Univers de poésie d'un auteur

Texte:Scepticisme Scientifique En Action

Le Texte

Moi je veux juste aider les gens crédule à être moins crédule ou les informés des informations erronées dans ce qu’ils partagent : c
J’essaye de ne plus expliquer pourquoi ils ont tort de penser ce qu’ils pensent, c’est trop risqué, je ne fais plus qu’expliquer en quoi ce qu’ils ont partagé sur leur profil/groupe etc… est faux, et seulement quand j’en suis sûre à 95% que cela l’est.

Exemple récent des choses que je dois expliquer que c’est mal expliqué, tout du même article (https : //www. techno-science. net/actualite/autre-langage-mathematique-resoudre-contradictions-physique-classique-N19164. html) :

1) « La physique classique est caractérisée par la précision de ses équations qui décrivent l’évolution du monde tel qu’il a été déterminé par les conditions initiales du Big Bang. Le hasard n’y a donc pas sa place ».

→ C’est les données que l’on utilisait dans les équations qui ont permis de penser que l’univers a eu une taille très petite un moment donné, et ces données sont pour la plupart des observables, c’est-à-dire des informations que l’on a récupérés via l’observation. Plus d’information dans cette vidéo : « PEUT-ON AFFIRMER QUE L’UNIVERS A 13, 8 MILLIARDS D’ANNÉES ? (le titre est en caps désolé) : https : //www. youtube. com/watch ? v=adu3Sh_2k0E

2) » En physique classique, soit la physique de Newton, il est admis que depuis le Big Bang, tout est déjà déterminé. Les équations mathématiques servent à expliquer l’évolution du monde qui découlent de ces conditions initiales de la manière la plus précise possible «
→De nos jours c’est plutôt en Relativité restreinte et/ou Général.

3a) » Les nombres réels sont caractérisés par un nombre infini de décimales qui suivent la virgule, [… ] . Ils contiennent donc une quantité infinie d’informations. «
→Techniquement oui, mais cela comprend les entiers relatifs (Z) qui ont une infinité de 0 juste après la virgule (ex : -3. 000… ) , les nombres décimaux (D) qui ont un nombre fini de chiffres avant d’avoir un nombre infini de 0 (ex : 3. 125000… ) , les Rationnels (Q) , qui sont des nombres qui ont une séquence qui se répètent (3. 125125125… ) , les Irrationnels, des nombres qui n’ont pas de séquence qui se répètent, mais dont certaines peuvent être décrie comme 1. 101001000100001 dont les 1 sont espacés graduellement par de plus en plus de 0. Pi ou e dont les décimales peuvent être calculés autant que les puissances de calculs le permet et ces 2 là sont dit Transcendants car ils ne peuvent pas être solutions de polynômes à coefficients relatifs (Z) , mais peuvent être solutions de polynômes à coef rééls (ce que les gens oublient parfois) , et on les pense Univers, c’est-à-dire que l’on pourrait y retrouver toutes séquences finie de nombres dans leurs décimales (ex : on peut retrouver 55526545723516 dans les décimales de Pi ou e)

3b) » Ces nombres réels typiques sont bien plus nombreux que les nombres qui ont un nom, comme Pi, et sont constitués d’une série de décimales complètement aléatoire «
→aléatoires ne veut pas dire incalculable et il veut juste dire qu’il n’y a pas une séquence qui se répète, et on peut considérer que les décimales de Pi ou e sont aussi distribué aléatoirement, mais ceux-là il y a plusieurs méthodes connues pour calculer leurs décimales, car Pi et e sont des valeurs que l’on retrouve dans plusieurs équations de différents domaines.

3c) » Problème : notre monde est fini, alors comment peut-il contenir des nombres qui eux, sont infinis et contiennent une quantité infinie d’informations ? «
→Les nombres sont abstraits, ils n’ont pas une existence physique/matériel. 3 balles = une bijection entre 1 et la balle n°1, 2 et la balle n°2 et 3 et la balle n°3.

