suf=fi=sam=ment=pour=quon=ne=puis=se=sap=puyer=sur=elle=en=cons=ta=tant=com=bien=de=cho=ses=é=tri=quées=et=sa=lie=el=le=peut=as=sai=nir 74
après=ce=long=pas=sageau=su=jet=de=pro=blé=ma=ti=ques=con=cer=nant=la=do=les=cen=ce=re=ve=nons=à=la=né=vro=se=qui=mé=ri=te=en=co=re=quel=ques=pré=ci=sions 41
la=né=vro=se=et=la=vie=con=ju=gale 10
la=doles=cent=doit=donc=sa=dap=ter=à=sa=per=son=na=li=té=nou=vel=le=et=à=lau=tre=sexe=il=doit=se=sé=pa=rer=men=ta=le=ment=de=ses=pa=rents=a=fin=den=vi=sa=ger=sa=vie=propre=cest=un=mo=ment=dé=ci=sif=il=fran=chit=la=bar=riè=re=ou=res=te=sur=place=en=sui=te=a=dap=té=ou=non=il=fi=leen=li=gne=droi=te=vers=le=ma=riage=or=on=cons=ta=te=que=de=nom=breu=ses=né=vro=ses=se=ma=ni=fes=tent=peu=a=près=le=ma=riage 108
quel=les=sont=les=deux=grandes=a=dap=ta=tions=de=man=dées=par=cet=te=nou=vel=le=pé=rio=de=de=vie=ce=sont=lac=te=gé=ni=tal=et=la=dap=ta=tion=à=la=vie=com=mune 41
lac=te=gé=ni=tal 5
il=ne=sa=git=pas=dun=ac=te=gé=ni=tal=quel=con=que=mais=ac=com=pli=a=vec=une=per=son=ne=bien=dé=ter=mi=née=lé=pou=seou=lé=poux=et=ce=la=chan=ge=tout=la=né=vro=se=con=ju=ga=le=est=sou=vent=à=ba=se=sexuel=le=im=puis=san=ce=to=ta=le=ou=par=tiel=le=du=ma=ri=fri=gi=di=té=chez=la=femme 77

à=sui=vre 3
Phonétique : Les Névroses Et Les Psychoses (Iii)lə deliʁə dε ɡʁɑ̃dœʁz- e də la pεʁsekysjɔ̃
i lə deliʁə dε ɡʁɑ̃dœʁ
meɡalɔmani
la « fɔli dε ɡʁɑ̃dəʁs » εst tʁε familjεʁə o psiʃjatʁə… e o pyblik. sə deliʁə ε dɔ̃k lεɡzaʒeʁasjɔ̃ də la paʁanɔia. lə maladə ε kɔ̃vɛ̃ky də sa fɔʁsə fizikə εksεpsjɔnεllə, e də sa bote inui, il desɑ̃ dε plysz- ilystʁə- famijə, il εt- apaʁɑ̃te a tutə lε kuʁ dəʁɔpə e dajœʁ… il ε ʁiʃə, ʁiʃə a miljaʁd, bʁasə lεz- afεʁə, kɔmɑ̃də a dε miljɔ̃ dɔmə. il ε sεʁtɛ̃ dεtʁə œ̃ syʁɔmə, œ̃ pʁɔfεtə, œ̃ dε plys ɡʁɑ̃z- ɛ̃vɑ̃tœʁ də tus lε tɑ̃. tutə lε famə sə pame a sε pje, tus lε meʁitə lɥi sɔ̃ dy, il pɔsεdə tus lε titʁə, tutə lεz- otə ʁəlasjɔ̃, tutə lε ʁiʃesə…
suvɑ̃, laljene sə ʁəvε dɔʁipo ki ʁəpʁezɑ̃te lə pεʁsɔnaʒə ki sε kʁee dɑ̃ sɔ̃ sεʁvo maladə. il safyblə də kɔstymə, də ʃapo, də dekɔʁasjɔ̃, də ɡalɔ̃.
sεtə aljenasjɔ̃ mɑ̃talə si kuʁɑ̃tə, nεt- εllə pa la kaʁikatyʁə dε miljɔ̃ dɑ̃bitjøz- e də paʁanɔiak leʒe ki pylyle a la syʁfasə də la teʁə ? … nεt- εllə pa la kaʁikatyʁə də tus sø ki sə vəle sypeʁjœʁ ?
mε lə deliʁə dε ɡʁɑ̃dœʁ nə sə ʁətʁuvə pa ynikəmɑ̃ dɑ̃ la paʁanɔia. ɔ̃ lə tʁuvə dɑ̃ la paʁalizi ʒeneʁalə, (menɛ̃ɡo ɑ̃sefalitə dɔʁiʒinə sifilitikə) , e dɑ̃ sεʁtεnə fɔʁmə- də mani u də skizɔfʁeni. dε debilə mɑ̃to, a lœʁ tuʁ, sə dɔne dε titʁəz- e də tʁε-otə sitɥasjɔ̃. sεt- alɔʁ lə pɔʁ illeɡal də lynifɔʁmə e dε dekɔʁasjɔ̃, e divεʁsəz- otʁə- manifεstasjɔ̃ ki « kɔ̃kʁetizεnt » lœʁ deliʁə.
il εɡzistə dɔ̃k ynə ɡamə alɑ̃ də la paʁanɔia leʒεʁə a la psikozə pʁɔpʁəmɑ̃ ditə. lə pʁɔblεmə də la ʁεspɔ̃sabilite leɡalə sə tʁuvə ɛ̃si poze. lε paʁanɔiakz- e lε meɡalɔmanə pase paʁfwaz- oz- aktə, ilz- εkspʁime ləʁ « pɥisɑ̃sə » εt ləʁs « titʁəs » paʁ la paʁɔlə, mεz- eɡaləmɑ̃ paʁ lœʁ kɔstyməz- u lœʁz- aksjɔ̃. sə sɔ̃t- alɔʁ lεz- ɛ̃fʁaksjɔ̃z- a lɔʁdʁə pyblik, lε pɔʁ də dekɔʁasjɔ̃, lεz- ɛ̃syltəz- o maʒistʁa, lεz- εskʁɔkəʁi, lε kuz- e lε blesyʁə.
il εt- evide kə la ʁεspɔ̃sabilite ε nylə dɑ̃ la paʁalizi ʒeneʁalə. dɑ̃ lεz- otʁə- ka, la ʁεspɔ̃sabilite ε lje a lɛ̃tɑ̃site də la psikozə.
ji lə deliʁə də la pεʁsekysjɔ̃
kɔmə lə deliʁə dε ɡʁɑ̃dœʁ, lə deliʁə də la pεʁsekysjɔ̃ sə ʁɑ̃kɔ̃tʁə fʁekamɑ̃ ɑ̃ klinikə… e ajœʁ !
la pεʁsekysjɔ̃ ε suvɑ̃ lje a lide də ɡʁɑ̃dœʁ, si lə maladə sε tu, ε pɥisɑ̃ e absɔlymɑ̃ lysidə, na tɔ̃ pa ɛ̃teʁε a lə sypʁime ? … də kwa sə plɛ̃ lə « pεʁsekyte » ? kə lɔ̃ pɔʁtə atɛ̃tə a sa fɔʁtynə u a sa sitɥasjɔ̃. kɔ̃n- εɡzεʁsə ynə ɛ̃flɥɑ̃sə fizikə syʁ sɔ̃ kɔʁ, o mwajɛ̃ də lelεktʁisite, dε ʁεjɔ̃, də lipnɔtismə, εtseteʁa.
kə dε pεʁsɔnə lə pεʁsekyte a distɑ̃sə paʁ dε mwajɛ̃ maʒik ki pəve ɛ̃flɥɑ̃se sɔ̃n- εspʁi, detʁɥiʁə sa fɔʁtynə, lɑ̃pεʃe daʒiʁ, lə fεʁə muʁiʁ, εtseteʁa. il pʁetɑ̃t- eɡaləmɑ̃ kɔ̃ lekutə o mwajɛ̃ də la ʁadjo, kɔ̃ sε tu sə kil fε ʃe lɥi, kɔ̃ kaptə sa pɑ̃se…
tʁε suvɑ̃, lεz- alysinasjɔ̃ sə pʁezɑ̃te. lə maladə ɑ̃tɑ̃ dε vwa ki lɛ̃sylte, lə mənase. paʁfwa, il pʁetɑ̃ kɔ̃n- a « fʁaktyʁe » sɔ̃ sεʁvo puʁ kapte sε pɑ̃sez- u diʁiʒe sεz- ide. il ε dɔ̃k natyʁεl kə sə maladə ʁəsɑ̃tə ynə vivə ɑ̃ɡwasə, ki nə fε kə ʁɑ̃fɔʁse sɔ̃ deliʁə.
tɑ̃to il pʁetɑ̃ kə « ɔn » lə pεʁsekytə, sɑ̃ pʁesize davɑ̃taʒə. mε paʁfwaz- il deziɲə tεllə pεʁsɔnə, tεl ɡʁupəmɑ̃ pɔlitikə, tεllə sεktə ʁəliʒjøzə. lε kɔmisaʁja də pɔlisə e lεz- otɔʁite ʒydisjεʁəz- ɑ̃ save kεlkə ʃozə.
lə maladə pø ʁeaʒiʁ də plyzjœʁ fasɔ̃z- o deliʁə də pεʁsekysjɔ̃. il pø sə livʁe a sεʁtɛ̃ mwajɛ̃ də defɑ̃sə : il sə veʁujə ʃe lɥi, pɔʁtə də bizaʁəz- akutʁəmɑ̃, εtseteʁa. il fabʁikə dεz- ekʁɑ̃, dε fetiʃəz- e dεz- amylεtə puʁ sə pʁɔteʒe kɔ̃tʁə lε ʁεjɔ̃, lεz- ɔ̃də, u la pɑ̃se də sɔ̃ pεʁsekytœʁ. lə maladə ɑ̃tɑ̃t- eɡaləmɑ̃ dε vwa, swa εnəmi, swa pʁɔtεktʁisə, il lœʁ ʁepɔ̃, diskytə, sə buʃə lεz- ɔʁεjə. u il sə defɑ̃t- otʁəmɑ̃ : il mənasə e ɛ̃syltə səs « pεʁsekytəʁs », pɔʁtə plɛ̃tə, εtseteʁa. sil desidə daneɑ̃tiʁ lɥi mεmə sø ki lə pεʁsekyte, il ʁiskə, evidamɑ̃, də dəvəniʁ tʁε dɑ̃ʒəʁø.
œ̃n- εɡzɑ̃plə
vwasi, ɑ̃n- ilystʁasjɔ̃, œ̃ fʁaɡme də lεtʁə, (ʁεpʁɔdɥi tεl kεl, fotə kɔ̃pʁizəs) , dyn « pεʁsekyte » :
« məsjø, fʁatεʁnεl e pɥisɑ̃,
səsi, puʁ avwaʁ lɔnœʁ də vu diʁə kə vu puve fεʁə kɔ̃ sεsə də vulwaʁ mə tɥe a distɑ̃sə paʁ la pɑ̃se də mεz- εnəmi. ilz- ɔ̃ dε pupe kil pike e mipnɔtize puʁ avwaʁ tu sə kə ʒə sεz- e sɑ̃ sεʁviʁ kɔ̃tʁə nɔtʁə pεi. ʒə sε kil i a dε mikʁo kilz- ɔ̃ kaʃe dɑ̃ ma ʁezidɑ̃sə, mε ʒə nə paʁvjɛ̃ pa a mεtʁə la mɛ̃ dəsy. mεz- εnəmi save bjɛ̃ mε sεkʁε dəta e də diplɔmati kɑ̃ ʒə vwajaɡε puʁ lεz- afεʁə pɔlitik. ʒə nə vø pa mabεse a fεʁə sə kil fɔ̃, mε ʒə vøz- ynə pɥisɑ̃sə pʁε də la mjεnə ki ε la votʁə. a nu dø, ʒə səʁε sεʁtɛ̃ də lε vɛ̃kʁə e kil nə puʁʁɔ̃ plysz- avwaʁ mε pɑ̃sez- e mɑ̃tɑ̃dʁə ʃe mwa, ɑ̃tɑ̃dʁə tu sə kə ʒə di e sə kə ʒə pɑ̃sə. si vu mεde, ʒə ʁekypeʁəʁε ma fɔʁtynə e vuz- ɑ̃ dɔnəʁε. mε ʒə nə pø pa boku sɔʁtiʁ, paʁsə kil puʁʁε mə diʁiʒe ʃez- ø paʁ la ʁadjo u paʁ la pɑ̃se, e mɑ̃fεʁməʁ »
swɛ̃ psiʃjatʁik
tutə lε psikozə, mεmə lε plys ɡʁavə, sɔ̃ sysεptiblə də ɡeʁizɔ̃. sεʁtɛ̃ maladə sɑ̃ble desɑ̃dʁə ʒysko dəɡʁe lə plys ba də lanimalite ymεnə. sø la mεmə ɡeʁise paʁfwa dynə fasɔ̃ ʁapidə e definitivə, ʁəpʁənɑ̃ ynə vi sɔsjalə, e kapablə də syʁmɔ̃te də ɡʁɑ̃də difikyltez- avεk mεtʁizə, dyʁɑ̃ tutə lœʁ vi.
əvidamɑ̃, lə tʁεtəmɑ̃ dε psikozə nə pø pa sə fεʁə « εn blɔk ». tu psiʃjatʁə dəvʁε tʁavaje lə maladə ɑ̃ pʁɔfɔ̃dœʁ, e pɑ̃dɑ̃ lə tɑ̃ nesesεʁə. də veʁitablə ʁezyʁεksjɔ̃ mɑ̃taləz- ɑ̃ səʁε suvɑ̃ lə fʁɥi. sε la tu lə pʁɔblεmə, i a til syfizamɑ̃ də psiʃjatʁə ? ɔ̃ til lə tɑ̃, dəvɑ̃ laflyks dε maladə mɑ̃to ? malɡʁe lœʁ vulwaʁ e lœʁ sjɑ̃sə, nə dwave til pa sə kɔ̃tɑ̃te paʁfwa də tʁεtəmɑ̃ ʁapidə ? də plys, nə sɔ̃ til pa sumiz- a də stypidə kɔlibε pɔpylεʁəz- e o plεzɑ̃təʁi də sεʁtεnə pʁesə ?
də plys, la psikanalizə e la psikɔteʁapi pəve dɔne də bɔ̃ ʁezylta, mεmə ʃe lεz- aljene ɡʁavəmɑ̃ atɛ̃. laljene εst « etʁɑ̃ʒəʁ » ? paʁfwa bjɛ̃ mwɛ̃ kil nə lə paʁε. malɡʁe lεz- apaʁɑ̃sə, il dəməʁə ɑ̃ lɥi ynə pεʁsɔnalite etufe, silɑ̃sjøzə, mε ki sufʁə. sε puʁkwa tu sεʁvisə dazilə dwa εtʁə baze, avɑ̃ tu, syʁ œ̃ ʁεspε absɔly də laljene ki, kɔmə nɛ̃pɔʁtə ki, ɡaʁdə lε dʁwa lε plys sakʁe də lymɛ̃.
ɑ̃kɔʁə la nevʁozə
apʁε lə sjεl ɔpakə dε psikozə, fəzɔ̃ dəmi tuʁ afɛ̃ də ʁətʁuve la kɔ̃sjɑ̃sə e lε nɥaʒə ɡʁi dε nevʁozə.
la nevʁozə e la pybεʁte
la pybεʁte uvʁə la pɔʁtə a də nɔ̃bʁøzə nevʁozə. sεtə famøzə pybεʁte nεt- εllə pa lə pʁəmje ɡʁɑ̃d « sot », e la pʁəmjεʁə adaptasjɔ̃ tʁεz- ɛ̃pɔʁtɑ̃tə, dəmɑ̃de paʁ la vi ? si dε nevʁozəz- apaʁεse apʁε la pybεʁte, du vjεne tεllə ? dynə kozə fizikə ? dynə kozə psikɔlɔʒikə ? la pybεʁte εt- esɑ̃sjεllmɑ̃ kaʁakteʁize paʁ ynə apaʁisjɔ̃ dε fɔ̃ksjɔ̃ ʒenitalə, e paʁ divεʁsə- mɔdifikasjɔ̃ fizjɔlɔʒikəs (apaʁisjɔ̃ dε pwal, devəlɔpəmɑ̃ dε sɛ̃z- e dεz- ɑ̃ʃə ʃe la fijə, ʃɑ̃ʒəmɑ̃ də la vwa, εtseteʁa. ) fo til ʁataʃe lε nevʁozə də ladɔlesɑ̃sə o ʃɑ̃ʒəmɑ̃ fizjɔlɔʒikz- e o mɔdifikasjɔ̃z- ɑ̃dɔkʁinjεnə ? pɑ̃dɑ̃ lɔ̃tɑ̃, ɔ̃ la kʁy. ɔ̃n- a mεmə dɔne ynə plasə kapitalə o faktœʁz- ɔʁmɔno, mεz- aktɥεllmɑ̃ lə ʁolə ɑ̃dɔkʁinjɛ̃ sɑ̃blə, ɑ̃ ʒeneʁal, də plysz- ɑ̃ plys minimə, sinɔ̃ inεksistɑ̃. alɔʁ, kə ʁεstə til, sinɔ̃ lεz- elemɑ̃ psikɔlɔʒik ?
a nuvo, la psikanalizə ɑ̃tʁə dɑ̃ laʁεnə… ɔ̃ kɔ̃statə fʁekamɑ̃ kə lε nevʁozəz- adɔlesɑ̃tə vjεne dinadaptasjɔ̃, inadaptasjɔ̃z- a la sεksɥalite, inadaptasjɔ̃z- o miljø, εtseteʁa. œ̃ mɑ̃kə devɔlysjɔ̃ nɔʁmalə, ɑ̃ kεlkə sɔʁtə. dɑ̃ sə ka, la pybεʁte kʁe tεllə ynə nevʁozə ? il nə sɑ̃blə pwɛ̃. mε la pybεʁte « mεt lə kɔ̃takt », e fε apaʁεtʁə nεtəmɑ̃ œ̃ dezekilibʁə pʁeεksistɑ̃. sə dezekilibʁə pø εtʁə kɔ̃stitysjɔnεl, u avwaʁ ete kʁe paʁ lə miljø…
ladɔlesɑ̃ nevʁoze epʁuvə də ɡʁɑ̃də difikyltez- a sadapte o taʃə sɔsjalə, il fɥi lε ʁεspɔ̃sabilite, il ε fεblə. sεt- œ̃n- aʁjeʁe afεktif, blɔke kεlkə paʁ dɑ̃ sɔ̃ pase… il ʃεʁʃə suvɑ̃ ʁəfyʒə opʁε də sa mεʁə… ʒyska sə kil fasə də mεmə opʁε də sa famə… a mwɛ̃ kil nə dəvjεnə kɔ̃pɑ̃se. tus lε ku sɔ̃ pεʁmi !
sə sɔ̃t- alɔʁ dεz- adɔlesɑ̃z- ɔpsede, skʁypylø, ɑ̃ɡwase, ipe timidə, aɡʁesif, sɛ̃ik, ʁevɔlte… tus sε tʁublə sə ʁepεʁkyte evidamɑ̃ syʁ la sεksɥalite. sεllə si dəvjɛ̃ ɛ̃pylsivə, avεk bəzwɛ̃ imedja də satisfaksjɔn (atɑ̃taz- a la pydœʁ, mastyʁbasjɔ̃ ʁepete, omosεksɥalite, sadismə, εtseteʁa. )
lεz- adɔlesɑ̃ nevʁoze paʁ blɔkaʒə afεktif depɑ̃de dœ̃ tʁεtəmɑ̃ psikɔlɔʒikə.
ladɔlesɑ̃sə
il ε suvɑ̃ aɡʁeablə də sə suvəniʁ də sɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə, mε sə ʁapəle ʒwajøzəmɑ̃ l « aʒə ɛ̃ɡʁat » pʁuvə suvɑ̃ œ̃ mɑ̃kə də memwaʁə ! ladɔlesɑ̃sə εt- ynə peʁjɔdə tʁuble, anaʁʃikə, peniblə, ʁədute paʁ boku də paʁɑ̃, sε la peʁjɔdə də vi ki syksεdə a lɑ̃fɑ̃sə, e setɑ̃ ʒyska laʒə adyltə.
ʃe lə ɡaʁsɔ̃ : də katɔʁzə a vɛ̃t- ɑ̃
ʃe la fijə : də duzə a diz- ɥit ɑ̃
sε məzyʁə vaʁje evidamɑ̃ dapʁε lə klima, la ʁasə, lə miljø sɔsjal (ki pø ɛ̃poze sεʁtεnəz- adaptasjɔ̃ pʁekɔsəz- u ʁətaʁdeəs) .
la pybεʁte
sε la pɔʁtə də ladɔlesɑ̃sə… ynə ʁənεsɑ̃sə, ɑ̃ kεlkə sɔʁtə. lɑ̃fɑ̃sə selwaɲə, lε ʒø dɑ̃fɑ̃ sɔ̃t- abɑ̃dɔne. lekilibʁə ε ʁɔ̃py, lə kaʁaktεʁə dəvjɛ̃ dynə ɛ̃stabilite ʁəmaʁkablə. fini, lεɡzistɑ̃sə dujεtə su la pʁɔtεksjɔ̃ dε paʁɑ̃ ! ʃe boku də pəplə, la pybεʁte nεt- εllə pa a la fwaz- ynə mɔʁ e ynə ʁənεsɑ̃sə ? lə sinema nuz- a familjaʁize avεk sεʁtɛ̃ ʁitəs « dinisjasjɔn », kʁyεl, ɛ̃pitwajablə, dεstinez- a məne lə ʒənə pybεʁə vεʁ sa nuvεllə εɡzistɑ̃sə dɔmə…
« ʒənə apʁɑ̃ti də la vjə », ladɔlesɑ̃ selɑ̃sə maladʁwatəmɑ̃. fuɡ, emɔsjɔ̃, ɛ̃petyozite, sɔ̃ sε kaʁakteʁistik.
la ʁεvəʁi fε sɔ̃n- apaʁisjɔ̃ : ladɔlesɑ̃ dekuvʁə sɔn « mwa ». il sə kɔ̃paʁə a sø ki lɑ̃tuʁe. il dekuvʁə la nɔsjɔ̃ dy tɑ̃, e kɔmɑ̃sə a fεʁə dε pʁɔʒε davəniʁ. sεtə dekuvεʁtə dy fytyʁ e dy pase lamεnə a « fεʁə lə pwɛ̃t » : sε lepɔkə dε ʒuʁnoz- ɛ̃timə… (εt djø sε sil sɔ̃t- emuvɑ̃, sε ʒuʁno kə dεz- adɔlesɑ̃ mapɔʁte spɔ̃tanemεnt) . la ʁevelasjɔ̃ də sɔn « mwa » nə pø evidamɑ̃ kə buləvεʁse ladɔlesɑ̃, il sə tatə mɑ̃taləmɑ̃, sə ʃεʁʃə, sεɡzaminə, sə ʁətiʁə dɑ̃ la sɔlitydə. il tɑ̃tə avɑ̃ tu də kɔ̃pʁɑ̃dʁə sə ki lɥi aʁivə, il ʃεʁʃə dɔ̃k a sanalize. ɑ̃pεtʁe dɑ̃ lə fatʁa də sε kɔ̃tʁadiksjɔ̃z- ɛ̃teʁjəʁə, il ʃεʁʃə aʁdamɑ̃ ynə afεksjɔ̃ e ynə diʁεksjɔ̃ ki pɥise lεde a vwaʁ plys klεʁ… sɔ̃n- imaʒinasjɔ̃ ba la kɑ̃paɲə, œ̃ pø afɔle, nə saʃɑ̃ paʁ u kɔmɑ̃se, ni paʁ kεl bu pʁɑ̃dʁə lə vastə mɔ̃də… lεz- etɑ̃daʁd də la ʁevɔltə sə lεve : sə sɔ̃ lεz- atak ʁɑ̃ʒe kɔ̃tʁə ləs « vjεjə baʁbəs », kɔ̃tʁə ləs « kʁulɑ̃ts », kɔ̃tʁə lε valœʁz- etabli, lε ʁεɡlə sɔsjalə, lε mɔʁalə tʁadisjɔnεllə. sεt- osi la ʁevɔltə (suʁdə u uvεʁtə) , kɔ̃tʁə la famijə, ki afɔlə si suvɑ̃ lεz- edykatœʁ ! lεz- εksɑ̃tʁisite kɔ̃tinɥe : ladɔlesɑ̃ tjɛ̃ dɛ̃vʁεsɑ̃blablə pʁɔpo, « ʃaytə », skɑ̃dalizə a plεziʁ, ʁajə pεʁə, mεʁə e sɔsjete, il fε paʁti də « bɑ̃dəs » εjɑ̃ lœʁ klybz- e lœʁ kɔdə sεkʁε.
otʁə dekuvεʁtə kapitalə : lε valœʁ spiʁitɥεllə ! lε kʁizə filozɔfikz- e mɔʁaləz- eklate. ladɔlesɑ̃ ε pʁeɔkype paʁ lə bjɛ̃, lə bo, lə vʁε. il sə lɑ̃sə dɑ̃ dε diskysjɔ̃ paʁfwaz- aʃaʁne, ki nɔ̃ suvɑ̃ ʁjɛ̃ dynə kɔ̃vεʁsasjɔn « te də sɛ̃k œʁəs » ! la swaf də labsɔly lə ʁɔ̃ʒə. sε dajœʁz- œ̃ ʁədutablə ʁεzɔnœʁ… afiʁmɑ̃ kateɡɔʁikəmɑ̃ sə kil iɲɔʁə, e sə mɔkɑ̃ absɔlymɑ̃ dε kɔ̃tɛ̃ʒɑ̃sə…
si sɔn « mwa » lə ʁɑ̃ pεʁplεksə, il ε bjɛ̃ natyʁεl kil esε dɑ̃ sɔʁtiʁ ! il ʃεʁʃə dε sɛ̃pati, dεz- apɥi, sə diʁiʒɑ̃ lɑ̃təmɑ̃ vεʁ lamitje e lamuʁ. sε la peʁjɔdə apəleə « stadə də la delivʁɑ̃sə dy mwa ».
