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Poème:Les Névroses Et Les Psychoses (Iv)

Le Poème

Après ce long passage, au sujet de problématiques concernant l’adolescence, et notamment, de certains phénomènes liés à des névroses ou à des psychoses adolescentes, revenons à la névrose, qui mérite encore quelques précisions.

La névrose et la vie conjugale (je précise, en partant du mariage)

L’adolescent doit donc s’adapter à sa personnalité nouvelle, et à l’autre sexe ; il doit se séparer « mentalement » de ses parents, afin d’envisager sa vie propre. C’est un moment décisif : il franchit la barrière… ou reste sur place. Ensuite, adapté ou non, il file en ligne droite vers le mariage. Or, on constate que de nombreuses névroses se manifestent peu après le mariage.
Quelles sont les deux grandes adaptations demandées par cette nouvelle période de vie ? Ce sont : l’acte génital et l’adaptation à la vie commune.

L’acte génital

Il ne s’agit pas d’un acte génital quelconque, mais accompli avec une personne bien déterminée : l’épouse ou l’époux. Et cela change tout… La névrose conjugale est souvent à base sexuelle : impuissance totale ou partielle du mari, frigidité chez la femme. Combien d’hommes, ayant eu des relations normales avec une maîtresse (ou arrivant vierges au mariage) deviennent subitement impuissants envers leur femme ! … Dans ce cas, il se passe fréquemment ce que j’ai exposé en évoquant le complexe d’Oedipe. Mécanisme inconscient, mais terriblement agissant !
La névrose adulte ne fait alors que répéter une situation névrosée de l’enfance et de l’adolescence. Je rappelle une fois de plus ce mécanisme, étant donné qu’il s’agit d’un cas très habituel :
Dans l’enfance et l’adolescence :

Mère = Femme Idéale ; Amour pour la Mère = Respect absolu, avec refoulement de la sexualité.
Dans le mariage :
Amour pour l’Epouse = Rappel de l’Amour pour la Mère = Rappel de la sexualité refoulée = Impuissance sexuelle.
D’autre part, beaucoup de personnes aboutissent au mariage avec des sentiments d’infériorité, de culpabilité, de honte de soi. La peur du mépris et la honte de son corps, sont fréquentes. L’habitude intense de la masturbation peut empêcher toute relation sexuelle normale. De plus, certaines petites perversions, qui, durant l’adolescence, étaient liées à la masturbation, empêcheront la sexualité conjugale. Pourquoi ? Parce que le névrosé a besoin de cette perversion pour éprouver une jouissance normale. Mais comment pourrait-il faire part de cette perversion à son épouse (ou à son époux) , s’il éprouve des sentiments de honte, de culpabilité et de remords ? … On a alors affaire à une personne sexuellement normale, mais bloquée mentalement…
D’autres possibilités ? Elles existent par milliers… Les inadaptations sexuelles forment un terrain de choix, permettant la poussée de nombreux troubles névrotiques. Outre les impuissances et les frigidités, ce sont alors les contractures, les spasmes, les phobies, les angoisses, les scrupules.
Et si l’acte génital est accompli malgré tout, il ne produit ni satisfaction profonde, ni détente. Il apporte cependant une sensation aussi désagréable que perpétuelle : le mécontentement de soi et des autres.
Combien de mariages sans amour véritable ! L’acte génital devient alors difficile, incomplet… ou impossible. Ce sont des reproches sans fin, des soupçons, des jalousie, des ruptures, des disputes… dont l’enfant fait souvent les frais.
L’acte génital du mariage doit donc être considéré comme une adaptation très importante. La plupart des déficiences psychologiques produisent des insuffisances sexuelles, qui risquent de rompre à chaque instant la vie conjugale.
Voici maintenant un cas de névrose conjugale : (très fréquent, avec des modalités diverses) :
X. , névrosé, arrive au mariage après une éducation qui l’a dévirilisé et féminisé. Mère autoritaire, père faible. X. est donc devenu un homme à tendances féminines, incapable de réaliser mentalement son rôle d’homme. Malgré lui, il a cherché une femme qui rétablisse la balance, et rende ses relations sexuelles possibles. Sa femme est donc masculine, comme on pouvait le prévoir. On voit de suite que X. a des tendances homosexuelles inconscientes. Son équilibre psychologique dépend de deux facteurs :
1) Rester dans sa « féminité », puisqu’il est incapable de virilité masculine.
2) Que sa femme le lui permette, en restant masculine.
X. et sa femme avaient d’ailleurs certaines pratiques sexuelles, qui montraient parfaitement ce jeu renversé de féminité et de masculinité.
Un jour, la femme de X. émit le désir d’avoir un enfant. Une angoisse intense s’installa immédiatement en X. , qui fit tout pour extirper ce désir de chez sa femme. Il était d’ailleurs incapable de donner la moindre raison plausible à sa femme… ce qui renforçait l’exaspération de madame X. Des tiraillements, des disputes, des reproches, s’installèrent à demeure dans le ménage. L’angoisse de X. fit qu’il cessa toute relation sexuelle avec sa femme, et sombra dans une dépression grave.
Pourquoi ? Avoir un enfant signifiait que sa femme cessait d’assumer le rôle de l’homme. Ayant un enfant, elle redevenait femme. Donc :
A) X. devait alors assumer son rôle masculin, ce dont il était incapable ;
B) Son homosexualité latente pouvait se réaliser tant que sa femme jouait un rôle d’homme. Elle cessait si l’épouse reprenait son rôle de femme et de mère. Tout son équilibre psychologique se brisait. D’où angoisses et refus d’avoir un enfant, dépression, etc.

L’adaptation à la vie du ménage

On connaît l’adage populaire et sage : Mariage demande Ménage. Cohabiter avec les parents d’un des époux est déjà, en soit, une cause fréquente de troubles conjugaux. Cette situation exige un équilibre psychologique parfait, de part et d’autre. Même dans ce cas, il est rare que les époux puissent « se laisser aller ». Mais il est également rare que les parents aient pu se « décrocher » de leur enfant ! C’est alors que commencent les surveillances, les remarques, les insinuations, les reproches, les conseils acerbes et mielleux. Le trouble s’agrandit encore si l’enfant est resté accroché à ses parents. L’accrochage le plus dangereux est celui de la mère et du fils. Dans ce cas, la névrose est fréquente. Le fils continuera, dans le mariage, la situation de son adolescence. Il restera le « petit garçon de sa mère ». Il refoulera son hostilité envers sa mère, et la reportera sur sa femme. Son épouse, alors, l’accusera de « prendre parti pour sa mère, contre elle ». Le fils n’admettra aucune critique venant de sa femme, puisque ces critiques rencontreront sa propre hostilité refoulée ! Mari et femme sont alors placés entre plusieurs feux, qui aboutissent habituellement à la catastrophe conjugale :
«… Je n’en peux plus, dit madame X. , je suis épuisée moralement et physiquement… jamais mon mari ne prend ma défense quand sa mère m’attaque… il se tait, il n’ose pas, et pourtant je sais qu’il m’aime… mais je vais en arriver à la détester… il est semblable à sa mère… on dirait qu’elle a déteint sur lui… sa mère ne cesse de me critiquer, de me dire que je dois m’habiller comme ceci, que je dois cuisiner comme cela… elle est toujours derrière moi… elle me surveille… je n’ose pas répondre, sinon c’est la bagarre avec elle et mon mari… si mon mari a le moindre bobo, cela semble être de ma faute… elle semble croire que je ne le soigne pas assez… ce sont sans cesse des insinuations à ce sujet… me lever le matin devient un vrai cauchemar, quand je pense que je dois passer une journée avec elle, et que mon mari ne rentrera que le soir… elle fourre son nez dans tout… mon mari a peur… même ses habits sont choisis par sa mère… faire ses tartines le matin est toute une histoire, comme si j’étais une incapable complète… je suis toujours dans un état de colère rentrée qui me vide… »
Et ce que dit madame X. semble stéréotypé, tellement c’est courant !
En général, la cohabitation avec les beaux-parents est à éviter. Que dire alors, si un des éléments du groupe est névrosé ! …

L’intimité difficile

L’adaptation est délicate également si les époux vivent seuls. L’intimité est chose difficile à réaliser, et demande énormément de compréhension. Or, il n’y a pas de compréhension réelle sans équilibre, et disponibilité d’esprit. Le mariage exige l’amour ; non pas l’amour de soi, mais l’amour de l’autre. Si l’un des conjoints est névrosé, cette névrose est (malgré lui) , le centre de ses préoccupations. De même que, si un homme souffre fortement de l’estomac, cette souffrance deviendra la plaque tournante de sa personnalité entière. La névrose d’un des conjoints, fera qu’il comprendra l’autre à travers cette névrose. Ou du moins, il croira le comprendre, en toute bonne foi, et avec la meilleure volonté du monde.
Beaucoup de névroses, même légères, permettent des relations sociales superficielles ; mais empêchent les relations profondes.
Ce dont pâtit l’intimité conjugale, évidemment ! Beaucoup de conjoints disent : «… il me faut longtemps pour m’adapter à quelqu’un… passer un dimanche avec lui (ou elle) m’épuise… je me sens dans un état de tension qui me vide ; je ne sais que dire, je suis crispé, je me sens coupable… il n’y a pas d’intimité… nous sommes comme deux étrangers… je me rends bien compte que c’est de ma faute… j’ai été trop renfermé et trop timide à cause de mon enfance… et je ne parviens pas à m’en dégager ».
De plus, il ne faut pas oublier ceci : une névrose d’adolescence risque de se continuer dans le mariage, et même de s’amplifier :
«… Je suis de caractère faible, et j’ai peur de ma femme… elle me rappelle ma mère… mais avec ma mère, je pouvais me laisser aller, elle faisait tout à ma place, décidait pour moi. Maintenant, je ne sais plus faire autrement. Et je sens que ma femme me méprise, ce qui renforce encore ma honte et le mépris que j’ai pour moi… » ;
Ou bien :
«… Ma femme a quinze ans de plus que moi. Après notre entretien, je vois que j’ai recherché une compensation de ma faiblesse… j’ai épousé une femme maternelle au lieu d’une femme-épouse… je suis resté accroché à ma mère… au fond, j’ai épousé ma mère… je n’ai d’ailleurs jamais eu de relations sexuelles avec ma femme. »

Névroses et conceptions du mariage

De nombreux névrosés arrivent au mariage avec certaines notions dures comme du béton : la sexualité est une chose honteuse ; la sexualité me fait peur ; la femme doit combattre l’homme ; la femme est toujours la proie de l’homme ; la femme doit toujours se sacrifier ; la femme est une martyre, etc…
On voit donc là un terrain tout préparé pour la future névrose des enfants ! De plus, trop de conceptions du mariage sont basées sur des compromis. Le conjoint essaye de se compenser par l’autre. (comme X. , féminin, qui avait épousé une femme masculine. )
Exemples :
Un autoritariste (donc névrosé) cherche une femme faible ou une femme-enfant, qu’il puisse « protéger » et dominer.
Une autoritariste (donc névrosée) cherche un homme infantile, timide, etc.
C’est à tel point que beaucoup de mariages sont basés sur la compétition ! Chacun des époux se sent en danger vis-à-vis de l’autre. Il vit en état d’alerte, avec le souci de « ne pas se laisser faire » !
Que dit madame Y. ? : «… j’ai mes droits… ce sont les droits de la femme. J’estime devoir les sauvegarder envers et contre tous ; et je refuse absolument de reconnaître à mon mari, les droits que lui donne la loi. Les hommes ont trop tendance à s’imaginer que nous sommes leurs servantes, etc. , etc… ».
En vérité, le cortège des mariages manqués est long et triste. Car très souvent un compromis boiteux maintient la situation, basé sur les « droits réciproques », sur l’agressivité, sur des rancœurs, sur des mépris. Les névroses, fortes ou faibles, font des coupes sombres. Non seulement parce qu’un névrosé envisage le mariage d’une façon erronée ; mais aussi parce que l’union conjugale permet aux névroses d’apparaître mieux.
En outre, on croit populairement que le « mariage guérit la névrose ». C’est une opinion complètement absurde. Deux cas classiques : ou bien des parents poussent au mariage un névrosé, afin de le « guérir ». Cela, sans songer ni au conjoint, ni à l’enfant éventuel, qui tout deux en subiront le contrecoup ! Ou bien, de jeunes névrosés se réfugient dans un mariage hâtif, pour fuir leur milieu. Les conséquences peuvent en être tout aussi tristes…
Pas plus qu’on ne s’improvise éducateur, on ne s’improvise marié. Une seule chose permet l’improvisation : l’équilibre (et l’aisance qui s’ensuit) . C’est pourquoi le mariage devrait être étudié d’une façon préventive. Des connaissances psychologiques, même élémentaires, pourraient sauver bien des choses, je vous assure. Dans le mariage, l’amour est essentiel. Mais « se connaître soi-même » devrait être une règle d’or…