4) » Il existe un autre langage mathématique, nommé intuitionniste, qui refuse l’existence de l’infini «

→De base on éssait d’éviter les infinies dans les calcules. On s’est même servie de la » SuperSommation «
/» superAddition « pour remplacer 1+2+3+4+… =+inf par -1/12 pour ne pas avoir un infinie dans l’un des calcules en physique (» La Somme des entiers positifs fait-elle vraiment -1/12 ? (Benoit Rittaud) « : https : //www. youtube. com/watch ? v=GnZQOb9YNV4) et il y a d’autres maths qui peuvent addition, multiplier, les mettre en exposant entre eux : (Les nombres transfinis | Infini 8 : https : //www. youtube. com/watch ? v=kl34kGutU1A) et pour les infinis comme résultat quand on essaie d’appliquer les diagrammes de Feynman à la Relativité générale certains physiciens ont développés la théorie des cordes qui suppriment les infinis. (voir : La Théorie des Cordes — Science étonnante #5 : https : //www. youtube. com/watch ? v=rXhzeKh8yBk

5) a) » A la place des nombres réels qui contiennent à l’instant T un nombre infini de décimales,
b) les mathématiques intuitionnistes représentent ces nombres comme un processus aléatoire qui se déroule au cours du temps, une décimale après l’autre, de sorte qu’à chaque instant T, il n’existe qu’un nombre fini de décimales, et donc une quantité finie d’informations. « Cela résout la contradiction de la physique classique, qui utilise de l’infini pour expliquer le fini »

→a) Les nombres en eux même ne varient pas, Pi reste Pi (à la base b près, ex : 5 (en base10) = 101 (en base2) .
→b) Pour le reste, j’ai juste l’impression qu’il donne juste de plus en plus de précision à son nombre au fur et à mesure et en science on n’a de toutes façon pas besoin de toutes les décimales d’un réels, on utilise juste la précision suffisante : les nombres en notations scientifique (ex : 3. 125*10^-8 : précision de 3 décimales)

6) « En mathématique classique, une proposition est toujours soit vraie, soit fausse, selon le principe du tiers-exclu. Mais en mathématique intuitionniste, une proposition est soit vraie, soit fausse, soit indéterminée. Il y a donc une part acceptée d’aléatoire »
→Ce n’est pas des maths a proprement parlé, ce sont des logiques, ici il parle de la logique standard du tiers exclu, oui il y a d’autres logique et on les utilise, on peut utiliser une logique dite floue : 0%= faux absolue, 100% = vraie absolue et la donnée peut prendre une valeur entre 0 et 100% souvent sans pouvoir atteindre le 0% ou le 100% (ex : 0. 0005% ou 99. 9999999999%) . Actuellement c’est le bayésianisme qui est « à la mode », fait consensus, comme logique à utiliser, et on l’utilise parfois sous sa forme logarithmique, c’est a dire il faut par exemple 10 fois plus de certitude pour passer de 1 à 2, 100 fois plus de certitude pour passer de 2 à 3, 1000 fois plus de certitude pour passer de 3 à 4 etc… (1 ; 2 ; 3 ; 4 ; etc… étant des degrés de certitude. ) (Maîtrisez l’intuition bayésienne ! ! Bayes 15 : https : //www. youtube. com/watch ? v=NSfDK8q4SC8)

7) « [… ] on retrouve également l’aléatoire en physique quantique. » Certains tentent de l’éviter par tous les moyens en impliquant d’autres variables fondées sur les nombres réels. «

→c’est ce qu’on appelle parfois » Les variables cachés « mais attentions, c’est plus compliqué (je ne me sens pas capable de vous l’expliquer du coup je link juste une vidéo, mais qui elle même ne vous clarifieras pas tout ; » Les variables cachées « : https : //www. youtube. com/watch ? v=qoadfWcrA2w)