lə vɔlkɑ̃ salymə : lε ɡʁɑ̃də pasjɔ̃, deʃεne, duluʁøzə, avøɡlə, fɔ̃ lœʁ apaʁisjɔ̃. lεz- avεʁsjɔ̃z- aʃaʁnez- eɡaləmɑ̃ ! ladɔlesɑ̃ epʁuvə dεz- ataʃəmɑ̃z- εksklyzif, ʒalu, ɔ̃bʁaʒø. il ʃεʁʃə suvɑ̃ lamitje dœ̃ plys ʒənə, ki lɥi pεʁmε də mjø safiʁme, il aʁivə fʁekamɑ̃ osi kil sə devu kɔʁz- e amə a œ̃n- adyltə admiʁe : pʁɔfesœʁ, savɑ̃, ekʁivɛ̃… sεʁtɛ̃ pʁɔfesœʁ sɔ̃ syʒεz- a lɑ̃ɡuəmɑ̃ dε liseεnə, ki depase paʁfwa la məzyʁə nɔʁmalə. ɔ̃ vwa dεz- adɔlesɑ̃tə ki ɑ̃bʁase la ʃεzə u sεt- asi lə mεtʁə… u ki mɑ̃ʒe la kʁε dɔ̃ il sε sεʁvi. il i a dɔ̃k isi ynə « fiksasjɔn » ɛ̃pɔʁtɑ̃tə.
lεz- amitjez- adɔlesɑ̃tə… ɔ̃n- εmə sɔ̃n- ami, ɔ̃n- a fwa ɑ̃ lɥi, ɔ̃ ladmiʁə. ɔ̃ sə sakʁifi puʁ lɥi, ɔ̃ limitə. boku də paʁɑ̃ sɛ̃kjεte dəvɑ̃ sεz- amitje pasjɔne, e ʁədute dε devjasjɔ̃ sεksɥεllə. kil sə ʁasyʁe : lə ka ε plyto ʁaʁə. kɑ̃ a lamitje dœ̃n- adɔlesɑ̃ ɑ̃vεʁz- œ̃n- ɑ̃fɑ̃ plys ʒənə, εllə pø ɔfʁiʁ plys də dɑ̃ʒe. mεz- εllə a suvɑ̃ də bɔ̃z- efε syʁ lə plys ʒənə, ki ɔptjɛ̃ ɛ̃si œ̃ ɡidə e ynə pʁɔtεksjɔ̃. (sεʁtɛ̃ kɔlεʒə, ɑ̃ɡləteʁə, ʒezɥitə, ɔ̃ fε œ̃n- εksεllɑ̃ yzaʒə də sεz- amitjez- adɔlesɑ̃tə. )
fenɔmεnə fizik. suliɲe ladɔlesɑ̃sə ε kaʁakteʁize paʁ lapaʁisjɔ̃ dε fɔ̃ksjɔ̃ ʒenitaləz- e dε kaʁaktεʁə sεksɥεl səɡɔ̃dεʁəs (apaʁisjɔ̃ dε pwal, devəlɔpəmɑ̃ dε sɛ̃z- e dεz- ɑ̃ʃə ʃe lε fijə, tʁɑ̃sfɔʁmasjɔ̃ də la vwa, εtseteʁa. ) . vεʁ duzə ɑ̃s (ʃe la fijə) εt vεʁ tʁεzə ɑ̃s (ʃe lə ɡaʁsɔn) , lε pwal puse o pybi. œ̃ pø də tɑ̃ sekulə, e dotʁə- pwalz- apaʁεse su lεz- εsεllə. pɥi sε, vεʁ sεzə ɑ̃, lɔpsεʁvasjɔ̃ fʁekɑ̃tə e ezitɑ̃tə dəvɑ̃ lε miʁwaʁ : la mustaʃə apaʁε ! aʃa dy pʁəmje ʁazwaʁ « də syʁəte »… nuvo dutə… evɔkasjɔ̃ də ʒənə fijs « ki nə dwave pa tʁuve sa tʁε sɑ̃sasjɔnəl »… pʁəmje savɔnaʒə, efεktye kɔmə œ̃ ʁitɥεl… sɑ̃sasjɔ̃ dεtʁə œ̃n- ɔmə… e depaʁ vεʁ dε savɔnaʒə də plysz- ɑ̃ plys fʁekɑ̃. kɑ̃ a laspε fizikə ! … kɔʁ deʒɛ̃ɡɑ̃dez- u kuʁto, mɛ̃ ʁuʒodə ki nə save u sə fuʁʁe, pwɛ̃ nwaʁ syʁ lə nez- e lə mɑ̃tɔ̃ ! mε sə nε pa tu : ynə nuvεllə dizɡʁasə saba : la mɥ də la vwa ! lə ʒənə ɡaʁsɔ̃ kɔ̃tɑ̃plə dezεspeʁemɑ̃ sεtə pɔmə dadam ki sajə ɔ̃tøzəmɑ̃, il sɑ̃, kɔmə ynə ɔpsesjɔ̃, sεtə detεstablə pɔmə mɔ̃te e desɑ̃dʁə… la vwa, εllə, ʁapεllə suvɑ̃ dɔnald dyk dɑ̃ sε plys bo ʒuʁ. isi, lə ʁolə dy pεʁə pø εtʁə ɛ̃pɔʁtɑ̃ : pʁevəniʁ lɑ̃fɑ̃ də sεtə mɥ də la vwa, afɛ̃ kə lə ʒənə ɡaʁsɔ̃ nə sə kɔ̃sidεʁə pa kɔmə œ̃ vylɡεʁə ʁepʁuve ! …
otʁə fenɔmεnə ɛ̃pɔʁtɑ̃ : la fɔ̃ksjɔ̃ də ʁəpʁɔdyksjɔ̃. lε sεllylə ʁəpʁɔdyktʁisəz- ɑ̃tʁe ɑ̃ matyʁasjɔn (ɔvyləz- e spεʁmatɔzɔidəs) . ʃe lε fijə, lapaʁisjɔ̃ dε ʁεɡlə vaʁi. ɑ̃ mwajεnə, ɑ̃tʁə duzə e katɔʁzə ɑ̃. dε fijεtə vwae apaʁεtʁə lœʁ ʁεɡləz- a ɔ̃zə ɑ̃. dotʁə, boku plys taʁd (diks ɥit ɑ̃s) . sε vaʁjasjɔ̃ depɑ̃de də la ʁasə, də la tɑ̃peʁatyʁə, e də sεʁtɛ̃ miljø sɔsjo. lεz- ɔvεʁə sə devəlɔpe ʃe lε fijə, lε tεstikyləz- e lεz- ɔʁɡanəz- εkstεʁnə- ʃe lə ɡaʁsɔ̃.
maladi də ladɔlesɑ̃sə
tʁublə fizik pʁɛ̃sipo. suliɲe ladɔlesɑ̃sə εt- œ̃n- aʒə « kʁitikə », sεʁtə, mεz- il nə fo nylmɑ̃ ɑ̃n- εɡzaʒeʁe lε dɑ̃ʒe. la plypaʁ tʁavεʁse sεtə peʁjɔdə sɑ̃z- ɛ̃sidɑ̃ bjɛ̃ seʁjø. ɑ̃ pʁəmje ljø, ladɔlesɑ̃sə mɔ̃tʁə dε tʁublə də la kʁwasɑ̃sə. il sɔ̃ suvɑ̃ lefε dynə movεzə ʁeɡylasjɔ̃ ɔʁmɔnalə. paʁfwa, sεʁtɛ̃ tʁubləz- ɑ̃dɔkʁinjɛ̃z- avɑ̃se u ʁətaʁde la fɔ̃ksjɔ̃ də ʁəpʁɔdyksjɔ̃. lipɔfizə pø osi fεʁə dε sjεnə : sεt- alɔʁz- œ̃ defo də kʁwasɑ̃sə « ve lə-ot » u « ve lə bas », abutisɑ̃ o ʒiɡɑ̃tismə u o nanismə. dε tʁubləz- ɑ̃dɔkʁinjɛ̃ pəve pʁɔvɔke ynə absɑ̃sə də kaʁaktεʁə sεksɥεl səɡɔ̃dεʁə : lε fɔʁmə- kɔʁpɔʁεllə dəməʁe ɛ̃fɑ̃tilə. dɑ̃ sεʁtɛ̃ ka də pybεʁte tʁε pʁekɔsə, il aʁivə kə lε ɡaʁsɔ̃ dəvjεne dəs « fɔʁ də la-alə », e kə lε fijə tɑ̃de a lɔbezite.
də tutə fasɔ̃, il ni a nylmɑ̃ də kwa sefʁεje. la medəsinə mɔdεʁnə kɔ̃ba efikasəmɑ̃ lε tʁublə seʁjø də la kʁwasɑ̃sə, o mwajɛ̃ dɔʁmɔnəz- aplikez- a ʃakə ka paʁtikylje.
mε sε ka anɔʁmo sɔ̃ plyto ʁaʁə. ɔ̃ kɔnε osi lapeti feʁɔsə dε ʒənə ʒɑ̃. il dwave mɑ̃ʒe ɑ̃ syfizɑ̃sə, la nuʁʁityʁə kɔ̃tjɛ̃dʁa dε vitaminə də kʁwasɑ̃sə. dajœʁ, lɔʁɡanismə kɔnε dɛ̃stɛ̃ sə ki lɥi kɔ̃vjɛ̃ : ladɔlesɑ̃ manifεstə ʒeneʁaləmɑ̃ œ̃ ɡu puʁ lε kʁyditez- e lε fʁɥi dɔ̃ la ʁiʃεsə ɑ̃ vitaminəz- ε kɔnɥ. (vitaminə a eɡal kʁwasɑ̃sə ʒeneʁalə, vitaminə ə eɡal aktivite ʒenitalə, vitaminə de eɡal devəlɔpəmɑ̃ dεz- ɔs) .
la kyltyʁə fizikə εt- ɛ̃pɔʁtɑ̃tə o kuʁ də ladɔlesɑ̃sə, e lε spɔʁ sɔ̃ də plysz- ɑ̃ plysz- adaptez- o nesesite də sεt aʒə. il va də swa kə lε spɔʁz- e ledykasjɔ̃ fizikə dwave εtʁə sevεʁəmɑ̃ kɔ̃tʁole medikaləmɑ̃, afɛ̃ kə lεz- adɔlesɑ̃ nakɔ̃plise pa dεz- efɔʁ ki depase lœʁ kapasite fizik.
tʁublə psiʃik pʁɛ̃sipo. suliɲe ladɔlesɑ̃sə kɔ̃sistə ɑ̃n- œ̃ myʁisəmɑ̃ psikɔlɔʒikə, dəvɑ̃ abutiʁ a ynə adaptasjɔ̃ sɔsjalə. lεz- ɛ̃sidɑ̃ psikɔlɔʒik sɔ̃ mɔnε kuʁɑ̃tə pɑ̃dɑ̃ sεtə peʁjɔdə də vi, il ɑ̃n- ε də benɛ̃, e də tʁεz- ɛ̃pɔʁtɑ̃.
tʁublə benɛ̃. suliɲe nu vənɔ̃ də vwaʁ levɔlysjɔ̃ nɔʁmalə dεz- adɔlesɑ̃. sə stadə də vi ɛ̃pozə dɔ̃k dε tʁublə dy kɔ̃pɔʁtəmɑ̃. ɔ̃ ʁɑ̃kɔ̃tʁə suvɑ̃ dε mɔdifikasjɔ̃ də lymœʁ, dε tʁistesə pʁɔfɔ̃də, də ɡʁɑ̃ ʁəpli syʁ swa. lε kʁizə də laʁmə, la sɔlitydə e lizɔləmɑ̃ sɔ̃ fʁekɑ̃. boku dadɔlesɑ̃ sə pεʁde ɑ̃ də vaɡ ʁεvəʁi, puvɑ̃ εtʁə ynə amɔʁsə də la skizɔfʁeni. paʁfwa sə sɔ̃ dεz- elɑ̃ mistikz- u filozɔfik, dεz- εksplozjɔ̃ sɑ̃timɑ̃alə bʁysk, e sɑ̃ mɔtif apaʁɑ̃. lεz- adɔlesɑ̃ts « kapʁisjøks », budœʁ, εkstʁεməmɑ̃ pydik, ʁuʒisɑ̃ puʁ œ̃ ʁjɛ̃, sɔ̃ leʒjɔ̃. tus lε paʁɑ̃ kɔnεse lε ʁevɔltəz- adɔlesɑ̃tə, εllə sə tʁadɥize paʁ lə sɛ̃ismə, lɛ̃sɔlɑ̃sə, laɡʁesivite, sεʁtεnə fyɡ, ladɔlesɑ̃ vø dəvəniʁ ɛ̃depɑ̃dɑ̃ ət « vivʁə sa vjə », spɔ̃tanemɑ̃ e sɑ̃ kɔ̃tʁɛ̃tə.
sεʁtɛ̃z- adɔlesɑ̃ pʁezɑ̃te ynə tɑ̃dɑ̃sə o mɑ̃sɔ̃ʒə e a la fabylasjɔn (mitɔmanjə) . ilz- altεʁe la veʁite, kʁee dεz- istwaʁə pyʁəmɑ̃ imaʒinεʁə, e simyle mεmə dεz- etaz- ɔʁɡanikz- anɔʁmo. bjɛ̃ syʁ, limaʒinasjɔ̃ kʁeatʁisə i ε puʁ kεlkə ʃozə, ɛ̃si kə lε syɡʒεstjɔ̃ vənɥ də lεksteʁjœʁ !
il vive a la fʁɔ̃tjεʁə də limaʒinεʁə avεk ynə fasilite dekɔ̃sεʁtɑ̃tə. syʁtu lε ʒənə fijə, ki sɔ̃ kapablə də batiʁ də veʁitablə ʁɔmɑ̃z- a paʁtiʁ dœ̃ tu pəti ʁjɛ̃… ladɔlesɑ̃sə εt- ynə sɔʁtə də pʁismə ki defɔʁmə kɔ̃sideʁabləmɑ̃ la ʁealite, paʁsə kə sεt- ynə peʁjɔdə sybʒεktivə, e kapablə dodasjøzə kɔ̃stʁyksjɔ̃… sε dajœʁ laʒə u lεtʁə ymɛ̃ dwa sə « libeʁəʁ » də sɔ̃ bujɔnəmɑ̃ ɛ̃teʁjœʁ, il fε dε pɔεmə, dəvjɛ̃ tʁε sɑ̃siblə o botez- aʁtistik, ekʁi dεz- esε liteʁεʁəz- e myziko, εtseteʁa. limaʒinasjɔ̃ ɡalɔpə dɑ̃ tus lε sɑ̃s, osi atɛ̃ tεllə ʁaʁəmɑ̃ la kɔ̃sistɑ̃sə…
la mitɔmani dεz- adɔlesɑ̃ pʁɔvjɛ̃ eɡaləmɑ̃ də la vanite e dy deziʁ də sə fεʁə valwaʁ, εllə pø mɔ̃tʁe dε sɑ̃timɑ̃ dɛ̃feʁjɔʁite, kuʁɑ̃z- a sεt aʒə. də plys, sεʁtɛ̃z- adɔlesɑ̃ts « simylεnt » dəs sitɥasjɔ̃z- e dε maladi, esεjɑ̃ də ʁətəniʁ latɑ̃sjɔ̃ e la bjɛ̃vεjɑ̃sə də lɑ̃tuʁaʒə. il ʁətuʁne ɛ̃si a œ̃ stadə ɛ̃fɑ̃tilə kil saʒi də tʁεte psikɔlɔʒikəmɑ̃, sεʁtεnə də sε simylasjɔ̃z- εjɑ̃ dε fɔʁmə- isteʁik, e ʁiskɑ̃ də sə pʁɔlɔ̃ʒe.
boku də ʒənə ʒɑ̃ sɔ̃ syʁpʁi paʁ la pybεʁte kɔmə paʁ ynə maʁe inatɑ̃dɥ. pεʁsɔnə nə lεz- a avεʁti, sə ki εt- ynə ɡʁavə eʁœʁ ! il ε nesesεʁə də siɲale oz- adɔlesɑ̃ lε tʁublə ki vɔ̃ sə pʁɔdɥiʁə, afɛ̃ kil nɑ̃ ʁətiʁe okynə ɛ̃kjetydə. də mεmə, ynə mεʁə də famijə dwa pʁevəniʁ sa fijεtə, e səla vεʁz- ɔ̃zə ɑ̃ deʒa. lɑ̃fɑ̃ dwa savwaʁ kə sε ʁεɡlə sɔ̃ pʁoʃə, kεllə epʁuvəʁa dε malεzə, kεllə kɔ̃statəʁa œ̃n- ekuləmɑ̃ də sɑ̃, εtseteʁa. tʁo də fijεtə sɔ̃ pʁɔfɔ̃demɑ̃ efʁεje, e epʁuve œ̃ ɡʁɑ̃ ʃɔk psikɔlɔʒikə, ki puʁʁε fasiləmɑ̃ εtʁə evite. mεmə ʁolə puʁ lə pεʁə də famijə, sɔ̃ fis dwa εtʁə pʁevəny dεz- eʁεksjɔ̃ sεksɥεllə nɔktyʁnəz- e dε pɔlysjɔ̃, tut- a fε nɔʁmalə.
tʁublə plysz- ɛ̃kjetɑ̃. suliɲe nɔ̃bʁə dadɔlesɑ̃ pʁezɑ̃te ynə tɑ̃dɑ̃sə oz- ɔpsesjɔ̃z- e o fɔbi də tutə sɔʁtəs (syʁtu də natyʁə sεksɥεllə u ʁəliʒjøzə) . kɔ̃bjɛ̃ sɔ̃bʁe dɑ̃ də mɔʁtεlləz- ɛ̃kjetydə, dɑ̃ dε dutə teʁifjɑ̃ ? dɑ̃ lεz- ɔpsesjɔ̃ də kɔmynjɔ̃ sakʁilεʒə ? il saʒi də depiste tu səla a tɑ̃ : sε tʁublə puvɑ̃ kɔ̃tinɥe e abutiʁ a la nevʁozə ɡʁavə. (nusz- avɔ̃ vy dε ka də sə ʒɑ̃ʁə o kuʁ də sεt uvʁaʒə) .
ɑ̃ ka də taʁə mɑ̃talə pʁeεksistɑ̃tə, la pybεʁte sεʁ fʁekamɑ̃ dɛ̃teʁyptœʁ. lε taʁə sə mɔ̃tʁe alɔʁ bʁytaləmɑ̃, bjɛ̃ kεllə nε okœ̃ ʁapɔʁ diʁεkt avεk lə fenɔmεnə pʁɔpʁəmɑ̃ di də la pybεʁte.
ɑ̃fɛ̃, la pybεʁte εt- œ̃ mɔmɑ̃ də ʃwa puʁ œ̃ deby də skizɔfʁeni. nuz- avɔ̃z- etydje sεtə peniblə maladi mɑ̃talə. o deby, sε manifεstasjɔ̃ sɔ̃ tʁε diskʁεtə : tɑ̃dɑ̃səz- anɔʁmaləz- a lizɔləmɑ̃, ʁεvəʁiz- e ʁəpli syʁ swa εɡzaʒeʁe, ladɔlesɑ̃ sɑ̃blə pεʁdʁə lə kɔ̃takt avεk la ʁealite. sε manifεstasjɔ̃ nə sɔ̃ pa tuʒuʁ dε siɲə də skizɔfʁeni debytɑ̃tə, evidamɑ̃ ! səpɑ̃dɑ̃, ɔ̃ nə soʁε tʁo ɛ̃siste syʁ œ̃ depistaʒə pʁekɔsə də sεtə pwaɲɑ̃tə maladi, si ʁepɑ̃dɥ…
la pybεʁte e la sεksɥalite
dε la pybεʁte, lɛ̃stɛ̃ sεksɥεl mɔ̃tə bʁytaləmɑ̃ a la syʁfasə. sə nε plys lɛ̃stɛ̃ ʁydimɑ̃tεʁə dy pəti ɑ̃fɑ̃, mεz- ynə tɑ̃dɑ̃sə ɔʁjɛ̃te vεʁs « kεlkə ʃozə ». vεʁ kwa ? vwala bjɛ̃ sə ki tʁublə la plypaʁ dεz- adɔlesɑ̃… la sεksɥalite sə pʁezɑ̃tə kɔmə ynə pɥisɑ̃tə lamə də fɔ̃, εllə aʒi o mɔmɑ̃ u ladɔlesɑ̃ a deʒa sybi lɑ̃pʁɛ̃tə pʁɔfɔ̃də də ledykasjɔ̃. si nu nu ʁapəlɔ̃ la psikanalizə, lɛ̃stɛ̃ e la mɔʁalə dɔne paʁ ledykasjɔ̃ sɔ̃ fasə a fasə, amiz- u εnəmi !
sε puʁkwa sə famøz- ɛ̃stɛ̃ sεksɥεl ε syʒε a tɑ̃ də devjasjɔ̃. ladɔlesɑ̃ sə sεnt « puse ɔʁ də lɥi mεmə », sɑ̃ savwaʁ ni u, ni puʁkwa, ni kɔmɑ̃. ɑ̃ mεmə tɑ̃ kə la tɑ̃dɑ̃sə sεksɥεllə, apaʁε la sɑ̃sɥalite.
sε lepɔkə u eməve lε paʁfœ̃ sybtilz- e vjɔlɑ̃… u lɔ̃n- ε tʁε sɑ̃siblə a lɔdœʁ dε ʃəvø, də la po, dœ̃ ɡɑ̃ e dœ̃ muʃwaʁ ublje… sɑ̃sibilite a la bote dynə ʁozə u dynə myzikə…
sε la vɔlypte, dɑ̃ lə sɑ̃s lə plys laʁʒə… kεllə emɔsjɔ̃ pʁɔfɔ̃də si œ̃n- adɔlesɑ̃ ɑ̃tʁəvwa la nydite dœ̃ bo kɔʁ feminɛ̃ ! bote, sεksɥalite, vɔlypte, atɑ̃tə, ɛ̃desizjɔ̃, tεllə sɔ̃ lε ɡʁɑ̃də maʁk də sɔ̃n- afεktivite. dəvɑ̃ sε pɥisɑ̃səz- ɛ̃kɔnɥ, boku dadɔlesɑ̃ fɔ̃ dəmi tuʁ. il sə ʁətiʁe, e ʃεʁʃe ɑ̃ksjøzəmɑ̃ la pyʁəte, kɔmə si lɛ̃stɛ̃ sεksɥεl nɔʁmal netε pa la pyʁəte mεmə ! … də tutə fasɔ̃, ʁəʒəte u aksεpte, tutə lafεktivite də ladɔlesɑ̃ dəvjɛ̃ sεksɥεllə.