CONCLUSIONS :

La névrose, comme toute maladie psychologique, doit faire l’objet d’un examen absolument complet. Toutes les recherches physiologiques seront mises en jeu ; recherches des intoxications, des lésions, des infections ; examens endocriniens, humoral, hépatique, gastrique. Examen minutieux du milieu, des inadaptations, etc.
Toutes les ressources de la psychothérapie seront employées. Il est rare qu’une maladie psychologique étouffe la personnalité profonde. Cette personnalité souffre parfois mille morts ; et les souffrances de la « conscience morale » jouent toujours un rôle considérable. Les conflits intérieurs, souvent refoulés, se trouvent fréquemment à la base des névroses et des psychoses. Qu’il s’agisse d’une simple timidité, ou d’un délire de la persécution…
Tout traitement psychologique, léger ou grave, doit être d’une humanité absolue, le respect entier de la personne humaine en est la loi suprême. Souhaitons une chose : que l’hygiène mentale et morale progresse. Que le monde actuel apprenne à se considérer objectivement : et que chacun souhaite « apprendre », au lieu d’avoir la certitude de « connaître ».
Souhaitons enfin que la psychologie s’étende suffisamment, pour que chacun cherche à réaliser la plénitude de son être, en constatant sainement ses insuffisances, et en découvrant ses possibilités cachées.
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Poète Pendantce

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Syllabation De L'Écrit

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la=dap=ta=ti=on=à=la=vie=du=mé=na=ge 12

on=con=naît=la=dage=po=pu=lai=reet=sa=ge=ma=ria=ge=de=man=de=mé=nage=co=ha=bi=ter=a=vec=les=pa=rents=dun=des=é=poux=est=dé=jà=en=soit=u=ne=cau=se=fré=quen=te=de=trou=bles=con=ju=gaux=cet=te=si=tua=tion=exi=ge=un=é=qui=li=bre=psy=cho=lo=gi=que=par=fait=de=part=et=dautre=mê=me=dans=ce=cas=il=est=ra=re=que=les=é=poux=puis=sent=se=lais=ser=al=ler=mais=il=est=é=ga=le=ment=ra=re=que=les=pa=rents=aient=pu=se=dé=cro=cher=de=leur=en=fant=cest=a=lors=que=com=men=cent=les=sur=veillan=ces=les=re=mar=ques=les=in=si=nua=tions=les=re=pro=ches=les=con=seils=a=cer=bes=et=miel=leux=le=trou=ble=sa=gran=dit=en=co=re=si=len=fant=est=res=té=ac=cro=ché=à=ses=pa=rents=lac=cro=cha=ge=le=plus=dan=ge=reux=est=ce=lui=de=la=mè=re=et=du=fils=dans=ce=cas=la=né=vro=se=est=fré=quente=le=fils=con=ti=nue=ra=dans=le=ma=ria=ge=la=si=tua=ti=on=de=son=a=do=les=cence=il=res=te=ra=le=pe=tit=gar=çon=de=sa=mè=re=il=re=fou=le=ra=son=hos=ti=li=té=en=vers=sa=mè=re=et=la=re=por=te=ra=sur=sa=femme=son=é=pou=se=a=lors=lac=cu=se=ra=de=pren=dre=par=ti=pour=sa=mè=re=con=tre=elle=le=fils=nad=met=tra=au=cu=ne=cri=ti=que=ve=nant=de=sa=fem=me=puis=que=ces=cri=ti=ques=ren=con=tre=ront=sa=pro=pre=hos=ti=li=té=re=fou=lée=ma=ri=et=fem=me=sont=a=lors=pla=cés=en=tre=plu=sieurs=feux=qui=a=bou=tis=sent=ha=bi=tuel=le=ment=à=la=ca=tas=tro=phe=con=ju=gale 352
je=nen=peux=plus=dit=ma=dame=x=je=suis=é=pui=sée=mo=ra=le=ment=et=phy=si=que=ment=ja=mais=mon=ma=ri=ne=prend=ma=dé=fen=se=quand=sa=mè=re=mat=ta=que=il=se=tait=il=no=se=pas=et=pour=tant=je=sais=quil=mai=me=mais=je=vais=en=ar=ri=ver=à=la=dé=tes=ter=il=est=sem=bla=bleà=sa=mè=re=on=di=rait=quel=le=a=dé=teint=sur=lui=sa=mè=re=ne=ces=se=de=me=cri=ti=quer=de=me=di=re=que=je=dois=mha=biller=com=me=ce=ci=que=je=dois=cui=si=ner=com=me=ce=la=el=le=est=tou=jours=der=riè=re=moi=el=le=me=sur=vei=lle=je=no=se=pas=ré=pon=dre=si=non=cest=la=ba=gar=re=a=vec=elle=et=mon=ma=ri=si=mon=ma=ri=a=le=moin=dre=bo=bo=ce=la=sem=ble=ê=tre=de=ma=fau=te=el=le=sem=ble=croi=re=que=je=ne=le=soi=gne=pas=as=sez=ce=sont=sans=ces=se=des=in=si=nua=tions=à=ce=su=jet=me=le=ver=le=ma=tin=de=vient=un=vrai=cau=che=mar=quand=je=pen=se=que=je=dois=pas=ser=u=ne=jour=née=a=vec=el=le=et=que=mon=ma=ri=ne=ren=tre=ra=que=le=soir=el=le=four=re=son=nez=dans=tout=mon=ma=ri=a=peur=mê=me=ses=ha=bits=sont=choi=sis=par=sa=mè=re=fai=re=ses=tar=ti=nes=le=ma=tin=est=tou=te=u=ne=his=toi=re=com=me=si=jé=tais=u=ne=in=ca=pa=ble=com=plè=te=je=suis=tou=jours=dans=un=é=tat=de=co=lè=re=ren=trée=qui=me=vi=de 321
et=ce=que=dit=ma=da=me=x=sem=ble=sté=ré=o=ty=pé=tel=le=ment=cest=cou=rant 21
en=gé=né=ral=la=co=ha=bi=ta=ti=on=a=vec=les=beaux=pa=rents=est=à=é=vi=ter=que=di=re=a=lors=si=un=des=élé=ments=du=grou=pe=est=né=vro=sé 39

lin=ti=mi=té=dif=fi=ci=le 8

la=dap=ta=tion=est=dé=li=cateé=ga=le=ment=si=les=é=poux=vi=vent=seuls=lin=ti=mi=té=est=cho=se=dif=fi=ci=le=à=ré=a=li=ser=et=de=man=de=é=nor=mé=ment=de=com=pré=hen=sion=or=il=ny=a=pas=de=com=pré=hen=sion=réel=le=sans=é=qui=li=bre=et=dis=po=ni=bi=li=té=des=prit=le=ma=ria=ge=exi=ge=la=mour=non=pas=la=mour=de=soi=mais=la=mour=de=lautre=si=lun=des=con=joints=est=né=vro=sé=cet=te=né=vro=se=est=mal=gré=lui=le=cen=tre=de=ses=préoc=cu=pa=tions=de=mê=me=que=si=un=hom=me=souf=fre=for=te=ment=de=les=to=mac=cet=te=souf=fran=ce=de=vien=dra=la=pla=que=tour=nan=te=de=sa=per=son=na=li=té=en=tière=la=né=vro=se=dun=des=con=joints=fe=ra=quil=com=pren=dra=lau=tre=à=tra=vers=cet=te=né=vrose=ou=du=moins=il=croi=ra=le=com=pren=dre=en=tou=te=bon=ne=foi=et=a=vec=la=meilleu=re=vo=lon=té=du=monde 209
beau=coup=de=né=vro=ses=mê=me=lé=gè=res=per=met=tent=des=re=la=ti=ons=so=cia=les=su=per=fi=ciel=les=mais=em=pê=chent=les=re=la=ti=ons=pro=fon=des 39
ce=dont=pâ=tit=lin=ti=mi=té=con=ju=gale=é=vi=dem=ment=beau=coup=de=con=joints=di=sent=il=me=faut=long=temps=pour=ma=dap=ter=à=quel=quun=pas=ser=un=di=man=chea=vec=lui=ou=elle=mé=pui=se=je=me=sens=dans=un=é=tat=de=ten=sion=qui=me=vi=de=je=ne=sais=que=di=re=je=suis=cris=pé=je=me=sens=cou=pa=ble=il=ny=a=pas=din=ti=mi=té=nous=som=mes=com=me=deux=é=tran=gers=je=me=rends=bien=comp=te=que=cest=de=ma=fau=te=jai=é=té=trop=ren=fer=mé=et=trop=ti=mi=de=à=cau=se=de=mon=en=fan=ce=et=je=ne=par=viens=pas=à=men=dé=ga=ger 137
de=plus=il=ne=faut=pas=ou=bli=er=ce=ci=u=ne=né=vro=se=da=do=les=cen=ce=ris=que=de=se=con=ti=nuer=dans=le=ma=ri=a=ge=et=mê=me=de=sam=pli=fi=er 42
je=suis=de=ca=rac=tère=fai=ble=et=jai=peur=de=ma=fem=me=el=le=me=rap=pel=le=ma=mè=re=mais=a=vec=ma=mè=re=je=pou=vais=me=lais=ser=al=ler=el=le=fai=sait=tout=à=ma=pla=ce=dé=ci=dait=pour=moi=main=te=nant=je=ne=sais=plus=fai=reau=tre=ment=et=je=sens=que=ma=fem=me=me=mé=pri=se=ce=qui=ren=for=ce=en=co=re=ma=hon=te=et=le=mé=pris=que=jai=pour=moi 94
ou=bien 2
ma=fem=mea=quinze=ans=de=plus=que=moi=après=no=tre=en=tre=tien=je=vois=que=jai=re=cher=ché=u=ne=com=pen=sa=tion=de=ma=fai=bles=se=jai=é=pou=sé=u=ne=fem=me=ma=ter=nel=le=au=lieu=du=ne=fem=me=é=pou=se=je=suis=res=té=ac=cro=ché=à=ma=mè=re=au=fond=jai=é=pou=sé=ma=mè=re=je=nai=dailleurs=ja=mais=eu=de=re=la=tions=sexuel=les=a=vec=ma=femme 91

