Texte:Mon Amour

Mon amour, je t’aime encore ;
peut-être même encore plus forts
sont en moi mes sentiments,
car je t’aime, énormément.

Mais pour un autre tu m’as quitté,
et tu m’as ensuite dit : « oublie-moi ».
Mais nous fûmes mariés,
et non, je n’ai rien oublié de nos ébats,
de nos émois,
de nos tendres caresses réciproques :
ce fut vraiment une belle époque !

Et puis, même qu’à présent avec un autre tu consumes,
cela n’enlève rien à mon amertume
de t’avoir perdue, mon amie, ma mie,
car je t’aime, à l’infini.

C’est Dieu qui décide,
c’est Lui qui unit et qui désunit.
Il sait qu’au fond de moi est très vive la flamme.
Non, le volcan n’est pas éteint,
je veux encore que tu m’étreins,
comme tu le faisais avant,
quand c’était le « bon vieux temps ».

Mais la décision finale incombe à Dieu et à Lui seul.
S’il décide que nous soyons à nouveau réunis,
aucune force terrestre ou cosmique ne s’y opposera,
car il est le Tout Puissant,
le divin Créateur des êtres, des éléments.
Lui seul décidera que nous revivions, comme avant.

Car Dieu ne fait jamais pour nous que ce qui est le mieux