ɑ̃ mεmə tɑ̃, apaʁε ynə ɡʁɑ̃də emɔtivite : timidite, ʁuʒœʁ, ʁiʁəz- e plœʁ spasmɔdikəs (syʁtu ʃe lε fijs) . e boku də paʁɑ̃, sideʁe, nə « save plysz- a kεl sɛ̃ sə vue… ». il dize a lœʁz- ɑ̃fɑ̃ : « mε ka ty dɔ̃k ? »… e lɑ̃fɑ̃ dəvʁε ʁepɔ̃dʁə : « sə kə ʒε ? … mɔ̃n- adɔlesɑ̃sə… ».
sεt- ɑ̃sɥitə, nɔʁmaləmɑ̃, la diʁεksjɔ̃ vεʁ lə sεksə ɔpoze. sε la peʁjɔdə damuʁ platɔnikə, dadmiʁasjɔ̃ fεʁvɑ̃tə, dy deziʁ də pʁɔtεksjɔ̃. sε lə mɔmɑ̃ dε ʁεvəʁi sɑ̃ fɛ̃ u lε sitɥasjɔ̃ lε plys ʃəvaləʁεsk sɔ̃t- imaʒine, dεz- ɔʁεjez- ɑ̃bʁase, lə swaʁ, dɑ̃ la sɔlitydə də la ʃɑ̃bʁə… lə kyltə platɔnikə də la famə apaʁε suvɑ̃, ase dɑ̃ʒəʁø dajœʁ sil nə sə likidə pa. sε lə mɔmɑ̃ lə plys « kɔʁdə ʁεdə » də la sεksɥalite adɔlesɑ̃tə. tɑ̃dʁεsə platɔnikə dœ̃ kote, atiʁɑ̃sə ʃaʁnεllə də lotʁə. lideal ε dɔ̃k kil sakɔʁde !
mε paʁfwa, il nə sakɔʁde pa. lamuʁ platɔnikə kɔ̃tinɥ ʒyska laʒə adyltə e ʁɑ̃t- ɛ̃pɔsiblə lapaʁisjɔ̃ də lamuʁ veʁitablə… tu depɑ̃ dɔ̃k isi dε pʁedispozisjɔ̃ də ladɔlesɑ̃, e də la fasɔ̃ dɔ̃ il fy eləve. (ʁəvwaʁ lə kɔ̃plεksə dødipə, etydje ɑ̃ psikanalizə) sε dɔ̃k ynə fazə dɛ̃desizjɔ̃, ki kɔ̃dɥi sεʁtɛ̃z- adɔlesɑ̃z- a lomosεksɥalite, u a lɛ̃pɥisɑ̃sə sεksɥεllə. e sεt- isi kə lɔ̃ dwa vεje a ynə edykasjɔ̃ kɔ̃pʁeɑ̃sivə.
lε fijə sɥive a pø pʁε lə mεmə devəlɔpəmɑ̃, səpɑ̃dɑ̃, kεlk difeʁɑ̃sə sə maʁke. lœʁ sεksɥalite ε boku plys difyzə, o ljø də sə lɔkalize nεtəmɑ̃, εllə fεt « taʃə dɥilə ». sε puʁkwa la mastyʁbasjɔ̃ ε boku mwɛ̃ fʁekɑ̃tə ʃez- εllə kə ʃe lε ɡaʁsɔ̃. εllə sə kɔ̃tɑ̃ple, sɔpsεʁve, ʁəɡaʁde avεk ʁavisəmɑ̃ lε kuʁbə- də lœʁ kɔʁ, εɡzεkʁe vjɔlamɑ̃ də pəti defo minœʁ… εllə sɔ̃t- atɛ̃tə dynə « εkskizə » pydœʁ, e dynə imɑ̃sə kɔkεtəʁi. kɑ̃ a la ʁεvəʁi… œ̃ ʒεstə, œ̃ suʁiʁə, œ̃ ʁəɡaʁ, e lε vwala paʁti vεʁz- œ̃n- eʃafodaʒə də ʁɔmɑ̃z- o ɔʁizɔ̃z- ɛ̃finiz- e emɔtif…
fo til edyke ɑ̃sɑ̃blə ɡaʁsɔ̃z- e fijə ?
il sɑ̃blə kə ledykasjɔ̃ mikstə swa tut- ɛ̃dike puʁ ʁezudʁə lə ʃəmɛ̃ nɔʁmal vεʁ lotʁə sεksə. sεtə sɔlysjɔ̃ ε suvɑ̃ εksεllɑ̃tə. lεzɑ̃sə vis a vis də lotʁə sεksə ɑ̃n- ε lə ʁezylta fʁeke. bjɛ̃ syʁ, ɔ̃ pø ɔbʒεkte kə lə ɡaʁsɔ̃ tɔ̃bəʁa difisiləmɑ̃ amuʁø dynə fijə kil vwa tʁɑ̃spiʁe syʁ lε mεmə pʁɔblεmə kə lɥi. latʁε dy mistεʁə « dɑ̃ fasə », ʁiskə də sese pʁozajkəmɑ̃. lεz- ɔpinjɔ̃ sɔ̃ dɔ̃k paʁtaʒez- a sə syʒε : kɔmə dɑ̃ tu pʁɔblεmə ymɛ̃, il nεɡzistə okynə sɔlysjɔ̃ ʒeneʁalə. lideal, sε la sovɡaʁdə psiʃikə e fizikə də ladɔlesɑ̃, ki lɥi pεʁmε də tʁavεʁse avεk pø də deɡa, dε sitɥasjɔ̃ paʁfwaz- inεkstʁikablə. sε dɔ̃k œ̃ pʁɔblεmə dedykasjɔ̃ e də pʁevɑ̃sjɔ̃ mɑ̃talə. də tutə fasɔ̃, il εt- ɛ̃dispɑ̃sablə kə ləs « dø sεksəs » ε suvɑ̃ lɔkazjɔ̃ də sə ʁɑ̃kɔ̃tʁe, afɛ̃ də sɔpsεʁve, sə kɔnεtʁə e sεme.
ladɔlesɑ̃sə e la mastyʁbasjɔ̃
la mastyʁbasjɔ̃ sɔlitεʁə ε pʁɔbabləmɑ̃ laktivite sεksɥεllə la plys ʁepɑ̃dɥ dyʁɑ̃ ladɔlesɑ̃sə (syʁtu ʃe lε ɡaʁsɔ̃s) . ʒɑ̃n- ε deʒa paʁle ɑ̃n- etydjɑ̃ fʁød. mastyʁbasjɔ̃ ! … œ̃ mo kə nɔ̃bʁə də pεʁsɔnə kuvʁe dɔpʁɔbʁə, də malediksjɔ̃, kə sε ʒə ! sεtə pʁatikə sεksɥεllə sɔlitεʁə ε ʃaʁʒe dœ̃ bjɛ̃ ɡʁɑ̃ nɔ̃bʁə də moz- imaʒinεʁə : pεʁtə- də memwaʁə, paʁalizi, fɔli, ɡʁɑ̃də bɔsə dɑ̃ lə do, dispaʁisjɔ̃ dεz- ɔʁɡanə ʒenito, ɡatismə pʁekɔsə, ɛ̃pɔsibilite davwaʁ dεz- ɑ̃fɑ̃, ʁamɔlisəmɑ̃ dy sεʁvo, depʁavasjɔ̃ mɔʁalə e deboʃə inevitablə, maladiz- ɔ̃tøzə, e ʒɑ̃ pasə.
il syfi davwaʁ ɑ̃tɑ̃dy lε kɔ̃fesjɔ̃ dεz- adɔlesɑ̃ puʁ savwaʁ kɔ̃bjɛ̃ sεtə kεstjɔ̃ ε defɔʁme. tu səla səʁε ase ɡʁɔtεskə, si dε nevʁozə paʁfwa tʁε ɡʁavə, nə sə deklɑ̃ʃε a la sɥitə də mastyʁbasjɔ̃ ʁepete dyʁɑ̃ dεz- ane.
nɔ̃ pa a kozə də la mastyʁbasjɔ̃ εllə mεmə, mε dy klima psikɔlɔʒikə ki lakɔ̃paɲə. il i a dɔ̃k la də fosə kɔ̃sεpsjɔ̃, a detʁɥiʁə lə plys ʁapidəmɑ̃ pɔsiblə. okœ̃ tɔʁ nε ʒamε pʁɔvɔke paʁ la mastyʁbasjɔ̃ εllə mεmə, a kɔ̃disjɔ̃ kεllə nə depasə pa sεʁtεnə limitə. il nə fo pa dɔne a ladɔlesɑ̃ la « ɔ̃tə » də sɔ̃n- aktə, mε lɥi apʁɑ̃dʁə a sə dɔmine, e a tʁuve œ̃ deʁivatif. lɥi apʁɑ̃dʁə la kɔ̃tinɑ̃sə, libʁəmɑ̃ kɔ̃sɑ̃ti, e lə ʁεspε də swa, e nɔ̃ la pœʁ də ʃatimɑ̃ dive.
kεllə sɔ̃ lε kozə də la mastyʁbasjɔ̃ ?
su sa fɔʁmə la plys sɛ̃plə, εllə tɑ̃t- a sulaʒe œ̃ deziʁ sεksɥεl pyʁəmɑ̃ fizikə. sεt- ɛ̃si kɔ̃ lɔpsεʁvə ʃe lεz- animoks (ʃjɛ̃, elefɑ̃, sɛ̃ʒə kaptifs) u ʃe dεz- adyltə pʁive də tutə pɔsibilite də kɔ̃takt sεksɥəl (vwajaʒœʁ, pʁizɔnje, ɛ̃tεʁne psiʃjatʁik… ) .
boku də ɡaʁsɔ̃z- apʁεne lεz- elemɑ̃ də la sεksɥalite a lekɔlə, paʁ lε kɔ̃vεʁsasjɔ̃ də lœʁ kɔ̃paɲɔ̃. il sɔ̃ dajœʁ fʁekamɑ̃ ʁevɔlte paʁ la fasɔ̃ ɡʁɔsjεʁə dɔ̃ la ʃozə ε pʁezɑ̃te. sεʁtɛ̃z- adɔlesɑ̃z- apʁεne la mastyʁbasjɔ̃, swa ɑ̃n- ɑ̃tɑ̃dɑ̃ paʁle dεllə, swa afɛ̃ dimite lεz- otʁə. mεz- ɔ̃ pø sə ʁasyʁe tutəfwa, la plypaʁ dεz- adɔlesɑ̃ sɔʁte mɔʁaləmɑ̃ ɛ̃dεmnə də sə ʒɑ̃ʁə dεkspeʁjɑ̃sə pʁematyʁe.
suz- ynə fɔʁmə plys kɔ̃plεksə, la mastyʁbasjɔ̃ pø suliɲe ynə tɑ̃sjɔ̃ psikɔlɔʒikə, nεjɑ̃ ʁjɛ̃ a vwaʁ avεk la sεksɥalite. sεt- ɛ̃si kə də nɔ̃bʁøz- adɔlesɑ̃ sə kɔ̃sɔle dœ̃ miljø nɔsif, dy sɑ̃timɑ̃ dεtʁə maləʁø, də la sɔlitydə, dε ʁepʁimɑ̃də, εtseteʁa. sεʁtɛ̃z- adɔlesɑ̃ nə pʁatike la mastyʁbasjɔ̃ sɔlitεʁə kə sil sɔ̃ kɔ̃tɑ̃. dotʁə, ynikəmɑ̃ kɑ̃t- il sɔ̃ tʁistə, ɑ̃ksjø, melɑ̃kɔlik, εtseteʁa. il i a dɔ̃k isi lə sulaʒəmɑ̃ kɔʁpɔʁεl dynə tɑ̃sjɔ̃ emɔtivə.
la mastyʁbasjɔ̃ e limaʒinasjɔ̃
sεt- ynə fɔʁmə dɑ̃ʒəʁøzə də mastyʁbasjɔ̃, a kozə də sεʁtεnəs « fiksasjɔ̃s » mɑ̃talə puvɑ̃ kɔ̃tinɥe dyʁɑ̃ tutə lεɡzistɑ̃sə.
tεl ʒənə ɔmə sə mastyʁbə ɑ̃n- imaʒinɑ̃ kil sə tʁuvə syʁ œ̃ tʁonə ʁwajal, avεk dε dizεnə də faməz- a sε pje. tεl otʁə lə fε ɑ̃ pɑ̃sɑ̃ a œ̃ kamaʁadə plysz- aʒe, e kil admiʁə boku. tεl otʁə ʒənə sə mastyʁbə ɑ̃n- imaʒinɑ̃ kil ymili dε ʒənə fijə dɔ̃ il a pœʁ, εtseteʁa. , εtseteʁa. sε pʁatik mɔ̃tʁe bjɛ̃ lε tɑ̃dɑ̃sə pʁɔfɔ̃də də ʃakə adɔlesɑ̃. il i a dɔ̃k dɑ̃ʒe !
sεʁtεnə tɑ̃dɑ̃sə pεʁvεʁsə- pəve sə lje a la mastyʁbasjɔ̃, e ɑ̃ dəvəniʁ ɛ̃sepaʁablə… lə ʒənə ɔmə kɔ̃tinɥəʁa dɔ̃k a satisfεʁə sε tɑ̃dɑ̃sə paʁ lə mεmə mwajɛ̃, e sə, ʒyska laʒə adyltə. il aʁivə alɔʁ fʁekamɑ̃ kil swa ɔbliʒe də sə mastyʁbe tutə sa vi, kil swa selibatεʁə u maʁje. puʁkwa ? paʁsə kil nozəʁε ʒamεz- avue sε deziʁs « sεkʁεts » a sa paʁtənεʁə. la mastyʁbasjɔ̃ də ladyltə pø sə pʁatike də dø fasɔ̃ : swa dɑ̃ la sɔlitydə, swa o kuʁ də laktə sεksɥεl ɑ̃tʁə epu. dɑ̃ sə dεʁnje ka, laktə sεksɥεl sɑ̃blə sakɔ̃pliʁ nɔʁmaləmɑ̃… alɔʁ kə lə (u la) paʁtənεʁə lεsə tuʁne sɔ̃n- imaʒinasjɔ̃ syʁ sε tɑ̃dɑ̃sə paʁtikyljεʁə, ʁεste sɑ̃blabləz- a εllə mεmə dəpɥi də nɔ̃bʁøzəz- ane… ʒɑ̃ ʁəpaʁləʁε dajœʁ dɑ̃ lə ʃapitʁə sɥivɑ̃ : la sεksɥalite.
sε syʁtu dɑ̃ sə dɔmεnə imaʒinatif kə lεz- adɔlesɑ̃ dwave εtʁə miz- ɑ̃ ɡaʁdə. ɑ̃kɔʁə fo til kil sə kɔ̃fje… sə ki ε boku plys fasilə kɔ̃ nə lə kʁwa. il fo kil saʃe nεtʁə pa səl syʁ teʁə a pʁatike sə « visə », tu dabɔʁ. e kɑ̃sɥitə, il ε lə sɑ̃timɑ̃ pʁɔfɔ̃ kə ledykatœʁ kɔ̃sidεʁə la kεstjɔ̃ avεk ynə kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ e ynə laʁʒœʁ dεspʁi tɔtalə. la mastyʁbasjɔ̃ ʁədəvjɛ̃ alɔʁ sə kεllə dwa εtʁə : œ̃n- ɛ̃sidɑ̃ nɔʁmal də ladɔlesɑ̃sə, tɑ̃pɔʁεʁə, e vitə ublje.
la delɛ̃kɑ̃sə ʒyvenilə
la delɛ̃kɑ̃sə ʒyvenilə ε lynə dε fɔʁmə- lε plys penibləs (εt dɑ̃ʒəʁøzəs) də linadaptasjɔ̃ sɔsjalə dεz- ɑ̃fɑ̃, pɥi dεz- adɔlesɑ̃ dəvənys delɛ̃kɑ̃. lε ʒuʁno ʁəɡɔʁʒe də sε ka də delɛ̃kɑ̃sə, dεz- aktəz- absyʁdə, ɡʁatɥi, e sɑ̃ mɔtif, sɔ̃t- akɔ̃pli. sεtə delɛ̃kɑ̃sə ɛ̃teʁεsə dɔ̃k lεz- edykatœʁ, la sɔsjete, lε psikɔlɔɡ, lε medəsɛ̃, ki detεkte dajœʁ suvɑ̃, ʃe lε ʒənə delɛ̃kɑ̃, dε tʁublə dy kaʁaktεʁə e dε taʁə mɑ̃talə. sə ki ε nɔʁmal, etɑ̃ dɔne lafʁøzə bεtizə də sεʁtɛ̃ ʒεstə kʁiminεl.
il ε sεʁtɛ̃ kə lε klima də ɡeʁə, labɑ̃dɔ̃ mɔʁal u fizikə də boku dɑ̃fɑ̃, la ʃytə dε valœʁz- ymεnə, lapʁeɑ̃sjɔ̃ davəniʁ ʃaʁʒe də bɔ̃bə, ɔ̃ fε ʁəbɔ̃diʁ la « fyʁœʁ də vivʁə » εt la delɛ̃kɑ̃sə ʒyvenilə.
la diminysjɔ̃ də la mɔʁalite ε sεʁtεnəmɑ̃ œ̃ dε faktœʁ pʁɛ̃sipo. e lεz- elemɑ̃ də sεtə diminysjɔ̃ nə mɑ̃ke pa. kɔmɑ̃ nɔ̃bʁə dɑ̃fɑ̃ nə səʁε til pa maʁke paʁ sεtə ʃytə də la mɔʁalə e dy ʁεspε dotʁɥi ? ɛ̃si kə paʁ lə deziʁ də « ʒuiʁ » də la vi lə plys vitə pɔsiblə ?
lε kɔ̃disjɔ̃ də vi sɔ̃t- eɡaləmɑ̃ tʁεz- ɛ̃pɔʁtɑ̃tə. lɛ̃diʒɑ̃sə, la ɡʁɑ̃də povʁəte, la sepaʁasjɔ̃ ʁiɡuʁøzə dəs « klasəs » sɔsjalə, lə ʃomaʒə, lalkɔlismə, nə sɔ̃ pa fε puʁ aʁɑ̃ʒe lε ʃozə. si ɔ̃n- i aʒutə lε tɑ̃tasjɔ̃z- εksteʁjəʁə, ɔ̃ kɔ̃statə, ɑ̃n- efε, kə la delɛ̃kɑ̃sə ε plys fʁekɑ̃tə dɑ̃ lε vilə kə dɑ̃ lε kɑ̃paɲə.
la plypaʁ dεz- otœʁ sɔ̃ dakɔʁ puʁ dɔne a la dezɔʁɡanizasjɔ̃ dy miljø familjal ynə plasə pʁepɔ̃deʁɑ̃tə. lε ka sɔ̃ tʁε peniblə : paʁɑ̃ divɔʁse, paʁɑ̃ ki nə sɑ̃tɑ̃de pa, ʁevɔltə dεz- ɑ̃fɑ̃ kɔ̃tʁə lœʁ miljø, kɔ̃kybinaʒə, abɑ̃dɔ̃ mɔʁal u fizikə, εtseteʁa.
kɑ̃ o sinema, sɔ̃ ʁolə ε veʁitabləmɑ̃ pεʁnisjø, e ʁəpʁezɑ̃tə, puʁ boku dɑ̃fɑ̃, ynə veʁitablə ɛ̃tɔksikasjɔ̃. il syfi də sə pʁɔməne ɑ̃ vilə, e də kɔ̃tɑ̃ple lεz- afiʃəz- anɔ̃sɑ̃ lε film, ɔ̃n- ε stypefε də kɔ̃state lə nɔ̃bʁə də film tuʁnɑ̃ otuʁ də kʁimə, də vwaʁ kɑ̃tite dafiʃə mɔ̃tʁɑ̃ dε ʒεstəz- aɡʁesif, dɔpsεʁve lə nɔ̃bʁə də ʁəvɔlve ʁəpʁezɑ̃te syʁ sε mεməz- afiʃə ! sεt- absɔlymɑ̃ efʁεjɑ̃, e ɔ̃ puʁʁε diʁə kə, dɑ̃ sə dɔmεnə, la sɔsjete ʁekɔltə sə kεllə sεmə. lε məzyʁə dεstinez- a pʁɔteʒe la ʒənεsə kɔ̃tʁə sεʁtɛ̃ sinema sɔ̃t- ɛ̃dispɑ̃sablə.
lε ʒənə vɔlœʁ
il vɔle, swa ɑ̃ bɑ̃də, swa sɔlitεʁə. lə vɔl pø εtʁə laksjɔ̃ dœ̃n- ɑ̃fɑ̃ pεʁve, mεz- eɡaləmɑ̃ dœ̃n- adɔlesɑ̃ dɔ̃ lafεktivite ε tʁuble. lɑ̃fɑ̃ vɔlə syʁtu oz- alɑ̃tuʁ də la pybεʁte, lə mɔbilə pø εtʁə la ʒaluzi ɑ̃vεʁz- ynə otʁə pεʁsɔnə də sɔ̃n- aʒə, ynə vɑ̃ʒɑ̃sə ɑ̃vεʁ lε paʁɑ̃, lə deziʁ də satisfεʁə sε bəzwɛ̃, la vanite, εtseteʁa. si lə vɔl ε pʁɔvɔke paʁ ynə afεktivite tʁuble, la psikɔteʁapi εt- ɛ̃dike puʁ ɑ̃ detεkte lε mɔtif.
lε ʒənə pʁɔstitye
la pʁɔstitysjɔ̃ εt- ase fʁekɑ̃tə, tʁε suvɑ̃, εllə ε lə ʁezylta dy vaɡabɔ̃daʒə. ɔ̃ kɔ̃pʁɑ̃ kə la pʁɔstitysjɔ̃ ʒyvenilə swa ɑ̃kuʁaʒe paʁ la mizεʁə, lə ʃomaʒə, lε movεz- εɡzɑ̃plə, lεz- ɑ̃tʁεnəmɑ̃ dɑ̃ʒəʁø.
lε ʒənə vaɡabɔ̃
il εɡzistə avɑ̃ tu lε ʒənə vaɡabɔ̃ds « maladifs » εt iʁεspɔ̃sablə, sə sɔ̃ lεz- epilεptik, lε skizɔfʁεnə, εtseteʁa. lə sinema e lε ʁɔmɑ̃ davɑ̃tyʁəs (pɔlisjez- u otʁəs) ɔ̃ eɡaləmɑ̃ deklɑ̃ʃe bjɛ̃ dε depaʁ dadɔlesɑ̃, paʁtɑ̃ a lavɑ̃tyʁə… lə vaɡabɔ̃daʒə a suliɲe ɔ̃ lə kɔ̃pʁɑ̃ suliɲe puʁ efε fʁekɑ̃ : la mɑ̃disite, lə vɔl e la pʁɔstitysjɔ̃. il εɡzistə osi ynə otʁə fɔʁmə də vaɡabɔ̃daʒə : sə sɔ̃ lε fyɡ.
lε fyɡ
ətɑ̃ dɔne lœʁ nɔ̃bʁə, lε fyɡ pʁezɑ̃te œ̃n- ɛ̃teʁε paʁtikylje. ynə fyɡ pø pʁɔvəniʁ dynə maladi deʒa ɛ̃staleə (tεlləz- epilεpsi, pεʁvεʁsite, εtseteʁa. ) . mε, lə plys suvɑ̃, lε mɔbiləz- ɑ̃ sɔ̃ pyʁəmɑ̃ psikɔlɔʒik. il fo alɔʁ ʃεʁʃe dɑ̃ la vi afεktivə dy ʒənə « fyɡəʁ », e dɑ̃ sɔ̃ miljø familjal u skɔlεʁə. ɔ̃n- i tʁuvə dε fɥitə dəvɑ̃ sə kə lɑ̃fɑ̃ kɔ̃sidεʁə kɔmə ynə ɛ̃ʒystisə, u ynə seveʁite deplase. ɔ̃n- i tʁuvə la pœʁ dεtʁə ʁepʁimɑ̃de, la sɑ̃sasjɔ̃ dεtʁə fʁystʁe, la sεʁtitydə də nə pa εtʁə εme. sεʁtεnə fyɡ sɔ̃ dε ʃɑ̃taʒə dεstinez- a fεʁə vwaʁ o paʁɑ̃ts « kɔ̃bjɛ̃ lœʁ ɑ̃fɑ̃ ε maləʁøks », a lœʁ fεʁə pœʁ, a sə vɑ̃ʒe dø, εtseteʁa. sε fyɡ sɔ̃ dɔ̃k dεz- evazjɔ̃ psikɔlɔʒik, ki dəmɑ̃de œ̃n- εɡzamɛ̃ apʁɔfɔ̃di ɑ̃ ʃakə ka paʁtikylje, e suvɑ̃ ynə teʁapi familjalə.
lε pʁɛ̃sipalə kozə də la delɛ̃kɑ̃sə ʒyvenilə
la plypaʁ dε delɛ̃kɑ̃ ʒyvenilə sɔ̃ dε dezekilibʁe də lεspʁi. il i a lε ʒənə ki sə lεse ɑ̃tʁεne paʁ vanite, u paʁ fεblεsə lje a ynə ɡʁɑ̃də syɡʒεstibilite. il εɡzistə osi tus søz- a tɑ̃dɑ̃sə paʁanɔiakə (la paʁanɔia a ete etydjeə) , sεt- alɔʁ tutə la ɡamə dəs « fo ʁεzɔnəʁs », dε ʁevɔlte, dε ʁəvɑ̃dikatœʁ, dε mefjɑ̃, sə sɔ̃ sø ki kyltive lə paʁadɔksə e lə sɥive ʒysko bu, εtseteʁa. il i a lεz- ipe emɔtif, puʁ lekεl la mwɛ̃dʁə kɔ̃tʁɛ̃tə εt- ɛ̃sypɔʁtablə, e ki sɔ̃ syʒεz- a dεz- aktəz- ɛ̃pylsif. e ɑ̃fɛ̃, lε pεʁve, ki sɔ̃ lε plys dɑ̃ʒəʁø. ɔ̃ ʁəmaʁkə ʃez- øz- ynə absɑ̃sə demɔsjɔ̃, ynə mɔʁalə inεksistɑ̃tə, e ynə inadaptabilite maʁke. ɔ̃ vwa kə də tʁε nɔ̃bʁø faktœʁz- ɑ̃tʁe ɑ̃ ʒø dɑ̃ la delɛ̃kɑ̃sə ʒyvenilə. lə klima familjal, skɔlεʁə, sɔsjal, ɛ̃si kə lε pʁedispozisjɔ̃ də lɑ̃fɑ̃, dwave εtʁə εɡzamine su tutə lε kutyʁə. il εɡzistə suvɑ̃ tutə ynə ʁeynjɔ̃ də mɔtifz- ɑ̃tʁəmεle. lεz- idez- ɔ̃ dajœʁ kɔ̃sideʁabləmɑ̃ evɔlye dɑ̃ sə dɔmεnə, lεz- ɑ̃sjεnə məzyʁə də ʁepʁesjɔ̃ e də ʃatime sɔ̃ ʁɑ̃plase paʁ lε nɔsjɔ̃ də tʁεtəmɑ̃ e də ʁekypeʁasjɔ̃ sɔsjalə.
la dʁɔɡ
œ̃ dε pʁɔblεmə ki pʁeɔkype aktɥεllmɑ̃ lε paʁɑ̃ dadɔlesɑ̃z- ε lεkstɑ̃sjɔ̃ pʁizə paʁ « la dʁɔɡə ».
o sɑ̃s stʁikt, ynə dʁɔɡ εt- œ̃ pʁɔdɥit (vwaʁə œ̃ kɔ̃pɔʁtəmεnt) , dεstine a elimine ynə sufʁɑ̃sə fizikə (u afεktivə) , a mɔdifje œ̃n- eta kɔʁpɔʁəl (u mɑ̃tal) , difisiləmɑ̃ sypɔʁtablə. lε dʁɔɡ sɔ̃t- evidamɑ̃ osi ɑ̃sjεnə kə la sufʁɑ̃sə ymεnə. la fɥitə dɑ̃ laby dy vɛ̃ u dy taba, la vwatyʁə otomobilə pʁɔkyʁɑ̃ dε kɔ̃pɑ̃sasjɔ̃z- o sɑ̃timɑ̃ dɛ̃feʁjɔʁite, sɔ̃ dəs « dʁɔɡəs » paʁfεtəmɑ̃ kɔtidjεnə.
sə kə lɔ̃n- apεllə « la dʁɔɡə » kɔ̃pʁɑ̃t- oʒuʁdɥi ynə seʁi də pʁɔdɥi, εjɑ̃ œ̃n- efε syʁ lə psiʃismə, pʁɔvɔkɑ̃ ynə akutymɑ̃sə e œ̃n- eta də bəzwɛ̃ ɡʁɑ̃disɑ̃, e kɔ̃dɥizɑ̃ inεksɔʁabləmɑ̃ a lytilizasjɔ̃ də pʁɔdɥi pɥisɑ̃, də plysz- ɑ̃ plys pɥisɑ̃, εkstʁεməmɑ̃ kutø, e mɔʁtεllmɑ̃ iʁevεʁsiblə, a mwɛ̃ kœ̃ sεvʁaʒə, ɑ̃tʁəpʁi ʁəlativəmɑ̃ to, nə fʁεnə, pɥiz- aʁεtə, nɔ̃ sələmɑ̃ lε pʁizə də dʁɔɡ, mε leta e lə kɔ̃pɔʁtəmɑ̃ adiktif. lə byt dœ̃ sεvʁaʒə ε dɔ̃k daniile la tɑ̃dɑ̃sə adiktivə dœ̃n- ɛ̃dividy dʁɔɡe.