né=vro=ses=et=con=cep=ti=ons=du=ma=ria=ge 12

de=nom=breux=né=vro=sés=ar=rivent=au=ma=ria=gea=vec=cer=tai=nes=no=tions=du=res=com=me=du=bé=ton=la=sexua=li=té=est=u=ne=cho=se=hon=teu=se=la=sexua=li=té=me=fait=peur=la=fem=me=doit=com=bat=tre=lhom=me=la=fem=me=est=tou=jours=la=proie=de=l=hom=me=la=fem=me=doit=tou=jours=se=sa=cri=fier=la=fem=me=est=u=ne=mar=ty=re=èt=cé=té=ra 88
on=voit=donc=là=un=ter=rain=tout=pré=pa=ré=pour=la=fu=ture=né=vro=se=des=en=fants=de=plus=trop=de=con=cep=tions=du=ma=ria=ge=sont=ba=sées=sur=des=com=pro=mis=le=con=joint=es=saye=de=se=com=pen=ser=par=lautre=com=me=x=fé=mi=nin=qui=a=vait=é=pou=sé=u=ne=fem=me=mas=cu=line 71
exem=ples 2
un=au=to=ri=ta=ris=te=donc=né=vro=sé=cher=che=u=ne=fem=me=fai=ble=ou=u=ne=fem=me=en=fant=quil=puis=se=pro=té=ger=et=do=mi=ner 36
u=ne=au=to=ri=ta=ris=te=donc=né=vro=sée=cher=che=un=hom=me=in=fan=ti=le=ti=mi=de=èt=cé=té=ra 28
cest=à=tel=point=que=beau=coup=de=ma=ri=a=ges=sont=ba=sés=sur=la=com=pé=ti=ti=on=cha=cun=des=é=poux=se=sent=en=dan=ger=vis=à=vis=de=lau=tre=il=vit=en=é=tat=da=ler=te=a=vec=le=sou=ci=de=ne=pas=se=lais=ser=fai=re 59
que=dit=ma=dame=y=jai=mes=droits=ce=sont=les=droits=de=la=femme=jes=ti=me=de=voir=les=sau=ve=gar=der=en=vers=et=con=tre=tous=et=je=re=fu=seab=so=lu=ment=de=re=con=naî=tre=à=mon=ma=ri=les=droits=que=lui=don=ne=la=loi=les=hom=mes=ont=trop=ten=dan=ce=à=si=ma=gi=ner=que=nous=som=mes=leurs=ser=van=tes=èt=cé=té=ra=èt=cé=té=ra 85
en=vé=ri=té=le=cor=tège=des=ma=ria=ges=man=qués=est=long=et=triste=car=très=sou=vent=un=com=pro=mis=boi=teux=main=tient=la=si=tua=tion=ba=sé=sur=les=droits=ré=ci=pro=ques=sur=la=gres=si=vi=té=sur=des=ran=cœurs=sur=des=mé=pris=les=né=vro=ses=for=tes=ou=fai=bles=font=des=cou=pes=sombres=non=seu=le=ment=par=ce=quun=né=vro=sé=en=vi=sa=ge=le=ma=ria=ge=du=ne=fa=çon=er=ro=née=mais=aus=si=par=ce=que=lu=nion=con=ju=ga=le=per=met=aux=né=vro=ses=dap=pa=raî=tre=mieux 118
en=outre=on=croit=po=pu=lai=re=ment=que=le=ma=ria=ge=gué=rit=la=né=vro=se=cest=u=neo=pi=nion=com=plè=te=ment=ab=surde=deux=cas=clas=si=ques=ou=bien=des=pa=rents=pous=sent=au=ma=ria=ge=un=né=vro=sé=a=fin=de=le=gué=rir=ce=la=sans=son=ger=ni=au=con=joint=ni=à=len=fant=é=ven=tuel=qui=tout=deux=en=su=bi=ront=le=con=tre=coup=ou=bien=de=jeu=nes=né=vro=sés=se=ré=fu=gient=dans=un=ma=ria=ge=hâ=tif=pour=fu=ir=leur=mi=lieu=les=con=sé=quen=ces=peu=vent=en=ê=tre=tout=aus=si=tristes 123
pas=plus=quon=ne=sim=pro=viseé=du=ca=teur=on=ne=sim=pro=vi=se=ma=rié=une=seu=le=cho=se=per=met=lim=pro=vi=sa=tion=lé=qui=li=bre=et=lai=san=ce=qui=sen=suit=cest=pour=quoi=le=ma=ria=ge=de=vrait=ê=tre=é=tu=di=é=du=ne=fa=çon=pré=ven=tive=des=con=nais=san=ces=psy=cho=lo=gi=ques=mê=me=élé=men=tai=res=pour=raient=sau=ver=bien=des=cho=ses=je=vous=as=su=re=dans=le=ma=ria=ge=la=mour=est=es=sen=tiel=mais=se=con=naî=tre=soi=mê=me=de=vrait=ê=tre=u=ne=rè=gle=dor 120

conclu=si=ons 3

la=né=vrose=com=me=tou=te=ma=la=die=psy=cho=lo=gi=que=doit=fai=re=lob=jet=dun=exa=men=ab=so=lu=ment=com=plet=tou=tes=les=re=cher=ches=phy=sio=lo=gi=ques=se=ront=mi=ses=en=jeu=re=cher=ches=des=in=toxi=ca=tions=des=lé=sions=des=in=fec=tions=exa=mens=en=do=cri=niens=hu=mo=ral=hé=pa=ti=que=gas=trique=exa=men=mi=nu=tieux=du=mi=lieu=des=i=na=dap=ta=tions=èt=cé=té=ra 94
toutes=les=res=sour=ces=de=la=psy=cho=thé=ra=pie=se=ront=em=ployées=il=est=ra=re=quu=ne=ma=la=die=psy=cho=lo=gi=queé=touf=fe=la=per=son=na=li=té=pro=fonde=cet=te=per=son=na=li=té=souf=fre=par=fois=mille=morts=et=les=souf=fran=ces=de=la=cons=cien=ce=mo=ra=le=jouent=tou=jours=un=rô=le=con=si=dé=rable=les=con=flits=in=té=rieurs=sou=vent=re=fou=lés=se=trou=vent=fré=quem=ment=à=la=ba=se=des=né=vro=ses=et=des=psy=choses=quil=sa=gis=se=du=ne=sim=ple=ti=mi=di=té=ou=dun=dé=li=re=de=la=per=sé=cu=tion 128
tout=traite=ment=psy=cho=lo=gi=que=lé=ger=ou=gra=ve=doit=ê=tre=du=ne=hu=ma=ni=té=ab=so=lue=le=res=pect=en=tier=de=la=per=son=ne=hu=mai=neen=est=la=loi=su=prême=sou=hai=tons=u=ne=cho=se=que=lhy=giè=ne=men=ta=le=et=mo=ra=le=pro=gresse=que=le=mon=de=ac=tuel=ap=pren=ne=à=se=con=si=dé=rer=ob=jec=ti=ve=ment=et=que=cha=cun=sou=hai=te=ap=pren=dre=au=lieu=da=voir=la=cer=ti=tu=de=de=con=naî=tre 106
sou=hai=tons=en=fin=que=la=psy=cho=lo=gie=sé=ten=de=suf=fi=sam=ment=pour=que=cha=cun=cher=che=à=ré=a=li=ser=la=plé=ni=tu=de=de=son=ê=tre=en=cons=ta=tant=sai=ne=ment=ses=in=suf=fi=san=ces=et=en=dé=cou=vrant=ses=pos=si=bi=li=tés=ca=chées 64
Phonétique : Les Névroses Et Les Psychoses (Iv)apʁε sə lɔ̃ pasaʒə, o syʒε də pʁɔblematik kɔ̃sεʁnɑ̃ ladɔlesɑ̃sə, e nɔtamɑ̃, də sεʁtɛ̃ fenɔmεnə ljez- a dε nevʁozəz- u a dε psikozəz- adɔlesɑ̃tə, ʁəvənɔ̃z- a la nevʁozə, ki meʁitə ɑ̃kɔʁə kεlk pʁesizjɔ̃.

la nevʁozə e la vi kɔ̃ʒyɡalə (ʒə pʁesizə, ɑ̃ paʁtɑ̃ dy maʁjaʒə)

ladɔlesɑ̃ dwa dɔ̃k sadapte a sa pεʁsɔnalite nuvεllə, e a lotʁə sεksə, il dwa sə sepaʁəʁ « mɑ̃taləmεnt » də sε paʁɑ̃, afɛ̃ dɑ̃vizaʒe sa vi pʁɔpʁə. sεt- œ̃ mɔmɑ̃ desizif : il fʁɑ̃ʃi la baʁjεʁə… u ʁεstə syʁ plasə. ɑ̃sɥitə, adapte u nɔ̃, il filə ɑ̃ liɲə dʁwatə vεʁ lə maʁjaʒə. ɔʁ, ɔ̃ kɔ̃statə kə də nɔ̃bʁøzə nevʁozə sə manifεste pø apʁε lə maʁjaʒə.
kεllə sɔ̃ lε dø ɡʁɑ̃dəz- adaptasjɔ̃ dəmɑ̃de paʁ sεtə nuvεllə peʁjɔdə də vi ? sə sɔ̃ : laktə ʒenital e ladaptasjɔ̃ a la vi kɔmynə.

laktə ʒenital

il nə saʒi pa dœ̃n- aktə ʒenital kεlkɔ̃kə, mεz- akɔ̃pli avεk ynə pεʁsɔnə bjɛ̃ detεʁmine : lepuzə u lepu. e səla ʃɑ̃ʒə tu… la nevʁozə kɔ̃ʒyɡalə ε suvɑ̃ a bazə sεksɥεllə : ɛ̃pɥisɑ̃sə tɔtalə u paʁsjεllə dy maʁi, fʁiʒidite ʃe la famə. kɔ̃bjɛ̃ dɔmə, εjɑ̃ y dε ʁəlasjɔ̃ nɔʁmaləz- avεk ynə mεtʁesə (u aʁivɑ̃ vjεʁʒəz- o maʁjaʒə) dəvjεne sybitəmɑ̃ ɛ̃pɥisɑ̃z- ɑ̃vεʁ lœʁ famə ! … dɑ̃ sə ka, il sə pasə fʁekamɑ̃ sə kə ʒε εkspoze ɑ̃n- evɔkɑ̃ lə kɔ̃plεksə dødipə. mekanismə ɛ̃kɔ̃sjɑ̃, mε teʁibləmɑ̃ aʒisɑ̃ !
la nevʁozə adyltə nə fε alɔʁ kə ʁepete ynə sitɥasjɔ̃ nevʁoze də lɑ̃fɑ̃sə e də ladɔlesɑ̃sə. ʒə ʁapεllə ynə fwa də plys sə mekanismə, etɑ̃ dɔne kil saʒi dœ̃ ka tʁε-abitɥεl :
dɑ̃ lɑ̃fɑ̃sə e ladɔlesɑ̃sə :