8) » [… ] il faut rapprocher la physique classique de la physique quantique en y intégrant enfin de l’indéterminisme «

→on le fait déjà partiellement en quantifiant les 3 autres force que sont l’électromagnétisme, nucléaire forte et faible mais c’est vrai que pour la Gravité (décrite par la relativité générale) c’est plus tendu (voir : La gravité quantique à boucles — Science étonnante #33 : https : //www. youtube. com/watch ? v=3MJJvXGuDag)

9) a) » Je considère à présent que l’on a accepté trop de postulats en physique classique et qu’on y a, de ce fait, intégré du déterminisme qui n’avait pas forcément lieu d’être.
b) Au contraire, si l’on choisit de fonder la physique classique sur les mathématiques intuitionnistes, elle deviendra également indéterminée, comme la physique quantique, [… ] «)

→a) La vidéo » PEUT-ON AFFIRMER QUE L’UNIVERS A 13, 8 MILLIARDS D’ANNÉES ? « de mon point 1 devrait vous répondre que l’on a en faite assez peu de postulat et que l’on a dû juste en retirer un (pour que les équations aient des solutions, et de ses solutions on a pu en penser/conceptualiser le big bang) .
→b) il n’y a pas besoin de ses pseudo-math, il y a déjà plusieurs théories quantique qui pallient chacun avec leur avantages et défauts la théorie de la Relativité Générale, ex : la théorie des cordes, la théorie quantique à boucle, » les ondes stationnaires de De Broglie « (elle ne fait pas consensus celle ci)

Pour résumer je dirais juste que les problèmes entre la RG et la TQ c’est qu’elles ne parlent » juste " pas des mêmes objets, cela n’a donc rien à voir avec les nombres Réels et leur contenue en décimales.
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PostScriptum

N’hésitez pas à critiquer ma tentative d’expliquer pourquoi l’article est « nul ».

Poeme de Peveepppeaf

Écrivain Peveepppeaf

Peveepppeaf a publié sur le site 30 écrits. Peveepppeaf est membre du site depuis l'année 2017.

Syllabation De L'Écrit

Phonétique : Scepticisme Scientifique En Actionmwa ʒə vø ʒystə εde lε ʒɑ̃ kʁedylə a εtʁə mwɛ̃ kʁedylə u lεz- ɛ̃fɔʁme dεz- ɛ̃fɔʁmasjɔ̃z- eʁɔne dɑ̃ sə kil paʁtaʒe : se
ʒesεj də nə plysz- εksplike puʁkwa ilz- ɔ̃ tɔʁ də pɑ̃se sə kil pɑ̃se, sε tʁo ʁiske, ʒə nə fε plys kεksplike ɑ̃ kwa sə kilz- ɔ̃ paʁtaʒe syʁ lœʁ pʁɔfil slaʃ ɡʁupə εtseteʁa… ε fo, e sələmɑ̃ kɑ̃ ʒɑ̃ sɥi syʁə a katʁə vɛ̃- kɛ̃zə puʁ sɑ̃ kə səla lε.

εɡzɑ̃plə ʁesɑ̃ dε ʃozə kə ʒə dwaz- εksplike kə sε mal εksplike, tu dy mεmə aʁtiklə (tp : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. tεkno sjɑ̃sə. nεt slaʃ aktɥalitə slaʃ otʁə lɑ̃ɡaʒə matəmatikə ʁəsudʁə kɔ̃tʁadiksjɔ̃ fizikə klasikə εn diz- nəf milə sɑ̃ swasɑ̃tə katʁə. tml) :

yn) « la fizikə klasikə ε kaʁakteʁize paʁ la pʁesizjɔ̃ də sεz- ekasjɔ̃ ki dekʁive levɔlysjɔ̃ dy mɔ̃də tεl kil a ete detεʁmine paʁ lε kɔ̃disjɔ̃z- inisjalə dy biɡ bɑ̃ɡ. lə-azaʁ ni a dɔ̃k pa sa plasə ».