ɑ̃ ʁealite, lytilizasjɔ̃ dε dʁɔɡ ʁəpʁezɑ̃tə œ̃ dε sɛ̃ptomə lε plys mɔ̃stʁyø də no sɔsjete skizɔfʁεnə. il fo ɛ̃siste : nylmɑ̃ ynə maladi, mεz- œ̃ sɛ̃ptomə.
ɑ̃tʁə lε maʁʃɑ̃ myltimijjaʁdεʁə ki tjεne lə-o dy pavo, e lε ʁəvɑ̃dœʁ minablə, ɑ̃ fɛ̃ də ʃεnə, ɡεtɑ̃ lεz- ɑ̃fɑ̃z- o pɔʁtə- dekɔlə, sə tʁuve lεz- alysinɑ̃ deʃεz- əʁɔpeɛ̃, ebete dɑ̃ lœʁ aɡɔni sɔsjalə, syʁvivɑ̃ dɔ̃k kɔmə il pəve, e syʁ lekεlz- ɔ̃ maʁʃə, sɑ̃ vεʁɡɔɲə, kεlkə paʁ ɑ̃n- ɔʁje. il saʒi dε pəti pʁɔdyktœʁ də dʁɔɡ, povʁəz- e delεse paʁ lə sistεmə mafjø ki lεz- ɑ̃plwa. o sɑ̃tʁə də sə ɡlɥɑ̃ ʁezo dɔ̃k, dε miljɔ̃ də paʁɑ̃ vive dɑ̃ lɑ̃ɡwasə. kaʁ si lə ʃɑ̃vʁə nε pa meʃɑ̃, fyme ɔkazjɔnεllmɑ̃, paʁ kyʁjozite u kɔ̃taʒjɔ̃, mε sɑ̃ lɑ̃dəmɛ̃, ɑ̃ ʁəvɑ̃ʃə, lε ʁəkɛ̃ də la dʁɔɡ save kɔ̃bjɛ̃ sə ʃɑ̃vʁə pø εtʁə lamɔʁsə dytilizasjɔ̃ də pʁɔdɥi plys fɔʁ, e ɔʁ pʁi, ki fɔ̃ lœʁ fɔʁtynə. sə kə ʃεʁʃe sε maʁʃɑ̃, sε kə la maʁiʒɥana, paʁ εɡzɑ̃plə, abutisə a la vɑ̃tə dε ɡʁɑ̃də tɥøzə, puʁvwajøzə də fɔli e də mɔʁ : εl. εs. de, eʁɔinə, kɔkajnə, εtseteʁa.
lε dʁɔɡ minəʁə sɔ̃, səpɑ̃dɑ̃, εkstʁεməmɑ̃ dɑ̃ʒəʁøzə. paʁsə kynə paʁti də la ʒənεsə lεz- a ʁəvεtɥ də « sɛ̃bɔləs », ki, puʁ εtʁə lamɑ̃tabləmɑ̃ dekadɑ̃, nɑ̃n- εɡziste pa mwɛ̃. ʃakœ̃ sε kə lə ʃɑ̃vʁə ε dəvəny lɑ̃blεmə də la lytə aktɥεllə ɑ̃tʁə lε ʒeneʁasjɔ̃. də plys, sεʁtɛ̃z- adɔlesɑ̃ lɥi atʁibɥe dε puvwaʁs « spiʁitɥεls », vwaʁə də dekuvεʁtəs « ʁəliʒjøzəs ».
tu dʁɔɡe veʁitablə ε, pø u pʁu, œ̃ sɥisidεʁə. e il nε pa difisilə də kɔnεtʁə lə puʁkwa də sεtə tɑ̃dɑ̃sə o sɥisidə mɑ̃tal u kɔʁpɔʁεl, ki ε la paʁ də sεʁtεnə ʒənesə doʒuʁdɥi. la patɔlɔʒi də la dʁɔɡ ε dɔ̃k sεllə də leʃεk, də la dispaʁisjɔ̃, dy sɥisidə dəvɑ̃ œ̃ mɔ̃də kə lɔ̃ ʁəfyzə. la plypaʁ dε ʒənə dʁɔɡe ʃεʁʃe a sə lεse ɡlise vεʁ la mɔʁ, apʁεz- avwaʁ « veky ɛ̃tɑ̃semεnt » (paʁ la dʁɔɡə) . ɑ̃ ʁealite, sə kilz- apεlle vivʁə ɛ̃tɑ̃semɑ̃, siɲifi tuʃe e depase lε fʁɔ̃tjεʁə də la fɔli e də la skizɔfʁeni, fʁɔ̃tjεʁə suvɑ̃ sɑ̃ ʁətuʁ.
lə plys tʁaʒikə ε kil ε ʁiɡuʁøzəmɑ̃ inytilə də mɔʁalize u də fεʁə pœʁ. il fo sə diʁə kə nɔ̃bʁə də « ʒənəs » sə œʁte a dε kɔ̃disjɔ̃ sɔsjaləz- epuvɑ̃tablə. fo til ʁapəle la myltiplikasjɔ̃ dε ɡʁɑ̃z- ɑ̃sɑ̃blə dabitasjɔ̃, lεz- ɑ̃nɥi ki ɑ̃ dekule, la kɔabitasjɔ̃ fɔʁse, lε ɡeʁə, lə ʃomaʒə, lεz- etydə fεtə dɑ̃ lε piʁə kɔ̃disjɔ̃, u fεtəz- ɑ̃ pyʁə pεʁtə, latɑ̃tə dynə sitɥasjɔ̃ mεjəʁə, leta də fε dœ̃ mɔ̃də aktɥεl kupe də sε ʁasinə, də la natyʁə, dy natyʁεl, də la ʒwa də vivʁə, lə tut- etɑ̃ ʁɑ̃plase paʁ la « otə valəʁ » də la finɑ̃sə, ki evidamɑ̃ nε pa la ʁepɔ̃sə atɑ̃dɥ a tu səsi. alɔʁ, dəvɑ̃ lε masakʁə- kɔtidjɛ̃ dɑ̃ lə mɔ̃də, kə puʁʁε fεʁə, o kʁiminεl də la dʁɔɡ, la mɔʁ dɑ̃ la fɔli də kεlk milje dɑ̃fɑ̃ də kɛ̃zə ɑ̃ ?
kə pəve fεʁə lε paʁɑ̃ ? ladɔlesɑ̃sə ε, nu lavɔ̃ di, lepɔkə dε ɡʁɑ̃ kɔ̃fli familjo, filozɔfik, metafizik, εtseteʁa. sε laʒə lə plys sɑ̃siblə oz- εksε, lə plys pɑ̃dylεʁə e, ɑ̃ fɛ̃ də kɔ̃tə, lə plys maləʁø dɑ̃ la vi dynə pεʁsɔnə. ɔʁ, sεt aʒə aseʁe sə œʁtə o myʁ lε plysz- epε ki ε ʒamεz- εɡziste. nɔ̃bʁə də ʒənə ʒɑ̃ vive dɑ̃ dε kɔ̃disjɔ̃ sɔsjaləz- e familjalə pʁɔpʁəmɑ̃ epuvɑ̃tablə. də plys, lεz- adɔlesɑ̃ sɔ̃ mɛ̃tənys dɑ̃ ladɔlesɑ̃sə bjɛ̃ plys lɔ̃tɑ̃ kotʁəfwa, puʁ dε ʁεzɔ̃z- ekɔnɔmik. il sɔ̃t- ɑ̃sɥitə lɑ̃se dɑ̃z- œ̃ mɔ̃də ki nə sε kɑ̃ fεʁə, a mwɛ̃ kil nɑ̃ vœjə pa.
ʒamεz- il nə fy otɑ̃ koʒuʁdɥi dəmɑ̃de o paʁɑ̃. lə pʁɔblεmə də la dʁɔɡ εt- avɑ̃ tut- ynə kεstjɔ̃ də pʁevɑ̃sjɔ̃ e diʒjεnə mɑ̃talə. la dʁɔɡ ε lə teʁiblə mwajɛ̃, ʃwazi paʁ dε ʒənə ki vəle sə fεʁə ɑ̃tɑ̃dʁə, paʁ œ̃ mɔ̃də ki ʁəfyzə də lεz- ekute. kə fεʁə ? il ni a pa ɡʁɑ̃ ʃozə a « fεʁə », dɑ̃z- œ̃n- ynive tεknɔlɔʒikəmɑ̃, pɔlitikəmɑ̃, e ekɔnɔmikəmɑ̃ pʁɔɡʁame puʁ klive, dɑ̃z- œ̃n- ynive dεstʁyktœʁ e sɥisidεʁə suliɲe lɥi osi ! suliɲe ki, puʁ lɛ̃stɑ̃, sɑ̃blə iʁevεʁsiblə. mεz- il i oʁε ɡʁɑ̃t- avɑ̃taʒə a « εtʁə », sɔsjaləmɑ̃ e familjaləmɑ̃. malɡʁe lεz- efɔʁz- akɔ̃pli, il εt- evide kə lə ʁεɲə də la dʁɔɡ nə sekʁuləʁa pa dəmɛ̃, la dəmɑ̃də dəməʁəʁa fɔʁtə dyʁɑ̃ lɔ̃tɑ̃z- ɑ̃kɔʁə. osi, la taʃə ɑ̃tidʁɔɡ dəvʁε sɛ̃stale o nivo familjal. la dʁɔɡ nε kœ̃ sɛ̃ptomə, ʁepetɔ̃ lə ɑ̃kɔʁə. e pʁatikəmɑ̃ paʁlɑ̃, tu depɑ̃ si œ̃n- adɔlesɑ̃ sə sɑ̃ akœji, ekute, admi, ɑ̃tɑ̃dy, sutəny, ɑ̃ sekyʁite, nɔ̃ pa opʁε də tεl u tεl də sε paʁɑ̃, mεz- o sɛ̃ dy kuplə paʁɑ̃tal, sɑ̃ laʁmɔni dykεl il ni a pa ɡʁɑ̃ ʃozə a fεʁə. e tu kuplə paʁɑ̃tal, o ljø də sə diʁə : « kə fεʁə ? » dεvʁε sə dəmɑ̃de : « ki sɔmə nu ? ». kaʁ lɑ̃fɑ̃, lɥi osi, εt- œ̃ sɛ̃ptomə sɛ̃ u maladə : səlɥi dy kuplə kə fɔʁmə suliɲe u nɔ̃ suliɲe sε paʁɑ̃, e, də sə fε, εt- e səʁa aʁme u nɔ̃, syfizamɑ̃ fɔʁ, u pa, puʁ ʁeziste a la dʁɔɡ, vwaʁə mεmə nə pa lɑ̃vizaʒe ynə sələ səɡɔ̃də, u puʁ i sede plεnəmɑ̃. e sə ki pusə dε ʒənə ʒɑ̃ vεʁ la dʁɔɡ, vεʁ lə lεse ale u tutə otʁə fɔʁmə də lɑ̃ sɥisidə, sε la ɡly də lɛ̃fɔʁmyle, e dεz- aʁjεʁə plɑ̃ sɔʁdidə, ipɔkʁitə, mεʁkɑ̃tilə, də nɔtʁə planεtə.
dy bɔ̃ yzaʒə də ladɔlesɑ̃sə
ladɔlesɑ̃sə pasə vitə, di tɔ̃… εllə va vεʁ laʒə adyltə a tʁavεʁ sεz- elɑ̃, sε kɔ̃tʁadiksjɔ̃, sεz- eʁœʁz- e sε tatɔnəmɑ̃. εllə a sε maladə, kɔmə nɛ̃pɔʁtə kεllə peʁjɔdə də vi. ɔ̃ kɔnε lə mo də ʁɔdɛ̃, ki apəlε lεz- adɔlesɑ̃ ləs « ɔfisjɑ̃ də la bote ». e sε bjɛ̃ səla ki dɔminə ɑ̃ ʒeneʁal : la ʁəʃεʁʃə də la bote e dε valœʁ spiʁitɥεllə. sε laʒə u sə poze lε ɡʁɑ̃də kεstjɔ̃z- ymεnəz- e sypʁa ymεnə. sε laʒə dε dekuvεʁtə- fylɡyʁɑ̃tə də la ʁəliʒjɔ̃ e də laʁ. ladɔlesɑ̃sə εt- avidə də bo ʒεstə, də ʃəvaləʁi, də lwajote, də ɡʁɑ̃t- εɡzɑ̃plə. fəzɔ̃ dɔ̃k tu nɔtʁə pɔsiblə puʁ nə pa lεz- ɑ̃ pʁive. e lε ʁəve də la medajə (tεl kə lε delɛ̃kɑ̃ ʒyveniləs) nə dwave nylmɑ̃ ɑ̃tame la tʁε bεllə ide kɔ̃ pø sə fεʁə də la ʒənεsə. il ʁəʃεʁʃe ynə sɛ̃seʁite nεtə, lə sɑ̃s də lɔnœʁ, də la sɔlidaʁite, də lεspʁi də sakʁifisə.
ɛ̃si, ladɔlesɑ̃sə ε puʁvɥ dynə ɡʁɑ̃də misjɔ̃, dɔ̃ lε sɔsjetez- ymεnə sə ʁɑ̃de də mjøz- ɑ̃ mjø kɔ̃tə. ladɔlesɑ̃sə pasə vitə ? … pa syfizamɑ̃ puʁ kɔ̃ nə pɥisə sapyie syʁ εllə, ɑ̃ kɔ̃statɑ̃ kɔ̃bjɛ̃ də ʃozəz- etʁikez- e sali εllə pø asεniʁ.
apʁε sə lɔ̃ pasaʒə o syʒε də pʁɔblematik kɔ̃sεʁnɑ̃ ladɔlesɑ̃sə, ʁəvənɔ̃z- a la nevʁozə, ki meʁitə ɑ̃kɔʁə kεlk pʁesizjɔ̃.
la nevʁozə e la vi kɔ̃ʒyɡalə
ladɔlesɑ̃ dwa dɔ̃k sadapte a sa pεʁsɔnalite nuvεllə, e a lotʁə sεksə, il dwa sə sepaʁəʁ « mɑ̃taləmεnt » də sε paʁɑ̃, afɛ̃ dɑ̃vizaʒe sa vi pʁɔpʁə. sεt- œ̃ mɔmɑ̃ desizif : il fʁɑ̃ʃi la baʁjεʁə… u ʁεstə syʁ plasə. ɑ̃sɥitə, adapte u nɔ̃, il filə ɑ̃ liɲə dʁwatə vεʁ lə maʁjaʒə. ɔʁ, ɔ̃ kɔ̃statə kə də nɔ̃bʁøzə nevʁozə sə manifεste pø apʁε lə maʁjaʒə.
kεllə sɔ̃ lε dø ɡʁɑ̃dəz- adaptasjɔ̃ dəmɑ̃de paʁ sεtə nuvεllə peʁjɔdə də vi ? sə sɔ̃ : laktə ʒenital e ladaptasjɔ̃ a la vi kɔmynə.
laktə ʒenital
il nə saʒi pa dœ̃n- aktə ʒenital kεlkɔ̃kə, mεz- akɔ̃pli avεk ynə pεʁsɔnə bjɛ̃ detεʁmine : lepuzə u lepu. e səla ʃɑ̃ʒə tu… la nevʁozə kɔ̃ʒyɡalə ε suvɑ̃ a bazə sεksɥεllə : ɛ̃pɥisɑ̃sə tɔtalə u paʁsjεllə dy maʁi, fʁiʒidite ʃe la famə.

a sɥivʁə…
Syllabes Phonétique : Les Névroses Et Les Psychoses (Iii)lə=de=liʁə=dε=ɡʁɑ̃=dœʁ=ze=də=la=pεʁ=se=ky=sjɔ̃ 13
ilə=de=li=ʁə=dε=ɡʁɑ̃=dœʁ 7
me=ɡa=lɔ=ma=ni 5
la=fɔ=li=dε=ɡʁɑ̃=dəʁs=εst=tʁε=fa=mi=ljεʁəo=psi=ʃja=tʁə=e=o=py=blik=sə=de=li=ʁə=ε=dɔ̃k=lεɡ=za=ʒe=ʁa=sjɔ̃=də=la=pa=ʁa=nɔ=i=a=lə=ma=la=də=ε=kɔ̃=vɛ̃=ky=də=sa=fɔʁ=sə=fi=zi=kə=εk=sεp=sjɔ=nεllə=e=də=sa=bo=te=i=nui=il=de=sɑ̃=dε=plys=zi=lys=tʁə=fa=mi=jə=il=ε=ta=pa=ʁɑ̃=te=a=tu=tə=lε=kuʁ=də=ʁɔ=pə=e=da=jœʁ=il=ε=ʁi=ʃə=ʁi=ʃə=a=mi=ljaʁd=bʁa=sə=lε=za=fε=ʁə=kɔ=mɑ̃=də=a=dε=mi=ljɔ̃=dɔ=mə=il=ε=sεʁ=tɛ̃=dε=tʁə=œ̃=sy=ʁɔ=mə=œ̃=pʁɔ=fε=tə=œ̃=dε=plys=ɡʁɑ̃=zɛ̃=vɑ̃=tœʁ=də=tus=lε=tɑ̃=tu=tə=lε=fa=mə=sə=pa=me=a=sε=pje=tus=lε=me=ʁi=tə=lɥi=sɔ̃=dy=il=pɔ=sε=də=tus=lε=ti=tʁə=tu=tə=lε=zo=tə=ʁə=la=sjɔ̃=tu=tə=lε=ʁi=ʃe=sə 180
su=vɑ̃=la=lje=ne=sə=ʁə=vε=dɔ=ʁi=po=kiʁə=pʁe=zɑ̃=te=lə=pεʁ=sɔ=na=ʒə=ki=sε=kʁe=e=dɑ̃=sɔ̃=sεʁ=vo=ma=la=də=il=sa=fy=blə=də=kɔs=ty=mə=də=ʃa=po=də=de=kɔ=ʁa=sjɔ̃=də=ɡa=lɔ̃ 50
sεtəa=lje=na=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=si=ku=ʁɑ̃=tə=nε=tεllə=pa=la=ka=ʁi=ka=ty=ʁə=dε=mi=ljɔ̃=dɑ̃=bi=tjø=ze=də=pa=ʁa=nɔ=i=ak=le=ʒe=ki=py=ly=le=a=la=syʁ=fa=sə=də=la=te=ʁə=nε=tεl=lə=pa=la=ka=ʁi=ka=ty=ʁə=də=tus=sø=ki=sə=və=le=sy=pe=ʁjœʁ 68
mεlə=de=li=ʁə=dε=ɡʁɑ̃=dœʁ=nə=sə=ʁə=tʁu=və=pa=y=ni=kə=mɑ̃=dɑ̃=la=pa=ʁa=nɔ=i=a=ɔ̃=lə=tʁu=və=dɑ̃=la=pa=ʁa=li=zi=ʒe=ne=ʁa=lə=me=nɛ̃=ɡo=ɑ̃=se=fa=li=tə=dɔ=ʁi=ʒi=nə=si=fi=li=ti=kə=e=dɑ̃=sεʁ=tε=nə=fɔʁ=mə=də=ma=ni=u=də=ski=zɔ=fʁe=ni=dε=de=bi=lə=mɑ̃=to=a=lœʁ=tuʁ=sə=dɔ=ne=dε=ti=tʁə=ze=də=tʁε-o=tə=sit=ɥa=sjɔ̃=sε=ta=lɔʁ=lə=pɔʁ=il=le=ɡal=də=ly=ni=fɔʁ=məe=dε=de=kɔ=ʁa=sjɔ̃=e=di=vεʁ=sə=zo=tʁə=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=ki=kɔ̃=kʁe=ti=zεnt=lœʁ=de=liʁə 131
il=εɡ=zistə=dɔ̃k=y=nə=ɡa=məa=lɑ̃=də=la=pa=ʁa=nɔ=i=a=le=ʒε=ʁə=a=la=psi=ko=zə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=tə=lə=pʁɔ=blε=mə=də=la=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=le=ɡa=lə=sə=tʁu=və=ɛ̃=si=po=ze=lε=pa=ʁa=nɔ=i=ak=ze=lε=me=ɡa=lɔ=ma=nə=pa=se=paʁ=fwa=zo=zak=tə=il=zεk=spʁi=me=ləʁ=pɥi=sɑ̃=sə=εt=ləʁs=ti=tʁəs=paʁ=la=pa=ʁɔ=lə=mε=ze=ɡa=lə=mɑ̃=paʁ=lœʁ=kɔs=ty=mə=zu=lœʁ=zak=sjɔ̃=sə=sɔ̃=ta=lɔʁ=lε=zɛ̃=fʁak=sjɔ̃=za=lɔʁ=dʁə=py=blik=lε=pɔʁ=də=de=kɔ=ʁa=sjɔ̃=lε=zɛ̃=syl=tə=zo=ma=ʒis=tʁa=lε=zεs=kʁɔ=kə=ʁi=lε=ku=ze=lε=ble=syʁə 141
il=ε=te=vi=de=kə=la=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=ε=nylə=dɑ̃=la=pa=ʁa=li=zi=ʒe=ne=ʁa=lə=dɑ̃=lε=zo=tʁə=ka=la=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=ε=lje=a=lɛ̃=tɑ̃=si=te=də=la=psi=kozə 48
ji=lə=de=liʁə=də=la=pεʁ=se=ky=sjɔ̃ 10
kɔmə=lə=de=li=ʁə=dε=ɡʁɑ̃=dœʁ=lə=de=li=ʁə=də=la=pεʁ=se=ky=sjɔ̃=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=fʁe=ka=mɑ̃=ɑ̃=kli=ni=kə=e=a=jœʁ 32
la=pεʁse=ky=sjɔ̃=ε=su=vɑ̃=lje=a=li=de=də=ɡʁɑ̃=dœʁ=si=lə=ma=la=də=sε=tu=ε=pɥi=sɑ̃=e=ab=sɔ=ly=mɑ̃=ly=si=də=na=tɔ̃=pa=ɛ̃=te=ʁε=a=lə=sy=pʁi=me=də=kwa=sə=plɛ̃=lə=pεʁ=se=ky=te=kə=lɔ̃=pɔʁ=təa=tɛ̃=tə=a=sa=fɔʁ=ty=nə=u=a=sa=sit=ɥa=sjɔ̃=kɔ̃=nεɡ=zεʁ=sə=y=nə=ɛ̃f=lɥɑ̃=sə=fi=zi=kə=syʁ=sɔ̃=kɔʁ=o=mwa=jɛ̃=də=le=lεk=tʁi=si=te=dε=ʁε=jɔ̃=də=lip=nɔ=tis=mə=εt=se=te=ʁa 105
kə=dε=pεʁ=sɔnə=lə=pεʁ=se=ky=te=a=dis=tɑ̃=sə=paʁ=dε=mwa=jɛ̃=ma=ʒik=ki=pə=ve=ɛ̃f=lɥɑ̃=se=sɔ̃=nεs=pʁi=det=ʁɥi=ʁə=sa=fɔʁ=ty=nə=lɑ̃=pε=ʃe=da=ʒiʁ=lə=fε=ʁə=mu=ʁiʁ=εt=se=te=ʁa=il=pʁe=tɑ̃=te=ɡa=lə=mɑ̃=kɔ̃=le=ku=təo=mwa=jɛ̃=də=la=ʁa=djo=kɔ̃=sε=tu=sə=kil=fε=ʃe=lɥi=kɔ̃=kap=tə=sa=pɑ̃se 79
tʁε=su=vɑ̃=lε=za=ly=si=na=sjɔ̃sə=pʁe=zɑ̃=te=lə=ma=la=dəɑ̃=tɑ̃=dε=vwa=ki=lɛ̃=syl=te=lə=mə=na=se=paʁ=fwa=il=pʁe=tɑ̃=kɔ̃=na=fʁak=ty=ʁe=sɔ̃=sεʁ=vo=puʁ=kap=te=sε=pɑ̃=se=zu=di=ʁi=ʒe=sε=zi=de=il=ε=dɔ̃k=na=ty=ʁεl=kə=sə=ma=la=də=ʁə=sɑ̃=tə=y=nə=vi=və=ɑ̃=ɡwa=sə=ki=nə=fε=kə=ʁɑ̃=fɔʁ=se=sɔ̃=de=liʁə 84
