Poème:Les Larmes Du Niagara

Je ne sais par ou commencer
Ni meme comment l’expliquer
Mais je suis sur
Que c’est grace à ce ciel azur
A la douceur de l’été
Et la fraicheur de l’eau pure
Que je me suis decidé
A tout vous raconter.
Deux ans déja se sont écoulés
Depuis que je l’aie rencontrée
Et pas une fois durant ce temps
Je n’ai été si desesperé
Ô Déesse de bonté et de chaleur
Toi qui possède un si grand cœur
Comment ne peux tu voir mon malheur ?
De voir que ton propre bonheur
A mes yeux n’est qu’illusions
Dans les serres d’un paon
Bel oiseau de mauvaise augure
S’averant couard et manipulateur
Qui une fois les problemes
Entrent dans son champ de vision
Te laissera la a ta peine
Seule et couverte de dérision.
Ton bonheur prime avant tout pour moi.
Plus que tout je reve d’etre avec toi.
Mais ce reve m’apparait bien lointain
Ainsi je reste seul avec mon désarroi
Plutot que de te forcer la main en vain
De créer des tracas encore une fois.
Et bien qu’il m’arrive encore aujourd’hui
Quand j’admire la froideur de la nuit
De sombrer dans cette cruelle folie
S’empare de moi une belle mélancolie !
Tel un orage suivi d’une accalmie
Ainsi tombe la pluie et se leve le voile.
A mon amour Elodie… pour que brille ton étoile.