sε lε dɔne kə lɔ̃n- ytilizε dɑ̃ lεz- ekasjɔ̃ ki ɔ̃ pεʁmi də pɑ̃se kə lynivez- a y ynə tajə tʁε pətitə œ̃ mɔmɑ̃ dɔne, e sε dɔne sɔ̃ puʁ la plypaʁ dεz- ɔpsεʁvablə, sεt- a diʁə dεz- ɛ̃fɔʁmasjɔ̃ kə lɔ̃n- a ʁekypeʁe vja lɔpsεʁvasjɔ̃. plys dɛ̃fɔʁmasjɔ̃ dɑ̃ sεtə video : « pø tɔ̃n- afiʁme kə lynivez- a tʁεzə viʁɡylə ɥi miljaʁd dane ? (lə titʁə εt- ɑ̃ kap dezɔle) : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal ady tʁwa εs aʃ suliɲe dø ka zeʁo ə

døks) » εn fizikə klasikə, swa la fizikə də nεwtɔ̃, il εt- admi kə dəpɥi lə biɡ bɑ̃ɡ, tut- ε deʒa detεʁmine. lεz- ekasjɔ̃ matematik sεʁve a εksplike levɔlysjɔ̃ dy mɔ̃də ki dekule də sε kɔ̃disjɔ̃z- inisjalə də la manjεʁə la plys pʁesizə pɔsiblə «
də no ʒuʁ sε plyto ɑ̃ ʁəlativite ʁəstʁɛ̃tə e slaʃ u ʒeneʁal.

tʁwaz- a) » ləs nɔ̃bʁə- ʁeεl sɔ̃ kaʁakteʁize paʁ œ̃ nɔ̃bʁə ɛ̃fini də desimalə ki sɥive la viʁɡylə, uvʁə kʁoʃε… fεʁmə kʁoʃε. il kɔ̃tjεne dɔ̃k ynə kɑ̃tite ɛ̃fini dɛ̃fɔʁmasjɔ̃. «
tεknikəmɑ̃ ui, mε səla kɔ̃pʁɑ̃ lεz- ɑ̃tje ʁəlatifs (z) ki ɔ̃ ynə ɛ̃finite də zeʁo ʒystə apʁε la viʁɡylə (εks : mwɛ̃ tʁwa pwɛ̃ zeʁo zeʁo zeʁo… ) , lε nɔ̃bʁə- desimoks (d) ki ɔ̃ œ̃ nɔ̃bʁə fini də ʃifʁəz- avɑ̃ davwaʁ œ̃ nɔ̃bʁə ɛ̃fini də zeʁɔ (εks : tʁwa pwɛ̃ sɑ̃ vɛ̃t- sɛ̃k milə… ) , lε ʁasjɔnεls (k) , ki sɔ̃ dε nɔ̃bʁə- ki ɔ̃ ynə sekɑ̃sə ki sə ʁepεtεnt (tʁwa pwɛ̃ sɑ̃ vɛ̃t- sɛ̃k miljɔ̃ sɑ̃ vɛ̃t- sɛ̃k milə sɑ̃ vɛ̃t- sɛ̃k… ) , lεz- iʁasjɔnεl, dε nɔ̃bʁə- ki nɔ̃ pa də sekɑ̃sə ki sə ʁepεte, mε dɔ̃ sεʁtεnə pəve εtʁə dekʁi kɔmə œ̃ pwɛ̃ œ̃ zeʁo œ̃ zeʁo zeʁo œ̃ miljaʁ sɑ̃ milə œ̃ dɔ̃ lεz- œ̃ sɔ̃t- εspase ɡʁadɥεllmɑ̃ paʁ də plysz- ɑ̃ plys də zeʁo. pi u ə dɔ̃ lε desimalə pəve εtʁə kalkylez- otɑ̃ kə lε pɥisɑ̃sə də kalkyl lə pεʁmε e sε dø la sɔ̃ di tʁɑ̃sɑ̃dɑ̃ kaʁ il nə pəve pa εtʁə sɔlysjɔ̃ də pɔlɛ̃oməz- a koefisjɑ̃ ʁəlatifs (z) , mε pəve εtʁə sɔlysjɔ̃ də pɔlɛ̃oməz- a koεf ʁeels (sə kə lε ʒɑ̃z- ublje paʁfwas) , e ɔ̃ lε pɑ̃sə ynive, sεt- a diʁə kə lɔ̃ puʁʁε i ʁətʁuve tutə sekɑ̃sə fini də nɔ̃bʁə- dɑ̃ lœʁ desimaləs (εks : ɔ̃ pø ʁətʁuve sɛ̃- sɛ̃- sɛ̃- sɑ̃ vɛ̃t- si- miljaʁ sɛ̃- sɑ̃ kaʁɑ̃tə sɛ̃k miljɔ̃ sεt sɑ̃ vɛ̃t- tʁwa milə sɛ̃- sɑ̃ sεzə dɑ̃ lε desimalə də pi u ə)