tɑ̃=to=il=pʁe=tɑ̃kə=ɔ=nə=lə=pεʁ=se=ky=tə=sɑ̃=pʁe=si=ze=da=vɑ̃=ta=ʒə=mε=paʁ=fwa=zil=de=zi=ɲə=tεllə=pεʁ=sɔ=nə=tεl=ɡʁu=pə=mɑ̃=pɔ=li=ti=kə=tεl=lə=sεk=tə=ʁə=li=ʒjø=zə=lε=kɔ=mi=sa=ʁja=də=pɔ=li=səe=lε=zo=tɔ=ʁi=te=ʒy=di=sjε=ʁə=zɑ̃=sa=ve=kεl=kə=ʃozə 71
lə=ma=ladə=pø=ʁe=a=ʒiʁ=də=ply=zjœʁ=fa=sɔ̃=zo=de=li=ʁə=də=pεʁ=se=ky=sjɔ̃=il=pø=sə=li=vʁe=a=sεʁ=tɛ̃=mwa=jɛ̃=də=de=fɑ̃=sə=il=sə=ve=ʁu=jə=ʃe=lɥi=pɔʁ=tə=də=bi=za=ʁə=za=ku=tʁə=mɑ̃=εt=se=te=ʁa=il=fa=bʁi=kə=dε=ze=kʁɑ̃=dε=fe=ti=ʃə=ze=dε=za=my=lε=tə=puʁ=sə=pʁɔ=te=ʒe=kɔ̃=tʁə=lε=ʁε=jɔ̃=lε=zɔ̃=də=u=la=pɑ̃=se=də=sɔ̃=pεʁ=se=ky=tœʁ=lə=ma=la=dəɑ̃=tɑ̃=te=ɡa=lə=mɑ̃=dε=vwa=swa=ε=nə=mi=swa=pʁɔ=tεk=tʁi=sə=il=lœʁ=ʁe=pɔ̃=dis=ky=tə=sə=bu=ʃə=lε=zɔ=ʁεjə=u=il=sə=de=fɑ̃=to=tʁə=mɑ̃=il=mə=na=sə=e=ɛ̃=syl=tə=səs=pεʁ=se=ky=təʁs=pɔʁ=tə=plɛ̃=tə=εt=se=te=ʁa=sil=de=si=də=da=ne=ɑ̃=tiʁ=lɥi=mε=mə=sø=ki=lə=pεʁ=se=ky=te=il=ʁis=kə=e=vi=da=mɑ̃=də=də=və=niʁ=tʁε=dɑ̃=ʒə=ʁø 191
œ̃=nεɡ=zɑ̃=plə 4
vwa=si=ɑ̃=ni=lys=tʁa=sjɔ̃=œ̃=fʁaɡ=me=də=lεtʁə=ʁε=pʁɔd=ɥi=tεl=kεl=fo=tə=kɔ̃=pʁi=zəs=dyn=pεʁ=se=ky=te 27
mə=sj=ø=fʁa=tεʁ=nεl=e=pɥi=sɑ̃ 10
sə=si=puʁ=a=vwaʁ=lɔ=nœʁ=də=vu=diʁə=kə=vu=pu=ve=fε=ʁə=kɔ̃=sε=sə=də=vu=lwaʁ=mə=tɥe=a=dis=tɑ̃=sə=paʁ=la=pɑ̃=se=də=mε=zε=nə=mi=il=zɔ̃=dε=pu=pe=kil=pi=ke=e=mip=nɔ=ti=ze=puʁ=a=vwaʁ=tu=sə=kə=ʒə=sε=ze=sɑ̃=sεʁ=viʁ=kɔ̃=tʁə=nɔ=tʁə=pε=i=ʒə=sε=kil=i=a=dε=mi=kʁo=kil=zɔ̃=ka=ʃe=dɑ̃=ma=ʁe=zi=dɑ̃=sə=mε=ʒə=nə=paʁ=vjɛ̃=pa=a=mε=tʁə=la=mɛ̃=də=sy=mε=zε=nə=mi=sa=ve=bjɛ̃=mε=sε=kʁε=də=ta=e=də=di=plɔ=ma=ti=kɑ̃=ʒə=vwa=ja=ɡε=puʁ=lε=za=fε=ʁə=pɔ=li=tik=ʒə=nə=vø=pa=ma=bε=se=a=fε=ʁə=sə=kil=fɔ̃=mε=ʒə=vø=zy=nə=pɥi=sɑ̃=sə=pʁε=də=la=mjε=nə=ki=ε=la=vo=tʁə=a=nu=dø=ʒə=sə=ʁε=sεʁ=tɛ̃=də=lε=vɛ̃=kʁəe=kil=nə=puʁ=ʁɔ̃=plys=za=vwaʁ=mε=pɑ̃=se=ze=mɑ̃=tɑ̃=dʁə=ʃe=mwa=ɑ̃=tɑ̃=dʁə=tu=sə=kə=ʒə=di=e=sə=kə=ʒə=pɑ̃=sə=si=vu=mε=de=ʒə=ʁe=ky=pe=ʁə=ʁε=ma=fɔʁ=ty=nə=e=vu=zɑ̃=dɔ=nə=ʁε=mε=ʒə=nə=pø=pa=bo=ku=sɔʁ=tiʁ=paʁ=sə=kil=puʁ=ʁε=mə=di=ʁi=ʒe=ʃe=zø=paʁ=la=ʁa=djo=u=paʁ=la=pɑ̃=se=e=mɑ̃=fεʁ=məʁ 256
swɛ̃=psi=ʃj=a=tʁik 5
tutə=lε=psi=ko=zə=mε=mə=lε=plys=ɡʁa=və=sɔ̃=sy=sεp=ti=blə=də=ɡe=ʁi=zɔ̃=sεʁ=tɛ̃=ma=la=də=sɑ̃=ble=de=sɑ̃=dʁə=ʒys=ko=də=ɡʁe=lə=plys=ba=də=la=ni=ma=li=te=y=mε=nə=sø=la=mε=mə=ɡe=ʁi=se=paʁ=fwa=dy=nə=fa=sɔ̃=ʁa=pi=dəe=de=fi=ni=ti=və=ʁə=pʁə=nɑ̃=y=nə=vi=sɔ=sja=lə=e=ka=pa=blə=də=syʁ=mɔ̃=te=də=ɡʁɑ̃=də=di=fi=kyl=te=za=vεk=mε=tʁi=zə=dy=ʁɑ̃=tu=tə=lœʁ=vi 102
ə=vi=da=mɑ̃=lə=tʁεtə=mɑ̃=dε=psi=ko=zə=nə=pø=pa=sə=fε=ʁə=εn=blɔk=tu=psi=ʃja=tʁə=də=vʁε=tʁa=va=je=lə=ma=la=dəɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=dœʁ=e=pɑ̃=dɑ̃=lə=tɑ̃=ne=se=sε=ʁə=də=ve=ʁi=ta=blə=ʁe=zy=ʁεk=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=zɑ̃=sə=ʁε=su=vɑ̃=lə=fʁɥi=sε=la=tu=lə=pʁɔ=blε=mə=i=a=til=sy=fi=za=mɑ̃=də=psi=ʃja=tʁə=ɔ̃=til=lə=tɑ̃=də=vɑ̃=la=flyks=dε=ma=la=də=mɑ̃=to=mal=ɡʁe=lœʁ=vu=lwaʁ=e=lœʁ=sjɑ̃=sə=nə=dwa=ve=til=pa=sə=kɔ̃=tɑ̃=te=paʁ=fwa=də=tʁε=tə=mɑ̃=ʁa=pi=də=də=plys=nə=sɔ̃=til=pa=su=mi=za=də=sty=pi=də=kɔ=li=bε=pɔ=py=lε=ʁə=ze=o=plε=zɑ̃=tə=ʁi=də=sεʁ=tε=nə=pʁe=sə 154
də=plys=la=psi=ka=na=lizəe=la=psi=kɔ=te=ʁa=pi=pə=ve=dɔ=ne=də=bɔ̃=ʁe=zyl=ta=mε=mə=ʃe=lε=za=lje=ne=ɡʁa=və=mɑ̃=a=tɛ̃=la=lje=ne=εst=e=tʁɑ̃=ʒəʁ=paʁ=fwa=bjɛ̃=mwɛ̃=kil=nə=lə=pa=ʁε=mal=ɡʁe=lε=za=pa=ʁɑ̃=sə=il=də=mə=ʁə=ɑ̃=lɥi=y=nə=pεʁ=sɔ=na=li=te=e=tu=fe=si=lɑ̃=sjø=zə=mε=ki=su=fʁə=sε=puʁ=kwa=tu=sεʁ=vi=sə=da=zi=lə=dwa=ε=tʁə=ba=ze=a=vɑ̃=tu=syʁ=œ̃=ʁεs=pε=ab=sɔ=ly=də=la=lje=ne=ki=kɔ=mə=nɛ̃=pɔʁ=tə=ki=ɡaʁ=də=lε=dʁwa=lε=plys=sa=kʁe=də=ly=mɛ̃ 128
ɑ̃=kɔ=ʁə=la=ne=vʁo=zə 7
a=pʁεlə=sjεl=ɔ=pa=kə=dε=psi=ko=zə=fə=zɔ̃=də=mi=tuʁ=a=fɛ̃=də=ʁə=tʁu=ve=la=kɔ̃=sjɑ̃=səe=lε=nɥ=a=ʒə=ɡʁi=dε=ne=vʁozə 33
la=ne=vʁo=zə=e=la=py=bεʁ=te 9
la=py=bεʁ=te=uvʁə=la=pɔʁ=təa=də=nɔ̃=bʁø=zə=ne=vʁo=zə=sε=tə=fa=mø=zə=py=bεʁ=te=nε=tεllə=pa=lə=pʁə=mje=ɡʁɑ̃d=sot=e=la=pʁə=mjε=ʁə=a=dap=ta=sjɔ̃=tʁε=zɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=tə=də=mɑ̃=de=paʁ=la=vi=si=dε=ne=vʁo=zə=za=pa=ʁε=se=a=pʁε=la=py=bεʁ=te=du=vjε=ne=tεl=lə=dy=nə=ko=zə=fi=zi=kə=dy=nə=ko=zə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=la=py=bεʁ=te=ε=te=sɑ̃=sjεl=lmɑ̃=ka=ʁak=te=ʁi=ze=paʁ=y=nə=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dε=fɔ̃k=sjɔ̃=ʒe=ni=ta=lə=e=paʁ=di=vεʁ=sə=mɔ=di=fi=ka=sjɔ̃=fi=zjɔ=lɔ=ʒi=kəs=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dε=pwal=de=və=lɔ=pə=mɑ̃=dε=sɛ̃=ze=dε=zɑ̃=ʃə=ʃe=la=fi=jə=ʃɑ̃=ʒə=mɑ̃=də=la=vwa=εt=se=te=ʁa=fo=til=ʁa=ta=ʃe=lε=ne=vʁo=zə=də=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=o=ʃɑ̃=ʒə=mɑ̃=fi=zjɔ=lɔ=ʒik=ze=o=mɔ=di=fi=ka=sjɔ̃=zɑ̃=dɔ=kʁi=njε=nə=pɑ̃=dɑ̃=lɔ̃=tɑ̃=ɔ̃=la=kʁy=ɔ̃=na=mε=mə=dɔ=ne=y=nə=pla=sə=ka=pi=ta=lə=o=fak=tœʁ=zɔʁ=mɔ=no=mε=zak=tɥεl=lmɑ̃=lə=ʁo=lə=ɑ̃=dɔ=kʁi=njɛ̃=sɑ̃=blə=ɑ̃=ʒe=ne=ʁal=də=plys=zɑ̃=plys=mi=ni=mə=si=nɔ̃=i=nεk=sis=tɑ̃=a=lɔʁ=kə=ʁεs=tə=til=si=nɔ̃=lε=ze=le=mɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒik 269
a=nu=vo=la=psi=ka=na=lizəɑ̃=tʁə=dɑ̃=la=ʁε=nə=ɔ̃=kɔ̃s=ta=tə=fʁe=ka=mɑ̃=kə=lε=ne=vʁo=zə=za=dɔ=le=sɑ̃=tə=vjε=ne=di=na=dap=ta=sjɔ̃=i=na=dap=ta=sjɔ̃=za=la=sεk=sɥa=li=te=i=na=dap=ta=sjɔ̃=zo=mi=ljø=εt=se=te=ʁa=œ̃=mɑ̃=kə=de=vɔ=ly=sjɔ̃=nɔʁ=ma=lə=ɑ̃=kεl=kə=sɔʁ=tə=dɑ̃=sə=ka=la=py=bεʁ=te=kʁe=tεllə=y=nə=ne=vʁo=zə=il=nə=sɑ̃=blə=pwɛ̃=mε=la=py=bεʁ=te=mεt=lə=kɔ̃=takt=e=fε=a=pa=ʁε=tʁə=nε=tə=mɑ̃=œ̃=de=ze=ki=li=bʁə=pʁe=εk=sis=tɑ̃=sə=de=ze=ki=li=bʁə=pø=ε=tʁə=kɔ̃s=ti=ty=sjɔ=nεl=u=a=vwaʁ=e=te=kʁe=paʁ=lə=mi=ljø 146
la=dɔ=le=sɑ̃=ne=vʁo=ze=e=pʁuvə=də=ɡʁɑ̃=də=di=fi=kyl=te=za=sa=dap=te=o=ta=ʃə=sɔ=sja=lə=il=fɥi=lε=ʁεs=pɔ̃=sa=bi=li=te=il=ε=fε=blə=sε=tœ̃=na=ʁje=ʁe=a=fεk=tif=blɔ=ke=kεl=kə=paʁ=dɑ̃=sɔ̃=pa=se=il=ʃεʁ=ʃə=su=vɑ̃=ʁə=fy=ʒəo=pʁε=də=sa=mε=ʁə=ʒys=ka=sə=kil=fa=sə=də=mε=mə=o=pʁε=də=sa=fa=mə=a=mwɛ̃=kil=nə=də=vjε=nə=kɔ̃=pɑ̃=se=tus=lε=ku=sɔ̃=pεʁ=mi 100
sə=sɔ̃=ta=lɔʁ=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=zɔp=se=de=skʁy=py=lø=ɑ̃=ɡwase=i=pe=ti=mi=də=a=ɡʁe=sif=sɛ̃=ik=ʁe=vɔl=te=tus=sε=tʁu=blə=sə=ʁe=pεʁ=ky=te=e=vi=da=mɑ̃=syʁ=la=sεk=sɥa=li=te=sεl=lə=si=də=vjɛ̃=ɛ̃=pyl=si=və=a=vεk=bə=zwɛ̃=i=me=dja=də=sa=tis=fak=sjɔ=nə=a=tɑ̃=ta=za=la=py=dœʁ=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=ʁe=pe=te=o=mo=sεk=sɥa=li=te=sa=dis=mə=εt=se=te=ʁa 98
lε=za=dɔ=le=sɑ̃=ne=vʁo=ze=paʁ=blɔ=kaʒəa=fεk=tif=de=pɑ̃=de=dœ̃=tʁε=tə=mɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒikə 24
la=dɔ=le=sɑ̃=sə 5
il=ε=su=vɑ̃=a=ɡʁe=ablə=də=sə=su=və=niʁ=də=sɔ̃=nɑ̃=fɑ̃=sə=mε=sə=ʁa=pə=le=ʒwa=jø=zə=mɑ̃=l=a=ʒəɛ̃=ɡʁat=pʁu=və=su=vɑ̃=œ̃=mɑ̃=kə=də=me=mwa=ʁə=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=ε=ty=nə=pe=ʁjɔ=də=tʁu=ble=a=naʁ=ʃi=kə=pe=ni=blə=ʁə=du=te=paʁ=bo=ku=də=pa=ʁɑ̃=sε=la=pe=ʁjɔ=də=də=vi=ki=syk=sε=də=a=lɑ̃=fɑ̃=sə=e=se=tɑ̃=ʒys=ka=la=ʒə=a=dyl=tə 95
ʃe=lə=ɡaʁ=sɔ̃də=ka=tɔʁ=zə=a=vɛ̃=tɑ̃ 10
ʃe=la=fi=jə=də=duzəa=diz=ɥ=it=ɑ̃ 10
sεmə=zy=ʁə=va=ʁje=e=vi=da=mɑ̃=da=pʁε=lə=kli=ma=la=ʁa=sə=lə=mi=ljø=sɔ=sjal=ki=pø=ɛ̃=po=ze=sεʁ=tε=nə=za=dap=ta=sjɔ̃=pʁe=kɔ=sə=zu=ʁə=taʁ=de=əs 42
la=py=bεʁ=te 4
sε=la=pɔʁtə=də=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=y=nə=ʁə=nε=sɑ̃=sə=ɑ̃=kεl=kə=sɔʁ=tə=lɑ̃=fɑ̃=sə=se=lwa=ɲə=lε=ʒø=dɑ̃=fɑ̃=sɔ̃=ta=bɑ̃=dɔ=ne=le=ki=li=bʁəε=ʁɔ̃=py=lə=ka=ʁak=tε=ʁə=də=vjɛ̃=dy=nə=ɛ̃s=ta=bi=li=te=ʁə=maʁ=ka=blə=fi=ni=lεɡ=zis=tɑ̃=sə=du=jε=tə=su=la=pʁɔ=tεk=sjɔ̃=dε=pa=ʁɑ̃=ʃe=bo=ku=də=pə=plə=la=py=bεʁ=te=nε=tεllə=pa=a=la=fwa=zy=nə=mɔʁ=e=y=nə=ʁə=nε=sɑ̃=sə=lə=si=ne=ma=nu=za=fa=mi=lja=ʁi=ze=a=vεk=sεʁ=tɛ̃=ʁi=təs=di=ni=sja=sjɔ=nə=kʁy=εl=ɛ̃=pi=twa=ja=blə=dεs=ti=ne=za=mə=ne=lə=ʒə=nə=py=bε=ʁə=vεʁ=sa=nu=vεl=lə=εɡ=zis=tɑ̃=sə=dɔmə 153
ʒə=nəa=pʁɑ̃=tidə=la=vjə=la=dɔ=le=sɑ̃=se=lɑ̃=sə=ma=la=dʁwa=tə=mɑ̃=fuɡ=e=mɔ=sjɔ̃=ɛ̃=pe=ty=o=zi=te=sɔ̃=sε=ka=ʁak=te=ʁis=tik 36
la=ʁεvə=ʁi=fε=sɔ̃=na=pa=ʁi=sjɔ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=de=ku=vʁə=sɔ=nə=mwa=il=sə=kɔ̃=pa=ʁəa=sø=ki=lɑ̃=tu=ʁe=il=de=ku=vʁə=la=nɔ=sjɔ̃=dy=tɑ̃=e=kɔ=mɑ̃=sə=a=fε=ʁə=dε=pʁɔ=ʒε=da=və=niʁ=sε=tə=de=ku=vεʁ=tə=dy=fy=tyʁ=e=dy=pa=se=la=mε=nə=a=fε=ʁə=lə=pwɛ̃t=sε=le=pɔ=kə=dε=ʒuʁ=no=zɛ̃=ti=mə=εt=djø=sε=sil=sɔ̃=te=mu=vɑ̃=sε=ʒuʁ=no=kə=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=ma=pɔʁ=te=spɔ̃=ta=ne=mεnt=la=ʁe=ve=la=sjɔ̃=də=sɔ=nə=mwa=nə=pø=e=vi=da=mɑ̃=kə=bu=lə=vεʁ=se=la=dɔ=le=sɑ̃=il=sə=ta=tə=mɑ̃=ta=lə=mɑ̃=sə=ʃεʁ=ʃə=sεɡ=za=mi=nə=sə=ʁə=ti=ʁə=dɑ̃=la=sɔ=li=ty=də=il=tɑ̃=tə=a=vɑ̃=tu=də=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=sə=ki=lɥi=a=ʁi=və=il=ʃεʁ=ʃə=dɔ̃k=a=sa=na=li=ze=ɑ̃=pε=tʁe=dɑ̃=lə=fa=tʁa=də=sε=kɔ̃=tʁa=dik=sjɔ̃=zɛ̃=te=ʁjə=ʁə=il=ʃεʁ=ʃə=aʁ=da=mɑ̃=y=nə=a=fεk=sjɔ̃=e=y=nə=di=ʁεk=sjɔ̃=ki=pɥi=se=lε=de=a=vwaʁ=plys=klεʁ=sɔ̃=ni=ma=ʒi=na=sjɔ̃=ba=la=kɑ̃=pa=ɲə=œ̃=pø=a=fɔ=le=nə=sa=ʃɑ̃=paʁ=u=kɔ=mɑ̃=se=ni=paʁ=kεl=bu=pʁɑ̃=dʁə=lə=vas=tə=mɔ̃=də=lε=ze=tɑ̃=daʁd=də=la=ʁe=vɔl=tə=sə=lε=ve=sə=sɔ̃=lε=za=tak=ʁɑ̃=ʒe=kɔ̃=tʁə=ləs=vjεjə=baʁ=bəs=kɔ̃=tʁə=ləs=kʁu=lɑ̃ts=kɔ̃=tʁə=lε=va=lœʁ=ze=ta=bli=lε=ʁε=ɡlə=sɔ=sja=lə=lε=mɔ=ʁa=lə=tʁa=di=sjɔ=nεllə=sε=to=si=la=ʁe=vɔl=tə=suʁ=də=u=u=vεʁ=tə=kɔ̃=tʁə=la=fa=mi=jə=ki=a=fɔ=lə=si=su=vɑ̃=lε=ze=dy=ka=tœʁ=lε=zεk=sɑ̃=tʁi=si=te=kɔ̃=tin=ɥe=la=dɔ=le=sɑ̃=tjɛ̃=dɛ̃=vʁε=sɑ̃=bla=blə=pʁɔ=po=ʃa=y=tə=skɑ̃=da=li=zə=a=plε=ziʁ=ʁa=jə=pε=ʁə=mε=ʁə=e=sɔ=sje=te=il=fε=paʁ=ti=də=bɑ̃=dəs=ε=jɑ̃=lœʁ=klyb=ze=lœʁ=kɔ=də=sε=kʁε 399
otʁə=de=ku=vεʁ=tə=ka=pi=ta=lə=lε=va=lœʁ=spi=ʁit=ɥεllə=lε=kʁi=zə=fi=lo=zɔ=fik=ze=mɔ=ʁa=lə=ze=kla=te=la=dɔ=le=sɑ̃=ε=pʁe=ɔ=ky=pe=paʁ=lə=bjɛ̃=lə=bo=lə=vʁε=il=sə=lɑ̃=sə=dɑ̃=dε=dis=ky=sjɔ̃=paʁ=fwa=za=ʃaʁ=ne=ki=nɔ̃=su=vɑ̃=ʁjɛ̃=dy=nə=kɔ̃=vεʁ=sa=sjɔ=nə=te=də=sɛ̃k=œ=ʁəs=la=swaf=də=lab=sɔ=ly=lə=ʁɔ̃=ʒə=sε=da=jœʁ=zœ̃=ʁə=du=ta=blə=ʁε=zɔ=nœʁ=a=fiʁ=mɑ̃=ka=te=ɡɔ=ʁi=kə=mɑ̃=sə=kil=i=ɲɔ=ʁə=e=sə=mɔ=kɑ̃=ab=sɔ=ly=mɑ̃=dε=kɔ̃=tɛ̃=ʒɑ̃sə 122
si=sɔnə=mwa=lə=ʁɑ̃=pεʁ=plεk=sə=il=ε=bjɛ̃=na=ty=ʁεl=kil=e=sε=dɑ̃=sɔʁ=tiʁ=il=ʃεʁ=ʃə=dε=sɛ̃=pa=ti=dε=zap=ɥi=sə=di=ʁi=ʒɑ̃=lɑ̃=tə=mɑ̃=vεʁ=la=mi=tje=e=la=muʁ=sε=la=pe=ʁjɔ=dəa=pə=le=ə=sta=də=də=la=de=li=vʁɑ̃=sə=dy=mwa 62
lə=vɔl=kɑ̃=sa=lymə=lε=ɡʁɑ̃=də=pa=sjɔ̃=de=ʃε=ne=du=lu=ʁø=zə=a=vø=ɡlə=fɔ̃=lœʁ=a=pa=ʁi=sjɔ̃=lε=za=vεʁ=sjɔ̃=za=ʃaʁ=ne=ze=ɡa=lə=mɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=e=pʁu=və=dε=za=ta=ʃə=mɑ̃=zεk=skly=zif=ʒa=lu=ɔ̃=bʁa=ʒø=il=ʃεʁ=ʃə=su=vɑ̃=la=mi=tje=dœ̃=plys=ʒə=nə=ki=lɥi=pεʁ=mε=də=mjø=sa=fiʁ=me=il=a=ʁi=və=fʁe=ka=mɑ̃=o=si=kil=sə=de=vu=kɔʁ=ze=a=məa=œ̃=na=dyl=tə=ad=mi=ʁe=pʁɔ=fe=sœʁ=sa=vɑ̃=e=kʁi=vɛ̃=sεʁ=tɛ̃=pʁɔ=fe=sœʁ=sɔ̃=sy=ʒε=za=lɑ̃=ɡu=ə=mɑ̃=dε=li=se=ε=nə=ki=de=pa=se=paʁ=fwa=la=mə=zy=ʁə=nɔʁ=ma=lə=ɔ̃=vwa=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=tə=ki=ɑ̃=bʁa=se=la=ʃε=zə=u=sε=ta=si=lə=mε=tʁə=u=ki=mɑ̃=ʒe=la=kʁε=dɔ̃=il=sε=sεʁ=vi=il=i=a=dɔ̃k=i=si=y=nə=fik=sa=sjɔ=nə=ɛ̃=pɔʁ=tɑ̃tə 189