mεʁə eɡal famə idealə, amuʁ puʁ la mεʁə eɡal ʁεspε absɔly, avεk ʁəfuləmɑ̃ də la sεksɥalite.
dɑ̃ lə maʁjaʒə :
amuʁ puʁ ləpuzə eɡal ʁapεl də lamuʁ puʁ la mεʁə eɡal ʁapεl də la sεksɥalite ʁəfule eɡal ɛ̃pɥisɑ̃sə sεksɥεllə.
dotʁə paʁ, boku də pεʁsɔnəz- abutise o maʁjaʒə avεk dε sɑ̃timɑ̃ dɛ̃feʁjɔʁite, də kylpabilite, də ɔ̃tə də swa. la pœʁ dy mepʁiz- e la ɔ̃tə də sɔ̃ kɔʁ, sɔ̃ fʁekɑ̃tə. labitydə ɛ̃tɑ̃sə də la mastyʁbasjɔ̃ pø ɑ̃pεʃe tutə ʁəlasjɔ̃ sεksɥεllə nɔʁmalə. də plys, sεʁtεnə pətitə pεʁvεʁsjɔ̃, ki, dyʁɑ̃ ladɔlesɑ̃sə, etε ljez- a la mastyʁbasjɔ̃, ɑ̃pεʃəʁɔ̃ la sεksɥalite kɔ̃ʒyɡalə. puʁkwa ? paʁsə kə lə nevʁoze a bəzwɛ̃ də sεtə pεʁvεʁsjɔ̃ puʁ epʁuve ynə ʒuisɑ̃sə nɔʁmalə. mε kɔmɑ̃ puʁʁε til fεʁə paʁ də sεtə pεʁvεʁsjɔ̃ a sɔ̃n- epuzə (u a sɔ̃n- epuks) , sil epʁuvə dε sɑ̃timɑ̃ də ɔ̃tə, də kylpabilite e də ʁəmɔʁd ? … ɔ̃n- a alɔʁz- afεʁə a ynə pεʁsɔnə sεksɥεllmɑ̃ nɔʁmalə, mε blɔke mɑ̃taləmɑ̃…
dotʁə- pɔsibilite ? εlləz- εɡziste paʁ milje… lεz- inadaptasjɔ̃ sεksɥεllə fɔʁme œ̃ teʁɛ̃ də ʃwa, pεʁmεtɑ̃ la puse də nɔ̃bʁø tʁublə nevʁɔtik. utʁə lεz- ɛ̃pɥisɑ̃səz- e lε fʁiʒidite, sə sɔ̃t- alɔʁ lε kɔ̃tʁaktyʁə, lε spasmə, lε fɔbi, lεz- ɑ̃ɡwasə, lε skʁypylə.
e si laktə ʒenital εt- akɔ̃pli malɡʁe tu, il nə pʁɔdɥi ni satisfaksjɔ̃ pʁɔfɔ̃də, ni detɑ̃tə. il apɔʁtə səpɑ̃dɑ̃ ynə sɑ̃sasjɔ̃ osi dezaɡʁeablə kə pεʁpetɥεllə : lə mekɔ̃tɑ̃təmɑ̃ də swa e dεz- otʁə.
kɔ̃bjɛ̃ də maʁjaʒə sɑ̃z- amuʁ veʁitablə ! laktə ʒenital dəvjɛ̃ alɔʁ difisilə, ɛ̃kɔ̃plε… u ɛ̃pɔsiblə. sə sɔ̃ dε ʁəpʁoʃə sɑ̃ fɛ̃, dε supsɔ̃, dε ʒaluzi, dε ʁyptyʁə, dε dispytə… dɔ̃ lɑ̃fɑ̃ fε suvɑ̃ lε fʁε.
laktə ʒenital dy maʁjaʒə dwa dɔ̃k εtʁə kɔ̃sideʁe kɔmə ynə adaptasjɔ̃ tʁεz- ɛ̃pɔʁtɑ̃tə. la plypaʁ dε defisjɑ̃sə psikɔlɔʒik pʁɔdɥize dεz- ɛ̃syfizɑ̃sə sεksɥεllə, ki ʁiske də ʁɔ̃pʁə a ʃakə ɛ̃stɑ̃ la vi kɔ̃ʒyɡalə.
vwasi mɛ̃tənɑ̃ œ̃ ka də nevʁozə kɔ̃ʒyɡalə : (tʁε fʁeke, avεk dε mɔdalite divεʁsəs) :
iks. , nevʁoze, aʁivə o maʁjaʒə apʁεz- ynə edykasjɔ̃ ki la deviʁilize e feminize. mεʁə otɔʁitεʁə, pεʁə fεblə. iks. ε dɔ̃k dəvəny œ̃n- ɔmə a tɑ̃dɑ̃sə femininə, ɛ̃kapablə də ʁealize mɑ̃taləmɑ̃ sɔ̃ ʁolə dɔmə. malɡʁe lɥi, il a ʃεʁʃe ynə famə ki ʁetablisə la balɑ̃sə, e ʁɑ̃də sε ʁəlasjɔ̃ sεksɥεllə pɔsiblə. sa famə ε dɔ̃k maskylinə, kɔmə ɔ̃ puvε lə pʁevwaʁ. ɔ̃ vwa də sɥitə kə iks. a dε tɑ̃dɑ̃səz- omosεksɥεlləz- ɛ̃kɔ̃sjɑ̃tə. sɔ̃n- ekilibʁə psikɔlɔʒikə depɑ̃ də dø faktœʁ :
yn) ʁεste dɑ̃ sa « feminite », pɥiskil εt- ɛ̃kapablə də viʁilite maskylinə.
døks) kə sa famə lə lɥi pεʁmεtə, ɑ̃ ʁεstɑ̃ maskylinə.
iks. e sa famə avε dajœʁ sεʁtεnə pʁatik sεksɥεllə, ki mɔ̃tʁε paʁfεtəmɑ̃ sə ʒø ʁɑ̃vεʁse də feminite e də maskylinite.
œ̃ ʒuʁ, la famə də iks. emi lə deziʁ davwaʁ œ̃n- ɑ̃fɑ̃. ynə ɑ̃ɡwasə ɛ̃tɑ̃sə sɛ̃stala imedjatəmɑ̃ ɑ̃ iks. , ki fi tu puʁ εkstiʁpe sə deziʁ də ʃe sa famə. il etε dajœʁz- ɛ̃kapablə də dɔne la mwɛ̃dʁə ʁεzɔ̃ ploziblə a sa famə… sə ki ʁɑ̃fɔʁsε lεɡzaspeʁasjɔ̃ də madamə iks. dε tiʁajmɑ̃, dε dispytə, dε ʁəpʁoʃə, sɛ̃stalεʁe a dəməʁə dɑ̃ lə menaʒə. lɑ̃ɡwasə də iks. fi kil sesa tutə ʁəlasjɔ̃ sεksɥεllə avεk sa famə, e sɔ̃bʁa dɑ̃z- ynə depʁesjɔ̃ ɡʁavə.
puʁkwa ? avwaʁ œ̃n- ɑ̃fɑ̃ siɲifjε kə sa famə sesε dasyme lə ʁolə də lɔmə. εjɑ̃ œ̃n- ɑ̃fɑ̃, εllə ʁədəvənε famə. dɔ̃k :
a) ks. dəvε alɔʁz- asyme sɔ̃ ʁolə maskylɛ̃, sə dɔ̃ il etε ɛ̃kapablə,
b) sɔ̃ omosεksɥalite latɑ̃tə puvε sə ʁealize tɑ̃ kə sa famə ʒuε œ̃ ʁolə dɔmə. εllə sesε si lepuzə ʁəpʁənε sɔ̃ ʁolə də famə e də mεʁə. tu sɔ̃n- ekilibʁə psikɔlɔʒikə sə bʁizε. du ɑ̃ɡwasəz- e ʁəfy davwaʁ œ̃n- ɑ̃fɑ̃, depʁesjɔ̃, εtseteʁa.

ladaptasjɔ̃ a la vi dy menaʒə

ɔ̃ kɔnε ladaʒə pɔpylεʁə e saʒə : maʁjaʒə dəmɑ̃də menaʒə. kɔabite avεk lε paʁɑ̃ dœ̃ dεz- epuz- ε deʒa, ɑ̃ swa, ynə kozə fʁekɑ̃tə də tʁublə kɔ̃ʒyɡo. sεtə sitɥasjɔ̃ εɡziʒə œ̃n- ekilibʁə psikɔlɔʒikə paʁfε, də paʁ e dotʁə. mεmə dɑ̃ sə ka, il ε ʁaʁə kə lεz- epu pɥisεnt « sə lεse alʁ ». mεz- il εt- eɡaləmɑ̃ ʁaʁə kə lε paʁɑ̃z- ε py sə « dekʁoʃəʁ » də lœʁ ɑ̃fɑ̃ ! sεt- alɔʁ kə kɔmɑ̃se lε syʁvεjɑ̃sə, lε ʁəmaʁk, lεz- ɛ̃sinɥasjɔ̃, lε ʁəpʁoʃə, lε kɔ̃sεjz- asεʁbəz- e mjεllø. lə tʁublə saɡʁɑ̃di ɑ̃kɔʁə si lɑ̃fɑ̃ ε ʁεste akʁoʃe a sε paʁɑ̃. lakʁoʃaʒə lə plys dɑ̃ʒəʁøz- ε səlɥi də la mεʁə e dy fis. dɑ̃ sə ka, la nevʁozə ε fʁekɑ̃tə. lə fis kɔ̃tinɥəʁa, dɑ̃ lə maʁjaʒə, la sitɥasjɔ̃ də sɔ̃n- adɔlesɑ̃sə. il ʁεstəʁa lə « pəti ɡaʁsɔ̃ də sa mεʁə ». il ʁəfuləʁa sɔ̃n- ɔstilite ɑ̃vεʁ sa mεʁə, e la ʁəpɔʁtəʁa syʁ sa famə. sɔ̃n- epuzə, alɔʁ, lakyzəʁa də « pʁɑ̃dʁə paʁti puʁ sa mεʁə, kɔ̃tʁə εllə ». lə fis nadmεtʁa okynə kʁitikə vənɑ̃ də sa famə, pɥiskə sε kʁitik ʁɑ̃kɔ̃tʁəʁɔ̃ sa pʁɔpʁə ɔstilite ʁəfule ! maʁi e famə sɔ̃t- alɔʁ plasez- ɑ̃tʁə plyzjœʁ fø, ki abutise-abitɥεllmɑ̃ a la katastʁɔfə kɔ̃ʒyɡalə :
«… ʒə nɑ̃ pø plys, di madamə iks. , ʒə sɥiz- epɥize mɔʁaləmɑ̃ e fizikəmɑ̃… ʒamε mɔ̃ maʁi nə pʁɑ̃ ma defɑ̃sə kɑ̃ sa mεʁə matakə… il sə tε, il nozə pa, e puʁtɑ̃ ʒə sε kil mεmə… mε ʒə vεz- ɑ̃n- aʁive a la detεste… il ε sɑ̃blablə a sa mεʁə… ɔ̃ diʁε kεllə a detɛ̃ syʁ lɥi… sa mεʁə nə sεsə də mə kʁitike, də mə diʁə kə ʒə dwa mabije kɔmə səsi, kə ʒə dwa kɥizine kɔmə səla… εllə ε tuʒuʁ dəʁjεʁə mwa… εllə mə syʁvεjə… ʒə nozə pa ʁepɔ̃dʁə, sinɔ̃ sε la baɡaʁə avεk εllə e mɔ̃ maʁi… si mɔ̃ maʁi a lə mwɛ̃dʁə bɔbo, səla sɑ̃blə εtʁə də ma fotə… εllə sɑ̃blə kʁwaʁə kə ʒə nə lə swaɲə pa ase… sə sɔ̃ sɑ̃ sεsə dεz- ɛ̃sinɥasjɔ̃z- a sə syʒε… mə ləve lə matɛ̃ dəvjɛ̃ œ̃ vʁε koʃəmaʁ, kɑ̃ ʒə pɑ̃sə kə ʒə dwa pase ynə ʒuʁne avεk εllə, e kə mɔ̃ maʁi nə ʁɑ̃tʁəʁa kə lə swaʁ… εllə fuʁʁə sɔ̃ ne dɑ̃ tu… mɔ̃ maʁi a pœʁ… mεmə sεz- abi sɔ̃ ʃwazi paʁ sa mεʁə… fεʁə sε taʁtinə lə matɛ̃ ε tutə ynə istwaʁə, kɔmə si ʒetεz- ynə ɛ̃kapablə kɔ̃plεtə… ʒə sɥi tuʒuʁ dɑ̃z- œ̃n- eta də kɔlεʁə ʁɑ̃tʁe ki mə vidə… »
e sə kə di madamə iks. sɑ̃blə steʁeɔtipe, tεllmɑ̃ sε kuʁɑ̃ !
ɑ̃ ʒeneʁal, la kɔabitasjɔ̃ avεk lε bo paʁɑ̃z- εt- a evite. kə diʁə alɔʁ, si œ̃ dεz- elemɑ̃ dy ɡʁupə ε nevʁoze ! …

lɛ̃timite difisilə

ladaptasjɔ̃ ε delikatə eɡaləmɑ̃ si lεz- epu vive səl. lɛ̃timite ε ʃozə difisilə a ʁealize, e dəmɑ̃də enɔʁmemɑ̃ də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃. ɔʁ, il ni a pa də kɔ̃pʁeɑ̃sjɔ̃ ʁeεllə sɑ̃z- ekilibʁə, e dispɔnibilite dεspʁi. lə maʁjaʒə εɡziʒə lamuʁ, nɔ̃ pa lamuʁ də swa, mε lamuʁ də lotʁə. si lœ̃ dε kɔ̃ʒwɛ̃z- ε nevʁoze, sεtə nevʁozə εst (malɡʁe lɥi) , lə sɑ̃tʁə də sε pʁeɔkypasjɔ̃. də mεmə kə, si œ̃n- ɔmə sufʁə fɔʁtəmɑ̃ də lεstɔmak, sεtə sufʁɑ̃sə dəvjɛ̃dʁa la plakə tuʁnɑ̃tə də sa pεʁsɔnalite ɑ̃tjεʁə. la nevʁozə dœ̃ dε kɔ̃ʒwɛ̃, fəʁa kil kɔ̃pʁɑ̃dʁa lotʁə a tʁavεʁ sεtə nevʁozə. u dy mwɛ̃, il kʁwaʁa lə kɔ̃pʁɑ̃dʁə, ɑ̃ tutə bɔnə fwa, e avεk la mεjəʁə vɔlɔ̃te dy mɔ̃də.
boku də nevʁozə, mεmə leʒεʁə, pεʁmεte dε ʁəlasjɔ̃ sɔsjalə sypεʁfisjεllə, mεz- ɑ̃pεʃe lε ʁəlasjɔ̃ pʁɔfɔ̃də.
sə dɔ̃ pati lɛ̃timite kɔ̃ʒyɡalə, evidamɑ̃ ! boku də kɔ̃ʒwɛ̃ dize : «… il mə fo lɔ̃tɑ̃ puʁ madapte a kεlkœ̃… pase œ̃ dimɑ̃ʃə avεk lɥi (u εllə) mepɥizə… ʒə mə sɑ̃s dɑ̃z- œ̃n- eta də tɑ̃sjɔ̃ ki mə vidə, ʒə nə sε kə diʁə, ʒə sɥi kʁispe, ʒə mə sɑ̃s kupablə… il ni a pa dɛ̃timite… nu sɔmə kɔmə døz- etʁɑ̃ʒe… ʒə mə ʁɑ̃ bjɛ̃ kɔ̃tə kə sε də ma fotə… ʒε ete tʁo ʁɑ̃fεʁme e tʁo timidə a kozə də mɔ̃n- ɑ̃fɑ̃sə… e ʒə nə paʁvjɛ̃ pa a mɑ̃ deɡaʒəʁ ».
də plys, il nə fo pa ublje səsi : ynə nevʁozə dadɔlesɑ̃sə ʁiskə də sə kɔ̃tinɥe dɑ̃ lə maʁjaʒə, e mεmə də sɑ̃plifje :
«… ʒə sɥi də kaʁaktεʁə fεblə, e ʒε pœʁ də ma famə… εllə mə ʁapεllə ma mεʁə… mεz- avεk ma mεʁə, ʒə puvε mə lεse ale, εllə fəzε tut- a ma plasə, desidε puʁ mwa. mɛ̃tənɑ̃, ʒə nə sε plys fεʁə otʁəmɑ̃. e ʒə sɑ̃s kə ma famə mə mepʁizə, sə ki ʁɑ̃fɔʁsə ɑ̃kɔʁə ma ɔ̃tə e lə mepʁi kə ʒε puʁ mwa… »,
u bjɛ̃ :
«… ma famə a kɛ̃zə ɑ̃ də plys kə mwa. apʁε nɔtʁə ɑ̃tʁətjɛ̃, ʒə vwa kə ʒε ʁəʃεʁʃe ynə kɔ̃pɑ̃sasjɔ̃ də ma fεblεsə… ʒε epuze ynə famə matεʁnεllə o ljø dynə famə epuzə… ʒə sɥi ʁεste akʁoʃe a ma mεʁə… o fɔ̃, ʒε epuze ma mεʁə… ʒə nε dajœʁ ʒamεz- y də ʁəlasjɔ̃ sεksɥεlləz- avεk ma famə. »