tʁwa b) » səs nɔ̃bʁə- ʁeεl tipik sɔ̃ bjɛ̃ plys nɔ̃bʁø kə lε nɔ̃bʁə- ki ɔ̃ œ̃ nɔ̃, kɔmə pi, e sɔ̃ kɔ̃stitye dynə seʁi də desimalə kɔ̃plεtəmɑ̃ aleatwaʁə «
aleatwaʁə nə vø pa diʁə ɛ̃kalkylablə e il vø ʒystə diʁə kil ni a pa ynə sekɑ̃sə ki sə ʁepεtə, e ɔ̃ pø kɔ̃sideʁe kə lε desimalə də pi u ə sɔ̃t- osi distʁibye aleatwaʁəmɑ̃, mε sø la il i a plyzjœʁ metɔdə kɔnɥ puʁ kalkyle lœʁ desimalə, kaʁ pi e ə sɔ̃ dε valœʁ kə lɔ̃ ʁətʁuvə dɑ̃ plyzjœʁz- ekasjɔ̃ də difeʁɑ̃ dɔmεnə.

tʁwa k) » pʁɔblεmə : nɔtʁə mɔ̃də ε fini, alɔʁ kɔmɑ̃ pø til kɔ̃təniʁ dε nɔ̃bʁə- ki ø, sɔ̃t- ɛ̃finiz- e kɔ̃tjεne ynə kɑ̃tite ɛ̃fini dɛ̃fɔʁmasjɔ̃ ? «
ləs nɔ̃bʁə- sɔ̃t- abstʁε, il nɔ̃ pa ynə εɡzistɑ̃sə fizikə slaʃ mateʁjεl pwɛ̃ tʁwa baləz- eɡal ynə biʒεksjɔ̃ ɑ̃tʁə œ̃n- e la balə εn dəɡʁe œ̃ viʁɡylə døz- e la balə εn dəɡʁe døz- e tʁwaz- e la balə εn dəɡʁe tʁwa.

katʁə) » il εɡzistə œ̃n- otʁə lɑ̃ɡaʒə matematikə, nɔme ɛ̃tɥisjɔnistə, ki ʁəfyzə lεɡzistɑ̃sə də lɛ̃fini «