lε=za=mi=tje=za=dɔ=le=sɑ̃tə=ɔ̃=nε=mə=sɔ̃=na=mi=ɔ̃=na=fwa=ɑ̃=lɥi=ɔ̃=lad=mi=ʁə=ɔ̃=sə=sa=kʁi=fi=puʁ=lɥi=ɔ̃=li=mi=tə=bo=ku=də=pa=ʁɑ̃=sɛ̃=kjε=te=də=vɑ̃=sε=za=mi=tje=pa=sjɔ=ne=e=ʁə=du=te=dε=de=vja=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=kil=sə=ʁa=sy=ʁe=lə=ka=ε=ply=to=ʁa=ʁə=kɑ̃=a=la=mi=tje=dœ̃=na=dɔ=le=sɑ̃=ɑ̃=vεʁ=zœ̃=nɑ̃=fɑ̃=plys=ʒə=nə=εl=lə=pø=ɔ=fʁiʁ=plys=də=dɑ̃=ʒe=mε=zεl=ləa=su=vɑ̃=də=bɔ̃=ze=fε=syʁ=lə=plys=ʒə=nə=ki=ɔp=tjɛ̃=ɛ̃=si=œ̃=ɡi=də=e=y=nə=pʁɔ=tεk=sjɔ̃=sεʁ=tɛ̃=kɔ=lε=ʒə=ɑ̃=ɡlə=te=ʁə=ʒez=ɥi=tə=ɔ̃=fε=œ̃=nεk=sεl=lɑ̃=y=za=ʒə=də=sε=za=mi=tje=za=dɔ=le=sɑ̃=tə 159
fe=nɔ=mεnə=fi=zik=su=li=ɲe=la=dɔ=le=sɑ̃=səε=ka=ʁak=te=ʁi=ze=paʁ=la=pa=ʁi=sjɔ̃=dε=fɔ̃k=sjɔ̃=ʒe=ni=ta=lə=ze=dε=ka=ʁak=tε=ʁə=sεk=sɥεl=sə=ɡɔ̃=dε=ʁəs=a=pa=ʁi=sjɔ̃=dε=pwal=de=və=lɔ=pə=mɑ̃=dε=sɛ̃=ze=dε=zɑ̃=ʃə=ʃe=lε=fi=jə=tʁɑ̃s=fɔʁ=ma=sjɔ̃=də=la=vwa=εt=se=te=ʁa=vεʁ=du=zə=ɑ̃s=ʃe=la=fi=jə=εt=vεʁ=tʁε=zə=ɑ̃s=ʃe=lə=ɡaʁ=sɔ=nə=lε=pwal=pu=se=o=py=bi=œ̃=pø=də=tɑ̃=se=ku=lə=e=do=tʁə=pwal=za=pa=ʁε=se=su=lε=zε=sεllə=pɥi=sε=vεʁ=sε=zə=ɑ̃=lɔp=sεʁ=va=sjɔ̃=fʁe=kɑ̃=tə=e=e=zi=tɑ̃=tə=də=vɑ̃=lε=mi=ʁwaʁ=la=mus=ta=ʃə=a=pa=ʁε=a=ʃa=dy=pʁə=mje=ʁa=zwaʁ=də=sy=ʁə=te=nu=vo=du=tə=e=vɔ=ka=sjɔ̃=də=ʒə=nə=fijs=ki=nə=dwa=ve=pa=tʁu=ve=sa=tʁε=sɑ̃=sa=sjɔ=nəl=pʁə=mje=sa=vɔ=na=ʒə=e=fεk=ty=e=kɔ=mə=œ̃=ʁit=ɥεl=sɑ̃=sa=sjɔ̃=dε=tʁə=œ̃=nɔ=mə=e=de=paʁ=vεʁ=dε=sa=vɔ=na=ʒə=də=plys=zɑ̃=plys=fʁe=kɑ̃=kɑ̃=a=las=pε=fi=zi=kə=kɔʁ=de=ʒɛ̃=ɡɑ̃=de=zu=kuʁ=to=mɛ̃=ʁu=ʒo=də=ki=nə=sa=ve=u=sə=fuʁ=ʁe=pwɛ̃=nwaʁ=syʁ=lə=ne=ze=lə=mɑ̃=tɔ̃=mε=sə=nε=pa=tu=y=nə=nu=vεl=lə=diz=ɡʁa=sə=sa=ba=la=mɥ=də=la=vwa=lə=ʒə=nə=ɡaʁ=sɔ̃=kɔ̃=tɑ̃=plə=de=zεs=pe=ʁe=mɑ̃=sε=tə=pɔ=mə=da=dam=ki=sajə=ɔ̃=tø=zə=mɑ̃=il=sɑ̃=kɔ=mə=y=nə=ɔp=se=sjɔ̃=sε=tə=de=tεs=ta=blə=pɔ=mə=mɔ̃=te=e=de=sɑ̃=dʁə=la=vwa=εl=lə=ʁa=pεl=lə=su=vɑ̃=dɔ=nald=dyk=dɑ̃=sε=plys=bo=ʒuʁ=i=si=lə=ʁo=lə=dy=pε=ʁə=pø=ε=tʁə=ɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=pʁe=və=niʁ=lɑ̃=fɑ̃=də=sε=tə=mɥ=də=la=vwa=a=fɛ̃=kə=lə=ʒə=nə=ɡaʁ=sɔ̃=nə=sə=kɔ̃=si=dε=ʁə=pa=kɔ=mə=œ̃=vyl=ɡε=ʁə=ʁe=pʁu=ve 393
otʁə=fe=nɔ=mε=nəɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=la=fɔ̃k=sjɔ̃=də=ʁə=pʁɔ=dyk=sjɔ̃=lε=sεl=ly=lə=ʁə=pʁɔ=dyk=tʁi=sə=zɑ̃=tʁe=ɑ̃=ma=ty=ʁa=sjɔ=nə=ɔ=vy=lə=ze=spεʁ=ma=tɔ=zɔ=i=dəs=ʃe=lε=fi=jə=la=pa=ʁi=sjɔ̃=dε=ʁε=ɡlə=va=ʁi=ɑ̃=mwa=jε=nə=ɑ̃=tʁə=du=zə=e=ka=tɔʁ=zə=ɑ̃=dε=fi=jε=tə=vwa=a=pa=ʁε=tʁə=lœʁ=ʁε=ɡlə=za=ɔ̃=zə=ɑ̃=do=tʁə=bo=ku=plys=taʁd=diks=ɥ=it=ɑ̃s=sε=va=ʁja=sjɔ̃=de=pɑ̃=de=də=la=ʁa=sə=də=la=tɑ̃=pe=ʁa=ty=ʁə=e=də=sεʁ=tɛ̃=mi=ljø=sɔ=sjo=lε=zɔ=vε=ʁə=sə=de=və=lɔ=pe=ʃe=lε=fi=jə=lε=tεs=ti=ky=lə=ze=lε=zɔʁ=ɡa=nə=zεk=stεʁ=nə=ʃe=lə=ɡaʁ=sɔ̃ 150
ma=la=di=də=la=dɔ=le=sɑ̃=sə 9
tʁublə=fi=zik=pʁɛ̃=si=po=su=li=ɲe=la=dɔ=le=sɑ̃=səε=tœ̃=na=ʒə=kʁi=ti=kə=sεʁ=tə=mε=zil=nə=fo=nyl=mɑ̃=ɑ̃=nεɡ=za=ʒe=ʁe=lε=dɑ̃=ʒe=la=ply=paʁ=tʁa=vεʁ=se=sε=tə=pe=ʁjɔ=də=sɑ̃=zɛ̃=si=dɑ̃=bjɛ̃=se=ʁjø=ɑ̃=pʁə=mje=ljø=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=mɔ̃=tʁə=dε=tʁu=blə=də=la=kʁwa=sɑ̃=sə=il=sɔ̃=su=vɑ̃=le=fε=dy=nə=mo=vε=zə=ʁe=ɡy=la=sjɔ̃=ɔʁ=mɔ=na=lə=paʁ=fwa=sεʁ=tɛ̃=tʁu=blə=zɑ̃=dɔ=kʁi=njɛ̃=za=vɑ̃=se=u=ʁə=taʁ=de=la=fɔ̃k=sjɔ̃=də=ʁə=pʁɔ=dyk=sjɔ̃=li=pɔ=fi=zə=pø=o=si=fε=ʁə=dε=sjε=nə=sε=ta=lɔʁ=zœ̃=de=fo=də=kʁwa=sɑ̃=sə=ve=lə-ot=u=ve=lə=bas=a=bu=ti=sɑ̃=o=ʒi=ɡɑ̃=tis=mə=u=o=na=nis=mə=dε=tʁu=blə=zɑ̃=dɔ=kʁi=njɛ̃=pə=ve=pʁɔ=vɔ=ke=y=nə=ab=sɑ̃=sə=də=ka=ʁak=tε=ʁə=sεk=sɥεl=sə=ɡɔ̃=dε=ʁə=lε=fɔʁ=mə=kɔʁ=pɔ=ʁεllə=də=mə=ʁe=ɛ̃=fɑ̃=ti=lə=dɑ̃=sεʁ=tɛ̃=ka=də=py=bεʁ=te=tʁε=pʁe=kɔ=sə=il=a=ʁi=və=kə=lε=ɡaʁ=sɔ̃=də=vjε=ne=dəs=fɔʁ=də=la-a=lə=e=kə=lε=fi=jə=tɑ̃=de=a=lɔ=be=zi=te 242
də=tutə=fa=sɔ̃=il=ni=a=nyl=mɑ̃=də=kwa=se=fʁε=je=la=me=də=si=nə=mɔ=dεʁ=nə=kɔ̃=ba=e=fi=ka=sə=mɑ̃=lε=tʁu=blə=se=ʁjø=də=la=kʁwa=sɑ̃=sə=o=mwa=jɛ̃=dɔʁ=mɔ=nə=za=pli=ke=za=ʃa=kə=ka=paʁ=ti=ky=lje 56
mε=sε=ka=a=nɔʁ=mo=sɔ̃=ply=to=ʁaʁə=ɔ̃=kɔ=nε=o=si=la=pe=ti=fe=ʁɔ=sə=dε=ʒə=nə=ʒɑ̃=il=dwa=ve=mɑ̃=ʒe=ɑ̃=sy=fi=zɑ̃=sə=la=nuʁ=ʁi=ty=ʁə=kɔ̃=tjɛ̃=dʁa=dε=vi=ta=mi=nə=də=kʁwa=sɑ̃=sə=da=jœʁ=lɔʁ=ɡa=nis=mə=kɔ=nε=dɛ̃s=tɛ̃=sə=ki=lɥi=kɔ̃=vjɛ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=ma=ni=fεs=tə=ʒe=ne=ʁa=lə=mɑ̃=œ̃=ɡu=puʁ=lε=kʁy=di=te=ze=lε=fʁɥi=dɔ̃=la=ʁi=ʃε=səɑ̃=vi=ta=mi=nə=zε=kɔ=nəɥ=vi=ta=mi=nə=a=e=ɡal=kʁwa=sɑ̃=sə=ʒe=ne=ʁa=lə=vi=ta=mi=nə=ə=e=ɡal=ak=ti=vi=te=ʒe=ni=ta=lə=vi=ta=mi=nə=de=e=ɡal=de=və=lɔ=pə=mɑ̃=dε=zɔs 145
la=kyl=tyʁə=fi=zi=kəε=tɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=tə=o=kuʁ=də=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=e=lε=spɔʁ=sɔ̃=də=plys=zɑ̃=plys=za=dap=te=zo=ne=se=si=te=də=sεt=a=ʒə=il=va=də=swa=kə=lε=spɔʁ=ze=le=dy=ka=sjɔ̃=fi=zi=kə=dwa=ve=ε=tʁə=se=vε=ʁə=mɑ̃=kɔ̃=tʁo=le=me=di=ka=lə=mɑ̃=a=fɛ̃=kə=lε=za=dɔ=le=sɑ̃=na=kɔ̃=pli=se=pa=dε=ze=fɔʁ=ki=de=pa=se=lœʁ=ka=pa=si=te=fi=zik 96
tʁublə=psi=ʃik=pʁɛ̃=si=po=su=li=ɲe=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=kɔ̃=sis=təɑ̃=nœ̃=my=ʁi=sə=mɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=də=vɑ̃=a=bu=tiʁ=a=y=nə=a=dap=ta=sjɔ̃=sɔ=sja=lə=lε=zɛ̃=si=dɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒik=sɔ̃=mɔ=nε=ku=ʁɑ̃=tə=pɑ̃=dɑ̃=sε=tə=pe=ʁjɔ=də=də=vi=il=ɑ̃=nε=də=be=nɛ̃=e=də=tʁε=zɛ̃=pɔʁ=tɑ̃ 77
tʁublə=be=nɛ̃=su=li=ɲe=nu=və=nɔ̃=də=vwaʁ=le=vɔ=ly=sjɔ̃=nɔʁ=ma=lə=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=sə=sta=də=də=vi=ɛ̃=po=zə=dɔ̃k=dε=tʁu=blə=dy=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=ɔ̃=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=su=vɑ̃=dε=mɔ=di=fi=ka=sjɔ̃=də=ly=mœʁ=dε=tʁis=te=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=də=ɡʁɑ̃=ʁə=pli=syʁ=swa=lε=kʁi=zə=də=laʁ=mə=la=sɔ=li=ty=dəe=li=zɔ=lə=mɑ̃=sɔ̃=fʁe=kɑ̃=bo=ku=da=dɔ=le=sɑ̃=sə=pεʁ=de=ɑ̃=də=va=ɡə=ʁε=və=ʁi=pu=vɑ̃=ε=tʁə=y=nə=a=mɔʁ=sə=də=la=ski=zɔ=fʁe=ni=paʁ=fwa=sə=sɔ̃=dε=ze=lɑ̃=mis=tik=zu=fi=lo=zɔ=fik=dε=zεk=splo=zjɔ̃=sɑ̃=ti=mɑ̃=a=lə=bʁysk=e=sɑ̃=mɔ=tif=a=pa=ʁɑ̃=lε=za=dɔ=le=sɑ̃ts=ka=pʁi=sjøks=bu=dœʁ=εk=stʁε=mə=mɑ̃=py=dik=ʁu=ʒi=sɑ̃=puʁ=œ̃=ʁjɛ̃=sɔ̃=le=ʒjɔ̃=tus=lε=pa=ʁɑ̃=kɔ=nε=se=lε=ʁe=vɔl=tə=za=dɔ=le=sɑ̃=tə=εl=lə=sə=tʁad=ɥi=ze=paʁ=lə=sɛ̃=is=mə=lɛ̃=sɔ=lɑ̃=sə=la=ɡʁe=si=vi=te=sεʁ=tε=nə=fyɡ=la=dɔ=le=sɑ̃=vø=də=və=niʁ=ɛ̃=de=pɑ̃=dɑ̃=ət=vi=vʁə=sa=vjə=spɔ̃=ta=ne=mɑ̃=e=sɑ̃=kɔ̃=tʁɛ̃tə 238
sεʁ=tɛ̃=za=dɔ=le=sɑ̃=pʁe=zɑ̃=te=ynə=tɑ̃=dɑ̃=səo=mɑ̃=sɔ̃=ʒə=e=a=la=fa=by=la=sjɔ=nə=mi=tɔ=ma=njə=il=zal=tε=ʁe=la=ve=ʁi=te=kʁe=e=dε=zis=twa=ʁə=py=ʁə=mɑ̃=i=ma=ʒi=nε=ʁə=e=si=my=le=mε=mə=dε=ze=ta=zɔʁ=ɡa=nik=za=nɔʁ=mo=bjɛ̃=syʁ=li=ma=ʒi=na=sjɔ̃=kʁe=a=tʁi=sə=i=ε=puʁ=kεl=kə=ʃo=zə=ɛ̃=si=kə=lε=syɡ=ʒεs=tjɔ̃=vənɥ=də=lεk=ste=ʁjœʁ 95
il=vi=ve=a=la=fʁɔ̃=tjεʁə=də=li=ma=ʒi=nε=ʁəa=vεk=y=nə=fa=si=li=te=de=kɔ̃=sεʁ=tɑ̃=tə=syʁ=tu=lε=ʒə=nə=fi=jə=ki=sɔ̃=ka=pa=blə=də=ba=tiʁ=də=ve=ʁi=ta=blə=ʁɔ=mɑ̃=za=paʁ=tiʁ=dœ̃=tu=pə=ti=ʁjɛ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=ε=ty=nə=sɔʁ=tə=də=pʁis=mə=ki=de=fɔʁ=mə=kɔ̃=si=de=ʁa=blə=mɑ̃=la=ʁe=a=li=te=paʁ=sə=kə=sε=ty=nə=pe=ʁjɔ=də=syb=ʒεk=ti=və=e=ka=pa=blə=do=da=sjø=zə=kɔ̃s=tʁyk=sjɔ̃=sε=da=jœʁ=la=ʒə=u=lε=tʁə=y=mɛ̃=dwa=sə=li=be=ʁəʁ=də=sɔ̃=bu=jɔnə=mɑ̃=ɛ̃=te=ʁjœʁ=il=fε=dε=pɔ=ε=mə=də=vjɛ̃=tʁε=sɑ̃=si=blə=o=bo=te=zaʁ=tis=tik=e=kʁi=dε=ze=sε=li=te=ʁε=ʁə=ze=my=zi=ko=εt=se=te=ʁa=li=ma=ʒi=na=sjɔ̃=ɡa=lɔ=pə=dɑ̃=tus=lε=sɑ̃s=o=si=a=tɛ̃=tεllə=ʁa=ʁə=mɑ̃=la=kɔ̃=sis=tɑ̃sə 189
la=mi=tɔ=ma=ni=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=pʁɔ=vjɛ̃=e=ɡalə=mɑ̃=də=la=va=ni=te=e=dy=de=ziʁ=də=sə=fε=ʁə=va=lwaʁ=εl=lə=pø=mɔ̃=tʁe=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=dɛ̃=fe=ʁjɔ=ʁi=te=ku=ʁɑ̃=za=sεt=a=ʒə=də=plys=sεʁ=tɛ̃=za=dɔ=le=sɑ̃ts=si=my=lεnt=dəs=sit=ɥa=sjɔ̃=ze=dε=ma=la=di=e=sε=jɑ̃=də=ʁə=tə=niʁ=la=tɑ̃=sjɔ̃=e=la=bjɛ̃=vε=jɑ̃=sə=də=lɑ̃=tu=ʁa=ʒə=il=ʁə=tuʁ=ne=ɛ̃=si=a=œ̃=sta=dəɛ̃=fɑ̃=ti=lə=kil=sa=ʒi=də=tʁε=te=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=mɑ̃=sεʁ=tε=nə=də=sε=si=my=la=sjɔ̃=zε=jɑ̃=dε=fɔʁ=mə=is=te=ʁik=e=ʁis=kɑ̃=də=sə=pʁɔ=lɔ̃=ʒe 141
bo=kudə=ʒə=nə=ʒɑ̃=sɔ̃=syʁ=pʁi=paʁ=la=py=bεʁ=te=kɔ=mə=paʁ=y=nə=ma=ʁe=i=na=tɑ̃dɥ=pεʁ=sɔ=nə=nə=lε=za=a=vεʁ=ti=sə=ki=ε=ty=nə=ɡʁa=vəe=ʁœʁ=il=ε=ne=se=sε=ʁə=də=si=ɲa=le=o=za=dɔ=le=sɑ̃=lε=tʁu=blə=ki=vɔ̃=sə=pʁɔd=ɥi=ʁə=a=fɛ̃=kil=nɑ̃=ʁə=ti=ʁe=o=ky=nə=ɛ̃=kje=ty=də=də=mε=mə=y=nə=mε=ʁə=də=fa=mi=jə=dwa=pʁe=və=niʁ=sa=fi=jε=tə=e=sə=la=vεʁ=zɔ̃=zə=ɑ̃=de=ʒa=lɑ̃=fɑ̃=dwa=sa=vwaʁ=kə=sε=ʁε=ɡlə=sɔ̃=pʁo=ʃə=kεl=lə=e=pʁu=və=ʁa=dε=ma=lε=zə=kεl=lə=kɔ̃s=ta=tə=ʁa=œ̃=ne=ku=lə=mɑ̃=də=sɑ̃=εt=se=te=ʁa=tʁo=də=fi=jε=tə=sɔ̃=pʁɔ=fɔ̃=de=mɑ̃=e=fʁε=je=e=e=pʁu=ve=œ̃=ɡʁɑ̃=ʃɔk=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=ki=puʁ=ʁε=fa=si=lə=mɑ̃=ε=tʁə=e=vi=te=mε=mə=ʁo=lə=puʁ=lə=pε=ʁə=də=fa=mi=jə=sɔ̃=fis=dwa=ε=tʁə=pʁe=və=ny=dε=ze=ʁεk=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=nɔk=tyʁ=nə=ze=dε=pɔ=ly=sjɔ̃=tu=ta=fε=nɔʁ=malə 221
tʁublə=plys=zɛ̃=kje=tɑ̃=su=li=ɲe=nɔ̃=bʁə=da=dɔ=le=sɑ̃=pʁe=zɑ̃=te=y=nə=tɑ̃=dɑ̃=səo=zɔp=se=sjɔ̃=ze=o=fɔ=bi=də=tu=tə=sɔʁ=təs=syʁ=tu=də=na=ty=ʁə=sεk=sɥεllə=u=ʁə=li=ʒjø=zə=kɔ̃=bjɛ̃=sɔ̃=bʁe=dɑ̃=də=mɔʁ=tεl=lə=zɛ̃=kje=ty=də=dɑ̃=dε=du=tə=te=ʁi=fjɑ̃=dɑ̃=lε=zɔp=se=sjɔ̃=də=kɔ=my=njɔ̃=sa=kʁi=lε=ʒə=il=sa=ʒi=də=de=pis=te=tu=sə=la=a=tɑ̃=sε=tʁu=blə=pu=vɑ̃=kɔ̃=tin=ɥe=e=a=bu=tiʁ=a=la=ne=vʁo=zə=ɡʁa=və=nus=za=vɔ̃=vy=dε=ka=də=sə=ʒɑ̃=ʁə=o=kuʁ=də=sεt=u=vʁa=ʒə 128
ɑ̃=kadə=ta=ʁə=mɑ̃=ta=lə=pʁe=εk=sis=tɑ̃=tə=la=py=bεʁ=te=sεʁ=fʁe=ka=mɑ̃=dɛ̃=te=ʁyp=tœʁ=lε=ta=ʁə=sə=mɔ̃=tʁe=a=lɔʁ=bʁy=ta=lə=mɑ̃=bjɛ̃=kεllə=nε=o=kœ̃=ʁa=pɔʁ=di=ʁεkt=a=vεk=lə=fe=nɔ=mε=nə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=di=də=la=py=bεʁ=te 61
ɑ̃=fɛ̃=la=py=bεʁ=te=ε=tœ̃=mɔ=mɑ̃də=ʃwa=puʁ=œ̃=de=by=də=ski=zɔ=fʁe=ni=nu=za=vɔ̃=ze=ty=dje=sε=tə=pe=ni=blə=ma=la=di=mɑ̃=ta=lə=o=de=by=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=sɔ̃=tʁε=dis=kʁε=tə=tɑ̃=dɑ̃=sə=za=nɔʁ=ma=lə=za=li=zɔ=lə=mɑ̃=ʁε=və=ʁi=ze=ʁə=pli=syʁ=swa=εɡ=za=ʒe=ʁe=la=dɔ=le=sɑ̃=sɑ̃=blə=pεʁ=dʁə=lə=kɔ̃=takt=a=vεk=la=ʁe=a=li=te=sε=ma=ni=fεs=ta=sjɔ̃=nə=sɔ̃=pa=tu=ʒuʁ=dε=si=ɲə=də=ski=zɔ=fʁe=ni=de=by=tɑ̃=tə=e=vi=da=mɑ̃=sə=pɑ̃=dɑ̃=ɔ̃=nə=so=ʁε=tʁo=ɛ̃=sis=te=syʁ=œ̃=de=pis=ta=ʒə=pʁe=kɔ=sə=də=sε=tə=pwa=ɲɑ̃=tə=ma=la=di=si=ʁe=pɑ̃dɥ 152
la=py=bεʁ=te=e=la=sεk=sɥa=li=te 10
dε=la=py=bεʁ=te=lɛ̃s=tɛ̃=sεk=sɥεl=mɔ̃tə=bʁy=ta=lə=mɑ̃=a=la=syʁ=fa=sə=sə=nε=plys=lɛ̃s=tɛ̃=ʁy=di=mɑ̃=tε=ʁə=dy=pə=ti=ɑ̃=fɑ̃=mε=zy=nə=tɑ̃=dɑ̃=səɔ=ʁjɛ̃=te=vεʁs=kεl=kə=ʃo=zə=vεʁ=kwa=vwa=la=bjɛ̃=sə=ki=tʁu=blə=la=ply=paʁ=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=la=sεk=sɥa=li=te=sə=pʁe=zɑ̃=tə=kɔ=mə=y=nə=pɥi=sɑ̃=tə=la=mə=də=fɔ̃=εl=lə=a=ʒi=o=mɔ=mɑ̃=u=la=dɔ=le=sɑ̃=a=de=ʒa=sy=bi=lɑ̃=pʁɛ̃=tə=pʁɔ=fɔ̃=də=də=le=dy=ka=sjɔ̃=si=nu=nu=ʁa=pə=lɔ̃=la=psi=ka=na=li=zə=lɛ̃s=tɛ̃=e=la=mɔ=ʁa=lə=dɔ=ne=paʁ=le=dy=ka=sjɔ̃=sɔ̃=fa=sə=a=fa=sə=a=mi=zu=ε=nə=mi 150
