Poème:Ma Bien Aimée…
Le Poème
Mon âmes’épuise à te chercher
Comme un vampire errant, solitaire,
Par l’immortalité parcourir les siècles.
L’amour transcende la fatalité du damné
Car près de toi, j’aurai le repos de l’âme
En accueillant la mort avec saveur.
Mais si tu n’étais qu’un rêve béant
Alors que le sommeil éternel m’emporte
La vie n’ayant plus de sens sans toi.
Rester en ce monde m’est une torture de l’âme
Déjà, en transparaît les stigmates
Par l’abscence de sourire sur mon visage
Remplacé par une fontaine de larmes.
Tous les discours, entretients me fatiguent
La solitude, douce compagne me comprend
Me berçant lentement vers le sépulcre,
Comme une rose flétrie par le temps
Qui, n’a pu trouver le regard de l’être aimé.
Poète De Profundis
De Profundis a publié sur le site 31 écrits. De Profundis est membre du site depuis l'année 2004.Lire le profil du poète De ProfundisSyllabation De L'Écrit
Syllabes Hyphénique: Ma Bien Aimée…
ma=bien=ai=mée=je=pleu=re=en=ton=at=ten=te 12mon=â=me=sé=pui=se=à=te=cher=cher 10
com=me=un=vam=pire=er=rant=so=li=taire 10
par=lim=mor=ta=li=té=par=cou=rir=les=siècles 11
la=mour=trans=cende=la=fa=ta=li=té=du=dam=né 12
car=près=de=toi=jau=rai=le=re=pos=de=lâme 11
en=ac=cueillant=la=mort=a=vec=sa=veur 9
mais=si=tu=né=tais=quun=rê=ve=bé=ant 10
a=lors=que=le=som=meil=é=ter=nel=mem=porte 11
la=vie=nay=ant=plus=de=sens=sans=toi 9
res=ter=en=ce=monde=mest=u=ne=tor=tu=re=de=lâme 13
dé=jà=en=trans=pa=raît=les=stig=ma=tes 10
par=labs=cence=de=sou=ri=re=sur=mon=vi=sage 11
rem=pla=cé=par=une=fon=tai=ne=de=larmes 10
tous=les=dis=cours=en=tre=tients=me=fa=tiguent 10
la=so=li=tude=douce=com=pa=gne=me=com=prend 11
me=ber=çant=lente=ment=vers=le=sé=pul=cre 10
com=me=u=ne=rose=flé=trie=par=le=temps 10
qui=na=pu=trou=ver=le=re=gard=de=lêtreai=mé 11
Phonétique : Ma Bien Aimée…
ma bjɛ̃ εme, ʒə plœʁə ɑ̃ tɔ̃n- atɑ̃tə,mɔ̃n- aməsepɥizə a tə ʃεʁʃe
kɔmə œ̃ vɑ̃piʁə eʁɑ̃, sɔlitεʁə,
paʁ limɔʁtalite paʁkuʁiʁ lε sjεklə.
lamuʁ tʁɑ̃sɑ̃də la fatalite dy damne
kaʁ pʁε də twa, ʒoʁε lə ʁəpo də lamə
ɑ̃n- akœjɑ̃ la mɔʁ avεk savœʁ.
mε si ty netε kœ̃ ʁεvə beɑ̃
alɔʁ kə lə sɔmεj etεʁnεl mɑ̃pɔʁtə
la vi nεjɑ̃ plys də sɑ̃s sɑ̃ twa.
ʁεste ɑ̃ sə mɔ̃də mεt- ynə tɔʁtyʁə də lamə
deʒa, ɑ̃ tʁɑ̃spaʁε lε stiɡmatə
paʁ labsɑ̃sə də suʁiʁə syʁ mɔ̃ vizaʒə
ʁɑ̃plase paʁ ynə fɔ̃tεnə də laʁmə.
tus lε diskuʁ, ɑ̃tʁətjɑ̃ mə fatiɡe
la sɔlitydə, dusə kɔ̃paɲə mə kɔ̃pʁɑ̃
mə bεʁsɑ̃ lɑ̃təmɑ̃ vεʁ lə sepylkʁə,
kɔmə ynə ʁozə fletʁi paʁ lə tɑ̃
ki, na py tʁuve lə ʁəɡaʁ də lεtʁə εme.