də bazə ɔ̃n- esε devite lεz- ɛ̃fini dɑ̃ lε kalkylə. ɔ̃ sε mεmə sεʁvi də la » sypεʁsɔmasjɔn «
slaʃ » sypəʁadisjɔn « puʁ ʁɑ̃plase œ̃ plys dø plys tʁwa plys katʁə plys… eɡal plysz- ɛ̃f paʁ mwɛ̃z- œ̃ slaʃ duzə puʁ nə pa avwaʁ œ̃n- ɛ̃fini dɑ̃ lœ̃ dε kalkyləz- ɑ̃ fizikə (» la sɔmə dεz- ɑ̃tje pozitif fε tεllə vʁεmɑ̃ mwɛ̃z- œ̃ slaʃ duzə ? (bənwa ʁitod) « : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal ɲzkɔb nəf ɛ̃v katʁə) εt il i a dotʁə- mat ki pəve adisjɔ̃, myltiplje, lε mεtʁə ɑ̃n- εkspozɑ̃ ɑ̃tʁə ø : (ləs nɔ̃bʁə- tʁɑ̃sfini baʁə ɛ̃fini ɥit : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal ka εl tʁɑ̃tə katʁə kɡyty œ̃n- a) εt puʁ lεz- ɛ̃fini kɔmə ʁezylta kɑ̃t- ɔ̃n- esε daplike lε djaɡʁamə də fenmɑ̃ a la ʁəlativite ʒeneʁalə sεʁtɛ̃ fizisjɛ̃z- ɔ̃ devəlɔpe la teɔʁi dε kɔʁdə- ki sypʁime lεz- ɛ̃fini. (vwaʁ : la teɔʁi dε kɔʁdə- sjɑ̃sə etɔnɑ̃tə djεzə sɛ̃k : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal ʁkszεk ɥit ibk

sɛ̃k) a) » a la plasə dε nɔ̃bʁə- ʁeεl ki kɔ̃tjεne a lɛ̃stɑ̃ te œ̃ nɔ̃bʁə ɛ̃fini də desimalə,
b) ləs matematikz- ɛ̃tɥisjɔnistə ʁəpʁezɑ̃te sε nɔ̃bʁə- kɔmə œ̃ pʁɔsesysz- aleatwaʁə ki sə deʁulə o kuʁ dy tɑ̃, ynə desimalə apʁε lotʁə, də sɔʁtə ka ʃakə ɛ̃stɑ̃ te, il nεɡzistə kœ̃ nɔ̃bʁə fini də desimalə, e dɔ̃k ynə kɑ̃tite fini dɛ̃fɔʁmasjɔ̃. « səla ʁezu la kɔ̃tʁadiksjɔ̃ də la fizikə klasikə, ki ytilizə də lɛ̃fini puʁ εksplike lə fini »

a) ləs nɔ̃bʁəz- ɑ̃n- ø mεmə nə vaʁje pa, pi ʁεstə pi (a la bazə be pʁε, εks : sɛ̃k (εn bazə diks) eɡal sɑ̃t- yn (εn bazə døks) .
b) puʁ lə ʁεstə, ʒε ʒystə lɛ̃pʁesjɔ̃ kil dɔnə ʒystə də plysz- ɑ̃ plys də pʁesizjɔ̃ a sɔ̃ nɔ̃bʁə o fyʁ e a məzyʁə e ɑ̃ sjɑ̃sə ɔ̃ na də tutə fasɔ̃ pa bəzwɛ̃ də tutə lε desimalə dœ̃ ʁeεl, ɔ̃n- ytilizə ʒystə la pʁesizjɔ̃ syfizɑ̃tə : lε nɔ̃bʁəz- ɑ̃ nɔtasjɔ̃ siifikə (εks : tʁwa pwɛ̃ sɑ̃ vɛ̃t- sɛ̃k asteʁiskə di- siʁkɔ̃flεksə ɥit : pʁesizjɔ̃ də tʁwa desimaləs)