sε=puʁ=kwasə=fa=mø=zɛ̃s=tɛ̃=sεk=sɥεl=ε=sy=ʒε=a=tɑ̃=də=de=vja=sjɔ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=sεnt=pu=se=ɔʁ=də=lɥi=mε=mə=sɑ̃=sa=vwaʁ=ni=u=ni=puʁ=kwa=ni=kɔ=mɑ̃=ɑ̃=mε=mə=tɑ̃=kə=la=tɑ̃=dɑ̃=sə=sεk=sɥεllə=a=pa=ʁε=la=sɑ̃s=ɥa=li=te 61
sε=le=pɔkəu=e=mə=ve=lε=paʁ=fœ̃=syb=til=ze=vjɔ=lɑ̃=u=lɔ̃=nε=tʁε=sɑ̃=si=blə=a=lɔ=dœʁ=dε=ʃə=vø=də=la=po=dœ̃=ɡɑ̃=e=dœ̃=mu=ʃwaʁ=u=blje=sɑ̃=si=bi=li=te=a=la=bo=te=dy=nə=ʁo=zə=u=dy=nə=my=zikə 56
sε=la=vɔ=lyp=te=dɑ̃lə=sɑ̃s=lə=plys=laʁ=ʒə=kεl=ləe=mɔ=sjɔ̃=pʁɔ=fɔ̃=də=si=œ̃=na=dɔ=le=sɑ̃=ɑ̃=tʁə=vwa=la=ny=di=te=dœ̃=bo=kɔʁ=fe=mi=nɛ̃=bo=te=sεk=sɥa=li=te=vɔ=lyp=te=a=tɑ̃=tə=ɛ̃=de=si=zjɔ̃=tεl=lə=sɔ̃=lε=ɡʁɑ̃=də=maʁk=də=sɔ̃=na=fεk=ti=vi=te=də=vɑ̃=sε=pɥi=sɑ̃=sə=zɛ̃=kɔ=nəɥ=bo=ku=da=dɔ=le=sɑ̃=fɔ̃=də=mi=tuʁ=il=sə=ʁə=ti=ʁe=e=ʃεʁ=ʃe=ɑ̃k=sjø=zə=mɑ̃=la=py=ʁə=te=kɔ=mə=si=lɛ̃s=tɛ̃=sεk=sɥεl=nɔʁ=mal=ne=tε=pa=la=py=ʁə=te=mε=mə=də=tu=tə=fa=sɔ̃=ʁə=ʒə=te=u=ak=sεp=te=tu=tə=la=fεk=ti=vi=te=də=la=dɔ=le=sɑ̃=də=vjɛ̃=sεk=sɥεllə 148
ɑ̃=mεmə=tɑ̃=a=pa=ʁε=y=nə=ɡʁɑ̃=dəe=mɔ=ti=vi=te=ti=mi=di=te=ʁu=ʒœʁ=ʁi=ʁə=ze=plœʁ=spas=mɔ=di=kəs=syʁ=tu=ʃe=lε=fijs=e=bo=ku=də=pa=ʁɑ̃=si=de=ʁe=nə=sa=ve=plys=za=kεl=sɛ̃=sə=vu=e=il=di=ze=a=lœʁ=zɑ̃=fɑ̃=mε=ka=ty=dɔ̃k=e=lɑ̃=fɑ̃=də=vʁε=ʁe=pɔ̃=dʁə=sə=kə=ʒε=mɔ̃=na=dɔ=le=sɑ̃=sə 80
sε=tɑ̃s=ɥitə=nɔʁ=ma=lə=mɑ̃=la=di=ʁεk=sjɔ̃=vεʁ=lə=sεk=səɔ=po=ze=sε=la=pe=ʁjɔ=də=da=muʁ=pla=tɔ=ni=kə=dad=mi=ʁa=sjɔ̃=fεʁ=vɑ̃=tə=dy=de=ziʁ=də=pʁɔ=tεk=sjɔ̃=sε=lə=mɔ=mɑ̃=dε=ʁε=və=ʁi=sɑ̃=fɛ̃=u=lε=sit=ɥa=sjɔ̃=lε=plys=ʃə=va=lə=ʁεsk=sɔ̃=ti=ma=ʒi=ne=dε=zɔ=ʁε=je=zɑ̃=bʁa=se=lə=swaʁ=dɑ̃=la=sɔ=li=ty=də=də=la=ʃɑ̃=bʁə=lə=kyl=tə=pla=tɔ=ni=kə=də=la=fa=mə=a=pa=ʁε=su=vɑ̃=a=se=dɑ̃=ʒə=ʁø=da=jœʁ=sil=nə=sə=li=ki=də=pa=sε=lə=mɔ=mɑ̃=lə=plys=kɔʁ=də=ʁε=də=də=la=sεk=sɥa=li=te=a=dɔ=le=sɑ̃=tə=tɑ̃=dʁε=sə=pla=tɔ=ni=kə=dœ̃=ko=te=a=ti=ʁɑ̃=sə=ʃaʁ=nεllə=də=lo=tʁə=li=de=al=ε=dɔ̃k=kil=sa=kɔʁ=de 166
mε=paʁ=fwa=il=nə=sa=kɔʁ=de=pa=la=muʁ=pla=tɔ=nikə=kɔ̃=tinɥ=ʒys=ka=la=ʒəa=dyl=tə=e=ʁɑ̃=tɛ̃=pɔ=si=blə=la=pa=ʁi=sjɔ̃=də=la=muʁ=ve=ʁi=ta=blə=tu=de=pɑ̃=dɔ̃k=i=si=dε=pʁe=dis=po=zi=sjɔ̃=də=la=dɔ=le=sɑ̃=e=də=la=fa=sɔ̃=dɔ̃=il=fy=e=lə=ve=ʁə=vwaʁ=lə=kɔ̃=plεk=sə=dø=di=pə=e=ty=dje=ɑ̃=psi=ka=na=li=zə=sε=dɔ̃k=y=nə=fa=zə=dɛ̃=de=si=zjɔ̃=ki=kɔ̃d=ɥi=sεʁ=tɛ̃=za=dɔ=le=sɑ̃=za=lo=mo=sεk=sɥa=li=te=u=a=lɛ̃p=ɥi=sɑ̃=sə=sεk=sɥεllə=e=sε=ti=si=kə=lɔ̃=dwa=vε=je=a=y=nə=e=dy=ka=sjɔ̃=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sivə 139
lε=fi=jə=sɥi=ve=a=pø=pʁεlə=mε=mə=de=və=lɔ=pə=mɑ̃=sə=pɑ̃=dɑ̃=kεlk=di=fe=ʁɑ̃=sə=sə=maʁ=ke=lœʁ=sεk=sɥa=li=te=ε=bo=ku=plys=di=fy=zə=o=ljø=də=sə=lɔ=ka=li=ze=nε=tə=mɑ̃=εl=lə=fεt=ta=ʃə=dɥi=lə=sε=puʁ=kwa=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=ε=bo=ku=mwɛ̃=fʁe=kɑ̃=tə=ʃe=zεllə=kə=ʃe=lε=ɡaʁ=sɔ̃=εl=lə=sə=kɔ̃=tɑ̃=ple=sɔp=sεʁ=ve=ʁə=ɡaʁ=de=a=vεk=ʁa=vi=sə=mɑ̃=lε=kuʁ=bə=də=lœʁ=kɔʁ=εɡ=zε=kʁe=vjɔ=la=mɑ̃=də=pə=ti=de=fo=mi=nœʁ=εl=lə=sɔ̃=ta=tɛ̃=tə=dy=nə=εk=ski=zə=py=dœʁ=e=dy=nə=i=mɑ̃=sə=kɔ=kε=tə=ʁi=kɑ̃=a=la=ʁε=və=ʁi=œ̃=ʒεs=tə=œ̃=su=ʁi=ʁə=œ̃=ʁə=ɡaʁ=e=lε=vwa=la=paʁ=ti=vεʁ=zœ̃=ne=ʃa=fo=da=ʒə=də=ʁɔ=mɑ̃=zo=ɔ=ʁi=zɔ̃=zɛ̃=fi=ni=ze=e=mɔ=tif 181
fo=til=e=dy=ke=ɑ̃=sɑ̃blə=ɡaʁ=sɔ̃=ze=fijə 11
il=sɑ̃blə=kə=le=dy=ka=sjɔ̃=mik=stə=swa=tu=tɛ̃=di=ke=puʁ=ʁe=zu=dʁə=lə=ʃə=mɛ̃=nɔʁ=mal=vεʁ=lo=tʁə=sεk=sə=sε=tə=sɔ=ly=sjɔ̃=ε=su=vɑ̃=εk=sεl=lɑ̃=tə=lε=zɑ̃=sə=vis=a=vis=də=lo=tʁə=sεk=səɑ̃=nε=lə=ʁe=zyl=ta=fʁe=ke=bjɛ̃=syʁ=ɔ̃=pø=ɔb=ʒεk=te=kə=lə=ɡaʁ=sɔ̃=tɔ̃=bə=ʁa=di=fi=si=lə=mɑ̃=a=mu=ʁø=dy=nə=fi=jə=kil=vwa=tʁɑ̃s=pi=ʁe=syʁ=lε=mε=mə=pʁɔ=blε=mə=kə=lɥi=la=tʁε=dy=mis=tε=ʁə=dɑ̃=fa=sə=ʁis=kə=də=se=se=pʁo=zaj=kə=mɑ̃=lε=zɔ=pi=njɔ̃=sɔ̃=dɔ̃k=paʁ=ta=ʒe=za=sə=sy=ʒε=kɔ=mə=dɑ̃=tu=pʁɔ=blε=mə=y=mɛ̃=il=nεɡ=zis=tə=o=ky=nə=sɔ=ly=sjɔ̃=ʒe=ne=ʁa=lə=li=de=al=sε=la=sov=ɡaʁ=də=psi=ʃi=kə=e=fi=zi=kə=də=la=dɔ=le=sɑ̃=ki=lɥi=pεʁ=mε=də=tʁa=vεʁ=se=a=vεk=pø=də=de=ɡa=dε=sit=ɥa=sjɔ̃=paʁ=fwa=zi=nεk=stʁi=ka=blə=sε=dɔ̃k=œ̃=pʁɔ=blε=mə=de=dy=ka=sjɔ̃=e=də=pʁe=vɑ̃=sjɔ̃=mɑ̃=ta=lə=də=tu=tə=fa=sɔ̃=il=ε=tɛ̃=dis=pɑ̃=sa=blə=kə=ləs=dø=sεk=səs=ε=su=vɑ̃=lɔ=ka=zjɔ̃=də=sə=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁe=a=fɛ̃=də=sɔp=sεʁ=ve=sə=kɔ=nε=tʁə=e=sε=me 256
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la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=sɔ=li=tεʁəε=pʁɔ=ba=blə=mɑ̃=lak=ti=vi=te=sεk=sɥεllə=la=plys=ʁe=pɑ̃dɥ=dy=ʁɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=syʁ=tu=ʃe=lε=ɡaʁ=sɔ̃s=ʒɑ̃=nε=de=ʒa=paʁ=le=ɑ̃=ne=ty=djɑ̃=fʁød=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=œ̃=mo=kə=nɔ̃=bʁə=də=pεʁ=sɔ=nə=ku=vʁe=dɔ=pʁɔ=bʁə=də=ma=le=dik=sjɔ̃=kə=sε=ʒə=sε=tə=pʁa=ti=kə=sεk=sɥεl=lə=sɔ=li=tε=ʁə=ε=ʃaʁ=ʒe=dœ̃=bjɛ̃=ɡʁɑ̃=nɔ̃=bʁə=də=mo=zi=ma=ʒi=nε=ʁə=pεʁ=tə=də=me=mwa=ʁə=pa=ʁa=li=zi=fɔ=li=ɡʁɑ̃=də=bɔ=sə=dɑ̃=lə=do=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=dε=zɔʁ=ɡa=nə=ʒe=ni=to=ɡa=tis=mə=pʁe=kɔ=sə=ɛ̃=pɔ=si=bi=li=te=da=vwaʁ=dε=zɑ̃=fɑ̃=ʁa=mɔ=li=sə=mɑ̃=dy=sεʁ=vo=de=pʁa=va=sjɔ̃=mɔ=ʁa=lə=e=de=bo=ʃə=i=ne=vi=ta=blə=ma=la=di=zɔ̃=tø=zə=e=ʒɑ̃=pasə 179
il=sy=fi=da=vwaʁ=ɑ̃=tɑ̃=dy=lε=kɔ̃=fe=sjɔ̃=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=puʁ=sa=vwaʁ=kɔ̃=bjɛ̃=sεtə=kεs=tjɔ̃=ε=de=fɔʁ=me=tu=sə=la=sə=ʁε=a=se=ɡʁɔ=tεs=kə=si=dε=ne=vʁo=zə=paʁ=fwa=tʁε=ɡʁa=və=nə=sə=de=klɑ̃=ʃε=a=la=sɥi=tə=də=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=ʁe=pe=te=dy=ʁɑ̃=dε=za=ne 71
nɔ̃=pa=a=kozə=də=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=εllə=mε=mə=mε=dy=kli=ma=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=ki=la=kɔ̃=pa=ɲə=il=i=a=dɔ̃k=la=də=fo=sə=kɔ̃=sεp=sjɔ̃=a=det=ʁɥi=ʁə=lə=plys=ʁa=pi=də=mɑ̃=pɔ=si=blə=o=kœ̃=tɔʁ=nε=ʒa=mε=pʁɔ=vɔ=ke=paʁ=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=εl=lə=mε=mə=a=kɔ̃=di=sjɔ̃=kεl=lə=nə=de=pa=sə=pa=sεʁ=tε=nə=li=mi=tə=il=nə=fo=pa=dɔ=ne=a=la=dɔ=le=sɑ̃=la=ɔ̃=tə=də=sɔ̃=nak=tə=mε=lɥi=a=pʁɑ̃=dʁəa=sə=dɔ=mi=ne=e=a=tʁu=ve=œ̃=de=ʁi=va=tif=lɥi=a=pʁɑ̃=dʁə=la=kɔ̃=ti=nɑ̃=sə=li=bʁə=mɑ̃=kɔ̃=sɑ̃=ti=e=lə=ʁεs=pε=də=swa=e=nɔ̃=la=pœʁ=də=ʃa=ti=mɑ̃=di=ve 154
kεllə=sɔ̃=lε=kozə=də=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃ 10
su=sa=fɔʁmə=la=plys=sɛ̃=plə=εl=lə=tɑ̃=ta=su=la=ʒe=œ̃=de=ziʁ=sεk=sɥεl=py=ʁə=mɑ̃=fi=zi=kə=sε=tɛ̃=si=kɔ̃=lɔp=sεʁ=və=ʃe=lε=za=ni=moks=ʃjɛ̃=e=le=fɑ̃=sɛ̃=ʒə=kap=tifs=u=ʃe=dε=za=dyl=tə=pʁi=ve=də=tu=tə=pɔ=si=bi=li=te=də=kɔ̃=takt=sεk=sɥəl=vwa=ja=ʒœʁ=pʁi=zɔ=nje=ɛ̃=tεʁ=ne=psi=ʃja=tʁik 78
bo=kudə=ɡaʁ=sɔ̃=za=pʁε=ne=lε=ze=le=mɑ̃=də=la=sεk=sɥa=li=te=a=le=kɔ=lə=paʁ=lε=kɔ̃=vεʁ=sa=sjɔ̃=də=lœʁ=kɔ̃=pa=ɲɔ̃=il=sɔ̃=da=jœʁ=fʁe=ka=mɑ̃=ʁe=vɔl=te=paʁ=la=fa=sɔ̃=ɡʁɔ=sjε=ʁə=dɔ̃=la=ʃo=zəε=pʁe=zɑ̃=te=sεʁ=tɛ̃=za=dɔ=le=sɑ̃=za=pʁε=ne=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=swa=ɑ̃=nɑ̃=tɑ̃=dɑ̃=paʁ=le=dεllə=swa=a=fɛ̃=di=mi=te=lε=zo=tʁə=mε=zɔ̃=pø=sə=ʁa=sy=ʁe=tu=tə=fwa=la=ply=paʁ=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=sɔʁ=te=mɔ=ʁa=lə=mɑ̃=ɛ̃=dεm=nə=də=sə=ʒɑ̃=ʁə=dεk=spe=ʁjɑ̃=sə=pʁe=ma=ty=ʁe 126
su=zynə=fɔʁ=mə=plys=kɔ̃=plεk=sə=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=pø=su=li=ɲe=y=nə=tɑ̃=sjɔ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=nε=jɑ̃=ʁjɛ̃=a=vwaʁ=a=vεk=la=sεk=sɥa=li=te=sε=tɛ̃=si=kə=də=nɔ̃=bʁø=za=dɔ=le=sɑ̃=sə=kɔ̃=sɔ=le=dœ̃=mi=ljø=nɔ=sif=dy=sɑ̃=ti=mɑ̃=dε=tʁə=ma=lə=ʁø=də=la=sɔ=li=ty=də=dε=ʁe=pʁi=mɑ̃=də=εt=se=te=ʁa=sεʁ=tɛ̃=za=dɔ=le=sɑ̃=nə=pʁa=ti=ke=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=sɔ=li=tε=ʁə=kə=sil=sɔ̃=kɔ̃=tɑ̃=do=tʁə=y=ni=kə=mɑ̃=kɑ̃=til=sɔ̃=tʁis=tə=ɑ̃k=sjø=me=lɑ̃=kɔ=lik=εt=se=te=ʁa=il=i=a=dɔ̃k=i=si=lə=su=la=ʒə=mɑ̃=kɔʁ=pɔ=ʁεl=dy=nə=tɑ̃=sjɔ̃=e=mɔ=tivə 148
la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=e=li=ma=ʒi=na=s=jɔ̃ 12
sε=tynə=fɔʁ=mə=dɑ̃=ʒə=ʁø=zə=də=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=a=ko=zə=də=sεʁ=tε=nəs=fik=sa=sjɔ̃s=mɑ̃=ta=lə=pu=vɑ̃=kɔ̃=tin=ɥe=dy=ʁɑ̃=tu=tə=lεɡ=zis=tɑ̃sə 38
tεl=ʒə=nəɔmə=sə=mas=tyʁ=bə=ɑ̃=ni=ma=ʒi=nɑ̃=kil=sə=tʁu=və=syʁ=œ̃=tʁo=nə=ʁwa=jal=a=vεk=dε=di=zε=nə=də=fa=mə=za=sε=pje=tεl=o=tʁə=lə=fε=ɑ̃=pɑ̃=sɑ̃=a=œ̃=ka=ma=ʁa=də=plys=za=ʒe=e=kil=ad=mi=ʁə=bo=ku=tεl=o=tʁə=ʒə=nə=sə=mas=tyʁ=bə=ɑ̃=ni=ma=ʒi=nɑ̃=kil=y=mi=li=dε=ʒə=nə=fi=jə=dɔ̃=il=a=pœʁ=εt=se=te=ʁa=εt=se=te=ʁa=sε=pʁa=tik=mɔ̃=tʁe=bjɛ̃=lε=tɑ̃=dɑ̃=sə=pʁɔ=fɔ̃=də=də=ʃa=kə=a=dɔ=le=sɑ̃=il=i=a=dɔ̃k=dɑ̃=ʒe 119
sεʁ=tεnə=tɑ̃=dɑ̃=sə=pεʁ=vεʁ=sə=pə=ve=sə=lje=a=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=e=ɑ̃=də=və=niʁ=ɛ̃=se=pa=ʁa=blə=lə=ʒə=nəɔ=mə=kɔ̃=tin=ɥə=ʁa=dɔ̃k=a=sa=tis=fε=ʁə=sε=tɑ̃=dɑ̃=sə=paʁ=lə=mε=mə=mwa=jɛ̃=e=sə=ʒys=ka=la=ʒə=a=dyl=tə=il=a=ʁi=və=a=lɔʁ=fʁe=ka=mɑ̃=kil=swa=ɔ=bli=ʒe=də=sə=mas=tyʁ=be=tu=tə=sa=vi=kil=swa=se=li=ba=tε=ʁə=u=ma=ʁje=puʁ=kwa=paʁ=sə=kil=no=zə=ʁε=ʒa=mε=za=vu=e=sε=de=ziʁs=sε=kʁεts=a=sa=paʁ=tə=nε=ʁə=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=də=la=dyl=tə=pø=sə=pʁa=ti=ke=də=dø=fa=sɔ̃=swa=dɑ̃=la=sɔ=li=ty=də=swa=o=kuʁ=də=lak=tə=sεk=sɥεl=ɑ̃=tʁə=e=pu=dɑ̃=sə=dεʁ=nje=ka=lak=tə=sεk=sɥεl=sɑ̃=blə=sa=kɔ̃=pliʁ=nɔʁ=ma=lə=mɑ̃=a=lɔʁ=kə=lə=u=la=paʁ=tə=nε=ʁə=lε=sə=tuʁ=ne=sɔ̃=ni=ma=ʒi=na=sjɔ̃=syʁ=sε=tɑ̃=dɑ̃=sə=paʁ=ti=ky=ljε=ʁə=ʁεs=te=sɑ̃=bla=blə=za=εllə=mε=mə=dəp=ɥi=də=nɔ̃=bʁø=zə=za=ne=ʒɑ̃=ʁə=paʁ=lə=ʁε=da=jœʁ=dɑ̃=lə=ʃa=pi=tʁə=sɥi=vɑ̃=la=sεk=sɥa=li=te 239
sε=syʁ=tu=dɑ̃sə=dɔ=mε=nə=i=ma=ʒi=na=tif=kə=lε=za=dɔ=le=sɑ̃=dwa=ve=ε=tʁə=mi=zɑ̃=ɡaʁ=də=ɑ̃=kɔ=ʁə=fo=til=kil=sə=kɔ̃=fje=sə=ki=ε=bo=ku=plys=fa=si=lə=kɔ̃=nə=lə=kʁwa=il=fo=kil=sa=ʃe=nε=tʁə=pa=səl=syʁ=te=ʁəa=pʁa=ti=ke=sə=vi=sə=tu=da=bɔʁ=e=kɑ̃s=ɥi=tə=il=ε=lə=sɑ̃=ti=mɑ̃=pʁɔ=fɔ̃=kə=le=dy=ka=tœʁ=kɔ̃=si=dε=ʁə=la=kεs=tjɔ̃=a=vεk=y=nə=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=e=y=nə=laʁ=ʒœʁ=dεs=pʁi=tɔ=ta=lə=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=ʁə=də=vjɛ̃=a=lɔʁ=sə=kεllə=dwa=ε=tʁə=œ̃=nɛ̃=si=dɑ̃=nɔʁ=mal=də=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=tɑ̃=pɔ=ʁε=ʁə=e=vi=tə=u=blje 147
la=de=lɛ̃=kɑ̃=sə=ʒy=ve=ni=lə 9
la=de=lɛ̃=kɑ̃sə=ʒy=ve=ni=ləε=ly=nə=dε=fɔʁ=mə=lε=plys=pe=ni=bləs=εt=dɑ̃=ʒə=ʁø=zəs=də=li=na=dap=ta=sjɔ̃=sɔ=sja=lə=dε=zɑ̃=fɑ̃=pɥi=dε=za=dɔ=le=sɑ̃=də=və=nys=de=lɛ̃=kɑ̃=lε=ʒuʁ=no=ʁə=ɡɔʁ=ʒe=də=sε=ka=də=de=lɛ̃=kɑ̃=sə=dε=zak=tə=zab=syʁ=də=ɡʁat=ɥi=e=sɑ̃=mɔ=tif=sɔ̃=ta=kɔ̃=pli=sε=tə=de=lɛ̃=kɑ̃=sə=ɛ̃=te=ʁε=sə=dɔ̃k=lε=ze=dy=ka=tœʁ=la=sɔ=sje=te=lε=psi=kɔ=lɔɡ=lε=me=də=sɛ̃=ki=de=tεk=te=da=jœʁ=su=vɑ̃=ʃe=lε=ʒə=nə=de=lɛ̃=kɑ̃=dε=tʁu=blə=dy=ka=ʁak=tε=ʁə=e=dε=ta=ʁə=mɑ̃=ta=lə=sə=ki=ε=nɔʁ=mal=e=tɑ̃=dɔ=ne=la=fʁø=zə=bε=ti=zə=də=sεʁ=tɛ̃=ʒεs=tə=kʁi=mi=nεl 158