nevʁozəz- e kɔ̃sεpsjɔ̃ dy maʁjaʒə

də nɔ̃bʁø nevʁozez- aʁive o maʁjaʒə avεk sεʁtεnə nɔsjɔ̃ dyʁə kɔmə dy betɔ̃ : la sεksɥalite εt- ynə ʃozə ɔ̃tøzə, la sεksɥalite mə fε pœʁ, la famə dwa kɔ̃batʁə lɔmə, la famə ε tuʒuʁ la pʁwa də lɔmə, la famə dwa tuʒuʁ sə sakʁifje, la famə εt- ynə maʁtiʁə, εtseteʁa…
ɔ̃ vwa dɔ̃k la œ̃ teʁɛ̃ tu pʁepaʁe puʁ la fytyʁə nevʁozə dεz- ɑ̃fɑ̃ ! də plys, tʁo də kɔ̃sεpsjɔ̃ dy maʁjaʒə sɔ̃ baze syʁ dε kɔ̃pʁɔmi. lə kɔ̃ʒwɛ̃ esεj də sə kɔ̃pɑ̃se paʁ lotʁə. (kɔmə iks. , feminɛ̃, ki avε epuze ynə famə maskylinə. )
εɡzɑ̃plə :
œ̃n- otɔʁitaʁistə (dɔ̃k nevʁoze) ʃεʁʃə ynə famə fεblə u ynə famə ɑ̃fɑ̃, kil pɥisə « pʁɔteʒəʁ » εt dɔmine.
ynə otɔʁitaʁistə (dɔ̃k nevʁozeə) ʃεʁʃə œ̃n- ɔmə ɛ̃fɑ̃tilə, timidə, εtseteʁa.
sεt- a tεl pwɛ̃ kə boku də maʁjaʒə sɔ̃ baze syʁ la kɔ̃petisjɔ̃ ! ʃakœ̃ dεz- epu sə sɑ̃ ɑ̃ dɑ̃ʒe vis a vis də lotʁə. il vit ɑ̃n- eta dalεʁtə, avεk lə susi də « nə pa sə lεse fεʁə » !
kə di madamə i. ? : «… ʒε mε dʁwa… sə sɔ̃ lε dʁwa də la famə. ʒεstimə dəvwaʁ lε sovɡaʁde ɑ̃vεʁz- e kɔ̃tʁə tus, e ʒə ʁəfyzə absɔlymɑ̃ də ʁəkɔnεtʁə a mɔ̃ maʁi, lε dʁwa kə lɥi dɔnə la lwa. lεz- ɔməz- ɔ̃ tʁo tɑ̃dɑ̃sə a simaʒine kə nu sɔmə lœʁ sεʁvɑ̃tə, εtseteʁa. , εtseteʁa… ».
ɑ̃ veʁite, lə kɔʁtεʒə dε maʁjaʒə mɑ̃kez- ε lɔ̃ e tʁistə. kaʁ tʁε suvɑ̃ œ̃ kɔ̃pʁɔmi bwatø mɛ̃tjɛ̃ la sitɥasjɔ̃, baze syʁ ləs « dʁwa ʁesipʁɔkəs », syʁ laɡʁesivite, syʁ dε ʁɑ̃kœʁ, syʁ dε mepʁi. lε nevʁozə, fɔʁtəz- u fεblə, fɔ̃ dε kupə sɔ̃bʁə. nɔ̃ sələmɑ̃ paʁsə kœ̃ nevʁoze ɑ̃vizaʒə lə maʁjaʒə dynə fasɔ̃ eʁɔne, mεz- osi paʁsə kə lynjɔ̃ kɔ̃ʒyɡalə pεʁmε o nevʁozə dapaʁεtʁə mjø.
ɑ̃n- utʁə, ɔ̃ kʁwa pɔpylεʁəmɑ̃ kə lə « maʁjaʒə ɡeʁi la nevʁozə ». sεt- ynə ɔpinjɔ̃ kɔ̃plεtəmɑ̃ absyʁdə. dø ka klasik : u bjɛ̃ dε paʁɑ̃ puse o maʁjaʒə œ̃ nevʁoze, afɛ̃ də lə « ɡeʁiʁ ». səla, sɑ̃ sɔ̃ʒe ni o kɔ̃ʒwɛ̃, ni a lɑ̃fɑ̃ evɑ̃tɥεl, ki tu døz- ɑ̃ sybiʁɔ̃ lə kɔ̃tʁəku ! u bjɛ̃, də ʒənə nevʁoze sə ʁefyʒje dɑ̃z- œ̃ maʁjaʒə atif, puʁ fɥiʁ lœʁ miljø. lε kɔ̃sekɑ̃sə pəve ɑ̃n- εtʁə tut- osi tʁistə…
pa plys kɔ̃ nə sɛ̃pʁɔvizə edykatœʁ, ɔ̃ nə sɛ̃pʁɔvizə maʁje. ynə sələ ʃozə pεʁmε lɛ̃pʁɔvizasjɔ̃ : lekilibʁə (εt lεzɑ̃sə ki sɑ̃sɥit) . sε puʁkwa lə maʁjaʒə dəvʁε εtʁə etydje dynə fasɔ̃ pʁevɑ̃tivə. dε kɔnεsɑ̃sə psikɔlɔʒik, mεmə elemɑ̃tεʁə, puʁʁε sove bjɛ̃ dε ʃozə, ʒə vuz- asyʁə. dɑ̃ lə maʁjaʒə, lamuʁ εt- esɑ̃sjεl. mεs « sə kɔnεtʁə swa mεmə » dεvʁε εtʁə ynə ʁεɡlə dɔʁ…

kɔ̃klyzjɔ̃ :

la nevʁozə, kɔmə tutə maladi psikɔlɔʒikə, dwa fεʁə lɔbʒε dœ̃n- εɡzamɛ̃ absɔlymɑ̃ kɔ̃plε. tutə lε ʁəʃεʁʃə fizjɔlɔʒik səʁɔ̃ mizəz- ɑ̃ ʒø, ʁəʃεʁʃə dεz- ɛ̃tɔksikasjɔ̃, dε lezjɔ̃, dεz- ɛ̃fεksjɔ̃, εɡzamɛ̃z- ɑ̃dɔkʁinjɛ̃, ymɔʁal, epatikə, ɡastʁikə. εɡzamɛ̃ minytjø dy miljø, dεz- inadaptasjɔ̃, εtseteʁa.
tutə lε ʁəsuʁsə- də la psikɔteʁapi səʁɔ̃ ɑ̃plwaje. il ε ʁaʁə kynə maladi psikɔlɔʒikə etufə la pεʁsɔnalite pʁɔfɔ̃də. sεtə pεʁsɔnalite sufʁə paʁfwa milə mɔʁ, e lε sufʁɑ̃sə də la « kɔ̃sjɑ̃sə mɔʁalə » ʒue tuʒuʁz- œ̃ ʁolə kɔ̃sideʁablə. lε kɔ̃fliz- ɛ̃teʁjœʁ, suvɑ̃ ʁəfule, sə tʁuve fʁekamɑ̃ a la bazə dε nevʁozəz- e dε psikozə. kil saʒisə dynə sɛ̃plə timidite, u dœ̃ deliʁə də la pεʁsekysjɔ̃…
tu tʁεtəmɑ̃ psikɔlɔʒikə, leʒe u ɡʁavə, dwa εtʁə dynə ymanite absɔlɥ, lə ʁεspε ɑ̃tje də la pεʁsɔnə ymεnə ɑ̃n- ε la lwa sypʁεmə. suεtɔ̃z- ynə ʃozə : kə liʒjεnə mɑ̃talə e mɔʁalə pʁɔɡʁεsə. kə lə mɔ̃də aktɥεl apʁεnə a sə kɔ̃sideʁe ɔbʒεktivəmɑ̃ : e kə ʃakœ̃ suεtə « apʁɑ̃dʁə », o ljø davwaʁ la sεʁtitydə də « kɔnεtʁə ».
suεtɔ̃z- ɑ̃fɛ̃ kə la psikɔlɔʒi setɑ̃də syfizamɑ̃, puʁ kə ʃakœ̃ ʃεʁʃə a ʁealize la plenitydə də sɔ̃n- εtʁə, ɑ̃ kɔ̃statɑ̃ sεnəmɑ̃ sεz- ɛ̃syfizɑ̃sə, e ɑ̃ dekuvʁɑ̃ sε pɔsibilite kaʃe.
Syllabes Phonétique : Les Névroses Et Les Psychoses (Iv)a=pʁεsə=lɔ̃=pa=sa=ʒə=o=sy=ʒε=də=pʁɔ=ble=ma=tik=kɔ̃=sεʁ=nɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=e=nɔ=ta=mɑ̃=də=sεʁ=tɛ̃=fe=nɔ=mε=nə=lje=za=dε=ne=vʁo=zə=zu=a=dε=psi=ko=zə=za=dɔ=le=sɑ̃=tə=ʁə=və=nɔ̃=za=la=ne=vʁo=zə=ki=me=ʁi=tə=ɑ̃=kɔ=ʁə=kεl=kə=pʁe=si=zjɔ̃ 70

la=ne=vʁo=zə=e=la=vi=kɔ̃=ʒy=ɡa=lə=ʒə=pʁe=si=zə=ɑ̃=paʁ=tɑ̃=dy=ma=ʁj=a=ʒə 23

la=dɔ=le=sɑ̃=dwa=dɔ̃k=sa=dap=te=a=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=nu=vεllə=e=a=lotʁə=sεk=sə=il=dwa=sə=se=pa=ʁəʁ=mɑ̃=ta=lə=mεnt=də=sε=pa=ʁɑ̃=a=fɛ̃=dɑ̃=vi=za=ʒe=sa=vi=pʁɔ=pʁə=sε=tœ̃=mɔ=mɑ̃=de=si=zif=il=fʁɑ̃=ʃi=la=ba=ʁjε=ʁə=u=ʁεs=tə=syʁ=pla=sə=ɑ̃s=ɥi=tə=a=dap=te=u=nɔ̃=il=fi=ləɑ̃=li=ɲə=dʁwa=tə=vεʁ=lə=ma=ʁja=ʒə=ɔʁ=ɔ̃=kɔ̃s=ta=tə=kə=də=nɔ̃=bʁø=zə=ne=vʁo=zə=sə=ma=ni=fεs=te=pø=a=pʁε=lə=ma=ʁjaʒə 111
kεl=lə=sɔ̃=lε=dø=ɡʁɑ̃=də=za=dap=ta=sj=ɔ̃=də=mɑ̃=de=paʁ=sε=tə=nu=vεl=lə=pe=ʁjɔ=də=də=vi=sə=sɔ̃=lak=tə=ʒe=ni=tal=e=la=dap=ta=sj=ɔ̃=a=la=vi=kɔ=my=nə 45