siks) « εn matematikə klasikə, ynə pʁɔpozisjɔ̃ ε tuʒuʁ swa vʁε, swa fosə, səlɔ̃ lə pʁɛ̃sipə dy tjεʁz- εkskly. mεz- ɑ̃ matematikə ɛ̃tɥisjɔnistə, ynə pʁɔpozisjɔ̃ ε swa vʁε, swa fosə, swa ɛ̃detεʁmine. il i a dɔ̃k ynə paʁ aksεpte daleatwaʁə »
sə nε pa dε matz- a pʁɔpʁəmɑ̃ paʁle, sə sɔ̃ dε lɔʒik, isi il paʁlə də la lɔʒikə stɑ̃daʁ dy tjεʁz- εkskly, ui il i a dotʁə- lɔʒikə e ɔ̃ lεz- ytilizə, ɔ̃ pø ytilize ynə lɔʒikə ditə flu : zeʁo puʁ sɑ̃t- eɡal foz- absɔlɥ viʁɡylə sɑ̃ puʁ sɑ̃t- eɡal vʁε absɔlɥ e la dɔne pø pʁɑ̃dʁə ynə valœʁ ɑ̃tʁə zeʁo e sɑ̃ puʁ sɑ̃ suvɑ̃ sɑ̃ puvwaʁ atɛ̃dʁə lə zeʁo puʁ sɑ̃t- u lə sɑ̃ puʁ sεnt (εks : zeʁo pwɛ̃ zeʁo zeʁo zeʁo sɛ̃k puʁ sɑ̃t- u katʁə vɛ̃- diz- nəf pwɛ̃ nəf miljaʁ nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃- diz- nəf miljɔ̃ nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃- diz- nəf milə nəf sɑ̃ katʁə vɛ̃- diz- nəf puʁ sεnt) . aktɥεllmɑ̃ sε lə bεjezjanismə ki εst « a la mɔdə », fε kɔ̃sɑ̃sys, kɔmə lɔʒikə a ytilize, e ɔ̃ lytilizə paʁfwa su sa fɔʁmə lɔɡaʁitmikə, sεt- a diʁə il fo paʁ εɡzɑ̃plə di- fwa plys də sεʁtitydə puʁ pase də œ̃n- a dø viʁɡylə sɑ̃ fwa plys də sεʁtitydə puʁ pase də døz- a tʁwa viʁɡylə milə fwa plys də sεʁtitydə puʁ pase də tʁwaz- a katʁə εtseteʁa… (œ̃, dø, tʁwa, katʁə, εtseteʁa… etɑ̃ dε dəɡʁe də sεʁtitydə. ) (mεtʁize lɛ̃tɥisjɔ̃ bεjezjεnə ! ! bεj kɛ̃zə : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal εn εs εf de ka ɥi ky katʁə εs se ɥit)

sεpt) « uvʁə kʁoʃε… fεʁmə kʁoʃε ɔ̃ ʁətʁuvə eɡaləmɑ̃ laleatwaʁə ɑ̃ fizikə kɑ̃tikə. » sεʁtɛ̃ tɑ̃te də levite paʁ tus lε mwajɛ̃z- ɑ̃n- ɛ̃plikɑ̃ dotʁə- vaʁjablə fɔ̃de syʁ lε nɔ̃bʁə- ʁeεl. «

sε sə kɔ̃n- apεllə paʁfwas » ləs vaʁjablə kaʃes « mεz- atɑ̃sjɔ̃, sε plys kɔ̃plike (ʒə nə mə sɑ̃s pa kapablə də vu lεksplike dy ku ʒə lɛ̃k ʒystə ynə video, mε ki εllə mεmə nə vu klaʁifjəʁa pa tu, » ləs vaʁjablə kaʃeəs « : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal kɔadfwkʁa dø w)

ɥit) » uvʁə kʁoʃε… fεʁmə kʁoʃε il fo ʁapʁoʃe la fizikə klasikə də la fizikə kɑ̃tikə ɑ̃n- i ɛ̃teɡʁɑ̃ ɑ̃fɛ̃ də lɛ̃detεʁminismə «