il=ε=sεʁ=tɛ̃kə=lε=kli=ma=də=ɡe=ʁə=la=bɑ̃=dɔ̃=mɔ=ʁal=u=fi=zi=kə=də=bo=ku=dɑ̃=fɑ̃=la=ʃy=tə=dε=va=lœʁ=zy=mε=nə=la=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=da=və=niʁ=ʃaʁ=ʒe=də=bɔ̃=bə=ɔ̃=fε=ʁə=bɔ̃=diʁ=la=fy=ʁœʁ=də=vi=vʁə=εt=la=de=lɛ̃=kɑ̃=sə=ʒy=ve=nilə 65
la=di=mi=ny=sjɔ̃də=la=mɔ=ʁa=li=te=ε=sεʁ=tε=nə=mɑ̃=œ̃=dε=fak=tœʁ=pʁɛ̃=si=po=e=lε=ze=le=mɑ̃=də=sε=tə=di=mi=ny=sjɔ̃=nə=mɑ̃=ke=pa=kɔ=mɑ̃=nɔ̃=bʁə=dɑ̃=fɑ̃=nə=sə=ʁε=til=pa=maʁ=ke=paʁ=sε=tə=ʃy=tə=də=la=mɔ=ʁa=ləe=dy=ʁεs=pε=dot=ʁɥi=ɛ̃=si=kə=paʁ=lə=de=ziʁ=də=ʒu=iʁ=də=la=vi=lə=plys=vi=tə=pɔ=siblə 85
lε=kɔ̃=di=sjɔ̃də=vi=sɔ̃=te=ɡa=lə=mɑ̃=tʁε=zɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=tə=lɛ̃=di=ʒɑ̃=sə=la=ɡʁɑ̃=də=po=vʁə=te=la=se=pa=ʁa=sjɔ̃=ʁi=ɡu=ʁø=zə=dəs=kla=səs=sɔ=sja=lə=lə=ʃo=ma=ʒə=lal=kɔ=lis=mə=nə=sɔ̃=pa=fε=puʁ=a=ʁɑ̃=ʒe=lε=ʃo=zə=si=ɔ̃=ni=a=ʒu=tə=lε=tɑ̃=ta=sjɔ̃=zεk=ste=ʁjə=ʁə=ɔ̃=kɔ̃s=ta=tə=ɑ̃=ne=fε=kə=la=de=lɛ̃=kɑ̃=səε=plys=fʁe=kɑ̃=tə=dɑ̃=lε=vi=lə=kə=dɑ̃=lε=kɑ̃=paɲə 99
la=ply=paʁ=dε=zo=tœʁ=sɔ̃=da=kɔʁ=puʁ=dɔ=ne=a=la=de=zɔʁ=ɡa=ni=za=sjɔ̃=dy=mi=ljø=fa=mi=ljal=ynə=pla=sə=pʁe=pɔ̃=de=ʁɑ̃=tə=lε=ka=sɔ̃=tʁε=pe=ni=blə=pa=ʁɑ̃=di=vɔʁ=se=pa=ʁɑ̃=ki=nə=sɑ̃=tɑ̃=de=pa=ʁe=vɔl=tə=dε=zɑ̃=fɑ̃=kɔ̃=tʁə=lœʁ=mi=ljø=kɔ̃=ky=bi=na=ʒə=a=bɑ̃=dɔ̃=mɔ=ʁal=u=fi=zi=kə=εt=se=te=ʁa 83
kɑ̃=o=si=ne=ma=sɔ̃=ʁoləε=ve=ʁi=ta=blə=mɑ̃=pεʁ=ni=sjø=e=ʁə=pʁe=zɑ̃=tə=puʁ=bo=ku=dɑ̃=fɑ̃=y=nə=ve=ʁi=ta=blə=ɛ̃=tɔk=si=ka=sjɔ̃=il=sy=fi=də=sə=pʁɔ=mə=ne=ɑ̃=vi=lə=e=də=kɔ̃=tɑ̃=ple=lε=za=fi=ʃə=za=nɔ̃=sɑ̃=lε=film=ɔ̃=nε=sty=pe=fε=də=kɔ̃s=ta=te=lə=nɔ̃=bʁə=də=film=tuʁ=nɑ̃=o=tuʁ=də=kʁi=mə=də=vwaʁ=kɑ̃=ti=te=da=fi=ʃə=mɔ̃=tʁɑ̃=dε=ʒεs=tə=za=ɡʁe=sif=dɔp=sεʁ=ve=lə=nɔ̃=bʁə=də=ʁə=vɔl=ve=ʁə=pʁe=zɑ̃=te=syʁ=sε=mε=mə=za=fi=ʃə=sε=tab=sɔ=ly=mɑ̃=e=fʁε=jɑ̃=e=ɔ̃=puʁ=ʁε=di=ʁə=kə=dɑ̃=sə=dɔ=mε=nə=la=sɔ=sje=te=ʁe=kɔl=tə=sə=kεllə=sε=mə=lε=mə=zy=ʁə=dεs=ti=ne=za=pʁɔ=te=ʒe=la=ʒə=nε=sə=kɔ̃=tʁə=sεʁ=tɛ̃=si=ne=ma=sɔ̃=tɛ̃=dis=pɑ̃=sablə 177
lε=ʒə=nə=vɔ=lœ=ʁə 6
il=vɔ=le=swa=ɑ̃=bɑ̃də=swa=sɔ=li=tε=ʁə=lə=vɔl=pø=ε=tʁə=lak=sjɔ̃=dœ̃=nɑ̃=fɑ̃=pεʁ=ve=mε=ze=ɡa=lə=mɑ̃=dœ̃=na=dɔ=le=sɑ̃=dɔ̃=la=fεk=ti=vi=te=ε=tʁu=ble=lɑ̃=fɑ̃=vɔ=lə=syʁ=tu=o=za=lɑ̃=tuʁ=də=la=py=bεʁ=te=lə=mɔ=bi=lə=pø=ε=tʁə=la=ʒa=lu=zi=ɑ̃=vεʁ=zy=nəo=tʁə=pεʁ=sɔ=nə=də=sɔ̃=na=ʒə=y=nə=vɑ̃=ʒɑ̃=sə=ɑ̃=vεʁ=lε=pa=ʁɑ̃=lə=de=ziʁ=də=sa=tis=fε=ʁə=sε=bə=zwɛ̃=la=va=ni=te=εt=se=te=ʁa=si=lə=vɔl=ε=pʁɔ=vɔ=ke=paʁ=y=nə=a=fεk=ti=vi=te=tʁu=ble=la=psi=kɔ=te=ʁa=pi=ε=tɛ̃=di=ke=puʁ=ɑ̃=de=tεk=te=lε=mɔ=tif 144
lε=ʒə=nə=pʁɔs=ti=ty=e 7
la=pʁɔs=ti=ty=sjɔ̃=ε=tase=fʁe=kɑ̃=tə=tʁε=su=vɑ̃=εl=ləε=lə=ʁe=zyl=ta=dy=va=ɡa=bɔ̃=da=ʒə=ɔ̃=kɔ̃=pʁɑ̃=kə=la=pʁɔs=ti=ty=sjɔ̃=ʒy=ve=ni=lə=swa=ɑ̃=ku=ʁa=ʒe=paʁ=la=mi=zε=ʁə=lə=ʃo=ma=ʒə=lε=mo=vε=zεɡ=zɑ̃=plə=lε=zɑ̃=tʁε=nə=mɑ̃=dɑ̃=ʒə=ʁø 66
lε=ʒə=nə=va=ɡa=bɔ̃ 6
il=εɡ=zistəa=vɑ̃=tu=lε=ʒə=nə=va=ɡa=bɔ̃ds=ma=la=difs=εt=i=ʁεs=pɔ̃=sa=blə=sə=sɔ̃=lε=ze=pi=lεp=tik=lε=ski=zɔ=fʁε=nə=εt=se=te=ʁa=lə=si=ne=ma=e=lε=ʁɔ=mɑ̃=da=vɑ̃=ty=ʁəs=pɔ=li=sje=zu=o=tʁəs=ɔ̃=e=ɡa=lə=mɑ̃=de=klɑ̃=ʃe=bjɛ̃=dε=de=paʁ=da=dɔ=le=sɑ̃=paʁ=tɑ̃=a=la=vɑ̃=ty=ʁə=lə=va=ɡa=bɔ̃=da=ʒə=a=su=li=ɲe=ɔ̃=lə=kɔ̃=pʁɑ̃=su=li=ɲe=puʁ=e=fε=fʁe=kɑ̃=la=mɑ̃=di=si=te=lə=vɔl=e=la=pʁɔs=ti=ty=sjɔ̃=il=εɡ=zis=tə=o=si=y=nə=o=tʁə=fɔʁ=mə=də=va=ɡa=bɔ̃=da=ʒə=sə=sɔ̃=lε=fyɡ 134
lε=fyɡ 2
ə=tɑ̃=dɔ=ne=lœʁ=nɔ̃bʁə=lε=fyɡ=pʁe=zɑ̃=te=œ̃=nɛ̃=te=ʁε=paʁ=ti=ky=lje=ynə=fyɡ=pø=pʁɔ=və=niʁ=dy=nə=ma=la=di=de=ʒa=ɛ̃s=ta=le=ə=tεl=lə=ze=pi=lεp=si=pεʁ=vεʁ=si=te=εt=se=te=ʁa=mε=lə=plys=su=vɑ̃=lε=mɔ=bi=lə=zɑ̃=sɔ̃=py=ʁə=mɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒik=il=fo=a=lɔʁ=ʃεʁ=ʃe=dɑ̃=la=vi=a=fεk=ti=və=dy=ʒə=nə=fy=ɡəʁ=e=dɑ̃=sɔ̃=mi=ljø=fa=mi=ljal=u=skɔ=lε=ʁə=ɔ̃=ni=tʁu=və=dε=fɥi=tə=də=vɑ̃=sə=kə=lɑ̃=fɑ̃=kɔ̃=si=dε=ʁə=kɔ=məy=nə=ɛ̃=ʒys=ti=sə=u=y=nə=se=ve=ʁi=te=de=pla=se=ɔ̃=ni=tʁu=və=la=pœʁ=dε=tʁə=ʁe=pʁi=mɑ̃=de=la=sɑ̃=sa=sjɔ̃=dε=tʁə=fʁys=tʁe=la=sεʁ=ti=ty=də=də=nə=pa=ε=tʁə=ε=me=sεʁ=tε=nə=fyɡ=sɔ̃=dε=ʃɑ̃=ta=ʒə=dεs=ti=ne=za=fε=ʁə=vwaʁ=o=pa=ʁɑ̃ts=kɔ̃=bjɛ̃=lœʁ=ɑ̃=fɑ̃=ε=ma=lə=ʁøks=a=lœʁ=fε=ʁə=pœʁ=a=sə=vɑ̃=ʒe=dø=εt=se=te=ʁa=sε=fyɡ=sɔ̃=dɔ̃k=dε=ze=va=zjɔ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒik=ki=də=mɑ̃=de=œ̃=nεɡ=za=mɛ̃=a=pʁɔ=fɔ̃=di=ɑ̃=ʃa=kə=ka=paʁ=ti=ky=lje=e=su=vɑ̃=y=nə=te=ʁa=pi=fa=mi=ljalə 249
lε=pʁɛ̃=si=palə=ko=zə=də=la=de=lɛ̃=kɑ̃=sə=ʒy=ve=nilə 15
la=ply=paʁ=dε=de=lɛ̃=kɑ̃=ʒy=ve=nilə=sɔ̃=dε=de=ze=ki=li=bʁe=də=lεs=pʁi=il=i=a=lε=ʒə=nə=ki=sə=lε=se=ɑ̃=tʁε=ne=paʁ=va=ni=te=u=paʁ=fε=blε=sə=lje=a=y=nə=ɡʁɑ̃=də=syɡ=ʒεs=ti=bi=li=te=il=εɡ=zis=təo=si=tus=sø=za=tɑ̃=dɑ̃=sə=pa=ʁa=nɔ=i=a=kə=la=pa=ʁa=nɔ=i=a=a=e=te=e=ty=dje=ə=sε=ta=lɔʁ=tu=tə=la=ɡa=mə=dəs=fo=ʁε=zɔ=nəʁs=dε=ʁe=vɔl=te=dε=ʁə=vɑ̃=di=ka=tœʁ=dε=me=fjɑ̃=sə=sɔ̃=sø=ki=kyl=ti=ve=lə=pa=ʁa=dɔk=sə=e=lə=sɥi=ve=ʒys=ko=bu=εt=se=te=ʁa=il=i=a=lε=zi=pe=e=mɔ=tif=puʁ=le=kεl=la=mwɛ̃=dʁə=kɔ̃=tʁɛ̃=tə=ε=tɛ̃=sy=pɔʁ=ta=blə=e=ki=sɔ̃=sy=ʒε=za=dε=zak=tə=zɛ̃=pyl=sif=e=ɑ̃=fɛ̃=lε=pεʁ=ve=ki=sɔ̃=lε=plys=dɑ̃=ʒə=ʁø=ɔ̃=ʁə=maʁ=kə=ʃe=zø=zy=nə=ab=sɑ̃=sə=de=mɔ=sjɔ̃=y=nə=mɔ=ʁa=lə=i=nεk=sis=tɑ̃=tə=e=y=nə=i=na=dap=ta=bi=li=te=maʁ=ke=ɔ̃=vwa=kə=də=tʁε=nɔ̃=bʁø=fak=tœʁ=zɑ̃=tʁe=ɑ̃=ʒø=dɑ̃=la=de=lɛ̃=kɑ̃=sə=ʒy=ve=ni=lə=lə=kli=ma=fa=mi=ljal=skɔ=lε=ʁə=sɔ=sjal=ɛ̃=si=kə=lε=pʁe=dis=po=zi=sjɔ̃=də=lɑ̃=fɑ̃=dwa=ve=ε=tʁə=εɡ=za=mi=ne=su=tu=tə=lε=ku=ty=ʁə=il=εɡ=zis=tə=su=vɑ̃=tu=tə=y=nə=ʁe=y=njɔ̃=də=mɔ=tif=zɑ̃=tʁə=mε=le=lε=zi=de=zɔ̃=da=jœʁ=kɔ̃=si=de=ʁa=blə=mɑ̃=e=vɔ=ly=e=dɑ̃=sə=dɔ=mε=nə=lε=zɑ̃=sjε=nə=mə=zy=ʁə=də=ʁe=pʁe=sjɔ̃=e=də=ʃa=ti=me=sɔ̃=ʁɑ̃=pla=se=paʁ=lε=nɔ=sjɔ̃=də=tʁε=tə=mɑ̃=e=də=ʁe=ky=pe=ʁa=sjɔ̃=sɔ=sjalə 357
la=dʁɔɡ 2
œ̃=dε=pʁɔ=blεmə=ki=pʁe=ɔ=ky=pe=ak=tɥεl=lmɑ̃=lε=pa=ʁɑ̃=da=dɔ=le=sɑ̃=zε=lεk=stɑ̃=sjɔ̃=pʁi=zə=paʁ=la=dʁɔ=ɡə 29
o=sɑ̃s=stʁikt=ynə=dʁɔɡ=ε=tœ̃=pʁɔd=ɥ=it=vwa=ʁəœ̃=kɔ̃=pɔʁ=tə=mεnt=dεs=ti=ne=a=e=li=mi=ne=y=nə=su=fʁɑ̃=sə=fi=zi=kə=u=a=fεk=ti=və=a=mɔ=di=fje=œ̃=ne=ta=kɔʁ=pɔ=ʁəl=u=mɑ̃=tal=di=fi=si=lə=mɑ̃=sy=pɔʁ=ta=blə=lε=dʁɔɡ=sɔ̃=te=vi=da=mɑ̃=o=si=ɑ̃=sjε=nə=kə=la=su=fʁɑ̃=sə=y=mε=nə=la=fɥi=tə=dɑ̃=la=by=dy=vɛ̃=u=dy=ta=ba=la=vwa=ty=ʁə=o=to=mo=bi=lə=pʁɔ=ky=ʁɑ̃=dε=kɔ̃=pɑ̃=sa=sjɔ̃=zo=sɑ̃=ti=mɑ̃=dɛ̃=fe=ʁjɔ=ʁi=te=sɔ̃=dəs=dʁɔ=ɡəs=paʁ=fε=tə=mɑ̃=kɔ=ti=djεnə 128
sə=kə=lɔ̃=na=pεllə=la=dʁɔɡə=kɔ̃=pʁɑ̃=to=ʒuʁ=dɥi=y=nə=se=ʁi=də=pʁɔd=ɥi=ε=jɑ̃=œ̃=ne=fε=syʁ=lə=psi=ʃis=mə=pʁɔ=vɔ=kɑ̃=y=nəa=ku=ty=mɑ̃=sə=e=œ̃=ne=ta=də=bə=zwɛ̃=ɡʁɑ̃=di=sɑ̃=e=kɔ̃d=ɥi=zɑ̃=i=nεk=sɔ=ʁa=blə=mɑ̃=a=ly=ti=li=za=sjɔ̃=də=pʁɔd=ɥi=pɥi=sɑ̃=də=plys=zɑ̃=plys=pɥi=sɑ̃=εk=stʁε=mə=mɑ̃=ku=tø=e=mɔʁ=tεl=lmɑ̃=i=ʁe=vεʁ=si=blə=a=mwɛ̃=kœ̃=sε=vʁa=ʒə=ɑ̃=tʁə=pʁi=ʁə=la=ti=və=mɑ̃=to=nə=fʁε=nə=pɥi=za=ʁε=tə=nɔ̃=sə=lə=mɑ̃=lε=pʁi=zə=də=dʁɔɡ=mε=le=ta=e=lə=kɔ̃=pɔʁ=tə=mɑ̃=a=dik=tif=lə=byt=dœ̃=sε=vʁa=ʒə=ε=dɔ̃k=da=ni=i=le=la=tɑ̃=dɑ̃=sə=a=dik=ti=və=dœ̃=nɛ̃=di=vi=dy=dʁɔ=ɡe 160
ɑ̃=ʁe=a=li=te=ly=ti=li=za=sjɔ̃=dε=dʁɔɡ=ʁə=pʁe=zɑ̃təœ̃=dε=sɛ̃p=to=mə=lε=plys=mɔ̃s=tʁy=ø=də=no=sɔ=sje=te=ski=zɔ=fʁε=nə=il=fo=ɛ̃=sis=te=nyl=mɑ̃=y=nə=ma=la=di=mε=zœ̃=sɛ̃p=tomə 49
ɑ̃tʁə=lε=maʁ=ʃɑ̃=myl=ti=mi=jjaʁ=dε=ʁə=ki=tjε=ne=lə-o=dy=pa=vo=e=lε=ʁə=vɑ̃=dœʁ=mi=na=blə=ɑ̃=fɛ̃=də=ʃε=nə=ɡε=tɑ̃=lε=zɑ̃=fɑ̃=zo=pɔʁ=tə=de=kɔ=lə=sə=tʁu=ve=lε=za=ly=si=nɑ̃=de=ʃε=zə=ʁɔ=pe=ɛ̃=e=be=te=dɑ̃=lœʁ=a=ɡɔ=ni=sɔ=sja=lə=syʁ=vi=vɑ̃=dɔ̃k=kɔ=mə=il=pə=ve=e=syʁ=le=kεl=zɔ̃=maʁ=ʃə=sɑ̃=vεʁ=ɡɔ=ɲə=kεl=kə=paʁ=ɑ̃=nɔ=ʁje=il=sa=ʒi=dε=pə=ti=pʁɔ=dyk=tœʁ=də=dʁɔɡ=po=vʁə=ze=de=lε=se=paʁ=lə=sis=tε=mə=ma=fjø=ki=lε=zɑ̃=plwa=o=sɑ̃=tʁə=də=sə=ɡlɥɑ̃=ʁe=zo=dɔ̃k=dε=mi=ljɔ̃=də=pa=ʁɑ̃=vi=ve=dɑ̃=lɑ̃=ɡwa=sə=kaʁ=si=lə=ʃɑ̃=vʁə=nε=pa=me=ʃɑ̃=fy=me=ɔ=ka=zjɔ=nεl=lmɑ̃=paʁ=ky=ʁjo=zi=te=u=kɔ̃=ta=ʒjɔ̃=mε=sɑ̃=lɑ̃=də=mɛ̃=ɑ̃=ʁə=vɑ̃=ʃə=lε=ʁə=kɛ̃=də=la=dʁɔɡ=sa=ve=kɔ̃=bjɛ̃=sə=ʃɑ̃=vʁə=pø=ε=tʁə=la=mɔʁ=sə=dy=ti=li=za=sjɔ̃=də=pʁɔd=ɥi=plys=fɔʁ=e=ɔʁ=pʁi=ki=fɔ̃=lœʁ=fɔʁ=ty=nə=sə=kə=ʃεʁ=ʃe=sε=maʁ=ʃɑ̃=sε=kə=la=ma=ʁiʒ=ɥa=na=paʁ=εɡ=zɑ̃=plə=a=bu=ti=səa=la=vɑ̃=tə=dε=ɡʁɑ̃=də=tɥø=zə=puʁ=vwa=jø=zə=də=fɔ=li=e=də=mɔʁ=εl=εs=de=e=ʁɔ=i=nə=kɔ=kaj=nə=εt=se=te=ʁa 268
lε=dʁɔɡ=minə=ʁə=sɔ̃=sə=pɑ̃=dɑ̃=εk=stʁε=mə=mɑ̃=dɑ̃=ʒə=ʁø=zə=paʁ=sə=ky=nə=paʁ=ti=də=la=ʒə=nε=sə=lε=za=ʁə=vε=tɥ=də=sɛ̃=bɔ=ləs=ki=puʁ=ε=tʁə=la=mɑ̃=ta=blə=mɑ̃=de=ka=dɑ̃=nɑ̃=nεɡ=zis=te=pa=mwɛ̃=ʃa=kœ̃=sε=kə=lə=ʃɑ̃=vʁəε=də=və=ny=lɑ̃=blε=mə=də=la=ly=tə=ak=tɥεllə=ɑ̃=tʁə=lε=ʒe=ne=ʁa=sjɔ̃=də=plys=sεʁ=tɛ̃=za=dɔ=le=sɑ̃=lɥi=a=tʁib=ɥe=dε=pu=vwaʁs=spi=ʁit=ɥεls=vwa=ʁə=də=de=ku=vεʁ=təs=ʁə=li=ʒjø=zəs 109
tu=dʁɔ=ɡe=ve=ʁi=tabləε=pø=u=pʁu=œ̃=sɥi=si=dε=ʁə=e=il=nε=pa=di=fi=si=lə=də=kɔ=nε=tʁə=lə=puʁ=kwa=də=sε=tə=tɑ̃=dɑ̃=sə=o=sɥi=si=də=mɑ̃=tal=u=kɔʁ=pɔ=ʁεl=ki=ε=la=paʁ=də=sεʁ=tε=nə=ʒə=ne=sə=do=ʒuʁ=dɥi=la=pa=tɔ=lɔ=ʒi=də=la=dʁɔɡ=ε=dɔ̃k=sεllə=də=le=ʃεk=də=la=dis=pa=ʁi=sjɔ̃=dy=sɥi=si=də=də=vɑ̃=œ̃=mɔ̃=də=kə=lɔ̃=ʁə=fy=zə=la=ply=paʁ=dε=ʒə=nə=dʁɔ=ɡe=ʃεʁ=ʃe=a=sə=lε=se=ɡli=se=vεʁ=la=mɔʁ=a=pʁε=za=vwaʁ=ve=ky=ɛ̃=tɑ̃=se=mεnt=paʁ=la=dʁɔ=ɡə=ɑ̃=ʁe=a=li=te=sə=kil=za=pεl=le=vi=vʁə=ɛ̃=tɑ̃=se=mɑ̃=si=ɲi=fi=tu=ʃe=e=de=pa=se=lε=fʁɔ̃=tjε=ʁə=də=la=fɔ=li=e=də=la=ski=zɔ=fʁe=ni=fʁɔ̃=tjε=ʁə=su=vɑ̃=sɑ̃=ʁə=tuʁ 174
lə=plys=tʁa=ʒikəε=kil=ε=ʁi=ɡu=ʁø=zə=mɑ̃=i=ny=ti=lə=də=mɔ=ʁa=li=ze=u=də=fε=ʁə=pœʁ=il=fo=sə=di=ʁə=kə=nɔ̃=bʁə=də=ʒə=nəs=sə=œʁ=te=a=dε=kɔ̃=di=sjɔ̃=sɔ=sja=lə=ze=pu=vɑ̃=ta=blə=fo=til=ʁa=pə=le=la=myl=ti=pli=ka=sjɔ̃=dε=ɡʁɑ̃=zɑ̃=sɑ̃=blə=da=bi=ta=sjɔ̃=lε=zɑ̃n=ɥi=ki=ɑ̃=de=ku=le=la=kɔ=a=bi=ta=sjɔ̃=fɔʁ=se=lε=ɡe=ʁə=lə=ʃo=ma=ʒə=lε=ze=ty=də=fε=tə=dɑ̃=lε=pi=ʁə=kɔ̃=di=sjɔ̃=u=fε=tə=zɑ̃=py=ʁə=pεʁ=tə=la=tɑ̃=tə=dy=nə=sit=ɥa=sjɔ̃=mεjə=ʁə=le=ta=də=fε=dœ̃=mɔ̃=də=ak=tɥεl=ku=pe=də=sε=ʁa=si=nə=də=la=na=ty=ʁə=dy=na=ty=ʁεl=də=la=ʒwa=də=vi=vʁə=lə=tu=te=tɑ̃=ʁɑ̃=pla=se=paʁ=la=o=tə=va=ləʁ=də=la=fi=nɑ̃=sə=ki=e=vi=da=mɑ̃=nε=pa=la=ʁe=pɔ̃=sə=a=tɑ̃dɥ=a=tu=sə=si=a=lɔʁ=də=vɑ̃=lε=ma=sa=kʁə=kɔ=ti=djɛ̃=dɑ̃=lə=mɔ̃=də=kə=puʁ=ʁε=fε=ʁə=o=kʁi=mi=nεl=də=la=dʁɔɡ=la=mɔʁ=dɑ̃=la=fɔ=li=də=kεl=kə=mi=lje=dɑ̃=fɑ̃=də=kɛ̃=zə=ɑ̃ 236
kə=pə=ve=fεʁə=lε=pa=ʁɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=səε=nu=la=vɔ̃=di=le=pɔ=kə=dε=ɡʁɑ̃=kɔ̃=fli=fa=mi=ljo=fi=lo=zɔ=fik=me=ta=fi=zik=εt=se=te=ʁa=sε=la=ʒə=lə=plys=sɑ̃=si=blə=o=zεk=sε=lə=plys=pɑ̃=dy=lε=ʁə=e=ɑ̃=fɛ̃=də=kɔ̃=tə=lə=plys=ma=lə=ʁø=dɑ̃=la=vi=dy=nə=pεʁ=sɔ=nə=ɔʁ=sεt=a=ʒə=a=se=ʁe=sə=œʁ=tə=o=myʁ=lε=plys=ze=pε=ki=ε=ʒa=mε=zεɡ=zis=te=nɔ̃=bʁə=də=ʒə=nə=ʒɑ̃=vi=ve=dɑ̃=dε=kɔ̃=di=sjɔ̃=sɔ=sja=lə=ze=fa=mi=lja=lə=pʁɔ=pʁə=mɑ̃=e=pu=vɑ̃=ta=blə=də=plys=lε=za=dɔ=le=sɑ̃=sɔ̃=mɛ̃=tə=nys=dɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=bjɛ̃=plys=lɔ̃=tɑ̃=ko=tʁə=fwa=puʁ=dε=ʁε=zɔ̃=ze=kɔ=nɔ=mik=il=sɔ̃=tɑ̃s=ɥi=tə=lɑ̃=se=dɑ̃=zœ̃=mɔ̃=də=ki=nə=sε=kɑ̃=fε=ʁə=a=mwɛ̃=kil=nɑ̃=vœjə=pa 181
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a=sɥi=vʁə 3

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Poesie sans commentaire

Commentaire poème
19/04/2024Poeme-France
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Poème - Sans Thème -
Du 11/08/2012 18:42

L'écrit contient 7360 mots qui sont répartis dans 2 strophes.