lak=tə=ʒe=ni=tal 5

il=nə=sa=ʒi=pa=dœ̃=nak=tə=ʒe=ni=tal=kεl=kɔ̃kə=mε=za=kɔ̃=pli=a=vεk=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=bjɛ̃=de=tεʁ=mi=ne=le=pu=zəu=le=pu=e=sə=la=ʃɑ̃=ʒə=tu=la=ne=vʁo=zə=kɔ̃=ʒy=ɡa=lə=ε=su=vɑ̃=a=ba=zə=sεk=sɥεllə=ɛ̃p=ɥi=sɑ̃=sə=tɔ=ta=lə=u=paʁ=sjεl=lə=dy=ma=ʁi=fʁi=ʒi=di=te=ʃe=la=fa=mə=kɔ̃=bjɛ̃=dɔ=mə=ε=jɑ̃=y=dε=ʁə=la=sjɔ̃=nɔʁ=ma=lə=za=vεk=y=nə=mε=tʁe=sə=u=a=ʁi=vɑ̃=vjεʁ=ʒə=zo=ma=ʁja=ʒə=də=vjε=ne=sy=bi=tə=mɑ̃=ɛ̃p=ɥi=sɑ̃=zɑ̃=vεʁ=lœʁ=fa=mə=dɑ̃=sə=ka=il=sə=pa=sə=fʁe=ka=mɑ̃=sə=kə=ʒε=εk=spo=ze=ɑ̃=ne=vɔ=kɑ̃=lə=kɔ̃=plεk=sə=dø=di=pə=me=ka=nis=mə=ɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=mε=te=ʁi=blə=mɑ̃=a=ʒi=sɑ̃ 166
la=ne=vʁo=zə=a=dyl=tə=nə=fε=a=lɔʁ=kə=ʁe=pe=te=y=nə=sit=ɥa=sj=ɔ̃=ne=vʁo=ze=də=lɑ̃=fɑ̃=sə=e=də=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=ʒə=ʁa=pεl=lə=y=nə=fwa=də=plys=sə=me=ka=nis=mə=e=tɑ̃=dɔ=ne=kil=sa=ʒi=dœ̃=ka=tʁε-a=bit=ɥεl 62
dɑ̃=lɑ̃=fɑ̃=sə=e=la=dɔ=le=sɑ̃=sə 10

mε=ʁə=e=ɡal=fa=mə=i=de=a=lə=a=muʁ=puʁ=la=mε=ʁə=e=ɡal=ʁεs=pε=ab=sɔ=ly=a=vεk=ʁə=fu=lə=mɑ̃=də=la=sεk=sɥa=li=te 35
dɑ̃=lə=ma=ʁj=a=ʒə 6
a=muʁ=puʁ=lə=pu=zə=e=ɡal=ʁa=pεl=də=la=muʁ=puʁ=la=mε=ʁə=e=ɡal=ʁa=pεl=də=la=sεk=sɥa=li=te=ʁə=fu=le=e=ɡal=ɛ̃p=ɥi=sɑ̃=sə=sεk=sɥεl=lə 39
dotʁə=paʁ=bo=ku=də=pεʁ=sɔ=nə=za=bu=ti=səo=ma=ʁja=ʒə=a=vεk=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=dɛ̃=fe=ʁjɔ=ʁi=te=də=kyl=pa=bi=li=te=də=ɔ̃=tə=də=swa=la=pœʁ=dy=me=pʁi=ze=la=ɔ̃=tə=də=sɔ̃=kɔʁ=sɔ̃=fʁe=kɑ̃=tə=la=bi=ty=də=ɛ̃=tɑ̃=sə=də=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=pø=ɑ̃=pε=ʃe=tu=tə=ʁə=la=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=nɔʁ=ma=lə=də=plys=sεʁ=tε=nə=pə=ti=tə=pεʁ=vεʁ=sjɔ̃=ki=dy=ʁɑ̃=la=dɔ=le=sɑ̃=sə=e=tε=lje=za=la=mas=tyʁ=ba=sjɔ̃=ɑ̃=pε=ʃə=ʁɔ̃=la=sεk=sɥa=li=te=kɔ̃=ʒy=ɡa=lə=puʁ=kwa=paʁ=sə=kə=lə=ne=vʁo=ze=a=bə=zwɛ̃=də=sε=tə=pεʁ=vεʁ=sjɔ̃=puʁ=e=pʁu=ve=y=nə=ʒui=sɑ̃=sə=nɔʁ=ma=lə=mε=kɔ=mɑ̃=puʁ=ʁε=til=fε=ʁə=paʁ=də=sε=tə=pεʁ=vεʁ=sjɔ̃=a=sɔ̃=ne=pu=zə=u=a=sɔ̃=ne=puks=sil=e=pʁu=və=dε=sɑ̃=ti=mɑ̃=də=ɔ̃=tə=də=kyl=pa=bi=li=te=e=də=ʁə=mɔʁd=ɔ̃=na=a=lɔʁ=za=fε=ʁə=a=y=nə=pεʁ=sɔ=nə=sεk=sɥεl=lmɑ̃=nɔʁ=ma=lə=mε=blɔ=ke=mɑ̃=ta=lə=mɑ̃ 223
dotʁə=pɔ=si=bi=li=te=εl=lə=zεɡ=zis=te=paʁ=mi=lje=lε=zi=na=dap=ta=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=fɔʁ=me=œ̃=te=ʁɛ̃=də=ʃwa=pεʁ=mε=tɑ̃=la=pu=se=də=nɔ̃=bʁø=tʁu=blə=ne=vʁɔ=tik=u=tʁə=lε=zɛ̃p=ɥi=sɑ̃=sə=ze=lε=fʁi=ʒi=di=te=sə=sɔ̃=ta=lɔʁ=lε=kɔ̃=tʁak=ty=ʁə=lε=spas=mə=lε=fɔ=bi=lε=zɑ̃=ɡwa=sə=lε=skʁy=pylə 78
e=si=lak=tə=ʒe=ni=tal=ε=ta=kɔ̃=pli=mal=ɡʁe=tu=il=nə=pʁɔd=ɥi=ni=sa=tis=fak=sj=ɔ̃=pʁɔ=fɔ̃=də=ni=de=tɑ̃=tə=il=a=pɔʁ=tə=sə=pɑ̃=dɑ̃=y=nə=sɑ̃=sa=sj=ɔ̃=o=si=de=za=ɡʁe=a=blə=kə=pεʁ=pet=ɥεl=lə=lə=me=kɔ̃=tɑ̃=tə=mɑ̃=də=swa=e=dε=zo=tʁə 68
kɔ̃=bj=ɛ̃=də=ma=ʁja=ʒə=sɑ̃=za=muʁ=ve=ʁi=ta=blə=lak=tə=ʒe=ni=tal=də=vjɛ̃=a=lɔʁ=di=fi=si=lə=ɛ̃=kɔ̃=plε=u=ɛ̃=pɔ=si=blə=sə=sɔ̃=dε=ʁə=pʁo=ʃə=sɑ̃=fɛ̃=dε=sup=sɔ̃=dε=ʒa=lu=zi=dε=ʁyp=ty=ʁə=dε=dis=py=tə=dɔ̃=lɑ̃=fɑ̃=fε=su=vɑ̃=lε=fʁε 66
lak=tə=ʒe=ni=tal=dy=ma=ʁja=ʒə=dwa=dɔ̃k=ε=tʁə=kɔ̃=si=de=ʁe=kɔ=mə=y=nə=a=dap=ta=sjɔ̃=tʁε=zɛ̃=pɔʁ=tɑ̃=tə=la=ply=paʁ=dε=de=fi=sjɑ̃=sə=psi=kɔ=lɔ=ʒik=pʁɔd=ɥi=ze=dε=zɛ̃=sy=fi=zɑ̃=sə=sεk=sɥεl=lə=ki=ʁis=ke=də=ʁɔ̃=pʁə=a=ʃa=kə=ɛ̃s=tɑ̃=la=vi=kɔ̃=ʒy=ɡalə 70
vwa=si=mɛ̃=tə=nɑ̃=œ̃=ka=də=ne=vʁo=zə=kɔ̃=ʒy=ɡa=lə=tʁε=fʁe=ke=a=vεk=dε=mɔ=da=li=te=di=vεʁ=səs 28
iks=ne=vʁo=ze=a=ʁivəo=ma=ʁja=ʒə=a=pʁε=zy=nə=e=dy=ka=sjɔ̃=ki=la=de=vi=ʁi=li=ze=e=fe=mi=ni=ze=mε=ʁə=o=tɔ=ʁi=tε=ʁə=pε=ʁə=fε=blə=iks=ε=dɔ̃k=də=və=ny=œ̃=nɔ=mə=a=tɑ̃=dɑ̃=sə=fe=mi=ni=nə=ɛ̃=ka=pa=blə=də=ʁe=a=li=ze=mɑ̃=ta=lə=mɑ̃=sɔ̃=ʁo=lə=dɔ=mə=mal=ɡʁe=lɥi=il=a=ʃεʁ=ʃe=y=nə=fa=mə=ki=ʁe=ta=bli=sə=la=ba=lɑ̃=sə=e=ʁɑ̃=də=sε=ʁə=la=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=pɔ=si=blə=sa=fa=mə=ε=dɔ̃k=mas=ky=li=nə=kɔ=mə=ɔ̃=pu=vε=lə=pʁe=vwaʁ=ɔ̃=vwa=də=sɥi=tə=kə=iks=a=dε=tɑ̃=dɑ̃=sə=zo=mo=sεk=sɥεl=lə=zɛ̃=kɔ̃=sjɑ̃=tə=sɔ̃=ne=ki=li=bʁə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=de=pɑ̃=də=dø=fak=tœʁ 161
yn=ʁεs=te=dɑ̃=sa=fe=mi=ni=te=pɥis=kil=ε=tɛ̃=ka=pa=blə=də=vi=ʁi=li=te=mas=ky=li=nə 25
dø=ks=kə=sa=fa=mə=lə=lɥi=pεʁ=mε=tə=ɑ̃=ʁεs=tɑ̃=mas=ky=li=nə 18
iks=e=sa=fa=mə=a=vε=da=jœ=ʁə=sεʁ=tε=nə=pʁa=tik=sεk=sɥεl=lə=ki=mɔ̃=tʁε=paʁ=fε=tə=mɑ̃=sə=ʒø=ʁɑ̃=vεʁ=se=də=fe=mi=ni=te=e=də=mas=ky=li=ni=te 42
œ̃=ʒuʁ=la=famə=də=iks=e=mi=lə=de=ziʁ=da=vwaʁ=œ̃=nɑ̃=fɑ̃=y=nəɑ̃=ɡwa=sə=ɛ̃=tɑ̃=sə=sɛ̃s=ta=la=i=me=dja=tə=mɑ̃=ɑ̃=iks=ki=fi=tu=puʁ=εk=stiʁ=pe=sə=de=ziʁ=də=ʃe=sa=fa=mə=il=e=tε=da=jœʁ=zɛ̃=ka=pa=blə=də=dɔ=ne=la=mwɛ̃=dʁə=ʁε=zɔ̃=plo=zi=blə=a=sa=fa=mə=sə=ki=ʁɑ̃=fɔʁ=sε=lεɡ=zas=pe=ʁa=sjɔ̃=də=ma=da=mə=iks=dε=ti=ʁaj=mɑ̃=dε=dis=py=tə=dε=ʁə=pʁo=ʃə=sɛ̃s=ta=lε=ʁe=a=də=mə=ʁə=dɑ̃=lə=me=na=ʒə=lɑ̃=ɡwa=sə=də=iks=fi=kil=se=sa=tu=tə=ʁə=la=sjɔ̃=sεk=sɥεllə=a=vεk=sa=fa=mə=e=sɔ̃=bʁa=dɑ̃=zy=nə=de=pʁe=sjɔ̃=ɡʁavə 143
puʁ=kwa=a=vwaʁ=œ̃=nɑ̃=fɑ̃=si=ɲi=fj=ε=kə=sa=fa=mə=se=sε=da=sy=me=lə=ʁo=lə=də=lɔ=mə=ε=j=ɑ̃=œ̃=nɑ̃=fɑ̃=εl=lə=ʁə=də=və=nε=fa=mə=dɔ̃k 41
a=ks=də=vε=a=lɔʁ=za=sy=me=sɔ̃=ʁo=lə=mas=ky=lɛ̃=sə=dɔ̃=il=e=tε=ɛ̃=ka=pa=blə 24
b=sɔ̃=o=mo=sεk=sɥa=li=te=la=tɑ̃tə=pu=vε=sə=ʁe=a=li=ze=tɑ̃=kə=sa=fa=mə=ʒu=ε=œ̃=ʁo=lə=dɔ=mə=εl=lə=se=sε=si=le=pu=zə=ʁə=pʁə=nε=sɔ̃=ʁo=lə=də=fa=məe=də=mε=ʁə=tu=sɔ̃=ne=ki=li=bʁə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=sə=bʁi=zε=du=ɑ̃=ɡwa=sə=ze=ʁə=fy=da=vwaʁ=œ̃=nɑ̃=fɑ̃=de=pʁe=sjɔ̃=εt=se=te=ʁa 82