Syllabes Phonétique : Ma Bien Aimée…
ma=bjɛ̃=ε=me=ʒə=plœ=ʁə=ɑ̃=tɔ̃=na=tɑ̃=tə 12mɔ̃=na=mə=sep=ɥi=zə=a=tə=ʃεʁ=ʃe 10
kɔ=mə=œ̃=vɑ̃=pi=ʁə=e=ʁɑ̃=sɔ=li=tεʁ=ə 12
paʁ=li=mɔʁ=ta=li=te=paʁ=ku=ʁiʁ=lε=sjε=klə 12
la=muʁ=tʁɑ̃=sɑ̃də=la=fa=ta=li=te=dy=dam=ne 12
kaʁ=pʁε=də=twa=ʒo=ʁε=lə=ʁə=po=də=la=mə 12
ɑ̃=na=kœj=ɑ̃=la=mɔʁ=a=vεk=sa=vœ=ʁə 11
mε=si=ty=ne=tε=kœ̃=ʁε=və=be=ɑ̃ 10
a=lɔʁ=kə=lə=sɔ=mεj=e=tεʁ=nεl=mɑ̃=pɔʁ=tə 12
la=vi=nε=j=ɑ̃=plys=də=sɑ̃s=sɑ̃=twa 10
ʁεs=te=ɑ̃sə=mɔ̃=də=mε=ty=nə=tɔʁ=ty=ʁə=də=lamə 13
de=ʒa=ɑ̃=tʁɑ̃s=pa=ʁε=lε=stiɡ=ma=tə 10
paʁ=lab=sɑ̃=sə=də=su=ʁi=ʁə=syʁ=mɔ̃=vi=zaʒə 12
ʁɑ̃=pla=se=paʁ=y=nə=fɔ̃=tε=nə=də=la=ʁmə 12
tus=lε=dis=kuʁ=ɑ̃=tʁə=tj=ɑ̃=mə=fa=ti=ɡe 12
la=sɔ=li=ty=də=dusə=kɔ̃=pa=ɲə=mə=kɔ̃=pʁɑ̃ 12
mə=bεʁ=sɑ̃=lɑ̃=tə=mɑ̃=vεʁ=lə=se=pyl=kʁə 11
kɔ=mə=y=nə=ʁo=zə=fle=tʁi=paʁ=lə=tɑ̃ 11
ki=na=py=tʁu=ve=lə=ʁə=ɡaʁdə=lε=tʁə=ε=me 12
Récompense
Commentaires Sur La Poesie
magnifique poème, tu manie uu vocabulaire magnifique avec bocou de talent, bravo!!!!!!!!
superbe sublime époustouflant cela me touche et j’aimerais faire un poéme a 2 avec toi si tu es d’accord
hum. . . je viens de comprendre quelque chose enfin je crois avoir compris kkchz. . même les commentaires peut etre te ’fatiguent’. . . ba la solitude, on s’y habitue juste, il faut pas la laisser te gagner jusqu’au bout. . . hum je sais meme pas si c scientifiquement possible de te faire changer d’avis. . . ca a l’air ancré en toi. . . comme si c’est un déclic qui avait eu lieu quant t’avais 5 - 6 ans. . . enfin bon
je parle quand même. . peu importe j’éspères juste que tu m’auras lu et avec un peu de folie j’éspère meme que tu me répondras. .
Amicalement,
Richard. .
joli poème, vraiment tu as l’âme d’un poète, d’un vrai !
de profundis clamavi :
J’implore ta pitié, Toi, l’unique que j’aime,
Du fond du gouffre obscur où mon coeur est tombé.
C’est un univers morne à l’horizon plombé,
Où nagent dans la nuit l’horreur et le blasphème;
Un soleil sans chaleur plane au-dessus six mois,
Et les six autres mois la nuit couvre la terre;
C’est un pays plus nu que la terre polaire;
_Ni bêtes, ni ruisseaux, ni verdure, ni bois !
Or il n’est pas d’horreur au monde qui surpasse
La froide cruauté de ce soleil de glace
Et cette immense nuit semblable au vieux Chaos;
Je jalouse le sort des plus vils animaux
Qui peuvent se plonger dans un sommeil stupide.
Tant l’écheveau du temps lentement se dévide !
Baudelaire !
biz continu d’écrire !