ɔ̃ lə fε deʒa paʁsjεllmɑ̃ ɑ̃ kɑ̃tifjɑ̃ lε tʁwaz- otʁə- fɔʁsə kə sɔ̃ lelεktʁɔmaɲetismə, nykleεʁə fɔʁtə e fεblə mε sε vʁε kə puʁ la ɡʁavite (dekʁitə paʁ la ʁəlativite ʒeneʁalə) sε plys tɑ̃dy (vwaʁ : la ɡʁavite kɑ̃tikə a buklə sjɑ̃sə etɔnɑ̃tə djεzə tʁɑ̃tə tʁwa : aʃ te te pe εs : slaʃ slaʃ dubləve dubləve dubləve. iutybə. kɔm slaʃ watʃ ? ve eɡal tʁwa mʒʒvksɡydaʒ)

nəf) a) » ʒə kɔ̃sidεʁə a pʁezɑ̃ kə lɔ̃n- a aksεpte tʁo də pɔstylaz- ɑ̃ fizikə klasikə e kɔ̃n- i a, də sə fε, ɛ̃teɡʁe dy detεʁminismə ki navε pa fɔʁsemɑ̃ ljø dεtʁə.
b) o kɔ̃tʁεʁə, si lɔ̃ ʃwazi də fɔ̃de la fizikə klasikə syʁ lε matematikz- ɛ̃tɥisjɔnistə, εllə dəvjɛ̃dʁa eɡaləmɑ̃ ɛ̃detεʁmine, kɔmə la fizikə kɑ̃tikə, uvʁə kʁoʃε… fεʁmə kʁoʃət «)

a) la videɔ » pø tɔ̃n- afiʁme kə lynivez- a tʁεzə viʁɡylə ɥi miljaʁd dane ? « də mɔ̃ pwɛ̃ œ̃ dəvʁε vu ʁepɔ̃dʁə kə lɔ̃n- a ɑ̃ fεtə ase pø də pɔstyla e kə lɔ̃n- a dy ʒystə ɑ̃ ʁətiʁe yn (puʁ kə lεz- ekasjɔ̃z- ε dε sɔlysjɔ̃, e də sε sɔlysjɔ̃z- ɔ̃n- a py ɑ̃ pɑ̃se slaʃ kɔ̃sεptɥalize lə biɡ bɑ̃ʒ) .
b) il ni a pa bəzwɛ̃ də sε psødo mat, il i a deʒa plyzjœʁ teɔʁi kɑ̃tikə ki palje ʃakœ̃ avεk lœʁ avɑ̃taʒəz- e defo la teɔʁi də la ʁəlativite ʒeneʁalə, εks : la teɔʁi dε kɔʁdə, la teɔʁi kɑ̃tikə a buklə, » ləs ɔ̃də stasjɔnεʁə də də bʁɔɡljə « (εllə nə fε pa kɔ̃sɑ̃sys sεllə si)

puʁ ʁezyme ʒə diʁε ʒystə kə lε pʁɔblεməz- ɑ̃tʁə la εʁ ʒe e la te ky sε kεllə nə paʁlεnt » ʒystə"pas dε mεməz- ɔbʒε, səla na dɔ̃k ʁjɛ̃ a vwaʁ avεk lε nɔ̃bʁə- ʁeεlz- e lœʁ kɔ̃tənɥ ɑ̃ desimalə.

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13/09/2021 12:00

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Commentaires Sur La Poesie

Auteur de Poésie
17/01/2020 00:34Gramo

D’accord, ce grand texte parait "intelligent" à tous ceux qui ne sont physicien ou astro-physicien.
Mais ceux-là dont j’en suis ne peuvent vraiment dire où tu voulais en venir. A ce point de vue, cela manque de clarté. Rien ne sert a faire complexe si la difficulté n’est pas vulgarisée.
Comme je dirais les lires d’astro-physique des frères " Bogdanof" que j’ai lus.
Amitiés

Auteur de Poésie
18/01/2020 09:43Peveepppeaf

Car elle ne savait* pas pourquoi s’en était.

Texte Connaissance
Du 14/01/2020 23:45

L'écrit contient 1544 mots qui sont répartis dans 20 strophes.