la=dap=ta=sjɔ̃=a=la=vi=dy=me=naʒə 10

ɔ̃=kɔ=nε=la=daʒə=pɔ=py=lε=ʁəe=sa=ʒə=ma=ʁja=ʒə=də=mɑ̃=də=me=na=ʒə=kɔ=a=bi=te=a=vεk=lε=pa=ʁɑ̃=dœ̃=dε=ze=pu=zε=de=ʒa=ɑ̃=swa=y=nə=ko=zə=fʁe=kɑ̃=tə=də=tʁu=blə=kɔ̃=ʒy=ɡo=sε=tə=sit=ɥa=sjɔ̃=εɡ=zi=ʒə=œ̃=ne=ki=li=bʁə=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=paʁ=fε=də=paʁ=e=do=tʁə=mε=mə=dɑ̃=sə=ka=il=ε=ʁa=ʁə=kə=lε=ze=pu=pɥi=sεnt=sə=lε=se=alʁ=mε=zil=ε=te=ɡa=lə=mɑ̃=ʁa=ʁə=kə=lε=pa=ʁɑ̃=zε=py=sə=de=kʁo=ʃəʁ=də=lœʁ=ɑ̃=fɑ̃=sε=ta=lɔʁ=kə=kɔ=mɑ̃=se=lε=syʁ=vε=jɑ̃=sə=lε=ʁə=maʁk=lε=zɛ̃=sin=ɥa=sjɔ̃=lε=ʁə=pʁo=ʃə=lε=kɔ̃=sεj=za=sεʁ=bə=ze=mjεl=lø=lə=tʁu=blə=sa=ɡʁɑ̃=di=ɑ̃=kɔ=ʁə=si=lɑ̃=fɑ̃=ε=ʁεs=te=a=kʁo=ʃe=a=sε=pa=ʁɑ̃=la=kʁo=ʃa=ʒə=lə=plys=dɑ̃=ʒə=ʁø=zε=səl=ɥi=də=la=mε=ʁə=e=dy=fis=dɑ̃=sə=ka=la=ne=vʁo=zə=ε=fʁe=kɑ̃=tə=lə=fis=kɔ̃=tin=ɥə=ʁa=dɑ̃=lə=ma=ʁja=ʒə=la=sit=ɥa=sjɔ̃=də=sɔ̃=na=dɔ=le=sɑ̃=sə=il=ʁεs=tə=ʁa=lə=pə=ti=ɡaʁ=sɔ̃=də=sa=mε=ʁə=il=ʁə=fu=lə=ʁa=sɔ̃=nɔs=ti=li=te=ɑ̃=vεʁ=sa=mε=ʁə=e=la=ʁə=pɔʁ=tə=ʁa=syʁ=sa=fa=mə=sɔ̃=ne=pu=zə=a=lɔʁ=la=ky=zə=ʁa=də=pʁɑ̃=dʁə=paʁ=ti=puʁ=sa=mε=ʁə=kɔ̃=tʁə=εllə=lə=fis=nad=mε=tʁa=o=ky=nə=kʁi=ti=kə=və=nɑ̃=də=sa=fa=mə=pɥis=kə=sε=kʁi=tik=ʁɑ̃=kɔ̃=tʁə=ʁɔ̃=sa=pʁɔ=pʁə=ɔs=ti=li=te=ʁə=fu=le=ma=ʁi=e=fa=mə=sɔ̃=ta=lɔʁ=pla=se=zɑ̃=tʁə=ply=zjœʁ=fø=ki=a=bu=ti=se-a=bit=ɥεl=lmɑ̃=a=la=ka=tas=tʁɔ=fə=kɔ̃=ʒy=ɡalə 354
ʒə=nɑ̃=pø=plys=di=ma=damə=iks=ʒə=sɥi=zep=ɥi=ze=mɔ=ʁa=lə=mɑ̃=e=fi=zi=kə=mɑ̃=ʒa=mε=mɔ̃=ma=ʁi=nə=pʁɑ̃=ma=de=fɑ̃=sə=kɑ̃=sa=mε=ʁə=ma=ta=kə=il=sə=tε=il=no=zə=pa=e=puʁ=tɑ̃=ʒə=sε=kil=mε=mə=mε=ʒə=vε=zɑ̃=na=ʁi=ve=a=la=de=tεs=te=il=ε=sɑ̃=bla=bləa=sa=mε=ʁə=ɔ̃=di=ʁε=kεllə=a=de=tɛ̃=syʁ=lɥi=sa=mε=ʁə=nə=sε=sə=də=mə=kʁi=ti=ke=də=mə=di=ʁə=kə=ʒə=dwa=ma=bi=je=kɔ=mə=sə=si=kə=ʒə=dwa=kɥi=zi=ne=kɔ=mə=sə=la=εl=lə=ε=tu=ʒuʁ=də=ʁjε=ʁə=mwa=εl=lə=mə=syʁ=vεjə=ʒə=no=zə=pa=ʁe=pɔ̃=dʁə=si=nɔ̃=sε=la=ba=ɡa=ʁə=a=vεk=εl=lə=e=mɔ̃=ma=ʁi=si=mɔ̃=ma=ʁi=a=lə=mwɛ̃=dʁə=bɔ=bo=sə=la=sɑ̃=blə=ε=tʁə=də=ma=fo=tə=εl=lə=sɑ̃=blə=kʁwa=ʁə=kə=ʒə=nə=lə=swa=ɲə=pa=a=se=sə=sɔ̃=sɑ̃=sε=sə=dε=zɛ̃=sin=ɥa=sjɔ̃=za=sə=sy=ʒε=mə=lə=ve=lə=ma=tɛ̃=də=vjɛ̃=œ̃=vʁε=ko=ʃə=maʁ=kɑ̃=ʒə=pɑ̃=sə=kə=ʒə=dwa=pa=se=y=nə=ʒuʁ=ne=a=vεk=εl=lə=e=kə=mɔ̃=ma=ʁi=nə=ʁɑ̃=tʁə=ʁa=kə=lə=swaʁ=εl=lə=fuʁ=ʁə=sɔ̃=ne=dɑ̃=tu=mɔ̃=ma=ʁi=a=pœʁ=mε=mə=sε=za=bi=sɔ̃=ʃwa=zi=paʁ=sa=mε=ʁə=fε=ʁə=sε=taʁ=ti=nə=lə=ma=tɛ̃=ε=tu=tə=y=nə=is=twa=ʁə=kɔ=mə=si=ʒe=tε=zy=nə=ɛ̃=ka=pa=blə=kɔ̃=plε=tə=ʒə=sɥi=tu=ʒuʁ=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=də=kɔ=lε=ʁə=ʁɑ̃=tʁe=ki=mə=vi=də 321
e=sə=kə=di=ma=damə=iks=sɑ̃=blə=ste=ʁe=ɔ=ti=pe=tεl=lmɑ̃=sε=ku=ʁɑ̃ 19
ɑ̃=ʒe=ne=ʁal=la=kɔ=a=bi=ta=sjɔ̃=a=vεk=lε=bo=pa=ʁɑ̃=zε=ta=e=vi=te=kə=diʁəa=lɔʁ=si=œ̃=dε=ze=le=mɑ̃=dy=ɡʁu=pə=ε=ne=vʁo=ze 37

lɛ̃=ti=mi=te=di=fi=si=lə 8

la=dap=ta=sjɔ̃=ε=de=li=katəe=ɡa=lə=mɑ̃=si=lε=ze=pu=vi=ve=səl=lɛ̃=ti=mi=te=ε=ʃo=zə=di=fi=si=lə=a=ʁe=a=li=ze=e=də=mɑ̃=də=e=nɔʁ=me=mɑ̃=də=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=ɔʁ=il=ni=a=pa=də=kɔ̃=pʁe=ɑ̃=sjɔ̃=ʁe=εllə=sɑ̃=ze=ki=li=bʁə=e=dis=pɔ=ni=bi=li=te=dεs=pʁi=lə=ma=ʁja=ʒə=εɡ=zi=ʒə=la=muʁ=nɔ̃=pa=la=muʁ=də=swa=mε=la=muʁ=də=lo=tʁə=si=lœ̃=dε=kɔ̃=ʒwɛ̃=zε=ne=vʁo=ze=sε=tə=ne=vʁo=zə=εst=mal=ɡʁe=lɥi=lə=sɑ̃=tʁə=də=sε=pʁe=ɔ=ky=pa=sjɔ̃=də=mε=mə=kə=si=œ̃=nɔ=mə=su=fʁə=fɔʁ=tə=mɑ̃=də=lεs=tɔ=mak=sε=tə=su=fʁɑ̃=sə=də=vjɛ̃=dʁa=la=pla=kə=tuʁ=nɑ̃=tə=də=sa=pεʁ=sɔ=na=li=te=ɑ̃=tjε=ʁə=la=ne=vʁo=zə=dœ̃=dε=kɔ̃=ʒwɛ̃=fə=ʁa=kil=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁa=lo=tʁə=a=tʁa=vεʁ=sε=tə=ne=vʁo=zə=u=dy=mwɛ̃=il=kʁwa=ʁa=lə=kɔ̃=pʁɑ̃=dʁə=ɑ̃=tu=tə=bɔ=nə=fwa=e=a=vεk=la=mεjə=ʁə=vɔ=lɔ̃=te=dy=mɔ̃də 214
bo=kudə=ne=vʁo=zə=mε=mə=le=ʒε=ʁə=pεʁ=mε=te=dε=ʁə=la=sjɔ̃=sɔ=sja=lə=sy=pεʁ=fi=sjεllə=mε=zɑ̃=pε=ʃe=lε=ʁə=la=sjɔ̃=pʁɔ=fɔ̃də 34
sə=dɔ̃=pa=ti=lɛ̃=ti=mi=te=kɔ̃=ʒy=ɡalə=e=vi=da=mɑ̃=bo=ku=də=kɔ̃=ʒwɛ̃=di=ze=il=mə=fo=lɔ̃=tɑ̃=puʁ=ma=dap=te=a=kεl=kœ̃=pa=se=œ̃=di=mɑ̃=ʃəa=vεk=lɥi=u=εllə=mep=ɥi=zə=ʒə=mə=sɑ̃s=dɑ̃=zœ̃=ne=ta=də=tɑ̃=sjɔ̃=ki=mə=vi=də=ʒə=nə=sε=kə=di=ʁə=ʒə=sɥi=kʁis=pe=ʒə=mə=sɑ̃s=ku=pa=blə=il=ni=a=pa=dɛ̃=ti=mi=te=nu=sɔ=mə=kɔ=mə=dø=ze=tʁɑ̃=ʒe=ʒə=mə=ʁɑ̃=bjɛ̃=kɔ̃=tə=kə=sε=də=ma=fo=tə=ʒε=e=te=tʁo=ʁɑ̃=fεʁ=me=e=tʁo=ti=mi=də=a=ko=zə=də=mɔ̃=nɑ̃=fɑ̃=sə=e=ʒə=nə=paʁ=vjɛ̃=pa=a=mɑ̃=de=ɡa=ʒəʁ 137
də=plys=il=nə=fo=pa=u=blje=sə=si=ynə=ne=vʁo=zə=da=dɔ=le=sɑ̃=sə=ʁis=kə=də=sə=kɔ̃=tin=ɥe=dɑ̃=lə=ma=ʁja=ʒə=e=mε=mə=də=sɑ̃=pli=fje 38
ʒə=sɥidə=ka=ʁak=tε=ʁə=fε=blə=e=ʒε=pœʁ=də=ma=fa=mə=εl=lə=mə=ʁa=pεllə=ma=mε=ʁə=mε=za=vεk=ma=mε=ʁə=ʒə=pu=vε=mə=lε=se=a=le=εl=lə=fə=zε=tu=ta=ma=pla=sə=de=si=dε=puʁ=mwa=mɛ̃=tə=nɑ̃=ʒə=nə=sε=plys=fε=ʁəo=tʁə=mɑ̃=e=ʒə=sɑ̃s=kə=ma=fa=mə=mə=me=pʁi=zə=sə=ki=ʁɑ̃=fɔʁ=sə=ɑ̃=kɔ=ʁə=ma=ɔ̃=tə=e=lə=me=pʁi=kə=ʒε=puʁ=mwa 93
u=bj=ɛ̃ 3
ma=faməa=kɛ̃=zə=ɑ̃=də=plys=kə=mwa=a=pʁε=nɔ=tʁə=ɑ̃=tʁə=tjɛ̃=ʒə=vwa=kə=ʒε=ʁə=ʃεʁ=ʃe=y=nə=kɔ̃=pɑ̃=sa=sjɔ̃=də=ma=fε=blε=sə=ʒε=e=pu=ze=y=nə=fa=mə=ma=tεʁ=nεllə=o=ljø=dy=nə=fa=mə=e=pu=zə=ʒə=sɥi=ʁεs=te=a=kʁo=ʃe=a=ma=mε=ʁə=o=fɔ̃=ʒε=e=pu=ze=ma=mε=ʁə=ʒə=nε=da=jœʁ=ʒa=mε=zy=də=ʁə=la=sjɔ̃=sεk=sɥεl=lə=za=vεk=ma=fa=mə 94

ne=vʁo=zə=ze=kɔ̃=sεp=sjɔ̃=dy=ma=ʁjaʒə 10

də=nɔ̃=bʁø=ne=vʁo=ze=za=ʁi=ve=o=ma=ʁjaʒəa=vεk=sεʁ=tε=nə=nɔ=sjɔ̃=dy=ʁə=kɔ=mə=dy=be=tɔ̃=la=sεk=sɥa=li=te=ε=ty=nə=ʃo=zə=ɔ̃=tø=zə=la=sεk=sɥa=li=te=mə=fε=pœʁ=la=fa=mə=dwa=kɔ̃=ba=tʁə=lɔ=mə=la=fa=mə=ε=tu=ʒuʁ=la=pʁwa=də=lɔ=mə=la=fa=mə=dwa=tu=ʒuʁ=sə=sa=kʁi=fje=la=fa=mə=ε=ty=nə=maʁ=ti=ʁə=εt=se=te=ʁa 89
ɔ̃=vwa=dɔ̃k=la=œ̃=te=ʁɛ̃=tu=pʁe=pa=ʁe=puʁ=la=fy=tyʁə=ne=vʁo=zə=dε=zɑ̃=fɑ̃=də=plys=tʁo=də=kɔ̃=sεp=sjɔ̃=dy=ma=ʁja=ʒə=sɔ̃=ba=ze=syʁ=dε=kɔ̃=pʁɔ=mi=lə=kɔ̃=ʒwɛ̃=e=sεj=də=sə=kɔ̃=pɑ̃=se=paʁ=lo=tʁə=kɔ=mə=iks=fe=mi=nɛ̃=ki=a=vε=e=pu=ze=y=nə=fa=mə=mas=ky=li=nə 73
εɡ=zɑ̃=plə 3
œ̃=no=tɔ=ʁi=ta=ʁistə=dɔ̃k=ne=vʁo=ze=ʃεʁ=ʃəy=nə=fa=mə=fε=blə=u=y=nə=fa=mə=ɑ̃=fɑ̃=kil=pɥi=sə=pʁɔ=te=ʒəʁ=εt=dɔ=mi=ne 34
ynəo=tɔ=ʁi=ta=ʁis=tə=dɔ̃k=ne=vʁo=ze=ə=ʃεʁ=ʃə=œ̃=nɔ=mə=ɛ̃=fɑ̃=ti=lə=ti=mi=də=εt=se=te=ʁa 27
sε=ta=tεl=pwɛ̃kə=bo=ku=də=ma=ʁja=ʒə=sɔ̃=ba=ze=syʁ=la=kɔ̃=pe=ti=sjɔ̃=ʃa=kœ̃=dε=ze=pu=sə=sɑ̃=ɑ̃=dɑ̃=ʒe=vis=a=vis=də=lo=tʁə=il=vit=ɑ̃=ne=ta=da=lεʁ=tə=a=vεk=lə=su=si=də=nə=pa=sə=lε=se=fε=ʁə 56
kə=di=ma=damə=i=ʒε=mε=dʁwa=sə=sɔ̃=lε=dʁwa=də=la=fa=mə=ʒεs=ti=mə=də=vwaʁ=lε=sov=ɡaʁ=de=ɑ̃=vεʁ=ze=kɔ̃=tʁə=tus=e=ʒə=ʁə=fy=zəab=sɔ=ly=mɑ̃=də=ʁə=kɔ=nε=tʁə=a=mɔ̃=ma=ʁi=lε=dʁwa=kə=lɥi=dɔ=nə=la=lwa=lε=zɔ=mə=zɔ̃=tʁo=tɑ̃=dɑ̃=sə=a=si=ma=ʒi=ne=kə=nu=sɔ=mə=lœʁ=sεʁ=vɑ̃=tə=εt=se=te=ʁa=εt=se=te=ʁa 85
ɑ̃=ve=ʁi=te=lə=kɔʁ=tεʒə=dε=ma=ʁja=ʒə=mɑ̃=ke=zε=lɔ̃=e=tʁis=tə=kaʁ=tʁε=su=vɑ̃=œ̃=kɔ̃=pʁɔ=mi=bwa=tø=mɛ̃=tjɛ̃=la=sit=ɥa=sjɔ̃=ba=ze=syʁ=ləs=dʁwa=ʁe=si=pʁɔ=kəs=syʁ=la=ɡʁe=si=vi=te=syʁ=dε=ʁɑ̃=kœʁ=syʁ=dε=me=pʁi=lε=ne=vʁo=zə=fɔʁ=tə=zu=fε=blə=fɔ̃=dε=ku=pə=sɔ̃bʁə=nɔ̃=sə=lə=mɑ̃=paʁ=sə=kœ̃=ne=vʁo=ze=ɑ̃=vi=za=ʒə=lə=ma=ʁja=ʒə=dy=nə=fa=sɔ̃=e=ʁɔ=ne=mε=zo=si=paʁ=sə=kə=ly=njɔ̃=kɔ̃=ʒy=ɡa=lə=pεʁ=mε=o=ne=vʁo=zə=da=pa=ʁε=tʁə=mjø 119
ɑ̃=nutʁə=ɔ̃=kʁwa=pɔ=py=lε=ʁə=mɑ̃=kə=lə=ma=ʁja=ʒə=ɡe=ʁi=la=ne=vʁo=zə=sε=ty=nəɔ=pi=njɔ̃=kɔ̃=plε=tə=mɑ̃=ab=syʁ=də=dø=ka=kla=sik=u=bjɛ̃=dε=pa=ʁɑ̃=pu=se=o=ma=ʁja=ʒə=œ̃=ne=vʁo=ze=a=fɛ̃=də=lə=ɡe=ʁiʁ=sə=la=sɑ̃=sɔ̃=ʒe=ni=o=kɔ̃=ʒwɛ̃=ni=a=lɑ̃=fɑ̃=e=vɑ̃t=ɥεl=ki=tu=dø=zɑ̃=sy=bi=ʁɔ̃=lə=kɔ̃=tʁə=ku=u=bjɛ̃=də=ʒə=nə=ne=vʁo=ze=sə=ʁe=fy=ʒje=dɑ̃=zœ̃=ma=ʁja=ʒə=a=tif=puʁ=fɥ=iʁ=lœʁ=mi=ljø=lε=kɔ̃=se=kɑ̃=sə=pə=ve=ɑ̃=nε=tʁə=tu=to=si=tʁistə 123
pa=plys=kɔ̃nə=sɛ̃=pʁɔ=vi=zəe=dy=ka=tœʁ=ɔ̃=nə=sɛ̃=pʁɔ=vi=zə=ma=ʁje=y=nə=sə=lə=ʃo=zə=pεʁ=mε=lɛ̃=pʁɔ=vi=za=sjɔ̃=le=ki=li=bʁə=εt=lε=zɑ̃=sə=ki=sɑ̃s=ɥ=it=sε=puʁ=kwa=lə=ma=ʁja=ʒə=də=vʁε=ε=tʁə=e=ty=dje=dy=nə=fa=sɔ̃=pʁe=vɑ̃=ti=və=dε=kɔ=nε=sɑ̃=sə=psi=kɔ=lɔ=ʒik=mε=mə=e=le=mɑ̃=tε=ʁə=puʁ=ʁε=so=ve=bjɛ̃=dε=ʃo=zə=ʒə=vu=za=sy=ʁə=dɑ̃=lə=ma=ʁja=ʒə=la=muʁ=ε=te=sɑ̃=sjεl=mεs=sə=kɔ=nε=tʁə=swa=mε=mə=dε=vʁε=ε=tʁə=y=nə=ʁε=ɡlə=dɔʁ 122

kɔ̃=kly=zj=ɔ̃ 4

la=ne=vʁozə=kɔ=mə=tu=tə=ma=la=di=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=dwa=fε=ʁə=lɔb=ʒε=dœ̃=nεɡ=za=mɛ̃=ab=sɔ=ly=mɑ̃=kɔ̃=plε=tu=tə=lε=ʁə=ʃεʁ=ʃə=fi=zjɔ=lɔ=ʒik=sə=ʁɔ̃=mi=zə=zɑ̃=ʒø=ʁə=ʃεʁ=ʃə=dε=zɛ̃=tɔk=si=ka=sjɔ̃=dε=le=zjɔ̃=dε=zɛ̃=fεk=sjɔ̃=εɡ=za=mɛ̃=zɑ̃=dɔ=kʁi=njɛ̃=y=mɔ=ʁal=e=pa=ti=kə=ɡas=tʁi=kə=εɡ=za=mɛ̃=mi=ny=tjø=dy=mi=ljø=dε=zi=na=dap=ta=sjɔ̃=εt=se=te=ʁa 98
tutə=lε=ʁə=suʁ=sə=də=la=psi=kɔ=te=ʁa=pi=sə=ʁɔ̃=ɑ̃=plwa=je=il=ε=ʁa=ʁə=ky=nə=ma=la=di=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kəe=tu=fə=la=pεʁ=sɔ=na=li=te=pʁɔ=fɔ̃=də=sε=tə=pεʁ=sɔ=na=li=te=su=fʁə=paʁ=fwa=mi=lə=mɔʁ=e=lε=su=fʁɑ̃=sə=də=la=kɔ̃=sjɑ̃=sə=mɔ=ʁa=lə=ʒu=e=tu=ʒuʁ=zœ̃=ʁo=lə=kɔ̃=si=de=ʁa=blə=lε=kɔ̃=fli=zɛ̃=te=ʁjœʁ=su=vɑ̃=ʁə=fu=le=sə=tʁu=ve=fʁe=ka=mɑ̃=a=la=ba=zə=dε=ne=vʁo=zə=ze=dε=psi=ko=zə=kil=sa=ʒi=sə=dy=nə=sɛ̃=plə=ti=mi=di=te=u=dœ̃=de=li=ʁə=də=la=pεʁ=se=ky=sjɔ̃ 134
tu=tʁεtə=mɑ̃=psi=kɔ=lɔ=ʒi=kə=le=ʒe=u=ɡʁa=və=dwa=ε=tʁə=dy=nəy=ma=ni=te=ab=sɔlɥ=lə=ʁεs=pε=ɑ̃=tje=də=la=pεʁ=sɔ=nə=y=mε=nə=ɑ̃=nε=la=lwa=sy=pʁε=mə=su=ε=tɔ̃=zy=nə=ʃo=zə=kə=li=ʒjε=nə=mɑ̃=ta=lə=e=mɔ=ʁa=lə=pʁɔ=ɡʁε=sə=kə=lə=mɔ̃=də=ak=tɥεl=a=pʁε=nə=a=sə=kɔ̃=si=de=ʁe=ɔb=ʒεk=ti=və=mɑ̃=e=kə=ʃa=kœ̃=su=ε=tə=a=pʁɑ̃=dʁə=o=ljø=da=vwaʁ=la=sεʁ=ti=ty=də=də=kɔ=nε=tʁə 107
su=ε=tɔ̃=zɑ̃=fɛ̃kə=la=psi=kɔ=lɔ=ʒi=se=tɑ̃=də=sy=fi=za=mɑ̃=puʁ=kə=ʃa=kœ̃=ʃεʁ=ʃəa=ʁe=a=li=ze=la=ple=ni=ty=də=də=sɔ̃=nε=tʁə=ɑ̃=kɔ̃s=ta=tɑ̃=sε=nə=mɑ̃=sε=zɛ̃=sy=fi=zɑ̃=sə=e=ɑ̃=de=ku=vʁɑ̃=sε=pɔ=si=bi=li=te=ka=ʃe 62

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Commentaire Sur La Poesie

Auteur de Poésie
01/04/2014 09:09Antoine38

"Souhaiter apprendre au lieu d’avoir la certitude de connaître"
Là est surement l’essentiel, si tout le reste n’est pas faux, cela reste des exceptions.
a+

Poème - Sans Thème -
Du 12/08/2012 17:24

L'écrit contient 2359 mots qui sont répartis dans 14 strophes.